Avis sur L’Enfant qui mesurait le monde

Je ne savais pas à quoi m'attendre en allant voir ce film et j'ai été agréablement surpris. Le film vous transporte dans un parcours initiatique d'un grand pêre qui découvre son petit fils autiste. Bernard Campan est surprenant dans ce rôle dramatique et apporte tout son talent à ce personnage qu'on se plait à détester au début du film et à aimer à la fin. Certes le scénario est cousu de fil blanc mais ce film fait du bien par les temps qui courent. une petite parenthèse à ne pas négliger et à découvrir au plus vite.

J'ai vu ce film en avant première. Une belle histoire touchante, Bernard Campan est très bien de ce rôle. Il découvre qu'il est grand père d'un enfant autiste au décès de sa fille. Une belle photo, de formidables comédiens grecs, un bon moment!

un film lumineux qui par les temps qui courent nous apporte une pause qui fait du bien,
Bernard Campan est formidable ainsi que le jeune garçon dont c’est le premier film

J'ai vu ce film en avant première. Très belle histoire, Bernard Campant est touchant. Des belles images, les comédiens grecs sont formidables et le Gamin aussi, un agréable moment!

Film magnifique qui traite de plusieurs thèmes dont celui des rapports familiaux, de la résilience, de la Grèce et de ses difficultés et qui fait du bien au moral dans cette période difficile

film sympathique mais assez décevant :
1) le scénario est totalement téléphonée, on le comprend dès les premières secondes, il est filmé sans surprise et sans une réelle intensité dramatique.
2) si le thème du film a déjà été traité dans beaucoup de film, le titre du film laissait présager une approche plus originale, comme l' "inadaptation sociale" d'un enfant Asperger amène un grand-père à retrouver le chemin de sa propre humanité, mais cela est à peine suggéré, et la relation entre le grand-père et la "seconde maman" de l'enfant est plus mis en lumière que celle avec l'enfant.
3) reste néanmoins un petit goût d'Ouzo, de soleil et de méditerranée qui fait que le film se laisse regarder.

Adapté du roman éponyme de Metin Arditi paru en 2016, ce drame nous transporte sur l'île grecque de Kalamaki, dans la peau d'un promoteur immobilier en pleine crise professionnelle venu dans ce lieu idyllique pour une bien triste nouvelle.
Un enfant de 9 ans va tout à coup surgir dans l'équation de sa vie et le bousculer définitivement...
Je reste un peu sur ma faim car, malgré une belle trame et de bonnes intentions pour nous y faire adhérer, je n'ai presque pas ressenti d'émotions.
Bernard Campan est comme souvent impeccable, mais j'ai eu du mal à accrocher avec ce gamin qui ne m'a pas ou peu touché en fin de compte.
Je m'attendais à ce que son handicap soit un paramètre beaucoup plus proéminent vu le titre du film, c'est finalement une histoire certes agréable, tragique et séduisante, mais assez maladroite dans sa réalisation ainsi que dans l'évolution de ses personnages.
Dommage, j'avais envie de vibrer bien plus que cela, les paysages hellènes sont néanmoins superbes !
Site CINEMADOURG.free.fr

Ce film est un petit bijou ! L'histoire émouvante de ce jeune garçon autiste, de sa rencontre avec son grand père, de sa relation fusionnelle avec sa mère de substitution, m'a vraiment touché en plein cœur. La réalisation est magnifique, et même si le rythme peut parfois sembler un peu lent, il permet justement de poser et faire respirer les performances des acteurs, et toute l'émotion qui en découle. Bernard Campan est magistral, dans un jeu d'une finesse et d'une retenue rare. Quant au jeune protagoniste, il crève l'écran ! Bref, c'est un film touchant, beau et profondément humain. A découvrir absolument.

Bernard Campan incarne un promoteur immobilier sur le déclin qui va se rendre en Grèce suite au décès de sa fille. Sur place, il va découvrir l'existence d'un petit-fils, Yanis, autiste Asperger de 9 ans. Que ce film est niais et cousu de fil blanc! La connexion entre les deux ne s'établit que trop peu et les personnages secondaires sont caricaturaux à souhait. Hormis les superbes paysages de l'île de Kalamaki, il n'y a pas grand chose à retenir de ce film qui traite l'autisme de manière superficielle et s'étire en longueur. Seul Bernard Campan convainc par son investissement, mais c'est trop peu.

Film vu en avant-première. Je m’attendais à ce que l’histoire tourne autour de cet enfant. Au final, tout l’histoire de ce film tourne autour de la construction d’un hôtel. Très bon choix d’acteur cependant. Je reste sur ma faim…

Très beau film en Grèce, Bernard Campan est surprenant de sensibilité, très émouvant, un rôle qui le fait changer de catégorie selon moi. L'histoire est touchante, on suit le parcours d'un homme qui, suite à une épreuve familiale, va faire preuve de résilience pour retrouver un sens un sa vie. C'est beau, humain et totalement dépaysant. A voir absolument.

J'ai eu la chance de découvrir ce film émouvant lors de la soirée d'ouverture du festival Regards d'Ailleurs 2024. Quel délice ! Ce film est empreint d'une sensibilité remarquable et d'une justesse saisissante. Étant moi-même d'origine grecque, j'ai été particulièrement touchée par la manière dont il parvient à capturer l'essence de la culture grecque, évitant habilement les clichés. Ayant lu le livre il y a quelques années, je suis stupéfaite par la qualité de son adaptation et la justesse de ses dialogues. Bernard Campan, fidèle à lui-même, nous éblouit une fois de plus par son talent et sa finesse d'interprétation. Un immense bravo à toute l'équipe ; je compte bien retourner le voir au cinéma cet été !

"L'Enfant qui Mesurait le Monde" est un film émouvant, juste et poétique sur la communication. Il aborde la communication entre un père et sa fille, celle avec un enfant autiste, ainsi que celle entre différentes communautés et en présence de préjugés. Le rythme du film est juste : on prend le temps de s'imprégner des détails humains sans sentir le temps passer. Il offre l'opportunité de réfléchir à des questions importantes telles que : comment utilisons-nous notre temps et notre argent ? Qu'est-ce qui est vraiment important pour nous ? Où est-ce que nous nous sentons chez nous ? C'est un film à voir absolument, que j'ai eu la chance de découvrir en avant-première à Dreux. Que vous soyez fan de Grèce, touché par un handicap ou en conflit avec votre famille, ne le manquez pas !

Une magnifique histoire de résilience tournée à hauteur d’homme. Un récit initiatique où l’enfant n’est pas forcément celui que l’on croit, autour de la quête des origines et du sens de la vie. Bernard Campan, excellent, déploie une remarquable palette d’émotions, entouré du prometteur Raphaël Brottier et d’acteurs grecs au ton très juste. On s’évade dans une Grèce authentique, loin des circuits touristiques et des clichés de carte postale. Plus de quarante ans après son premier essai, Takis Candilis, longtemps chef d’orchestre des programmes chez TF1 et France TV, a été bien inspiré de retourner derrière la caméra, pour ce film qui fait écho à son histoire personnelle. Touchant, sensible et profond.

Une belle histoire qui dévoile le cœur d un homme.
Une invitation au voyage intérieure pour chacun ou se mêle son histoire, les siens, les liens et le partage avec une pudeur et une subtilité qui ouvre à réfléchir sur la sincérité, a ce qui nous permet d avancer pour vivre debout en mouvement animé des bonnes et saintes raisons ...
Authentique et vrai le sens d une vie pour que chacun se plaise à ce voyage pour se chercher et se trouver en fin.
Bravo pour ce beau moment ,
R