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    Sick Of Myself
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    81 critiques spectateurs

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    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    288 abonnés 3 115 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 novembre 2024
    Excellent film que ce 'Sick of myself' !! Au début, on se dit qu'on a affaire à un énième film de bobo mais en fait quand l'intrigue se met en place, on ne peut plus en rater une miette ! Le cinéma & le chiqué que fait la fille pour se rendre intéressante est super drole mais quand les choses se retournent contre elle, c'est encore meilleur car là ca devient carrément gênant et moi, j'ai pris mon pied comme rarement devant un film tant ça m'a tour à tour embarrassé et amusé ! Une très belle réussite norvégienne !
    Jean-Charles ECHARD
    Jean-Charles ECHARD

    1 abonné 237 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 octobre 2024
    Un scénario qui change des poncifs habituels : comment se mettre sur le devant de la scène en se détruisant. Bref une vision plutôt noire de notre époque mais sans jamais tomber dans la facilité ni dans le glauque
    Et l'interprétation est très juste
    Une pépite nordique à découvrir
    Fabien Sorrant
    Fabien Sorrant

    42 abonnés 1 301 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 septembre 2024
    Un très beau drame norvégien sur les maladies mentales et imaginaires aggravées à cause de la drogue et de la dépendance .
    Morgane E.
    Morgane E.

    6 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 juin 2024
    Excellent film sur l'"époque". Prétendant suivre l'évolution dramatique d'une narcissique, le film dépeint en fait le narcissisme d'une époque. C'est très bien vu. Les situations sonnent (malheureusement) très juste. C'est sensé être satirique mais notre époque est si malade que c'est assez réaliste, même si on préférerait que ça ne le soit pas...
    Qui est le plus fou, le plus malade, le plus malsain: cette narcissique ou tous ces gens de son entourage qui se servent d'elle ou, au mieux et dans de rares cas, sont conscients de sa maladie mais décident de la juger, la laisser couler et éventuellement l'enfoncer ? Bref, notre époque ne serait elle pas narcissique ? Question abordée avec style et justesse par ce film, suffisamment humble pour, en plus, ne pas nous ennuyer...
    Mister_Ed
    Mister_Ed

    3 abonnés 129 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 mai 2024
    Film honorable, sujet narcissisme 2.0 déjà traité dans pas mal de films, mais le traitement est original. Film pas trop long 1h37, amplement suffisant pour faire le tour du sujet. Divertissant à regarder.
    Hotinhere
    Hotinhere

    553 abonnés 4 961 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 mai 2024
    Une fable narcissique grinçante mais trop malaisante et tournant rapidement en rond en dépit d’un début emballant.
    Marc L.
    Marc L.

    44 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 avril 2024
    Intuitivement, si je n’avais pas pris la peine de me renseigner, j’aurais pu croire qu’il s’agissait d’un film de l’Autrichien Ulrich Seidl, le plus misanthrope des cinéastes.. Reste que Kristoffer Borgli n’aime visiblement pas beaucoup les gens non plus. Signe vit dans l’ombre de son compagnon Thomas, artiste narcissique et bouffi d’égo qui vole des meubles pour en faire des œuvres d’art. Frustrée, elle tente tant bien que mal d’attirer l’attention sur elle mais sans succès…jusqu’au jour où elle découvre un médicament russe dont la consommation abusive cause d’horribles lésions cutanées. Elle décide donc consciemment de le surdoser et, faute de pouvoir obtenir la compassion de Thomas, de mettre son visage défiguré en scène sur les réseaux sociaux. ‘Sick of myself’ est le genre de film qu’on regarde fixement, un peu incrédule et totalement mal à l’aise, parce qu’il s’agit de son unique objectif : tendre un miroir à peine déformant au spectateur, en tant que représentant de la société dans lequel il vit, et lui répéter à quel point il est moche. Tyrannie des réseaux sociaux, obsession de la popularité, solitude égocentrique, superficialité de l’art et médiocrité du crédo esthétique bourgeois, inversion des valeurs érigée au rang de démarche, mercantilisation cynique du handicap,...tout le monde en prend pour son grade. Les personnages sont immondes, presque sans exception, et je ne parle pas uniquement de tares physiques. ‘Sick of myself’ est un film sombre, déprimant, avec cette absence de mesure dans la négativité qui est propre aux Scandinaves. On ne peut même pas le rembarrer en prétextant qu’il s’agit d’une caricature grossière car on sait confusément que si Kristoffer Borgli force le trait, ce n’est pas de beaucoup. Vous aimez gratter vos croûtes, ressasser et ressasser encore l’idée selon laquelle le monde est horrible et sans espoir ? Faites une petite pause, vous l’avez bien mérité : pendant une heure trente, ‘Sick of myself’ va les gratter à votre place.
    chloé V.
    chloé V.

    123 abonnés 211 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 avril 2024
    Aussi déstabilisant qu'enthousiasmant, difficile de se faire un avis à chaud. Drôle, cynique et sarcastique, le film dépeint une société d'artistes (raté) englués dans le narcissisme et l'égotrip. Il manque une réelle dimension pour s'attacher pleinement aux perso et ne pas rester froid alors que certaines scènes sont du génie (la séance photo au musée par exemple)
    moket
    moket

    528 abonnés 4 332 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 avril 2024
    Cynique, caustique et terriblement malaisant, ce film va très loin pour dénoncer les dérives de la société, le besoin maladif d'attention et de reconnaissance, de gloire. Inclassable, le film passe de la comédie noire au cinéma d'horreur.
    Valégri75
    Valégri75

    2 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 avril 2024
    « Le moi est haïssable » disait Pascal. Excellente satire de l’égocentrisme contemporain, qui met en lumière la folie du Moi. Très bon film.
    Heloise
    Heloise

    2 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 avril 2024
    La question posée est intéressante. Comment braquer l’attention des gens sur soi lorsqu’on est dépourvu de talent ou d’une quelconque qualité ? C’est d’actualité comme sujet. La réponse qu’apporte ce film semble facile et toute trouvée : être atteint d’une maladie rarissime.

    Il se passe des choses mais le rythme s’étire malgré tout. Les personnages sont des clichés sur pattes. L’ambiance est clinique, on oscille sans transition entre réalité fade et élucubrations mentales écœurantes. Néanmoins, cela fait peut-être le charme de ce style et les retombées de la décision de Signe, personnage principal, donnent matière à réflexion.
    Fenna Baouz
    Fenna Baouz

    2 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 avril 2024
    Je suis assez surprise par le fait qu'aucun commentaire ne mentionne le syndrome de munchausen, la pathomimie ou le trouble factice. Ce film est pourtant bien l'histoire d'une jeune femme qui souffre de cette pathologie. Comme tout trouble psychologique, il reflète les structures de notre société, ici individualiste. Comment ne pas voir que cette jeune femme, au-delà de son besoin pathologique d'attention, a également besoin d'être aimée, que sa course est également une pulsion morbide et désespérée, pour se sentir vraiment vivante dans une société cruelle et indifférente, dont elle est la victime paroxystique?

    Je pense que ce film nous invite à cette réflexion au delà du ton drolatique qu'il peut prendre.
    GéDéon
    GéDéon

    85 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 mars 2024
    Est-ce que le cinéma scandinave apprécie particulièrement la provocation et l’exploration du narcissisme absolu ? Dans la lignée de « Sans filtre » du suédois Ruben Östlund, ce film du réalisateur norvégien Kristoffer Borgli, sorti en 2022, s’inscrit pleinement dans ce registre. Afin d’attirer l’attention sur elle, une jeune femme ingurgite des produits chimiques dévastateurs pour son apparence physique. Avec un humour glacial, le récit tourne en dérision la société moderne où individualisme, culte de la personnalité et désir de réussir deviennent des valeurs glorifiantes. Cela crée des personnages outrancièrement antipathiques dont on ne peut que se réjouir des malheurs qui leur arrivent. Bref, un long-métrage dérangeant qui n’hésite pas à lorgner vers le malsain.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    316 abonnés 2 974 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 mars 2024
    Jusqu'où est on prêt à aller pour attirer l'attention sur soi lorsque l'on se sent de côté? Entre trouble de la personnalité histrionique et schizophrénie cette étude de caractère pousse le curseur assez loin. Ainsi, dans cette escalade dans la pathologie, avec l'intervention de médias complaisants et la concurrence malsaine dans le couple, le malaise envahi en permanence le spectateur. Évidemment, il y a toujours un prix à payer. Passé le constat, ce drame n'est pas exempt de quelques défauts.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 151 abonnés 5 135 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 mars 2024
    Cette « fille malade » a vraiment tout pour déplaire.
    Et ce n’est pas au film vraiment que j’en veux, c’est à cette peinture de la société d’aujourd’hui où se montrer aux autres devient une vraie maladie contagieuse.
    Finalement le film ne fait rien de mal, il témoigne juste. Alors bravo pour le film mais 0 pointé pour les travers des hommes qui feraient mieux de guérir
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