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chrischambers86
14 081 abonnés
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4,0
Publiée le 28 décembre 2018
L'un des films cultes des 80's avec un couple d'acteurs lègendaire du cinèma amèricain! Le "Nine 1/2 Weeks" d'Adrian Lyne rèussit tout de même à être plus excitant que le "Fifty Shades of Grey" de Sam Taylor-Johnson, ce qui a vrai dire n'a rien de surprenant! L'ensemble, très soignè, joue la carte d'un rètro sophistiquè sur fond d'èrotisme soft (comme marcher à quatre pattes sur le parquet) et de sèduction aussi! Et ce n'est pas le moindre des mèrites de l'art de Lyne que de se mettre en retrait par rapport à son sujet! il nous l'avait dèjà prouvè de belle façon avec son second long-mètrage, "Flashdance", il nous le confirme au centuple avec "Nine 1/2 Weeks" même si son film suivant, "Fatal Attraction", restera son meilleur tour de force! La rencontre charnelle du couple Mickey Rourke-Kim Basinger tient haut la main ses promesses et les scènes de sexe arrivent souvent à crèer une ambiance vraiment torride!spoiler: Particulièrement celle où Elizabeth / Basinger goûte à plusieurs aliments concoctès par John / Rourke près d'un frigidaire ; celle où le couple fait l'amour sous la pluie dans une ruelle sordide ; et bien sûr quand Basinger fait un strip-tease à Rourke sur le tube planètaire de Joe Cocker, « You Can Leave Your Hat On » . On aurait d'ailleurs tort de ne pas citer le superbe « Slave to Love » de Bryan Ferry injustement èclipsè par la chanson de Cocker! Un essentiel...
Un peu peinée par le peu de critiques de spectateurs et par la note générale très moyenne accordées à ce film, j’ai envie de le "réhabiliter", bien au-delà de sa réputation sexy et frivole. Tout d’abord, il faut dire qu’Adrian Lyne sait créer de belles ambiances, parfois génialement envoûtantes et mystérieuses. Comment? Grâce à la photographie et à la B.O., très "eighties" donc particulièrement esthétiques. Il y a des scènes magnifiques comme celle de Liz seule devant une séance de diapos de splendides tableaux ou encore celles où le temps semble suspendu, notamment lors du cocktail d’expo et pendant la rencontre avec le peintre solitaire vivant à la campagne. D’ailleurs, que dire de Kim Basinger si ce n’est qu’elle joue magnifiquement bien, qu’elle apporte -en plus de sa beauté et de sa sensualité bien sûr- beaucoup de sensibilité et d’émotion à son personnage, au point de paraître tour à tour sincèrement émerveillée et triste...Quant à Mickey Rourke, il ne présente pas l’interprétation du siècle mais son jeu reste correct et il offre très bien sa belle gueule et son sadisme à la caméra, donc que demander de plus...Enfin, j’ajouterai que ce film n’a pas de "happy end", et que scènes "joviales" et scènes mélancoliques se succèdent sans fausse note pour donner une impression juste sur cette relation hors-normes...Ce qui donne une touche un brin plus profonde à l’ensemble...Un ensemble qui n’est pas qu’une aventure sexuelle "fun" et insolite, mais qui s’avère aussi être une histoire d’amour douloureuse. Donc, même s’il n’a rien d'intellectuel ou d’ultra profond non plus, "9 semaines et demi" est bien plus que "le film sexy avec le strip-tease culte de Kim Basinger", tout n’est pas à jeter (contrairement à ce que prétendent certains), et le travail du point de vue cinématographique est indéniable. Les esthètes et les fans des années 80 seront particulièrement ravis. A redécouvrir!
C'est marrant... quand je lis les critiques de ce film, j'ai l'impression qu'un nombre impressionnant de spectateurs n'ont pas compris l'histoire. "Nunuche, érotique des 80'..." La vache! Je pense que lire le livre dont ce film est tiré pourrait aider certains à comprendre quand même toute sa profondeur. On est sur l'histoire d'une relation hyper toxique, une histoire de domination, et la question "jusqu'où peut-on aller" se pose clairement. Certes, je ne crie pas au chef-d'oeuvre du tout, mais étant donné qu'il s'agit d'une histoire vraie (celle du livre en tout cas), je trouve que 9 semaines et demi mériterait un peu plus de respect. Et puis, il faut profiter de l'époque où Mickey Rourke était absolument canon! Quoi? C'est vrai, non...
Un film culte de chez culte des années 80 qui nous marquera à jamais. C'est superbement réalisé et la bande son est géniale avec la très érotique et mémorable chanson de Joe Cocker "you can leave you hat on". Un hymne à la sensualité et l'amour passionnel. Un pur bonheur.
Du début à la fin j' ai trouvé ce film mauvais, à la réputation surfaite à l' époque de sa sortie uniquement à cause de scènes érotiques avec Kim Basinger qui n' ont rien de particulier artistiquement. Je me suis même un peu forcé à le regarder jusqu' au bout entre des scènes grotesques, les jeux pervers du personnage de Rourke et les réactions de gamine du personnage de Basinger. J' ai d' autant du mal à trouver quelque chose d' intéressant dans ce film qu' à aucun moment l' histoire de cette relation m' a paru émouvante.
Ça commence très mal, et pourtant, ô miracle, Lyne en réalité nous conte le drame éternel : celui de la pureté confrontée â la cruauté du monde. Mais la pureté jamais ne plie, toujours surnage même quand on veut l'avilir, triomphe et s'en va, devant le vice malheureux et à genoux - transfiguré par l'amour. Et ce sont deux magnifiques acteurs qui nous font face.
Mise à part ce que j'ai envie d'appeler ironiquement un "accident de parcours" avec le très bon "L'Échelle de Jacob", Adrian Lyne n'a fait que cumuler les films les plus vides, les plus tape-à-l’œil, les plus inintéressants parmi le cinéma américain des années 80 et 90. Dans cette catégorie, je demande "9 semaines ½". Pour moi, ce film se résumait jusqu'ici à la séquence où Kim Basinger fait une espèce de strip-tease avec un téléphone devant un Mickey Rourke amusé sur la chanson de Joe Cocker "You Can Leave Your Hat On". J'ai voulu aller voir plus loin en regardant le film en entier. C'est dommage car c'est la seule scène vaguement intéressante d'un ensemble ben... vide, tape-à-l’œil et inintéressant. En fait, c'est juste une succession d'images pseudo-érotiques avec un esthétisme très marqué eighties, sans le moindre approfondissement sur le plan de l'intrigue ou sur celui des personnages. La seule chose qu'il y a de sulfureux dans ce film soi-disant sulfureux c'est l'ennui qu'il procure...
Le film d'Adrian LYNE collectionne les points négatifs. "9 semaines 1/2" dispose d'une histoire grotesque et d'une mise en scène hasardeuse. Le duo ROURKE-BASINGER n'apparaît pas crédible pour un sou. Il n'y aucune alchimie entre les deux acteurs. Et pour finir, les scènes érotiques ne parviennent pas à relever l'intérêt de ce thriller psychologique ennuyant et inintéressant.
Que reste-t-il du film culte d’Adrian Lyne presque 30 ans plus tard? A vrai dire, pas grand-chose. Cette romance improbable saupoudrée de jeux érotiques est filmée de manière beaucoup trop lisse pour être réellement excitante. Ça fleure bon les années 80, la frivolité et l’argent roi. Reste un duo d’acteur talentueux (Mickey Rourke en homme d’affaire mystérieux et Kim Basinger en cruche sensuelle), une bande originale sympa et quelques scènes qui marquent les esprits (le frigo, le striptease…).
Kim Basinger séduit Mickey Rourke !!! Avec la scène torride de la cuisine avec la fraise et l'olive parodié dans le premier Hot Shots !!! Puis la scène de strip-tease !!! Par le réalisateur de Flashdance !!! Culte !!!
La photo est belle, le couple Rourke/Basinger fonctionne bien, cette comédie romantico-érotique vaut plus que ce qu'elle laisse transparaître. Elle parle surtout d'un amour impossible et d'une imcompréhension de deux êtres pourtant semblables dans leurs désirs.
Nan mais vous êtes sérieux avec ce nanar là ? J'n'ai jamais vu une histoire aussi molle (à part peut-être dans un Woody Allen), aussi invraisemblable... aussi nulle en clair. Nan vraiment, j'n'ai pas du tout aimé, j'me suis même arrêtée à la moitié. Tout le monde connaît ce film grâce à la scène sur la musique de Joe Cocker (la seule potable du film), et je ne voulais pas mourir bête, mais v'là, j'aurais pu passer l'heure de visionnage de cette bouse de vache à regarder un chef d'oeuvre ! Remboursée !
Un scénario qui tient en une ligne. Une ambiance particulière, tantôt romantique et tantôt malsaine. Des vêtements à hurler de rire, surtout ceux de Kim Basinger. L'impression finale est très étrange, on a du mal à croire que le film se finit ainsi, mais prendre le spectateur à contre-pied est bien sûr louable. Deux étoiles car je trouve que le film tombe dans le ridicule et dans le désagréable à partir de la 60e minute, et parce que trouve que ce scénario creux fait pitié.
Un beau film, très agréable pour les yeux. L'ambiance est sympathique. On aurait voulu que les capacités érotiques de Kim soient plus exploitées. Cette fille a une sensualité phénoménale, qui aurait méritée un développement plus conséquent. 9 semaines 1/2 est cependant un film érotique culte, un film sex symbolique des regrettées années 80. Si Mickey Rourke avait été remplacé par Billy Idol ou Iggy Pop dans le role du pervers, le film aurait pu etre du domaine du géni !