Anecdotes du film Les Gardiens du climat

Les Gardiens du climat

Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Les Gardiens du climat" et de son tournage !

Un « docu-comédie »

Avec ce "docu-comédie", Erik Fretel a voulu montrer que le documentaire et l'écologie ne sont pas des sujets démoralisants : "Ma formule magique c’est l’humour : un message sérieux enrobé d’humour. Offrir au public de passer un bon moment devant un film divertissant. La note humoristique joue un rôle pour faciliter la compréhension des idées délivrées et renforcer le message sérieux, ancré sur un fond rigoureux."

"J’adore la science-fiction. « Les gardiens du climat » recourt à beaucoup de techniques : drone, images de synthèse, effets spéciaux. L’esthétique et l’esprit cinéma sont au service du message. Ce message s’adresse à notre cerveau rationnel mais aussi à nos sentiments. La force de l’émotion que le film doit stimuler en chacun de nous doit contribuer à aider à passer à l’action.

"L’objectif est que le spectateur sorte de la projection avec le sourire, et surtout l’envie d’agir comme les super héros ! Loin d'être un documentaire élitiste, le film doit séduire le grand public qu’il soit adulte ou collégien, lycéen... Les enjeux du changement climatique sont trop importants pour n'être perçus que par un public restreint et souvent déjà convaincu", développe le metteur en scène.

Petit imprévu !

Le lendemain du tournage de la scène de combat, Erik Fretel a dû faire un tour chez l’ostéopathe...

Note d'intention

"L’Homme a connaissance du phénomène du changement climatique en cours, il en connaît ses causes, il connaît les conséquences probables et dramatiques de ce bouleversement, il connaît les solutions à apporter au phénomène et, pourtant, il n’agit pas en conséquence."

"Qu’est-ce qui le prédispose à cette attitude ? Sur quel levier faut-il agir pour inverser cette tendance? Quelles sont les actions de grande envergure (politiques, économiques, sociales, techniques, ...) à mettre en place (... pour sauver l’humanité) ? Quels sont les moyens à déployer pour assurer ces actions et à quelle échelle devons-nous agir ?"

"En Normandie, des actions d’envergure sont déjà en place, viables et vont dans le bon sens. Il faut ainsi les mettre en avant et les développer, s’en inspirer, voire les dupliquer à grande échelle, pour obtenir des résultats probants. Ces actions, des personnes, des voix les incarnent."

"Le changement est possible. Les gardiens du climat nous le montrent !"

Biographie express du réalisateur

« J’irai revoir ma Normandie » est un refrain bien connu du réalisateur Erik Fretel, originaire d’Alençon. Ses études d’agronomie et environnement au lycée agricole de Sées ne sont pas sans avoir influencé l’orientation de ses documentaires, à commencer par son premier opus « Quand la nature reprend le dessus ».

Suivront « Pesticides mon amour », « Vélotopia », « Bye Bye pesticides » et « Heulà ! ça chauffe ! ». Des titres suggestifs pour des « docu-comédies » comme les baptise le réalisateur lui-même. Des sujets sérieux mais dont le traitement se veut avant tout pédagogue avec deux ingrédients qui contribuent à l’identité si personnelle de ses films: l’humain et l’humour.

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