Votre avis sur Mickey 17 ?
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"Mickey 17", réalisé par Bong Joon-ho, est une comédie de science-fiction qui explore des thèmes tels que la clonage, la colonisation et la notion d'identité. Le film suit Mickey Barnes, interprété par Robert Pattinson, un "remplaçable" chargé de missions périlleuses sur la planète Niflheim, où chaque mort est suivie d'une réimpression de sa conscience dans un nouveau corps.
Le film se distingue par son mélange de genres, passant de la comédie absurde à l'horreur, souvent au sein d'une même scène. Cette approche reflète les obsessions habituelles de Bong Joon-ho, rappelant des œuvres comme "Snowpiercer" et "Parasite". Cependant, cette fluctuation constante m'a parfois déstabilisé et a nui à la cohérence narrative.
Robert Pattinson offre une performance notable en incarnant les différentes versions de Mickey, apportant une profondeur à un personnage confronté à sa propre duplicité. Pourtant, malgré des idées intrigantes sur le capitalisme et la technologie, le film me semble parfois surchargé et manque de focalisation, ce qui dilue son impact satirique.
Visuellement, "Mickey 17" m'impressionne par ses effets spéciaux et la représentation du monde glacé de Niflheim. Néanmoins, le film souffre d'une écriture inégale et d'un développement insuffisant de certains personnages secondaires, rendant l'ensemble moins percutant que les précédentes réalisations de Bong Joon-ho.
"Mickey 17" est une œuvre ambitieuse qui, malgré ses défauts, offre une réflexion intéressante sur la condition humaine et la notion de remplacement dans une société technologiquement avancée. Cependant, l'exécution inégale et le manque de cohésion narrative limitent son efficacité globale.
Le film se distingue par son mélange de genres, passant de la comédie absurde à l'horreur, souvent au sein d'une même scène. Cette approche reflète les obsessions habituelles de Bong Joon-ho, rappelant des œuvres comme "Snowpiercer" et "Parasite". Cependant, cette fluctuation constante m'a parfois déstabilisé et a nui à la cohérence narrative.
Robert Pattinson offre une performance notable en incarnant les différentes versions de Mickey, apportant une profondeur à un personnage confronté à sa propre duplicité. Pourtant, malgré des idées intrigantes sur le capitalisme et la technologie, le film me semble parfois surchargé et manque de focalisation, ce qui dilue son impact satirique.
Visuellement, "Mickey 17" m'impressionne par ses effets spéciaux et la représentation du monde glacé de Niflheim. Néanmoins, le film souffre d'une écriture inégale et d'un développement insuffisant de certains personnages secondaires, rendant l'ensemble moins percutant que les précédentes réalisations de Bong Joon-ho.
"Mickey 17" est une œuvre ambitieuse qui, malgré ses défauts, offre une réflexion intéressante sur la condition humaine et la notion de remplacement dans une société technologiquement avancée. Cependant, l'exécution inégale et le manque de cohésion narrative limitent son efficacité globale.
Mickey 17 : Une satire sci-fi captivante, mais américanisée
Points forts :
• Un concept innovant : Un scénario original et intelligent, qui apporte une idée fraîche à la science-fiction 🚀
• Bong Joon-Ho à la manœuvre : Une satire politique efficace, intégrée dans une comédie sci-fi bien maîtrisée 🎬
• Pattinson impressionnant : Il réussit avec brio à incarner deux personnalités différentes dans les mêmes scènes 🎭
• Un humour percutant : Les blagues fonctionnent parfaitement 😂
Points faibles :
• Une identité un peu effacée : J’ai l’impression que la vision artistique de Bong Joon-Ho a été écrasée par la production américaine. Mis à part la politique, ce film ne ressemble pas totalement à son style 🎥
• Une légère longueur : Quelques moments où on sent le temps passer ⏳
Note : 7/10
Il faut absolument que je découvre d’autres films de Bong Joon-Ho, notamment Parasite !
Points forts :
• Un concept innovant : Un scénario original et intelligent, qui apporte une idée fraîche à la science-fiction 🚀
• Bong Joon-Ho à la manœuvre : Une satire politique efficace, intégrée dans une comédie sci-fi bien maîtrisée 🎬
• Pattinson impressionnant : Il réussit avec brio à incarner deux personnalités différentes dans les mêmes scènes 🎭
• Un humour percutant : Les blagues fonctionnent parfaitement 😂
Points faibles :
• Une identité un peu effacée : J’ai l’impression que la vision artistique de Bong Joon-Ho a été écrasée par la production américaine. Mis à part la politique, ce film ne ressemble pas totalement à son style 🎥
• Une légère longueur : Quelques moments où on sent le temps passer ⏳
Note : 7/10
Il faut absolument que je découvre d’autres films de Bong Joon-Ho, notamment Parasite !
Fantasia
Après l'immense succès de Parasite sorti il y a quasiment 6 ans Bong Joon-ho revient enfin sur nos écrans et aux States avec sa satire futuriste Mickey 17
Comme beaucoup de monde, il y avait énormément d'attentes sur ce film et je ne saurais pas vous dire clairement si j'ai apprécié ou non. À la première moitié du film, j'ai eu du mal à rentrer dedans, c'était un peu interminable, je n'en voyais pas le bout, également je n'en pouvais plus de cette voix off, je n'attendais qu'une chose c'était de rentrer dans le feu de l'action. En plus, cela est considéré comme une comédie avec une dose d'humour noir, j'avoue que j'ai très peu ri durant la projection. Cependant, il faut bien l'avouer que sur l'autre moitié du film est assez dingo et imprévisible, je m'attendais à une multiplication exponentielle des clones de Mickey et ce ne fut pas le cas mais j'aime tout autant la version de Bong Joon-ho. Je dirais même qu'il aurait encore pu pousser le curseur encore plus haut, c'était un spectacle, un show, un feu d'artifice en gros c'était la mi-temps du Super Bowl qu'on voulait voir donc ça manque un peu de folie.
Au contraire du casting qui lui est en folie bon Robert Pattinson n'a plus rien à prouver il est fantastique et je suis d'accord avec les propos de Park Chan-wook, Pattinson mérite 2 nominations aux Oscars. Naomi Ackle est géniale, le duo Ruffalo/Collette est fantastique et tellement révélatrice de la débilité qu'on peut observer aujourd'hui chez certains dirigeants. Anamaria Vartolomei qui est super certes mais son personnage est un peu inutile, pardonnez-moi.
Au niveau de la technique, à la photo c'est super, rien à dire Monsieur Khondji
Au niveau de la musique d'ambiance, rien à dire non plus.
Au niveau du son, rien à dire encore.
Beau travail !
C'est un film qui réussit à parler de notre monde alors que son plot lui se passe à des années lumières de notre temps et de notre Terre. Au delà d'être un film contre le fascisme, le capitalisme dans sa version terminale, c'est aussi un film qui nous questionne sur notre rapport à l'écologie (représenté par les rampants), aux médias (représenté par l'assistant de Marshall), la société du spectacle (représenté par le couple Ruffalo/Collette) et à l'individualisme (représenté par le personnage de Steven Yeun).
J'ai l'impression que le film, au final, est une télé-réalité à la manière bon pas totalement d'un Truman Show. On a envoyé des humains à l'autre bout de la galaxie et on voit, on observe comment ils se débrouillent, c'est presque de l'ordre de l'étude scientifique. Ce qui me fait dire ça ce sont les mouvements de caméra. Vous me corrigerez si je me trompe mais il n'y a quasiment pas de caméra épaule durant tout le film, ça reste de la caméra sur pied qui se balade de temps en temps sur travelling. Il y a parfois des pano assez vifs comme une caméra de télévision qui veut capturer chaque instant de ce show. Les personnages savent qu'ils sont filmés, chacun ayant leur histoire folle et ils en font tous des caisses. C'est une interprétation assez lunaire, je vous avoue mais bon elle me plaît et ça reste un peu en lien avec l'un des propos du film sur cette course à la communication.
Bref, Mickey 17 pas si mal.
Après l'immense succès de Parasite sorti il y a quasiment 6 ans Bong Joon-ho revient enfin sur nos écrans et aux States avec sa satire futuriste Mickey 17
Comme beaucoup de monde, il y avait énormément d'attentes sur ce film et je ne saurais pas vous dire clairement si j'ai apprécié ou non. À la première moitié du film, j'ai eu du mal à rentrer dedans, c'était un peu interminable, je n'en voyais pas le bout, également je n'en pouvais plus de cette voix off, je n'attendais qu'une chose c'était de rentrer dans le feu de l'action. En plus, cela est considéré comme une comédie avec une dose d'humour noir, j'avoue que j'ai très peu ri durant la projection. Cependant, il faut bien l'avouer que sur l'autre moitié du film est assez dingo et imprévisible, je m'attendais à une multiplication exponentielle des clones de Mickey et ce ne fut pas le cas mais j'aime tout autant la version de Bong Joon-ho. Je dirais même qu'il aurait encore pu pousser le curseur encore plus haut, c'était un spectacle, un show, un feu d'artifice en gros c'était la mi-temps du Super Bowl qu'on voulait voir donc ça manque un peu de folie.
Au contraire du casting qui lui est en folie bon Robert Pattinson n'a plus rien à prouver il est fantastique et je suis d'accord avec les propos de Park Chan-wook, Pattinson mérite 2 nominations aux Oscars. Naomi Ackle est géniale, le duo Ruffalo/Collette est fantastique et tellement révélatrice de la débilité qu'on peut observer aujourd'hui chez certains dirigeants. Anamaria Vartolomei qui est super certes mais son personnage est un peu inutile, pardonnez-moi.
Au niveau de la technique, à la photo c'est super, rien à dire Monsieur Khondji
Au niveau de la musique d'ambiance, rien à dire non plus.
Au niveau du son, rien à dire encore.
Beau travail !
C'est un film qui réussit à parler de notre monde alors que son plot lui se passe à des années lumières de notre temps et de notre Terre. Au delà d'être un film contre le fascisme, le capitalisme dans sa version terminale, c'est aussi un film qui nous questionne sur notre rapport à l'écologie (représenté par les rampants), aux médias (représenté par l'assistant de Marshall), la société du spectacle (représenté par le couple Ruffalo/Collette) et à l'individualisme (représenté par le personnage de Steven Yeun).
J'ai l'impression que le film, au final, est une télé-réalité à la manière bon pas totalement d'un Truman Show. On a envoyé des humains à l'autre bout de la galaxie et on voit, on observe comment ils se débrouillent, c'est presque de l'ordre de l'étude scientifique. Ce qui me fait dire ça ce sont les mouvements de caméra. Vous me corrigerez si je me trompe mais il n'y a quasiment pas de caméra épaule durant tout le film, ça reste de la caméra sur pied qui se balade de temps en temps sur travelling. Il y a parfois des pano assez vifs comme une caméra de télévision qui veut capturer chaque instant de ce show. Les personnages savent qu'ils sont filmés, chacun ayant leur histoire folle et ils en font tous des caisses. C'est une interprétation assez lunaire, je vous avoue mais bon elle me plaît et ça reste un peu en lien avec l'un des propos du film sur cette course à la communication.
Bref, Mickey 17 pas si mal.
Un film original mais très inspiré de "Edge of tomorrow", Hunger Games et Avatar. Intéressant dans sa réflexion globale.
J'aime :
- l'ovni Bong Joon-Ho
- l'ensemble du casting, notamment Robert Pattinson, Toni Collette, Mark Ruffalo
- la musique et le son
J'aime pas :
- la lenteur scénaristique qui arrive dès la moitié du film
- la fable qui manque son envolée
- l'ovni Bong Joon-Ho
- l'ensemble du casting, notamment Robert Pattinson, Toni Collette, Mark Ruffalo
- la musique et le son
J'aime pas :
- la lenteur scénaristique qui arrive dès la moitié du film
- la fable qui manque son envolée
Le réalisateur Sud-Coréen Bong Joon Ho, connu pour son succès international Parasite (2019), était attendu au tournant. Il revient avec une comédie SF, Mickey 17.
Le pitch : sur une planète en phase de colonisation, Mickey Barnes se tue à la tâche… littéralement ! Car c’est ce qu’exige de lui son entreprise : mourir régulièrement pour gagner sa vie, et être «imprimé» pour une nouvelle vie. D'où son numéro qui augmente...
Une comédie divertissante, une parabole sur les gens «remplaçables» et sur le clonage, un sens permanent de l'exagération, typique du cinéma coréen, et un scénario qui nous tient en haleine durant les 2h17, que demander de plus ? Un poil de subtilité et de philosophie auraient grandit le film, mais on passe un bon moment.
> Plus d’infos culture sur mon Instagram "Les sorties de Philippe"
Le pitch : sur une planète en phase de colonisation, Mickey Barnes se tue à la tâche… littéralement ! Car c’est ce qu’exige de lui son entreprise : mourir régulièrement pour gagner sa vie, et être «imprimé» pour une nouvelle vie. D'où son numéro qui augmente...
Une comédie divertissante, une parabole sur les gens «remplaçables» et sur le clonage, un sens permanent de l'exagération, typique du cinéma coréen, et un scénario qui nous tient en haleine durant les 2h17, que demander de plus ? Un poil de subtilité et de philosophie auraient grandit le film, mais on passe un bon moment.
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Une satire politique qui s'éloigne bien du réalisme social de Parasite mais qui fonctionne aussi. Le réalisateur fourmille d'idées comiques et sur ce film il n'a pas envie de se prendre au sérieux. C'est plutôt réussi même si le film a les défauts de ses qualités, c'est-à-dire que tout est sujet à rire mais je sais que je retiendra pas la moitié des scènes comiques. Même si le film est léger dans la comédie, il propose une vraie réussite visuelle avec des paysages, des décors et même des aliens qualitatifs.
On n’y est pas encore.
Un classique. Bon joon Ho reproduit le même schéma qui a fait son succès. Il met en scène une situation qui pose des questions fondamentales notamment sur le clonage, le pouvoir, la condition humaine entre autres.
Il reproduit comme échappatoire un final délirant pour terminer en happy end qui réjouira les spectateurs.
On peut éprouver une certaine frustration car on ne fait que survoler les sujets intéressants au profit du spectacle. On est sur la voie d’un grand film à chaque fois mais ça accouche d’une œuvre insolente et désinvolte, c’est regrettable.
Un classique. Bon joon Ho reproduit le même schéma qui a fait son succès. Il met en scène une situation qui pose des questions fondamentales notamment sur le clonage, le pouvoir, la condition humaine entre autres.
Il reproduit comme échappatoire un final délirant pour terminer en happy end qui réjouira les spectateurs.
On peut éprouver une certaine frustration car on ne fait que survoler les sujets intéressants au profit du spectacle. On est sur la voie d’un grand film à chaque fois mais ça accouche d’une œuvre insolente et désinvolte, c’est regrettable.
Film plein de promesses, un Dune version critique social aiguisée et drôle, mais qui se pert en longueur et termine en queue de poisson à la happy ending. On est passé à côté de quelque chose qui aurait pu être grand.
Déroutant et inclassable. Ca part un peu dans toutes les directions, des longueurs mais très réussi sur le plan visuel. Entre "Brazil", "Silo", "Dune". Mention spéciale à Robert Pattinson et excellente prestation de Mark Ruffalo et Toni Colette dans leurs rôles de leaders charismatiques et déjantés
Franchement surprenant après Parasites
Film de science fiction satirique et excessif dans les effets, les personnages et la durée, bref en tout
Caricature politique d'une dictature avec des dirigeants finalement plus vrais que nature
Le héros est sympa et les histoires d'amour assez corsées
C'est un vrai film de cinéma avec plein d'effets spéciaux et de trouvailles, assez decousu, et de l'humour
Distrayant mais âmes sensibles s'abstenir
Film de science fiction satirique et excessif dans les effets, les personnages et la durée, bref en tout
Caricature politique d'une dictature avec des dirigeants finalement plus vrais que nature
Le héros est sympa et les histoires d'amour assez corsées
C'est un vrai film de cinéma avec plein d'effets spéciaux et de trouvailles, assez decousu, et de l'humour
Distrayant mais âmes sensibles s'abstenir
Gros manque de subtilité. Je n'aurais pas pensé dire ça d'un film de Bong Joon Ho, mais il a tellement transformé le roman en une farce grossière qu'il en perd son intérêt. C'est une satire politique sans finesse, avec un antagoniste (Marc Ruffalo) tellement caricatural qu'il en devient agaçant, et une histoire tellement manichéenne qu'elle finit par ennuyer. Reste le personnage de Mickey, magnifique loser avec ses questionnements existentiels, admirablement joué par Pattinson.
Un beau sujet de science fiction, mais il manque quelque chose, peut être à cause de l'actualité où l'on découvre tous les jours des personnages dystopiques réels plus délirants que Kenneth Marshall qui est le "méchant" de l'histoire. Un bon moment de cinéma quand même.
Le dernier film du talentueux Bong Joon-ho est une adaptation du roman "Mickey7" d'Edward Ashton. Il met en scène Robert Pattinson dans le rôle de Mickey Barnes, un travailleur jetable dans une expédition de colonisation spatiale, qui est régulièrement cloné après chaque mort lors de missions dangereuses sur la planète Niflheim.
Le réalisateur délivre une copie pertinente et qui refléte les climats politiques et sociaux actuels. Bong Joon-ho retourne à la science-fiction décalée, tout en offrant une critique sociale acerbe.
Mickey 17 est un film ambitieux qui mêle science-fiction, comédie noire et satire sociale. Ceci etant dit, le film manque de cohérence narrative et d'équilibre tonal. J’aprecie grandement l'originalité de l'œuvre, tout en reconnaissant ses imperfections nombreuses.
Reste un premier quart de film grandiose qui à lui seul justifie un visionnage du film.
Le réalisateur délivre une copie pertinente et qui refléte les climats politiques et sociaux actuels. Bong Joon-ho retourne à la science-fiction décalée, tout en offrant une critique sociale acerbe.
Mickey 17 est un film ambitieux qui mêle science-fiction, comédie noire et satire sociale. Ceci etant dit, le film manque de cohérence narrative et d'équilibre tonal. J’aprecie grandement l'originalité de l'œuvre, tout en reconnaissant ses imperfections nombreuses.
Reste un premier quart de film grandiose qui à lui seul justifie un visionnage du film.
Ce film est bien mais pas incroyable surtout avec un humour assez lourd mais l’histoire et prenante et joué avec de bons acteurs.Si on devrait retenir une seul chose ça serait : remplaçable mais pas sacrifiable à méditer.