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    E.T. l'extra-terrestre
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    4,3
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    734 critiques spectateurs

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    Stéphane D
    Stéphane D

    123 abonnés 2 131 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mai 2018
    Je me faisais une joie de redécouvrir ce "chef d'oeuvre" en Blu-Ray UHD mais la déception est grande à tous points de vue : le film a vieilli à tous niveaux (les effets spéciaux sont franchement datés et ces plans sont encore plus bruités que le bruit permanent, pardon, le sacro-saint grain de la pellicule). Le casting est très moyen en dehors de l'incroyable Drew Barrymore (d'ailleurs Elliott a beau crier, pleurer, etc à la fin, un simple plan sur le visage de Drew nous remue les tripes par son authenticité, bravo à Spielberg en tant que directeur d'acteurs).
    Le son DTS:X du Blu-Ray UHD n'apporte rien non plus.
    L'histoire reste gentille malgré tout mais il est peut-être autorisé de déclasser ce "chef d'oeuvre" non?
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    90 abonnés 1 751 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 mai 2018
    Un chef d'oeuvre ! Pas vu depuis longtemps mais aucune ride. D'une émotion incroyable, Spielberg donne raison à l'enfance contre les adultes, à la poésie contre la réalité. C'est aussi un hymne à l'humanité. Un personnage si laid que Spielberg rend si beau par le regard des enfants. E.T c'est aussi une fable, un conte, une légende contemporaine. Bref un bijou !!
    Antoine D.
    Antoine D.

    42 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 mai 2018
    Un jour, un vaisseau spatial se pose sur la Terre, des extra-terrestres analysent le lieu alors qu’un autre s’aventure au delà et se fait traquer par des militaires. Contraints de quitter la Terre en hâte, la créature est abandonnée sur la planète bleue et est recueillie et cachée par Elliott.

    Après Rencontre du troisième type, Spielberg se confronte une nouvelle fois à la science fiction et réalise de nouveau un chef d’œuvre.
    La femme de Harisson Ford de l’époque, Melissa Mathison écrit un scénario touchant.
    Quant à la musique de John Williams, elle embellit chaque scène de l’œuvre.

    ET l’extraterrestre est le film le plus personnel de Steven Spielberg car, enfant, il était anéanti par le divorce de ses parents et s’était créé un ami imaginaire. ET est l’ami imaginaire de Elliott qui tient d’ailleurs son nom de la première et la dernière lettre du prénom du protagoniste.

    Spielberg fait un film pour enfant et filme même à hauteur d’enfant pour renforcer cela. Pour capter tous les enfants, il ne dévoile à aucun moment le nom de famille d’Elliott, le nom d’une ville, ni même un visage connu. De plus, comme dans un cartoon, on ne voit pas un seul visage d’adulte avant la fin du film, à part celui de la mère.
    Ricco92
    Ricco92

    229 abonnés 2 155 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mai 2018
    S’il existe bien un film qui a ému des milliards d’enfants, c’est bien E.T. l’extra-terrestre ! Après Rencontres du troisième type (film sur lequel François Truffaut avait conseillé à Spielberg de tourner un film sur l’’enfance), Steven Spielberg nous présente un être provenant d’une autre planète comme n’étant pas une menace (ce qui était habituellement le cas dans le cinéma américain depuis les années 50) mais comme étant amical.
    Mais contrairement à son précédent film, l’être venu d’un nouveau monde est présent du début à la fin et dégage de l’émotion. E.T. l’extra-terrestre est, en effet, un film profondément humain qui dégage tout du long de l’émotion : celle-ci est tellement présente qu’elle nous fait totalement oublier le brio technique dont fait pourtant preuve le cinéaste (il arrive régulièrement d’entendre parler du travelling compensé et du raccord dans l’axe dans Les Dents de la mer mais jamais de ceux d’E.T. alors que ces techniques y sont également utilisées). Les séquences marquantes sont nombreuses : des liens entre E.T. avec la plante spoiler: (qui fane quand il meurt et qui repousse quand il revient à la vie)
    à la fin très émouvante, sans oublier évidemment la poursuite en vélo qui crée le fameux plan du vélo passant devant la lune (qui servira de logo à Amblin Entertainment, la société de production créée l’année précédente par Spielberg).
    La raison pour laquelle le film touche autant son public est peut-être dû au fait qu’E.T. l’extra-terrestre est peut-être, encore plus que La Liste de Schindler, un film extrêmement personnel pour le cinéaste (ce qu’il a toujours revendiqué). En effet, Steven Spielberg a été très marqué dans son enfance par le divorce de ses parents et pour surmonter cette douleur, il passait son temps à s’imaginer des amis imaginaires. L’œuvre est donc marquée par les éléments de cette enfance : banlieue américaine, difficulté d’Elliott à surmonter la séparation récente de ses parents, mère visiblement dépassée par le fait d’élever seule trois enfants spoiler: (elle laisse seule à la maison sa petite fille âgée de 6 ans quand elle va chercher Elliott à l’école ; elle ne remarque rien des dégâts que cause E.T. …)
    , le refuge d’Elliott dans son amitié avec un être surnaturel spoiler: (au point que les émotions de l’un soient ressenties par l’autre)
    … Il n’est donc pas étonnant que Spielberg rende hommage à des œuvres qui l’ont marqué : Elliott possède des figurines Star wars, E.T. croise Yoda et crie "Maison", Elliott reproduit avec une jeune fille de sa classe une scène de L’Homme tranquille que regarde E.T., la mère lit Peter Pan à sa fille (9 ans plus tard, le cinéaste signera Hook ou la revanche du Capitaine Crochet qui est une suite à l’œuvre de James Matthew Barry)…
    À tout cela s’ajoute une interprétation parfaite notamment des enfants Henry Thomas et la très jeune Drew Barrymore, un scénario magnifique, des effets spéciaux éblouissants (toujours convaincants à l’ère du numérique) et une musique faisant partie des plus marquantes de l’histoire du cinéma.
    On souhaite donc que E.T. réussisse à téléphoner à sa maison mais on voudrait en même temps qu’il reste beaucoup plus longtemps avec nous car ses aventures sont un des plus beaux films pour enfants et pour adultes de l’histoire du cinéma. Le public ne s’est d’ailleurs pas trompé en en faisant le plus gros succès de l’histoire du cinéma jusqu’à la sortie de Jurassic Park d’un certain Steven Spielberg. Un pur chef-d’œuvre !
    tyrionFL
    tyrionFL

    22 abonnés 384 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mai 2018
    Un classique de M. Spielberg.
    Pas grand chose à rajouter de plus si ce n'est que c'est un film pour enfants magnifique qui malgré son âge à bien vieilli, l'ambiance eighties à laquelle s'ajoute la superbe musique de J.Williams nous font rentrer dans cette belle histoire d'amitié inter espèce ou le petit Elliot trouve l'affection dont il avait besoin dans cet étrange père de substitution que constitue E.T .

    Ce film nous fait rêver, il est beau, bien écrit, drôle et bien rythmé .
    Un film familial d'un des plus grands monsieur du cinéma qu'il faut au moins avoir vu une fois dans sa vie voire beaucoup plus.
    Anthéa Q.
    Anthéa Q.

    17 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 avril 2018
    Toujours aussi magique
    L'histoire nous transporte totalement, les enfants sont attendrissants, les acteurs, petits et grands, sont excellents, E.T. Est craquant... et l'ambiance des années 80 avec les bmx et looks me séduit!
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    324 abonnés 2 995 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 avril 2018
    Spielberg est lun de ces réalisateurs qui sait le mieux faire des enfants les héros d'une intrigue qui côtoie le merveilleux. Un divertissement fantastique et familial qui réveille justement notre âme d'enfance, où l'émotion est au rendez vous. Et, un plaidoyer pour l'humanité et à la tolérance face au danger adulte pour un film devenu culte!
    Michel1664
    Michel1664

    21 abonnés 738 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 avril 2018
    C'est franchement mignon et poétique. Le début est peut-être un peu lent. La deuxième partie est plus réussie et même émouvante. Ca reste quand même un film plutôt destiné à un jeune publique. Sympa mais pas culte pour moi (et je suis né un peu tard pour qu'il marque ma jeunesse !).
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 avril 2018
    En 1981, Steven Spielberg épuisé par le tournage de "Les Aventuriers de l'Arche Perdue", décide de tourner un "petit film pour les gosses" : l'histoire imaginaire d'un gentil alien égaré sur Terre. S’inspirant du visage d'Einstein et de son propre chat, Carlo Rombalbi, virtuose des effets spéciaux conçoit un E.T qui va bouleverser la planète entière. Et le petit film a tout d'un grand. Poétique, touchant, bouleversant... Mention pour la superbe partition du maestro John Williams. Inoubliable Chef d'oeuvre.
    Hugo C.
    Hugo C.

    7 abonnés 88 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 mars 2018
    Chef d'oeuvre fascinant, l'extraterrestre mignon et l'enfant unique. Une aventure inoubliable ! Bravo à Steven Spielberg avant le succès international.
    Vrakar
    Vrakar

    42 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mars 2018
    Oui "E.T."est bourré d'incohérences, oui c'est un concert de clichés, oui les effets spéciaux ont pris un sérieux coup de vieux. Mais ça reste un de ces films qui a fait rêver (et fait encore rêver) des millions d'enfants (et grands enfants) à travers le monde. Bref, un film culte des 80's. La réalisation et les mises en scène ont la marque de fabrique des meilleurs Spielberg ; La photographie et les contrastes sont bien travaillés ; La bande son de John Williams, dans la même veine que "Star Wars", bonifie à merveille les scènes d'action. Et que dire de Drew Barrymore (aka Gertie) ? Spielberg et son entourage ont dû lui faire croire que E.T. était réel tellement elle transmet d'émotions par rapport aux autres acteurs. Mention spéciale au double de Henry Thomas (Elliott) qui se prend une belle gamelle vers 1:42:20, dans la version bluray. A déguster sans modération.
    Enzo Gagliardi-Kubrick-Scorsese-Flora Nolan
    Enzo Gagliardi-Kubrick-Scorsese-Flora Nolan

    8 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 février 2018
    Avec E.T., Spielberg nous signe un chef d'oeuvre remplit d'amour et de poésie. En effet, durant son voyage sur Terre, nous allons passer par toutes les émotions ! Des larmes pour la dernière partie du film aux rires qui nous procure cet extra terrestre qui va découvrir notre planète, c'est ça la magie d'ET ! De plus, la mise en scène est remarquable, avec une photographie très intelligente et travaillée qui met une ambiance très spéciale entre mystère et fascination (on a beaucoup de contre jour et donc un jeu d'ombre mêlé à la nuit et les lumières extra terrestres). Celle ci nous permet de nous tenir en halène tant elle met dans une ambiance spéciale. Avec des scènes mythiques comme l'oubli d'ET sur Terre, le rencontre entre Eliott et ET dans la cabane du jardin, le doigt levé vers le ciel, la fin émouvante aux larmes, la libération des grenouilles, ET apprenant à parler, en passant par le vélo volant devant la lune jusqu'au fameux "ET téléphone maison", le tout accompagné d'un BO du grand John Willams, le film nous transporte dans un compte aux multiples messages sur l’humanité, les rapports avec autrui et les sentiments humains.
    Sans oublier le fait qu'il conviendra aux petits comme aux grands avec ses différentes lectures possibles... Inoubliable
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 3 février 2018
    "E.T l'extra-terrestre" tout début des effet spéciaux qui ont bien des défaut mais un grand classique à ne pas manquer évidemment sa fait toujours plaisir de regarder ce classique à la télé pour les période de noël
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    135 abonnés 1 630 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 janvier 2018
    Un de mes premiers souvenirs cinématographiques. Dans le petit ciné près de chez moi, on attendait dans la file d’attente en voyant des enfants en pleurs sortir de la séance précédente. Et le merchandising balbutiant à l’époque fonctionna plein tube ; on voulait tous notre figurine E.T. Histoire de transmission, vu avec mon fils, il le classa tout de suite dans ses tous meilleurs films… C’est le signe d’un chef d’œuvre : indémodable.
    La critique de Pr Wicked : « Une silhouette, une musique, et voilà une légende du cinéma qui née. Peu de films ont un tel pouvoir d’évocation aussi puissant que celui d’"E.T". Premier film vraiment personnel de Steven Spielberg qui traite de ses traumatismes d’enfance, c’est grâce à ce mélange de conte de fée et de symbolisme religieux porté au point de vue d’un enfant que le réalisateur passa dans la cours des (très) grands. Un succès planétaire immédiat, peut être un brin infantilisant, mais à la générosité authentique qui marqua les années 80.
    Voilà bien un film emblématique de tout un pan de la carrière de Steven Spielberg.
    On y retrouve la structure de conte de fée qui lui est chère. De « Always », sa fable sur l’au-delà, jusqu’à « A.I. », qui reprend Pinocchio, en passant par « Hook » où il se réapproprie Peter Pan, Spielberg à au centre de son cinéma l’émerveillement enfantin. Il suffit de voir « Jurassic Park »pour comprendre que Spielberg est un grand gosse qui rêve de merveilleux, et d’impossible. Et la scène où la mère d’Eliott raconte l’histoire de Peter pan à Gertie la petite sœur, est là pour en attester.

    Emblématique de la carrière de Spielberg, « E.T. » l’est aussi par le fait que c’est sans doute son film le plus personnel (avec Arrêtes-moi si tu peux). Dedans cet ancien enfant de parents divorcés, qui se rêvait un meilleur ami d’un autre monde, se projette dans le personnage d’Elliot, enfant solitaire de divorcés lui aussi . Ainsi il fait de E.T. un être abandonné loin de sa famille qui à un besoin si viscéral d’amour et d’amitié qu’il établit avec ce petit garçon aux même désirs, tout aussi abandonné que lui, une connexion symbiotique. Si Eliott est fatigué, E.T. s’endort, si E.T est saoul, Eliott titube. Et lorsqu’il se meurt d’être loin des siens , E.T. rompt le lien et Eliott guérit. Même le cœur d’E.T. visible de l’extérieur, se rallume à l’approche du vaisseau mère. Pour Spielberg l’éclatement de la famille, le manque d’amour ou d’amitié, sont synonymes de mort. D’ailleurs Spielberg ne cesse de peupler ses films de familles dysfonctionnelles, de parents séparés, ou décédés.

    Un enfant esseulé qui par définition n’a pas confiance en le monde des adultes. Regardez bien E.T., vous constaterez que les adultes sont tous filmés au niveau des jambes comme dans les vieux Tex Avery, où les adultes n’existent pas. A l’exception de la mère, jusqu’à ce que les scientifiques envahissent la maison familiale, on n’aura vu que leurs jambes. L’intrigue du film est conté caméra proche du sol, à hauteur d’enfants, ce qui renforce le sentiment d’être soit même un membre de la famille.De ce fait on s’attache autant qu’ Eliott à cette créature. Ce qui nous permet de ressentir le même choc lorsque le monde des adultes fait irruption dans ce cocon d’amour. Ces scientifiques, ces adultes, sont l’antithèse de tout l’amour de ce monde d’enfants qu’on nous a donné à voir depuis le début du film.

    "Moi quand je serais grand, je serais petit". S. SPielberg
    Enfin, mais non des moindres, E.T.est sans doute aussi le film le plus ouvertement catholique de Spielberg. Si les Indiana Jones ont tous des artefacts religieux, Always, parle du paradis, ou Jurassic Park pose la question de la création de la vie, E.T. lui est une créature qui incarne littéralement le Christ. Cet être qui n’est qu’amour, à le pouvoir de réaliser des miracles : faire voler, guérir. Quant à sa mort et à sa résurrection dans un linge blanc, là on atteint le somment de la métaphore, jusqu’à ce qu’il remonte finalement au ciel.

    Pour toutes ces raisons, voir E.T. c’est voir la quintessence du film Spielbergien. Bardé de ses traumatismes d’enfant solitaire, de métaphore christique, et construit comme un conte de fée, E.T, même s’il à quelques lenteurs par moments, reste un de ces rares films à vous toucher directement à l’âme, tel un doigt lumineux pointé vers le cœur. « Viens », « reste », « Ouch »
    Mon blog: tout-un-cinema.blogspot.fr
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 janvier 2018
    Un chef d’œuvre émouvant, culte, bouleversant et magique de Steven Spielberg avec une histoire simple mais captivante, une narration parfaitement maîtrisée, une musique inoubliable signée John Williams, des dialogues cultes et un casting très bon.
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