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Votre avis sur Les Vieux fourneaux 2 : bons pour l’asile ?
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Une joyeuse bande de comédiens et c'est presque tout. Le pseudo message envers les migrants ne marche pas , le reste est caricatural , pas un film , plutôt un téléfilm.
Ce n'est pas du cinéma. Avec autant de clichés cela relève plus de la photographie. Ras le bol de ces bons sentiments, de ces scénarios recyclés mais toujours aussi vides, de ces acteurs payés pour s'amuser mais qui ont oublié de jouer.
EH OH! Le cinéma français !! On se réveille! On arrête de gaspiller notre temps, notre argent et les subventions ! Par avance merci.
EH OH! Le cinéma français !! On se réveille! On arrête de gaspiller notre temps, notre argent et les subventions ! Par avance merci.
C’est de nouveau Christophe Duthuron qui est à la réalisation pour cette suite de la comédie Les Vieux fourneaux (2018). Il s’agit d’une adaptation de la BD du même nom écrite par Wilfrid Lupano (scénariste sur les deux films) et dessinée par Paul Cauuet. Les deux ont fait le scénario ensemble.
Il y a toujours cette crainte d’être déçu quand on regarde la suite d'un film dont nous gardons un doux souvenir nostalgique. Malheureusement, ce n’est pas cette sensation qui restera en tête pour Les Vieux fourneaux 2 : bons pour l’asile. Cette fois, ce sera Bernard Le Coq qui jouera Antoine en lieu et place de Roland Giraud en raison de soucis de santé.
Le début de cette comédie va être assez brouillon. On a du mal à voir vers où elle se dirige et c'est perturbant. On assiste donc à des scènes sans vraiment avoir d'objectif. C'est dommage, car ce manque de cadre empêche de s'épanouir dans ce récit. D'autant plus que l'humour ne prend pas bien. Par contre quand la bande est réunie au complet, c’est beaucoup plus efficace. La ligne directrice se dessine enfin.
La seconde partie du film va être donc plus intéressante, car elle va aborder de vraies thématiques. Les personnages, avec leurs fibres sociales, vont aider des personnes arrivant de pays en guerre. Dans ces moments-là, on oublie la comédie et il y a de fortes doses d'émotion. Les Vieux fourneaux 2 : bons pour l’asile permet de casser les barrières et nous montrer que derrière chaque migrant il y a un homme ou une femme avec une histoire dure. Nous sommes dans un petit village et on se rend compte que les habitants ont peur sans savoir pourquoi. La peur de l'inconnu qui se transforme en celle de l'autre. Ces passages sont très bien tournés et donnent une très forte signification.
En matière de casting, nous ne sommes pas déçus. Pierre Richard est toujours aussi cool. Quant à Bernard Le Coq, il rentre bien dedans. Le trio qu’ils forment avec Eddy Mitchell fait des ravages. Pour une fois, Alice Pol ne se débrouille pas trop mal.
Il y a toujours cette crainte d’être déçu quand on regarde la suite d'un film dont nous gardons un doux souvenir nostalgique. Malheureusement, ce n’est pas cette sensation qui restera en tête pour Les Vieux fourneaux 2 : bons pour l’asile. Cette fois, ce sera Bernard Le Coq qui jouera Antoine en lieu et place de Roland Giraud en raison de soucis de santé.
Le début de cette comédie va être assez brouillon. On a du mal à voir vers où elle se dirige et c'est perturbant. On assiste donc à des scènes sans vraiment avoir d'objectif. C'est dommage, car ce manque de cadre empêche de s'épanouir dans ce récit. D'autant plus que l'humour ne prend pas bien. Par contre quand la bande est réunie au complet, c’est beaucoup plus efficace. La ligne directrice se dessine enfin.
La seconde partie du film va être donc plus intéressante, car elle va aborder de vraies thématiques. Les personnages, avec leurs fibres sociales, vont aider des personnes arrivant de pays en guerre. Dans ces moments-là, on oublie la comédie et il y a de fortes doses d'émotion. Les Vieux fourneaux 2 : bons pour l’asile permet de casser les barrières et nous montrer que derrière chaque migrant il y a un homme ou une femme avec une histoire dure. Nous sommes dans un petit village et on se rend compte que les habitants ont peur sans savoir pourquoi. La peur de l'inconnu qui se transforme en celle de l'autre. Ces passages sont très bien tournés et donnent une très forte signification.
En matière de casting, nous ne sommes pas déçus. Pierre Richard est toujours aussi cool. Quant à Bernard Le Coq, il rentre bien dedans. Le trio qu’ils forment avec Eddy Mitchell fait des ravages. Pour une fois, Alice Pol ne se débrouille pas trop mal.
Affligeant ! Comment des acteurs de talent qui ont tourné entre autres dans " Coup de torchon " ," Le bonheur est dans le pré ", ou " Le grand blond " et " La chèvre ", peuvent-ils se fourvoyer dans une telle farce ? Ce film est tout juste capable de faire sourire quelques pensionnaires égarés de leur EPHAD... Pas du tout sûr que ce navet haut de gamme parvienne à promouvoir les bons sentiments sur la situation des migrants !
mais comment peut on continuer à faire ce genre de film? les producteurs ont-ils lu le scénario ? les acteurs avaient avaient-ils besoin d'argent ?
triste de trouver une si belle distribution dans un film qui va un peu dans tous les sens ( c'est un peu à la mode dans le cinéma français cet été...)
triste de trouver une si belle distribution dans un film qui va un peu dans tous les sens ( c'est un peu à la mode dans le cinéma français cet été...)
Même en étant très très indulgent , ça fait quand même soupe populaire pour acteurs ayants largement dépassé le stade de "Has been " Arrêtons de les payer pour qu'ils nous prennent pour des cons! C'est des films uniquement alimentaires!!
Les papy's grincheux au secours des migrants ! oui, Au secours c'est vraiment ce qui me vient tout de suite à l'esprit ...
Ça va faire quoi?? 50.000 /60.000 entrées?? Qui paye pour produire ça??
Les papy's grincheux au secours des migrants ! oui, Au secours c'est vraiment ce qui me vient tout de suite à l'esprit ...
Ça va faire quoi?? 50.000 /60.000 entrées?? Qui paye pour produire ça??
Encore un film français insupportable à regarder. Passe encore la mièvrerie, quand bien même elle est en total décalage avec la réalité de l'immigration massive que nous avons à supporter, mais s'ennuyer à ce point sans même esquisser un sourire, ça n'est tout simplement pas possible. Plusieurs personnes ont quitté la salle avant la fin, nous avons essayé de tenir, mais leur avons finalement emboîté le pas. Il est honteux que les subventions soient ainsi gaspillées dans un film de propagande mauvais à ce point, tout cela pour soit-disant financer notre exception culturelle. Elle est belle l'exception, certains se gavent avec ce système visiblement !
Un film joyeux qui fait du bien. Les acteurs entrent parfaitement dans la peau des personnages de la BD de Lupano.
La comédie fait rire mais aussi réfléchir sur la condition des réfugiés déracinés de leurs pays en guerre.
Les grincheux n'aiment pas car c'est léger... moi j'aime bien car la légèreté est justement la qualité de ce film.
La comédie fait rire mais aussi réfléchir sur la condition des réfugiés déracinés de leurs pays en guerre.
Les grincheux n'aiment pas car c'est léger... moi j'aime bien car la légèreté est justement la qualité de ce film.
Ce film a au moins un mérite : il illustre bien ce qu'est un très mauvais film. Une fois encore, le propos politique est évident, énoncé à la truelle par un réalisateur qui ne fait pas dans la nuance. Le scénario est simplet, les acteurs sortis de leur retraite cabotinent . Le film suinte le mépris pour les "ploucs" de la campagne qui ne comprennent rien à rien et sont méchants et/ou indifférents si on ne leur explique pas ce qu'il est bon de penser, comme le fait très laborieusement cette pellicule, qui n'hésite pas non plus à faire le rappel des "heures les plus sombres de notre histoire". Affligeant de manichéisme. Plus de 1:30 bien pénibles. Quant aux blagues et bons mots, on les cherche encore. Ni comique, ni subtil.
Moins frais que le premier opus cette suite n'en est pas moins de bon aloi. Notre trio de Pappy (Bernard Lecocq remplaçant le regretté Roland Giraud) toujours aussi vert se lance (A contre cœur pour 2 d'entre eux) dans l'accueil de refugié Syriens et Africains. Malgré un début laborieux (Surjoué par Pierre Richard faussement en indigné et qui en fait beaucoup trop) et un humour parfois balourd le film est plaisant, avec un message beaucoup plus social que le 1er ,(Rejet de l'étranger et de l'inconnu par peur et aprioris plus ou moins raciste, cupidité du dirigeant de l'ets faisant vivre (ou laissant mourir) le village de Moncœur) Bref 1h38 de cinéma sans ennui, mais aussi sans éclats de rire ni prise de tète . A voir lors d'un temps pourri pour en ressortir avec un vague sourire.
Film assez nul, tant sur le fond (anti-flic primaire, anti-capitaliste primaire, bien-pensance) que sur la forme (jeu d'acteur en carton). Bref, un bon navet. Dommage car l'acteur Pierre Richard est souvent très bon.
Très mauvais acting (Alice Pol, monolithe comme d'hab, Eddy qui compte ses biftons,Claire Nadaud dans son rôle habituel de foldingue, etc.) et scénario larmoyant sur les migrants.
Pierre Richard est touchant du coup je mets 1 pour l'ensemble de sa carrière. Photo genre FR3 Limoges.
Pierre Richard est touchant du coup je mets 1 pour l'ensemble de sa carrière. Photo genre FR3 Limoges.
C'est la cata à Moncoeur ! La cata avec le maire,la cata avec les voisins, la cata avec les arrivants, la cata avec leurs dialogues, la cata avec leurs histoires, la cata avec le scénario, la cata sur tous les plans. Quelle purge !
Il est rare de préférer le second opus d’une suite de films et pourtant cette fois c’est le cas. Cette fois, la joyeuse bande emmenée par Pierre Richard, Eddy Mitchell et Bernard le Coq se retrouve à héberger des migrants dans leur petit village, où les préjugés sont rois. Le trio qui n’a pas perdu son engagement humaniste va donc tout faire pour retourner la situation à leur avantage… à leur manière. Coup de cœur sur les personnages de Fanfan et Berthe, seconds rôles sublimement interprétées par Claire Nadeau et Myriam Boyer. Un film touchant drôle et émouvant. On passe un très joli moment devant ce film qui fait du bien.
Une suite drôle qui nous permet de retrouver des personnages attachants et qui tente cette fois de nous faire réfléchir sur le sujet important des migrants.
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