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    Drive My Car
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    3,9
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    210 critiques spectateurs

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    LETESS
    LETESS

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 septembre 2021
    Certes l'image est léchée, la recherche d'épure est indiscutablement travaillée... Mais Dieu que ce film est ennuyeux !
    On doit vraiment s'accrocher et se pincer pour ne pas s'endormir. Les scènes de tunnel ou les plans fixes, on peut en mettre un peu. Mais pendant trois longues heures ?
    Typique le genre de film à plaire à Télérama ou aux Inrocks qui préfèrent dire qu'ils ont adoré plutôt que d'avouer qu'ils se sont juste fait suer à suivre cette intrigue pseudo-intello rasante dont le pitch pourrait être ainsi résumé :
    un japonais cocu et veuf mais qui roule en Saab, décide de monter oncle Vania de Tchekhov histoire de rigoler un bon coup.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    275 abonnés 1 651 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 septembre 2021
    L’amour et la fidélité, le deuil et la culpabilité, la difficile voire impossible compréhension de l’autre, l’introspection et l’ouverture, l’art et la vie… Grande richesse thématique pour ce nouveau film de Ryusuke Hamaguchi (Senses, Asako…). On y retrouve avec plaisir la patte du réalisateur : douceur et finesse, exploration précise – sur un temps long permettant la subtilité et la profondeur – de la psyché et des émotions des personnages, de leurs relations… On y retrouve aussi, avec non moins de plaisir, le style de l’écrivain Haruki Murakami (dont une nouvelle a donné la matière première du film) : foisonnement imaginaire et romanesque, goût du mystère, plaisir de le sonder… Il y a ici quatre personnages principaux, donnant lieu à quatre beaux portraits nourris de récits qui se croisent, quatre histoires principales – porteuses d’autres histoires plus petites – qui sont confrontées par ailleurs au drame d’Oncle Vania, la pièce de Tchekhov, dont la mise en scène s’élabore au cours du film, en fil rouge. Plusieurs fils narratifs s’entremêlent, donc, pour un scénario-canevas intelligemment tissé où chaque motif fait sens à plusieurs niveaux dans un jeu de mise en abyme, de miroir ou de transfert entre les personnages et les multiples histoires. Ce film, au-delà de ses problématiques humaines, est ainsi un vibrant hommage à l’art de raconter – raconter la réalité, raconter des fictions – pour mieux appréhender la vie, vivre avec son passé, s’inscrire au présent, se projeter dans l’avenir. On parle donc beaucoup dans ce film. Et souvent à bord d’une voiture, véhicule d’expression et d’empathie, dont les différents trajets épousent symboliquement les différentes trajectoires de vie des personnages. Ce road-movie comporte quelques scènes mémorables en termes de réflexion et d’émotion, d’étrangeté et de grâce, magnifiquement limpides, faisant oublier quelques petites longueurs. Parmi les pépites du scénario : le rapprochement savoureux entre orgasme et inspiration créatrice…
    Alexis Giovetti
    Alexis Giovetti

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 septembre 2021
    Loooooooooooooooooooooooooool
    I n t e r m i n à b l e, d'une "chiantise"abyssale, pompeux... bref les atouts majeurs pour être sélectionné à Cannes !
    Pensez bien à prendre un triple expresso avant d'y aller !!! Ou pas... le moment sera moins douloureux si vous faites une petite sieste réparatrice.
    Le mieux c'est encore d'aller voir l'excellent Free Guy qui pour le coup au delà d'être un simple blockbuster , est teinté d'un très beau message en plus d'être hyper fuuun !!
    Frank Trouillard
    Frank Trouillard

    6 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 septembre 2021
    Un excellent film avec un scénario très intelligent basé sur des nouvelles de Murakami. La rencontre des univers de Murakami et d'Hamaguchi fonctionne à merveille ! C'est un film long, profond, subtil qui enchantera ceux qui veulent prendre le temps de déguster
    Enzo D.
    Enzo D.

    3 abonnés 75 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 septembre 2021
    Drive My Car c'est un chef-d'œuvre, une expérience cinématographique.
    On est au plus proche des personnages du films, tous d'une justesse inouïe, d'une poésie absolu.
    On se laisse bercer scène après scène aussi bien par le son de la voiture qui roule, que sur les dialogues entre les personnages. c'est déroutant, c'est avant-gardiste et ça frappe là où il faut.
    Zebrakelo
    Zebrakelo

    7 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 septembre 2021
    Film fluide et fort par sa mise en scène , ses acteur-rices, et sa technique (image/montage).
    Un éloge du théâtre et spécifiquement de Tchekov & de la force de sa pièce En Attendant Godot, mais aussi une monstration lyrique des rapports humains (amitié, amour, respect) et de l'homme en soi (et le questionnement sur lui-même).
    Maré.
    Maré.

    11 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 septembre 2021
    En voici du Grand Art ! Mise en scène, scénario, jeu des acteurs, dialogues ; tout concourt à faire un grand film, émouvant, tendre, magique : une merveille ! On vit un récit qui nous plonge dans les mystères éternels que les mythes antiques n’ont cessé de scruter.
    Leandre H
    Leandre H

    8 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 septembre 2021
    Ce qui fait la beauté du film, c'est d'abord le travail de la lumière qui fait toujours écho aux couleurs du décor. La composition de certains plans restera mémorable spoiler: (la découverte de l'adultère, puis les mains sortant du toit ouvrant, tenant les frêles cigarettes, ou les scènes à la déchetterie puis au bord de la mer)
    . La caméra prend son temps, les travellings sont doux, les trajets de voiture envoûtants : cela semble nécessaire pour que le spectateur s'imprègne de la profondeur des extraits des pièces de théâtre sur lesquelles les personnages travaillent.

    Ce film travaille sur la collaboration, sous toutes ses formes : l'amour, l'amitié, la pédagogie, et comment de ces rencontres naissent parfois l'inspiration, le réconfort, ou encore l'incertitude, la résignation. Le film montre ainsi plusieurs attitudes face aux épreuves de la vie, pistes à explorer par le spectateur.

    Le film est une véritable réussite dans ce sens : le scénario est crédible, chacun de nous pourrait le vivre, dans la singularité de ses personnages, dans sa complexité et le doux quotidien dans lequel on nous mène. Voilà peut-être le motif du jury cannois : ils cherchaient une dramaturgie contemporaine, sans structure décalquable à l'infini. C'est un vrai plaisir de spectateur que de se laisser embarquer dans cette histoire fluide. En cela ce film est un objet unique, qui mérite son prix du Scénario.

    On regrettera tout de même une BO peu subtile, et un recours peut-être trop fréquent aux textes théâtraux, qui appuient un propos déjà limpide dans le film, surtout à la fin. Dommage car c'est pourtant leur usage qui donne un énième sens à la rencontre : la possibilité que le sublime surgisse du quotidien grâce à l'art.
    michel C
    michel C

    37 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 septembre 2021
    Beau film, très bien construit et d'une grande sensibilité. L'histoire des personnages, et leurs failles qui les rendent si humains, apparaissent petit à petit, par petites touches subtiles au travers des croisement du scénario entre réalité, théâtre et dialogues, sans qu'il soit nécessaire de recourir à de lourds flash backs. Une petite réserve sur la photo que je ne trouve pas exceptionnelle pour un film japonais.
    velocio
    velocio

    1 326 abonnés 3 169 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 septembre 2021
    De ce film, je n'avais entendu que des louanges à Cannes, de la part de toutes celles et de tous ceux qui l'avaient vu durant le dernier Festival. Au point que certains en arrivaient à se demander si le jury 2021 n'allait pas accorder une 3ème Palme d'or de suite à un film asiatique. Finalement, "Drive my car" n'a obtenu que le Prix du scénario et c'est déjà pas mal. Est-ce trop ? De Ryusuke Hamaguchi, j'avais vu "Senses 1&2", mais, pas vraiment convaincu, je n'avais pas jugé bon d'aller voir les 3, 4 et 5 malgré l'emballement des critiques au sujet de ces films. J'avais vu aussi ASAKO I&II, et là, j'avais mieux marché. C'est dans une nouvelle du recueil "Des hommes sans femmes" de Haruki Murakami, qui est, parait-il, l'écrivain japonais le plus lu dans le monde, que Hamagushi est allé chercher la matière de "Drive my car". On y voit Yûsuke Kafuku, un metteur en scène de théâtre, qui, 2 ans après avoir perdu sa femme, est chargé d'une série de représentations de "Oncle Vania" à Hiroshima : trouver les acteurs, les faire répéter, arriver jusqu'à la première de la pièce. On se dit, Tchekhov, Murakami, Hamaguchi, nous voilà parti pour 3 heures de pur bonheur. Pas si vite, les amis ! Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais le jugement qu'on porte sur un film est souvent lié à ce qu'on voit et à ce qu'on entend dans sa dernière partie, comme si l'impression laissée par le reste du film était oubliée et il est vrai que la dernière heure de "Drive my car" est d'excellente facture. On y parle avec émotion et une certaine profondeur de la mort, de la trace laissé par les morts sur les vivants, de la responsabilité qu'on peut avoir, sans l'avoir recherchée, sur des évènements tragiques et qui vous minent. Toutefois cela ne m'empêche pas de me rappeler les scènes, certes souvent très belles mais très ennuyeuses, entrecoupées de quelques rares fulgurances, de tout ce qui précède. A titre plus anecdotique, un certain nombre de questions méritent d'être posées : tout d'abord, la curiosité de voir un prologue qui dure près de 3/4 d'heures, avec le générique de début du film apparaissant à la fin de ce prologue. Ensuite, la nouvelle de Haruki Murakami parle-t-elle d'une distribution internationale, mêlant au japonais du chinois, du coréen et de la langue des signes coréenne ou bien est-ce une (bonne) idée de Ryusuke Hamaguchi ? Idem concernant la voiture de Kafuku, cette voiture pour laquelle il a une sorte de vénération au point d'hésiter longuement à la laisser aux mains de Misaki Watari, la chauffeuse que le théâtre d'Hiroshima lui a assigné pour les trajets entre le lieu des répétitions et son lieu de résidence : pourquoi une voiture européenne, une voiture avec le volant à gauche dans un pays où, tout comme en Angleterre, on roule à gauche ? Pourquoi cette voiture n'a-t-elle plus, à la fin, la plaque d'immatriculation du début ? Pourquoi la faire rouler sur une 2 fois 2 voies fonctionnant à l'envers de la normalité japonaise ? Faut-il voir dans ces petits détails des messages que je n'aurais pas compris ?
    Muriel F.
    Muriel F.

    54 abonnés 247 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 septembre 2021
    Je me suis laissée conduite par le film. Un long chemin mené dans les méandres de la vie de personnages qui oscillent entre découvertes et étonnements. Des parallèles et des mises en abîme de situations actuelles sur trame d'un Oncle Vania joué au théâtre en multilangue. Subtilité et universalité des sentiments et un jeu plein de retenu et de vérité. A voir sans sensation de longueur. Un exploit quand le film dure trois heures.
    Cinévore24
    Cinévore24

    349 abonnés 718 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 août 2021
    Se confronter aux épreuves du passé pour faire son deuil et pouvoir enfin aller de l'avant.

    Une histoire de route et de partages, de théâtre et de langages.

    3 heures de grande justesse et délicatesse, et un Prix du Scénario cannois bien mérité.
    Yves G.
    Yves G.

    1 511 abonnés 3 530 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 août 2021
    Yūsuke Kafuku, un acteur de théâtre renommé, est invité à Hiroshima en résidence pour y monter une adaptation d'"Oncle Vania" avec une troupe cosmopolite et polyglotte. Il est veuf depuis deux ans. Sa femme, scénariste pour la télévision, est morte brutalement après que Yūsuke a découvert son infidélité, le frustrant d'une explication qu'il n'a jamais pu avoir avec elle. Pour le rôle de l'oncle Vania, Yūsuke recrute Kôji Takatsuki, un jeune acteur qu'il suspecte d'avoir eu une liaison avec sa femme. La production lui impose un chauffeur, une jeune femme mutique, Misaki Watari, dont Yūsuke accepte mal la présence mais avec laquelle va bientôt se nouer un lien puissant.

    "Drive My Car" arrive sur nos écrans auréolé de son prix du scénario à Cannes où, disent les mauvaises langues, la Palme d'or ne lui aurait échappé qu'au seul motif de l'obligation dans laquelle s'était cru le jury de la décerner à une réalisatrice. Il est l'oeuvre de Ryūsuke Hamaguchi, un jeune réalisateur japonais, dont les précédents films - "Senses" et "Asako I & II" - avaient favorablement impressionné la critique - à défaut de me convaincre tout à fait.

    Dans ma critique de "Asako I & II", je regrettais d'être déjà passé à côté de "Senses" et de passer à côté de ce film-là. Je pourrai hélas rajouter aujourd'hui, à mon grand regret, n'avoir pas adhéré à "Drive My Car".

    Mon regret est d'autant plus grand qu'autour de moi, je n'en lis que du bien - à l'exception d'une ou deux passionarias anti-conformistes. Partout, tous et toutes s'enthousiasment et s'enflamment : "La beauté de Drive My Car réside dans sa manière de donner chair à une série d'abstractions et de dispositifs purement théoriques, d'employer toutes sortes d'éléments du médium cinéma pour leur faire dégorger leur sensualité autonome et en faire les instruments d'une vérité singulière" écrit un Jacques Mandelbaum sous ecsta dans "Le Monde". "Un film qui résonne indirectement avec le vécu intime de chacun·e et qui risque de briller longtemps dans la nuit noire de notre inconscient chaviré" renchérit un Thierry Josse inclusif dans "Les Inrocks".

    J'avais lu ces critiques avant d'aller voir le film. [Beaucoup de mes amis me disent qu'ils s'interdisent de lire les critiques avant de voir un film afin de ne pas être "influencés". Je suis d'une opinion radicalement différente, estimant au contraire utile d'aborder une oeuvre avec toutes les clés en main pour la comprendre et l'apprécier]. Je m'étais préparé à voir une oeuvre marquante, par sa durée (près de trois heures), par son ambition. Je n'ai certes pas été déçu : le film est long et ambitieux, qui traite de questions essentielles : la vie, la mort, l'amour. Mais - et c'est une grande frustration car je peine à y mettre des mots - je n'ai pas été embarqué. Ce "road movie", dont le personnage principal est peut-être la SAAB rouge de son héros, m'a laissé sur le bord du chemin.

    La faute selon moi à une succession de situations que j'ai trouvées trop improbables, à commencer par cette scénariste qui invente ses histoires dans un demi-sommeil, après l'amour, et qui les reconstitue le lendemain matin avec l'aide de son mari. Le personnage de Takatsuki, jeune premier ombrageux, auquel le metteur en scène confie contre toute raison le premier rôle de sa pièce et qui se révèlera sans que rien ne le laissât présager ultra-violent, m'a semblé un ton en-dessous du reste de la distribution. Enfin, j'ai trouvé trop facile le personnage de Misaki, la chauffeure qu'il faut lester d'un lourd passé familial pour lui donner l'intensité dramatique qu'elle n'a pas.
    Jipéhel
    Jipéhel

    42 abonnés 176 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 août 2021
    Ceux qui survivent ne cessent de penser aux morts

    Ryusuke Hamaguchi adapte ici un extrait du recueil Des hommes sans femmes de Haruki Murakami. Et au passage, empoche le Prix du scénario à Cannes, au demeurant, un prix bien mérité. Alors qu'il n'arrive toujours pas à se remettre d'un drame personnel, Yusuke Kafuku, acteur et metteur en scène de théâtre, accepte de monter Oncle Vania dans un festival, à Hiroshima. Il y fait la connaissance de Misaki, une jeune femme réservée qu'on lui a assignée comme chauffeur. Au fil des trajets, la sincérité croissante de leurs échanges les oblige à faire face à leur passé. 180 minutes d’une virtuosité sans pareil, le tout servie par un casting +++. Du grand art !
    Il y a ici, de toute évidence deux films distincts… la preuve en est que le générique n’arrive à l’écran qu’au bout d’une bonne heure, séparant ainsi les deux histoires qui vont pourtant finir par s’imbriquer étroitement. Un film très lent et pourtant sans une seconde d’ennui tant les surprises jalonnent le scénario et ce, jusqu’à l’ultime minute. Aux yeux de Ryûsuke Hamaguchi, endosser plusieurs identités est une forme de folie socialement acceptée. Ce drame tente d’atteindre une forme de vérité à travers les sentiments contradictoires traversés par les membres d’une troupe de théâtre. Le texte de L’Oncle Vania de Tchékhov supplante souvent les dialogues des personnages du film, jusqu’à une dernière scène bouleversante de beauté et d’inventivité. Un coup de génie. Rien que pour lui, ça vaut le coup d’attendre 3 heures. Hamaguchi aime les expériences cinématographiques. Après Asako I et II, Senses 1,2,3,5,5, il nous offre – car c’est un cadeau -,
    Hidetoshi Nishijima, Toko Miura, Masaki Okada, Reika Kirishima et les autres sont absolument époustouflants dans ce film qui nous parle de deuil, de parole juste, d’écoute et de création artistique. C’est un chef d’œuvre limpide, éblouissante et ciselée dans ses moindres détails. Rarement les relations humaines et les rapports amoureux ont été scrutés avec autant d’acuité. Le film envoûtant d’un réalisateur inclassable à découvrir de toute urgence. A coup sûr, un des sommets de l’année.
    remyll
    remyll

    197 abonnés 442 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 août 2021
    Tiré d’un roman de Murakami je m’attendais à vraiment beaucoup plus inventif, original, surprenant.
    Rien de tout cela. Un scénario bien plat au final…
    Bon point : on voit bien le Japon d’aujourd’hui. Mais pour cela, il suffit de regarder Philippe Gougler avec « Des trains pas comme les autres » sur France 5….
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