AlloCiné
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Votre avis sur Rosy ?
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Frédéric M.
Un témoignage simple, franc, honnête et rempli d'une forme d'espoir contre cette foutue maladie. Une magnifique leçon de vie. La forme documentaire fait bien passer le message. Le montage est excellent tout comme la bande son signée par M. Un bon équilibre entre le mode selfie qui intensifie les réactions, le mode touriste pour rappeler la beauté de notre monde et les interview de l'entourage qui permet d'avoir le regard des autres. Merci à AlloCiné pour l'avant première et la rencontre avec son interprète réalisatrice.
Ce film est libérateur, il fait chialer...souvent...
Cette meuf est géniale : pleine d'énergie, d'humour et déconcertante par sa sincérité !
C'est bien son honnêteté qui me frappe le plus, elle ose être elle même.
En écoute son intuition et en évitant de se comparer, elle crée et sort des chemins tout tracés !
Merci Marine pour ce partage, merci d'oser!
Oser ça donne Rose aussi🌹 😉
Marie-Caroline
Cette meuf est géniale : pleine d'énergie, d'humour et déconcertante par sa sincérité !
C'est bien son honnêteté qui me frappe le plus, elle ose être elle même.
En écoute son intuition et en évitant de se comparer, elle crée et sort des chemins tout tracés !
Merci Marine pour ce partage, merci d'oser!
Oser ça donne Rose aussi🌹 😉
Marie-Caroline
SebLefr3nch
On ne peut être que touché par l'histoire de ce documentaire. Tout est fait pour donner larme à l'oeil. Mais est-ce vraiment sincère ? Cette jeune fille qui dit être apaisée nous montre pendant 1h30 qu'elle est une énorme boule d'énergie prête à exploser. Les images ramenées de son voyage la montrent constamment en scène, même durant les périodes où elle dit trouver la spiritualité et qu'elle oublie son égo. Dans ce cas, pourquoi continuer à se filmer ? On en vient à se demander si tout le documentaire n'est pas orchestré, sauf bien entendu sa maladie sur laquelle il n'y a pas débat. Même la fin qui semble magnifique et qui pointe du doigt le système de santé en valorisant un voyage de 9 mois pour trouver la paix intérieure finit par sembler fausse. Il faut savoir que le père de Marine est le réalisateur des documentaires très controversés "Hold Up" et "Hold In", documentaires conspirationnistes sur la Covid-19 et la vaccination... C'est dommage car d'un coup tout parait beaucoup moins crédible...
Par chance j’ai pu assister à une avant première au cinéma de dinard cette semaine
Film authentique passionnant d’une grande générosité
L’histoire de marine nous mène à la réflexion sur le bonheur
N’hésitez pas vous allez adorer
Film authentique passionnant d’une grande générosité
L’histoire de marine nous mène à la réflexion sur le bonheur
N’hésitez pas vous allez adorer
Un film exceptionnel. Une leçon de vie. Il n'y a que Marine pour mélanger la profondeur et le fun. C'est une phrase de mon fils en sortant de la séance. Elle vous touche elle vous remue elle vous bouscule elle vous amène à toucher du doigt l'Essentiel de la vie. Juste Merci Rosy ! Allez-y.
ROSY est un film magnifique et touchant de part sa simplicité de réalisation et les messages qu'il véhicule; une véritable leçon de vie que nous donne Marine. Elle sait nous faire voyager avec émotions et beaucoup d'humour.
Mention spécial à M pour la bande originale qui est frissonnante.
Mention spécial à M pour la bande originale qui est frissonnante.
Yves G.
En 2015, âgée de vingt-et-un ans à peine, Marine Barniéras apprend qu'elle est atteinte d'une sclérose en plaques (SEP). Elle décide alors d'entreprendre pendant six mois un extraordinaire voyage au bout du monde pour se réconcilier avec son corps. De ce voyage, elle tirera un livre, publié en 2017, "Seper hero", puis un film baptisé "Rosy", du nom qu'elle donne à la maladie tapie en elle et avec laquelle elle doit désormais cohabiter à jamais.
J'ai lu un jour, je ne sais où, un aphorisme un peu péremptoire, dont la pertinence pourtant ne s'est jamais démentie : une personne dépressive, qui gagne au Loto, redevient malheureuse après six mois d'euphorie ; une personne équilibrée, tétraplégique après un accident de la route, retrouve son équilibre après six mois de déprime noire.
C'est cette aphorisme (mais s'agit-il à proprement parler d'un aphorisme ou d'un adage ou d'un axiome ?) qui m'est revenu en regardant "Rosy".
Est-ce un film sur la maladie, sur la sclérose en plaques ? Pas vraiment. Un film de voyages alors sur les splendides paysages de Nouvelle-Zélande, de Birmanie et de Mongolie que l'héroïne visite ? Pas vraiment non plus.
Ce film de Marine Barniéras par Marine Barniéras avec Marine Barniéras est un film sur Marine Barniéras.
La connaître c'est l'aimer. Son charme est irrésistible. Derrière ses longs cheveux blonds, elle a un visage d'ange. Mais surtout c'est son bagout qui nous fait chavirer, son enthousiasme communicatif, sa force de caractère face à l'adversité et bien sûr la compassion que suscite la maladie terrible qui lui est tombée dessus.
"Rosy" est un hold-up sentimental. Comment ne pas être séduit par son héroïne - dont je viens de dire qu'elle était irrésistible ? Comment ne pas être ému par l'injustice qui la frappe et la force de caractère avec laquelle elle y fait face ?
J'ai lu un jour, je ne sais où, un aphorisme un peu péremptoire, dont la pertinence pourtant ne s'est jamais démentie : une personne dépressive, qui gagne au Loto, redevient malheureuse après six mois d'euphorie ; une personne équilibrée, tétraplégique après un accident de la route, retrouve son équilibre après six mois de déprime noire.
C'est cette aphorisme (mais s'agit-il à proprement parler d'un aphorisme ou d'un adage ou d'un axiome ?) qui m'est revenu en regardant "Rosy".
Est-ce un film sur la maladie, sur la sclérose en plaques ? Pas vraiment. Un film de voyages alors sur les splendides paysages de Nouvelle-Zélande, de Birmanie et de Mongolie que l'héroïne visite ? Pas vraiment non plus.
Ce film de Marine Barniéras par Marine Barniéras avec Marine Barniéras est un film sur Marine Barniéras.
La connaître c'est l'aimer. Son charme est irrésistible. Derrière ses longs cheveux blonds, elle a un visage d'ange. Mais surtout c'est son bagout qui nous fait chavirer, son enthousiasme communicatif, sa force de caractère face à l'adversité et bien sûr la compassion que suscite la maladie terrible qui lui est tombée dessus.
"Rosy" est un hold-up sentimental. Comment ne pas être séduit par son héroïne - dont je viens de dire qu'elle était irrésistible ? Comment ne pas être ému par l'injustice qui la frappe et la force de caractère avec laquelle elle y fait face ?
J'avais adoré le livre Seper Hero de Marine Barnerias, je la suis sur ses réseaux sociaux.
Je pensais donc aimer ce film.
Résultat : je n'ai pas simple aimer ce film, j'ai ADORÉ ce film.
Sa simplicité, son humour, son honnêteté font passer un moment incroyable.
On pleure, on ri bref on vit un moment magnifique en sa compagnie tout le long du film
Bravo Marine !
Je pensais donc aimer ce film.
Résultat : je n'ai pas simple aimer ce film, j'ai ADORÉ ce film.
Sa simplicité, son humour, son honnêteté font passer un moment incroyable.
On pleure, on ri bref on vit un moment magnifique en sa compagnie tout le long du film
Bravo Marine !
Marine est belle ! Forte! Et son film est une claque! Quelle détermination ! Un film à voir absolument....
Ce film est une véritable ode à la vie et à la découverte de soi. Merci à Marine Barnérias de nous offrir ce petit bijou très personnel et en même temps si universel !
Film magnifique et très touchant. Je recommande vivement.
très bon film très émouvant, qui montre que parfois le seul traitement possible est l'acceptation de soi !
🎬 RENGER 📼
Marine à 21ans lorsqu’elle apprend qu’elle est atteinte d’une sclérose en plaques (une maladie auto-immune incurable avec laquelle elle sait qu’elle risque de finir en fauteuil roulant et de perdre la vue). Le choc de l’annonce et la sidération imposent à Marine de prendre une solution radicale avant même de débuter un quelconque traitement. Elle décide de faire un voyage initiatique pour se reconnecter à son moi-intérieur, avant même que la maladie ne le lui empêche. Pour cela, elle décide de faire un road-trip qui va l’entraîner en Nouvelle-Zélande (pour redécouvrir son corps), en Birmanie (pour apaiser son esprit) jusqu’en Mongolie (pour renouer avec son âme).
Il en résulte un beau voyage, 9 mois de vadrouille qui donneront lieu à un livre "Seper Hero" (édité en 2017) et ce film, condensé en 85min à travers lesquelles elle revient sur la découverte de sa maladie (par un médecin dénué d’empathie) jusqu’au moment de doute, de peur et de remise en question.
Rosy (2022) est un beau film, il n’y a pas de doute là-dessus, cependant, il nous faut un certain temps d’adaptation pour pleinement y adhérer car s’il est un vibrant message d’espoir pour de nombreuses personnes elles-aussi atteintes de maladies lourdes, le film n’en reste pas moins aussi (et surtout) un trip égocentrique où l’héroïne est de tous les plans (d’ailleurs, au détour d’une séquence, elle admet volontiers avoir découvert grâce à ce voyage, son niveau d’égocentrisme). Marine est une pile électrique, on se retrouve face à un débit de parole sans discontinue, une jeune femme qui peine à se canaliser, entre rage, tristesse et joie. Certes, le film délivre un beau message, celui d’une battante et d’une résilience face à la maladie, mais à bien y regarder de plus près, le film ne délivre pas d’autre chose qu’un journal de bord de 9 mois de vacances aux quatre coins du globe.
Qu’apprend-on finalement de ce film, si ce n’est que cette jeune femme est parvenue à vaincre sa peur et à accepter sa maladie, celle qu’elle surnomme affectueusement "Rosy" (de sclérose en plaques, elle a retenue "Rose"). Ce carnet de bord sous la forme d’un journal intime face caméra devient par moment harassant (Marine est une boule d’énergie difficile à canaliser) devant tant d’autosatisfaction. Le film est au final bien trop centré sur la jeune femme au détriment de la maladie dont il aurait pu être judicieux d’avoir des contrepoints avec des médecins, des spécialistes, des neurologues, mais hélas, il n’en sera rien. Pourquoi avoir autant méprisé le corps médical ? Quand on sait que le père de Marine n’est autre que Pierre Barnérias, le réalisateur du (très) controversé Hold-Up (2020), on regarde ce film d’un autre œil et avec suffisamment de recule…
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Il en résulte un beau voyage, 9 mois de vadrouille qui donneront lieu à un livre "Seper Hero" (édité en 2017) et ce film, condensé en 85min à travers lesquelles elle revient sur la découverte de sa maladie (par un médecin dénué d’empathie) jusqu’au moment de doute, de peur et de remise en question.
Rosy (2022) est un beau film, il n’y a pas de doute là-dessus, cependant, il nous faut un certain temps d’adaptation pour pleinement y adhérer car s’il est un vibrant message d’espoir pour de nombreuses personnes elles-aussi atteintes de maladies lourdes, le film n’en reste pas moins aussi (et surtout) un trip égocentrique où l’héroïne est de tous les plans (d’ailleurs, au détour d’une séquence, elle admet volontiers avoir découvert grâce à ce voyage, son niveau d’égocentrisme). Marine est une pile électrique, on se retrouve face à un débit de parole sans discontinue, une jeune femme qui peine à se canaliser, entre rage, tristesse et joie. Certes, le film délivre un beau message, celui d’une battante et d’une résilience face à la maladie, mais à bien y regarder de plus près, le film ne délivre pas d’autre chose qu’un journal de bord de 9 mois de vacances aux quatre coins du globe.
Qu’apprend-on finalement de ce film, si ce n’est que cette jeune femme est parvenue à vaincre sa peur et à accepter sa maladie, celle qu’elle surnomme affectueusement "Rosy" (de sclérose en plaques, elle a retenue "Rose"). Ce carnet de bord sous la forme d’un journal intime face caméra devient par moment harassant (Marine est une boule d’énergie difficile à canaliser) devant tant d’autosatisfaction. Le film est au final bien trop centré sur la jeune femme au détriment de la maladie dont il aurait pu être judicieux d’avoir des contrepoints avec des médecins, des spécialistes, des neurologues, mais hélas, il n’en sera rien. Pourquoi avoir autant méprisé le corps médical ? Quand on sait que le père de Marine n’est autre que Pierre Barnérias, le réalisateur du (très) controversé Hold-Up (2020), on regarde ce film d’un autre œil et avec suffisamment de recule…
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Un mauvais film en forme de documentaire essentiellement constitués de selfies de Marine qui tout en pétant la forme se raconte ses vacances financées par les copains après leur avoir annoncé sa maladie de sclérose en plaque... Alors fake news ?
Bravo car c'est un film vraiment incroyable, vrai et touchant ! Des frissons du début à la fin, merci.
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