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Seb De Niro
1 abonné
60 critiques
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3,5
Publiée le 21 octobre 2024
Film sympa. Hong Kong est vraiment très photogénique, notamment les beaux plans lors du générique. Las Vegas est également bien mis en valeur. Los Angeles vient compléter ce trio de villes.
Joutes verbales hilarantes ô possible, cascade impressionnantes, bons acteurs, bonne VF et scénario pas en reste. Peu importe pourquoi, Rush hour 2 est aussi bien que le premier.
Sous couvert d'humour, une avalanche d'éléments homophobes, racistes, misogynes étouffe l'aspect comique revendiqué de cette suite qui reprend les mêmes procédés que le premier en les transposant en Asie puis à Vegas. Aucune originalité donc, sinon dans la surenchère de cascades et d'invraisemblances, et l'absence totale de lecture plus intéressante! Demeurent cette musique entraînante et la prestation toujours excellente de Chris Tucker. Largement insuffisant...
Ce second opus de la trilogie "Rush Hour", une nouvelle fois réalisé par Brett Ratner et sorti en 2001, n'est vraiment pas terrible. Autant le premier était passable mais sans plus mais autant ce second opus n'est qu'une redite du premier. On change ici de décor, enfin provisoirement, pour aller retrouver nos deux héros à Hong Kong qui sont partis y prendre des vacances. Mais le devoir les appelle lorsqu'une bombe explose à l'ambassade américaine. Scénario prétexte par excellence, on se fout un peu de l'histoire, que trop peu travaillée (encore moins que dans le premier), le twist final n'ayant d'ailleurs pas l'effet escompté. Le film a en réalité les mêmes qualités et défauts que son prédécesseur. C'est-à-dire qu'il devient très sympa lorsqu'il met en scène Jackie Chan dans des scènes de combats très bien rythmées et chorégraphiées et puis retombe comme un soufflé lorsqu'on retourne à l'intrigue ou lorsque Carter fait ses gags et blagues. Certaines sont drôles, ou prêtent du moins à sourire, mais, comme dans le premier, c'est un personnage qui n'est pas assez exploité et qui n'arrive pas à occuper la même place à l'écran que son partenaire, devenant plus un sidekick rigolo un peu saoulant et qui ne sert surtout pas à grand-chose dans l'intrigue. Il est de plus dommage que l'action du film ne se déroule pas entièrement à Hong Kong mais que l'on revienne aux États-Unis puisque le changement de décors était la seule différence majeure entre les deux films. "Rush Hour 2" est donc une suite pas très utile mais surtout une comédie d'action peu inspirée et assez oubliable.
Rush Hour 2 : aussi bien que le 1 , je les trouve vraiment égalitaire ils sont super tout les 2
La ou le 1 et le 3 sont plus ou moins lié par leurs personnages le 2 se suffit a lui même avec une intrigue bien a lui qui fonctionne et qui donne envie de voir la fin
Cette suite est, chose rare, plus divertissante encore que le premier opus.
Cela est dû, principalement, au fait que Jackie Chan soit plus détendu parce que plus à l'aise avec ce style de comédie d'action. Il se permet davantage de choses et ce lâché-prise ne peut que bénéficier au long-métrage.
Et puis, l'histoire est cool. Elle permet de renouveler le concept et de ne pas être une vulgaire redite. Au contraire, cette fois, c'est le flic noir qui est l'étranger puisque l'histoire se déroule principalement à Hong-Kong.
Ça permet aussi d'avoir des décors différents, forcément plus asiatiques, et donc des façons différentes d'y chorégraphier les affrontements.
Cependant, le film est toujours marqué "années 90" ce qui commence à sentir doucement le roussi. On est en effet au début du XXIème siècle et les vannes racistes sont un peu moins pardonables.
J'entends par "vannes racistes" non pas de l'humour noir ou de l'humour osé mais simplement des répliques gratuites, où le personnage qui les prononcent se lâche sur un autre personnage. Par exemple ? Cette scène où l'un des personnages appelle un asiatique "le sushi" ... C'est pas drôle, ça n'apporte rien, donc on aurait pu s'en passer.
Passé ce défaut, qui j'espère sera corrigé dans les opus suivants, "Rush Hour 2" est une comédie d'action vraiment divertissante.
J'adore Rush Hour. J'aime le fait que le film frôle les limites et les franchisent de temps en temps avec le bon jeu, le ton idéal, tel des funambules. Tout cela s'applique pour le premier film. Absolument pas pour cette suite ...
Ici, on frôle le pire. Rien n'est drôle, mais vraiment rien. Le duo Chan/Tucker n'a plus le charme du début et se vautre dans la caricature de ce qu'il avait réussit.
J'espère que le troisième film sera mieux conduit.
4 708 abonnés
18 103 critiques
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1,0
Publiée le 26 octobre 2021
Tout d'abord seul un tiers du film se déroule à Hong Kong au lieu de rester dans ce cadre nouveau et frais le film comme le premier il nous ramène ensuite aux États-Unis. Ensuite il n'y a pas beaucoup d'intrigue dans cette histoire et quand il y en a une elle est un peu floue. Certains détails semblent avoir été perdus dans la salle de montage. Mais le plus gros problème que j'ai eu est avec Chris Tucker. Quelque peu dominateur dans le premier film il devient ici complètement odieux et bruyant par-dessus le marché. Dans presque toutes les scènes ses dialogues et la façon dont il les énonce m'ont laissé pantois. Il est le véritable Américain et il n'est pas drôle du tous. Et malheureusement on se concentre plus sur lui que sur Chan. Mais comme Chan n'a rien de drôle pour lui au moins il n'est pas aussi mauvais qu'il aurait pu l'être...
Comédie policière américaine de série sans scénario et ponctuée de pitreries exécutées par Jacky Chan et un Chris Tucker au doublage insupportable. Avis aux amateurs ...
Une suite plus axé sur la comédie que le premier opus. Chris Tucker en fait peut-être des tonnes, mais c'est le rôle qui veut ça, et puis c'est marrant de voir cette grande gueule a l'œuvre dans un pays où la discrétion est primordiale.
Voilà une suite très sympathique supérieure au premier opus qui remplit pleinement son objectif, à savoir celui de divertir. Sur un format très court (le film fait à peine 1h20 au début du générique), il va directement à l’essentiel en multipliant les scènes de bastons (plus nombreuses que dans le premier volet) sur un ton tout à fait désinvolte. Plus drôle, il enchaîne les situations amusantes et, il faut l’avouer, le personnage de Chris Tucker, qui est ici bien moins pénible, est plus à son avantage. Bien entendu, l’intrigue tient sur une feuille de papier à cigarette et il ne faut pas attendre grand-chose de ses péripéties téléphonées. Mais on trouve ici ce qui nous avait laissé sur notre faim en regardant le premier, à savoir de l’action. Et comme les deux interprètes semblent naviguer dans des domaines qu’ils maîtrisent mieux l’un et l’autre, on a le sentiment que le duo est mieux assorti et que tout fonctionne plus facilement. Vraiment très distrayant.
Dès le début on est plutôt content de retrouver les deux acolytes, même si il faut subir un Chris Tucker en sur-régime constant ce qui peut être effectivement agaçant et/ou lassant. Néanmoins, le duo fonctionne bien à défaut de faire des étincelles. Par contre John Lone est sous-exploité, tandis que Zhang Ziyi assure le spectacle jusqu'à cette fin risible tant elle est gratuite et ridicule. Les cascades sont toujours impressionnantes, avec un Jackie Chan toujours en forme. Rien d'extraordinaire une fois de plus, mais ça reste très divertissant avec une B.O. qui ajoute du sel au rythme ambiant. Un bon moment pop corn et familial. Site : Selenie
C’est marrant quand une franchise s’installe dans la culture populaire : les anciens gags sont recyclés ou ignorés et il faut en inventer de nouveaux, quitte à ce qu’ils soient médiocres. Heureusement que Chris Tucker et Jackie Chan s’entendent bien, car leur entente conserve la familiarité entre eux et le spectateur. Mais déjà le ton décroche : le racisme hilarant du premier film s’embarrasse des pressions qu’on a fait peser sur lui. L’alchimie du duo en souffre et on sombre dans la baston qu’il fallait à tout prix mettre là, quand on n’a pas carrément l’impression qu’elle a permis de combler le manque de spontanéité scénaristique.
La chute n’est pas gigantesque ; le réalisateur est le même et sa volonté de bichonner l’esprit est évidente. Mais dans les trois ans qui séparent les deux opus, quelque chose a changé, et du long bégaiement qui constitue l’introduction, on transitionne vers des scènes en à-coups dont les coutures, faites dans une brusque monotonie, sont très mal cachées. Le sensationnalisme cascadaire tend à relever le niveau mais les allers-retours de ”10 000 miles” entre Hong Angeles et Los Kong (il y a 7 000, en fait) inceptionnent facilement l’idée que les personnages ne sont pas à leur place. À voir si le 3 est un 2 de remplacement ou une continuité commerciale pire encore.