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Michel C.
272 abonnés
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4,5
Publiée le 5 novembre 2022
Quelle élégance !! Voici un scénario très clair, magnifiquement mis en images dans une chaleureuse ambiance des année 60'. Et puis, quel casting !! D'excellentes prestations dans les rôles du Marquis de Chassagne ( Lambert Wilson ) complètement dans son élément, ou Claudine Colbert N°2 de la maison DIOR ( Isabelle Huppert ) affreusement méchante, mais avant tout surtout de Ara Harris ( Lesley Manville ) admirable femme de ménage - en attente du retour improbable de son mari la moitié du film - fascinée par les jolies robes de cette Haute couture. Cette femme, rusée, intelligente, également douce et douée, démontre une phénoménale capacité à s'adapter à ce milieu précieux Parisien, et en tout cas, à ne pas s'en laissé promettre par ce mélange de "Cruella" et de Miranda dans "Le diable s'habille en Prada"... qui me fait penser par certains côtés à Catherine Frot....Un film à l'eau de rose, oui, caricatural, oui, qui fait du bien, tant par la beauté des décors, des robes, des dialogues notamment dans l'alternance Française et Britannique....que par les beautés naturelles pétillantes. Et puis, Cerise on the Cake.... terminer sur une valse dans cette sublime robe rouge "tentation"......!!**
1957, Londres. Ada Harris, la soixantaine, est femme de ménage. Elle vit seule et repliée sur elle-même depuis la disparition de son mari à la guerre. Un beau jour, après avoir vu une magnifique robe Christian Dior chez une riche cliente, elle se fixe un rêve fou pour quelqu'un de son rang social : aller à Paris et s'en acheter une rien que pour elle ! De nombreuses péripéties attendent cette londonienne déterminée... Le scénario est digne d'un téléfilm de Noël, je le concède ! Mais quelque chose m'a vraiment touché chez cette femme motivée à aller au bout de son fantasme, coûte que coûte ! Dans le rôle principal, Lesley Manville possède un petit air de Catherine Frot par moments, elle est également bien entourée par quelques comédiens très consistants : Isabelle Huppert, Lambert Wilson, Jason Isaacs. C'est drôle, émouvant et porteur d'espoir pour ne jamais perdre de vue ses envies profondes, quoi qu'on en dise. Une comédie bienveillante et amusante : un bon feel-good movie à vivre avec entrain ! Site CINEMADOURG.free.fr
Film style téléfilm , mielleux , musique avec violon , plutôt féminin avec une histoire de mode et de robe , tous les ingrédients pour faire un navet. J'ai honte et je ne comprends pas pourquoi mais j'ai bien aimé.
VUE EN AVANT PREMIERE : ‘‘Une robe pour Mrs Harris’’ est une comédie britannique drôle et élégante qui nous plonge dans le milieu de la mode parisienne. Celle-ci est emporter par une Lesley Manville pétillante qu’on ne voit hélas que trop peu avoir le rôle titre. Manville campe une femme issue de la classe moyenne qui rêve secrètement d’obtenir une robe haute-couture. Sans être un film révolutionnaire, ‘‘Une robe pour Mrs Harris’’ se révèle être un film carte postale mais beau à voir. Tout est soigner de la photographie jusqu’au décors en passant par les costumes et la bande son douce et limpide. C’est un petit bonbon aciduler dont les acteurs français Lambert Wilson (nommé sept fois aux Césars) et Isabelle Huppert (nommée à l’Oscar de la meilleure actrice en 2017) sont les cerises sur ce ''pudding'' anglais.
une fable gentiment socialiste où une femme de ménage au grand coeur investit la très chic maison Dior. Plusieurs passages du film font penser à une pub pour la maison de couture et Isabelle Huppert est agaçante de supériorité. Je retiens le "bon polar" qu'est l'être et le néant, qui m'a bien fait marrer. Une bluette dont on se passe aisément.
Guindé, musiques "Disney", Paris en carte postale avec tous ses clichés : au secours! Notre Isabelle Huppert nationale joue très mal cette étroite directrice de la maison DIOR, avec un doublage complètement raté, des yeux écarquillés et une mâchoire proéminente. La robe est cousue sur mesure mais elle sera portée sans problème par une fille à la poitrine + forte que le modèle initial qui est cette mince Mme HARRIS (n'importe quoi!). Et c'est cette même chétive Mme HARRIS qui va révolutionner le business modèle de DIOR (une 2ème fois n'importe quoi!). A l'eau de rose sans parfum : pour les amateurs de kitsch!
Entre Marie Poppins, Amelie Poulain et Cendrillon, un véritable conte de Noël pour les grands. De l optimisme, du rêve, de la légèreté, du charme, du moins en apparence. En effet le film a aussi une autre dimension plus sombre mais c'est la gaîté qui domine et l'amour qui l emporte. Décors et costumes somptueux. Pour le spectateur, fortuné ou pas, la haute couture au cinéma est à la portée de tous.
Le film est donc une sorte de film hommage de la marque et par ricochet du style à la française ce qui ne manque pas d'avoir aussi son lot de clichés. Ainsi on sourit vert sur cette soit disante grève des éboueurs parisiens, tandis qu'on reste blasé par les images d'épinal de Paris touristique. Mais le plus gênant dans tout ça c'est que rien ou pas grand chose n'est vraiment véridique dans tout ce qu'on apprend sur Dior. En effet, l'histoire se déroule en 1957, apogée de la marque, qui possède déjà des succursales dans le monde, qui habille déjà des stars hollywoodiennes, et de surcroît c'est aussi l'année de la mort du couturier. Le film raconte quasiment l'inverse. Et pourtant, Lesley Manville est pétillante à souhait et incarne à merveille cette femme de ménage qui veut s'offrir un rêve soit disant inatteignable. Les français sont malheureusement à l'image de Paris, caricaturaux à outrance. Ensuite le film aurait gagné à être plus court de 10-15mn, la partie "prêt" de la robe est trop longue et peu intéressante. Une petite comédie maladroite donc mais qui a assez de charmes et de grâces, et même de fantaisie pour passer un bon moment sourire en prime. Site : Selenie
Une petite comédie dramatique pleine de bons sentiments et de belles choses à admirer! Les plus sensibles apprécieront, les autres ne pourront s'empêcher de relever la candeur, voire la naïveté de l'ensemble, des situations et des personnages pas très crédibles, voire ridicules, un penchant irrésistible pour la mièvrerie, surtout si ça dégouline... Bref, ça vaut pour le personnage principal, so british et très bien interprété et éventuellement pour les coulisses de la maison Dior, dont le film ressemble, au final, à un gros spot publicitaire!
On ne fait pas un bon film avec de bons sentiments dégoulinants !
Et pourtant l'actrice principale ne démérite pas, malgré quelques gestes et mimiques répétitives. D'ailleurs, elle me fait penser un peu à Catherine Frot dans Odette tout le monde, mais sans le petit grain de folie qui la caractérise.
Le naufrage total de ce piètre téléfilm sirupeux, est plutôt dans la mièvrerie du scenario, dans les clichés sur Paris et surtout dans le jeu des acteurs Français qui n'y croient pas une seconde.
On sent que pour Isabelle Huppert et Lambert Wilson on est proche du calvaire !
Résultat, un film que l'on peut ne pas aller voir !
Un beau petit chef-d’œuvre rempli de tendresse d’humour de délicatesse rempli de poésie de tolérance joué par des grands acteurs ça faisait longtemps que j’étais pas parti dans le cinéma avec de l’espoir… ce film est vraiment un petit bijou
C'est avec plaisir que j'ai vu ce film qui va à l'encontre des modes actuelles. C'est peut-être un film sans prétention, mais il a le mérite d'avoir un banc-titre, de la clarté( à tous les sens du terme).Il est attachant, charmant .Il prend toute sa dimension à l'arrivée à Paris où tout s'éclaire: le récit et la luminosité. L'actrice principale tient l'écran du début à la fin avec un brio remarquable .Si Isabelle Huppert et Lambert Wilson n'ont que des rôles secondaires mais indispensables, ils restent égaux à eux-mêmes; Un film où il fait bon vivre ce qui se fait rare à notre triste époque