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sylounette
45 abonnés
189 critiques
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4,5
Publiée le 22 février 2024
Un film émouvant, éprouvant, qui prend aux tripes - J'ai énormément pleuré à la fin du film car l'émotion était trop forte. On se sent tellement petit et inutile face à des hommes capables de telles actions et surtout qui n'en parleront pas pendant la majeure partie de leur vie.. qui resteront humbles et qui ne se rendront pas compte de ce qu'ils ont fait en minimisant leurs rôles. A Hopkins est magistral mais l'acteur qui le représente jeune est aussi prodigieux ainsi que l'actrice qui joue sa mère.
Pour moi c'est un film extraordinaire - A ALLER VOIR LE PLUS VITE POSSIBLE
À une époque où l'ombre de la guerre menaçait de recouvrir l'Europe, une lueur d'espoir brillait encore dans les ténèbres grâce à des actes de bravoure inimaginables et souvent oubliés. Le film "Une vie" nous plonge dans le Prague de 1938, une ville au bord du précipice, sur le point d'être engloutie par la voracité expansionniste du régime nazi. Au cœur de ce récit se trouve Nicholas Winton, un banquier londonien dont la vie bascule dans une mission aussi périlleuse qu'essentielle : sauver des centaines d'enfants juifs promis aux horreurs sans nom des camps de concentration.
Ce n'est pas seulement une course contre la montre que retrace le film, mais aussi une profonde introspection sur la capacité de l'humanité à faire preuve de compassion et de courage face à l'inhumanité la plus totale. Winton, avec une détermination qui défie l'entendement, organise des convois vers l'Angleterre, devenant ainsi le phare d'espoir pour 669 âmes innocentes. Ce récit, aussi inspirant qu'émouvant, était resté tapi dans l'ombre de l'histoire, presque oublié, jusqu'à ce qu'une émission britannique en 1988 révèle au monde entier l'ampleur de son héroïsme.
"L'Invisible Héroïsme de Nicholas Winton" ne se contente pas de narrer les faits ; il nous invite à réfléchir sur la nature de l'héroïsme. Un héroïsme qui ne se mesure pas à l'étalage de la force ou à la recherche de la gloire, mais dans le silence courageux d'actes altruistes. Le film nous confronte à la dure réalité des choix moraux en temps de crise et célèbre la puissance d'un individu à faire une différence monumentale dans la vie des autres.
Nicholas Winton n'a jamais cherché la reconnaissance pour ses actes, incarnant ainsi la véritable essence de l'héroïsme : agir non pas pour les louanges, mais parce que c'était la chose juste à faire. Sa rencontre inattendue avec les enfants qu'il a sauvés, devenus adultes, lors de cette émission télévisée de 1988, offre l'un des moments les plus touchants du cinéma récent, un rappel poignant que les véritables héros marchent souvent parmi nous, invisibles.
Ce film est un chef d’œuvre! Anthony Hopkins est juste magistral et nous offre une de ses meilleures prestations. Histoire méconnue mais hélas vraie! Très bien réalisé, scénario bien écrit! Courez voir ce film!
Pour moi ce biopic est un chefs d'œuvre car c'est une histoire méconnu d'un homme qui ce nomme Winton qui va sauver la vie de beaucoup d'enfants le rôle est incarner par l'acteur Anthony Hopkins un acteur que j'aime beaucoup j'ai versé des larmes tellement l'histoire est émouvante un grand merci à cette homme qui va changer l'histoire je vous conseille fortement ce film.
Dieu, s'il existe, a dû considérer qu'un homme tel que Nicholas Winton méritait sans aucun doute de vivre au-delà de ses 100 ans, en récompense d'une existence marquée par des actes héroïques dont il ne s'est jamais vanté. Sauver 669 enfants dans le Prague de 1939, à la veille de la seconde guerre mondiale, lui a valu le surnom de "Schindler britannique" et son histoire, celle d'un sauvetage organisé d'innocents menacés par la barbarie, est de celles qui appartiennent au devoir de mémoire, d'autant plus essentiel dans une époque aussi incertaine que la nôtre. Le film alterne entre 1939 et 1988, de manière un peu lourde d'abord, avant que l'on comprenne la nécessité de ce découpage qui donne toute sa puissance émotionnelle à la scène-clé d'Une vie, qui ne laissera aucun œil sec. Pour autant, le long-métrage sait le plus souvent rester à distance suffisante du pathos, respectant ainsi le caractère foncièrement modeste de ce Juste parmi les nations, même s'il n'a pas obtenu ce titre, du fait de ses origines. Une vie est une œuvre réalisée de manière classique, la mise en scène s'effaçant devant une histoire qui n'a nul besoin d'être enjolivée pour être poignante et, accessoirement, pour ne pas désespérer totalement du genre humain. Anthony Hopkins, sobre, emporte sans problème l'adhésion, au même titre que Johnny Flynn, dans la peau du même personnage, 50 ans plus tôt.
Plus qu'un grand film une grande histoire d'un groupe de personnes qui ont changé l'histoire à tout jamais. Ce film est une force émotionnelle comme je ne l'ai jamais vu. Nicholas Winton et les autres personnes qui ont aidés bravo d'avoir sauver 669 enfants.
Dès la bande-annonce, vous savez à quoi vous attendre. La conclusion du récit y est déjà dévoilée, prévenant que l'émotion sera au rendez-vous. Et ça ne sera rien par rapport au final ! Sur une échelle émotionnelle de 10, vous pouvez évaluer à… 12 ! Dans ce registre, il est vain de juger si c’est bien mis en scène, si ceci ou cela aurait pu être abordé différemment, si finalement c’est une style narratif trop classique, si ce n’est pas plus proche du téléfilm (ceci ne pouvant rien avoir ici de péjoratif). On prend le récit comme il est, comme il a été. Ben dites-donc, ça secoue !
Adapté du livre écrit par sa fille "If It's Not Impossible...The Life of Sir Nicholas Winton", ce biopic sur la vie de ce britannique ayant sauvé 669 enfants de la Shoah à Prague juste avant que n'éclate la Seconde Guerre mondiale en 1939 est pour moi une découverte bouleversante. Le film alterne entre le "présent" de 1987-1988 et l'incroyable combat que va mener Nicholas Winton 50 ans plus tôt pour tenter d'envoyer des enfants (juifs pour la plupart) déportés de Tchécoslovaquie (Crise des Sudètes) vers des familles anglaises prêtes à les recueillir. L'émotion de ce long-métrage, porté par un Anthony Hopkins poignant, explose dans la dernière 1/2 heure, lorsque finalement toute la portée de cette croisade altruiste d'une humanité infinie est mise en lumière à la fin des années 1980. Cette oeuvre sur celui qu'on appelle le "Schindler britannique" percute l'âme et touche en plein coeur : tragique et émouvant ! Site CINEMADOURG.free.fr
Quelle claque. Magnifique film sur l'histoire méconnue de nicholas Winton. Je n'ai pas eu simplement les larmes aux yeux. J'ai pleuré et je n'ai pas été la seule dans la salle. Je vous le conseille vivement.
Si le film ne brille pas par sa mise en scène il parvient néanmoins à passionné par la puissance de son propos.
L'erreur à ne pas commettre c'est de comparer "Une Vie" à "La Liste de Schindler". Premièrement, les 2 œuvres n'ont pas les mêmes intentions. Le chef d'œuvre de Steven Spielberg nous confrontait à l'horreur des Ghettos et des camps de concentration et nous mettez en face à face avec la cruauté des nazis. Quant au métrage de James Hawes , l'horreur de la Shoah n'est jamais montré à l'écran. Elle est juste mentionnée. D'ailleurs les scènes les plus fortes émotionnellement ne se déroule pas pendant la guerre mais bien dans les années 80.
Le film m'a fait sortir des larmes, preuve de réussite. Une réussite qui doit beaucoup à la très belle partition de Anthony Hopkins. Les scènes de la fameuse émission qui a révélée au monde les actes de Nicholas Winton sont d'une puissance inouïe qui m'ont personnellement procuré des frissons.
Bref, un très beau film qui vaut clairement le détour. Tant par son sujet que pour l'interprétation de Anthony Hopkins.
Evidemment que l'histoire d'un homme qui a sauvé de manière si naturel et calme de nombreux enfants ne peut qu'être un bon film d'autant que la réalisation du film est très émouvante, magnifique !
Le sujet est à la fois terrible et incroyable, on s'attend à voir un film aussi émouvant que la Liste de Schindler et pourtant c'est une déception. La mise en scène est plate, l'émotion quasi absente malgré la musique lacrymale redondante. Le montage aller-retours dans le passé peine à nous faire véritablement entrer dans cette histoire. La faute aussi a un scénario peu ambitieux. Anthony Hopkins est plutôt bon et porte ce film qui s'avère quand même assez long et ennuyeux.
Nous sommes en 1938, à Prague, à un an de l'invasion nazie. Des enfants juifs et leur famille, condamnés à la déportation et aux camps d'extermination, sont sauvés par un juste, Nicolas Winton, un courtier qui prend conscience de l'horreur qui se trame et décide d'agir, de réagir. Ainsi, par les moyens financiers et humains qu'il emploie, il réussit à préserver 669 enfants des camps de la mort.
Un juste, un héro, ne recherche nullement la reconnaissance. Ce n'est qu'en 1988, lors d'une émission télévisée, que notre héro montre son visage et retrouve les enfants qu'ils a sauvés.
Un film magistral dans son jeu comme dans son intrigue
Anthony Hopkins en pleine forme dans ce film historique poignant de suspense. Vous aurez besoin de beaucoup de mouchoirs, ce sont des scènes d'une tourmante insupportable. Un chef d'oeuvre d'humanité compassionnelle dont on a tellement besoin en ce moment
Une histoire vraie et forte, mais contenue dans un film à la réalisation très académique et à la narration assez mécanique, si bien que cela vient impacter, en partie, le message humaniste qu'il veut nous délivrer.
Un film qui a le mérite de mettre en lumière l'histoire de Nicholas Winton (décédé en 2015 à l'âge de...106 ans !), une sorte de "Schindler" britannique qui fit tout pour sauver 669 enfants juifs de la famine et de la guerre, imminente et impitoyable.
Une œuvre dont les séquences se déroulant en 1938 restent assez prévisibles et artificielles dans leur manière d'amener l'émotion, et ce malgré l'interprétation exquise d'Helena Bonham Carter dans le rôle de la mère de Winton.
Heureusement, celle-ci privilégie dans sa seconde moitié le "présent" de 1988, et ce Winton vieillissant (un Anthony Hopkins toujours impeccable, tout en émotion contenue) n'ayant jamais oublié ces enfants, ceux qui ont pu être sauvés, et les autres.
Et c'est quand la réalité vient rejoindre la fiction (me ramenant à ces images marquantes de l'émission «That's Life», circulant sur internet depuis de nombreuses années), quand le passé vient se rappeler au bon souvenir du présent et le remercier pour cette vie qu'ils ont pu vivre grâce à lui, que l'émotion, la vraie, vient poindre le bout de son nez. Et j'avoue que je ne peux rester insensible aux larmes d'Anthony Hopkins.
Un film à la fois formaté et sincère dans ce qu'il veut nous raconter, et l'espoir qu'il veut nous procurer. 6,5/10.