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Ne vous attendez pas à un film spectaculaire mais un film plein d émotion Anthony hopskins est sublime
Un film qui fait du bien et qui met l humanité au coeur de l histoire
Un film qui fait du bien et qui met l humanité au coeur de l histoire
Cet énième ersatz de La Liste de Schindler est bien trop sage dans sa mise en scène et dans le traitement de son sujet pour réussir à nous impliquer dans son histoire. On se contente de nous dresser l'hagiographie de ce brave homme, dont les actions, pourtant admirables, sont retranscrites fadement.
L'interprétation retenue de Hopkins, toujours bon du haut de ses 86 ans, est trop discrète pour nous laisser profiter de son talent, bien que le dénouement – tire-larmes convenu et grotesque – fasse tout pour rentabiliser le cachet d'une telle vedette. Ennuyeux d'un bout à l'autre.
L'interprétation retenue de Hopkins, toujours bon du haut de ses 86 ans, est trop discrète pour nous laisser profiter de son talent, bien que le dénouement – tire-larmes convenu et grotesque – fasse tout pour rentabiliser le cachet d'une telle vedette. Ennuyeux d'un bout à l'autre.
encore du grand Antony Hopkins. sortez vos mouchoirs pour ma part je n'ai pas pu me contenir sur cette histoire incroyable.
Film bouleversant et magistral , interprétation de grande qualité, qui
Ne cède pas au sentimentalisme ni au spectaculaire, comme nombre de films ayant trait à cette période.
Une histoire vraie méconnue, un oscar Schindler britannique
Une époque aux gestes humains gratuits, sans doute révolue .
Ne cède pas au sentimentalisme ni au spectaculaire, comme nombre de films ayant trait à cette période.
Une histoire vraie méconnue, un oscar Schindler britannique
Une époque aux gestes humains gratuits, sans doute révolue .
Sans plus film d une lenteur du déjà vu acteur formidable dans un film mal mené l histoire est cependant formidable. La musique est excellente
Cinememories
"L’abnégation de soi n’est-elle pas le geste le plus humain dans les heures sombres ? Si James Hawes ne la met pas entièrement en application dans son premier long-métrage, préférant s’arrêter aux standards du biopic académique, Une Vie met en lumière cette prouesse à travers ses personnages engagés. L’exercice commémoratif, niais et fiévreux par instant, n’a pas l’ambition de dépasser les modèles qui l’ont précédé, ce qui en fait un objet d’étude sans transcendance ni émotion. Reste que « l’histoire vraie » et méconnue de celui que l’on surnomme le Schindler britannique vaut bien un coup d’œil dans le rétroviseur."
"Il existe un avant et un après. Il est facile de s’imaginer le pont qui relie les deux périodes clés dans la vie de Nicholas Winton. Tiraillé entre trop et tout vouloir raconter, Hawes opte pour une narration en flashback, quitte à en diluer l’intensité dramatique. Il n’évite pas non plus les écueils qui font d’Une Vie un florilège de séquences remplies de bonne volonté et de discours pompeux sur la condition humaine. Elles témoignent pourtant d’une bonne documentation, là encore, pas assez mise en valeur. Le déroulement du sauvetage est rapidement esquissé dans un montage clipesque, anéantissant pour de bon toute forme de tension qu’on aurait pu générer. Et ce n’est pas la musique de Volker Bertelmann qui aidera le film à se défaire du pathos."
"Si on reste convaincu que le projet est une nécessité, afin de diffuser des valeurs solidaires dont l’humanité peut encore douter aujourd’hui, Une Vie reste en creux du portrait de Nicholas Winton, en nous refusant l’accès aux mêmes quais où les sentiments d’incertitude, de frustration, d’injustice et d’apaisement se sont intimement mêlés. Dommage que cette honorable leçon d’histoire ne soit pas toujours à l’image d’un homme dont la modestie contrariée l’a élevé au rang de guide spirituel pour les générations à venir."
Retrouvez ma critique complète sur Le Mag du Ciné.
"Il existe un avant et un après. Il est facile de s’imaginer le pont qui relie les deux périodes clés dans la vie de Nicholas Winton. Tiraillé entre trop et tout vouloir raconter, Hawes opte pour une narration en flashback, quitte à en diluer l’intensité dramatique. Il n’évite pas non plus les écueils qui font d’Une Vie un florilège de séquences remplies de bonne volonté et de discours pompeux sur la condition humaine. Elles témoignent pourtant d’une bonne documentation, là encore, pas assez mise en valeur. Le déroulement du sauvetage est rapidement esquissé dans un montage clipesque, anéantissant pour de bon toute forme de tension qu’on aurait pu générer. Et ce n’est pas la musique de Volker Bertelmann qui aidera le film à se défaire du pathos."
"Si on reste convaincu que le projet est une nécessité, afin de diffuser des valeurs solidaires dont l’humanité peut encore douter aujourd’hui, Une Vie reste en creux du portrait de Nicholas Winton, en nous refusant l’accès aux mêmes quais où les sentiments d’incertitude, de frustration, d’injustice et d’apaisement se sont intimement mêlés. Dommage que cette honorable leçon d’histoire ne soit pas toujours à l’image d’un homme dont la modestie contrariée l’a élevé au rang de guide spirituel pour les générations à venir."
Retrouvez ma critique complète sur Le Mag du Ciné.
Bof...la claque pour Anthony Hopkins qui a eu de très bons rôles. Ici tout est fade, ça met un temps énorme à démarrer.
spoiler:
Quand on a déjà entendu parler de l'émission télé
, tout le déroulé du film est du remplissage n'apportant rien, la réalisation est plate et ça sent le film qui aura sa 1ère diffusion sur Fr3 ou Arte.
Avec ce type de sujet, mettre en avant le courage, l'émotion semble pourtant facile.
2,6/5
, tout le déroulé du film est du remplissage n'apportant rien, la réalisation est plate et ça sent le film qui aura sa 1ère diffusion sur Fr3 ou Arte.
Avec ce type de sujet, mettre en avant le courage, l'émotion semble pourtant facile.
2,6/5
Alice025
Un drame intense concernant une histoire assez méconnue d'un homme qui sauva 669 enfants de juifs d'une mort certaine. Faisant forcément penser à la liste de Schindler, la narration et la réalisation restent toutefois bien différentes, alternant période de flashback des prémices de la guerre et retour aux années 80. Véritable course contre la montre pour sauver un maximum d'enfants, le film monte en tension et nous délivre à la fin de très belles émotions (sortez les mouchoirs). Anthony Hopkins est toujours impeccable et Johnny Flynn qui l'incarne plus jeune ne démérite pas. Puissant et bouleversant.
http://cinephile-critique.over-blog.com
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Loïck G.
On évoque bien évidemment Spielberg et sa fameuse liste. Sur le fond, pourquoi pas. Des centaines de gens sauvés des camps de concentration par la volonté de quelques individus seulement. Sur la forme il en va tout autrement. Barbara Winton la fille du héros malgré relate par le détail tout l’engagement nécessaire à une telle aventure. Celle d’un banquier Nicholas Winton, et de toute une équipe qu’il a fallu structurer pour mener à bien l’opération , de la découverte de l’ampleur du nombre de réfugiés , à l’obtention de visas britanniques pour des enfants obligatoirement arrachés à leurs familles, mais sauvés d’une mort certaine. Faire des choix, les acheminer et convaincre encore et toujours de renouveler l’opération. Les bons sentiments, jamais forcés, l’émotion à fleur de peau jusqu’alors contenue explose dans cette mise en scène plutôt classique de la notoriété contrariée pour un vieux monsieur qui voulait simplement laisser une empreinte, un témoignage, un souvenir. Anthony Hopkins maîtrise totalement son personnage. Johnny Flynn réussit la gageure de l’incarner dans sa période active. Helena Bonham Carter, la mère du héros joue bien la même partition . AVIS BONUS Rencontres avec Anthony Hopkins, Helena Bonham Carter, et le témoignage de quelques enfants sauvés par Winton. Toujours intéressant
Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
Film émouvant qui entre en résonance avec les situations actuelles en Ukraine et à Gaza. Le plaisir de voir le merveilleux Anthony Hopkins. Malgré tout le film reste un peu superficiel et vague tant dans les scènes de rafle et de violence que dans l’évocation des personnages ou des trésors d’énergie pour réussir à évacuer ces malheureux enfants
Anthony Hopkins + fait historique = super film...voici comment je pourrais résumer ce que j'ai vu. Certes il fait son âge et le film tiens surtout par l'histoire de cette homme qui va s'engager dans une course contre la montre ( plus de la mort même) pour tenter de sauver des centaines d'enfants des nazis. Mais quand il est à l'écran il y a toujours cette petite phrase ou se regard vif qui fait le job. L'histoire est poignante avec de l'émotion, au départ le sauvetage se passe bien et puis les évènements historiques s'accélérant et bien oui il y a des drames... les retrouvailles avec ceux qu'ils à sauver est un beau moment, LE beau moment du film qui te brasse vraiment. Et puis il ne fut pas seule à œuvrer pour sauver ses enfants et dans le film il le dis bien et reste humble, plus à se "torturer" pour ceux qui n'ont pu l'être.
J'ai aimé la façon de ne pas abuser sur les moments tristes ou joyeux, cela sonne juste comme il faut.
NOTE : 9/10
J'ai aimé la façon de ne pas abuser sur les moments tristes ou joyeux, cela sonne juste comme il faut.
NOTE : 9/10
L'académisme du film entraîne une distanciation qui laisse le spectateur un peu à l'écart du drame historique. Mais on retient la belle leçon de volonté et de courage d'un homme exceptionnel.
Super film très bien joué par ces acteurs. Il retrace de manière très intéressante la vie de ce héro.
A voir sans hésiter
A voir sans hésiter
Le premier long-métrage de James Hawes, sorti en 2023, retrace la biographie d’un homme d’exception méconnu. Il s’agit de Nicholas Winton, un banquier londonien qui, à la veille de la Seconde Guerre mondiale, a sauvé 669 enfants, pour la plupart d’origine juive, d’une mort certaine dans les camps de concentration nazis. Le récit est forcément bouleversant mais ce que l’on retient c’est le choix du réalisateur britannique de s’être focalisé sur la période contemporaine plutôt que la tragédie historique (Prague de 1938). De fait, on découvre le portrait d’un homme, meurtri pas ses souvenirs et ses regrets de ne pas avoir pu préserver davantage de vies, investi dans un travail de mémoire chargé d’humilité. Dans ce rôle, Anthony Hopkins reste fascinant de crédibilité. On peut simplement regretter un final un peu trop appuyé en charge émotionnelle, même si l’hommage rendu à ce héros de l’ombre ne pouvait qu’être vibrant. Bref, une œuvre indispensable.
Rarement, un film n'a provoqué autant d'émotions.
Nous sommes à Prague dans les années 1937/1938 juste avant la chute de la ville et la déclaration de guerre par les Allemands.
Un formidable course contre la montre s'engage pour sauver les enfants juifs de leurs bourreaux et des camps de concentration.
Un banquier Anglais présent à Prague s'est donné comme mission de les sauver de leurs bourreaux..
Toute sa vie durant, il pense à ces enfants et à leurs sorts.
Dans les années 1980, Il rencontre certains d'entre eux qui sont devenus des adultes lors d'une émission télévisée, c'est bouleversant.
Une formidable histoire !!!!!!
Nous sommes à Prague dans les années 1937/1938 juste avant la chute de la ville et la déclaration de guerre par les Allemands.
Un formidable course contre la montre s'engage pour sauver les enfants juifs de leurs bourreaux et des camps de concentration.
Un banquier Anglais présent à Prague s'est donné comme mission de les sauver de leurs bourreaux..
Toute sa vie durant, il pense à ces enfants et à leurs sorts.
Dans les années 1980, Il rencontre certains d'entre eux qui sont devenus des adultes lors d'une émission télévisée, c'est bouleversant.
Une formidable histoire !!!!!!
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