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AZZZO
313 abonnés
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1,5
Publiée le 6 mars 2024
C'est du pathos en flacon de deux litres. Nouveau parfum fruits de l'héroisme et thé noir. Un gentil British a sauvé 669 enfants d'une mort annoncée avant le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale. Et en plus, c'est une histoire vraie ! Mais c'est tout. Il n'y a rien de plus que ce pitch délayé dans un jus de violons et de pleurs d'enfants. Le seul but est de voir les spectateurs le mouchoir à la main lorsque les lumières de la salle se rallument. Il faut aimer. Il y a un public. Et tant mieux car il en faut pour tous les goûts et toutes les humeurs. L'histoire de cet homme est une belle histoire mais que ceux qui attendent un peu de mise en perspective et de grande Histoire retournent à leurs lectures. Pas de ça ici. Pas de complexité ni d'évolution dans les personnages. Tout semble rappeller "La liste de Schindler" mais on est plus proche du sentimentalisme manichéen de "La rafle", l'histoire n'étant qu'un outil pour faire pleurer (avec en prime une belle carte de l'Europe en 1938 sur laquelle apparaît déjà la ligne de démarcation française. Chapeau). Un film oubliable.
Un chef d'Œuvre, peut être pas, mais en tout cas un récit poignant de ce tte "aventure " vécue par différents protagonistes, sauveteurs ou sauvés ! Quel courage il a fallu à cet homme et ses amis pour venir en aide à ces pauvres gamins, promis à une mort terrible. Lorsque je suis allé voir ce film, il y avait, à ma grande surprise, de nombreux jeunes dans la salle. Ta,t mieux, puissent-ils parlerde cela à leurs amis et les alerter sur ce que sait faire "les extremis" !
Nicolas Winton est un jeune courtier qui travaille dans une banque prestigieuse londonienne. Avide d’aventures, il part à Prague lors de l’invasion des Sudettes par Hitler en 1938. Il découvre sur place une situation terrifiante où de nombreux enfants vivent dans des camps en attendant l’invasion finale du pays. Il décide de les aider. En salle le 21 février.
spoiler: "Une Vie" nous plonge en pleine invasion de la Tchécoslovaquie par l’allemagne nazie, dans la peau d’un anglais idéaliste pour qui rien n’est considéré comme impossible. Les deux trames temporelles se marient bien et convergent vers ce fameux plateau-télé où a lieu la rencontre entre Nicolas et “ses enfants”, image connue dans le monde entier. Le film n’est pas exempt de défauts : dialogues qui paraissent souvent idéalisés, presque issus d’une pièce de théâtre. tout est fait pour nous faire verser notre petite larme. Toutefois, le spectateur passe un moment très instructif, animé par des personnages hauts en couleurs. La thématique fait réfléchir, surtout aujourd’hui.
L'histoire dans la grande Histoire,, forcément toujours important de la transmettre, constant merveilleux Anthony Hopkins, certes faiblesse du scénario, un peu trop de clacissisme, une autre histoire individuelle aurait pu s'y greffer, par exemple celle d'un des enfants sauvés par ce héros,.mais pour la mémoire, doit être vu.
Quelle claque !!!! Un film sublime tout en délicatesse, sans chercher a choquer, malgré l horreur de cette guerre . Anthony Opkins est magistrale comme à son habitude. Préparez vos mouchoirs. A ne pas manquer
Ce film est un chef d œuvre, Anthony hopkins est magistral, le scénario est solidement ficelé, les acteurs sont d une justesse incroyable et le tout couronne d une grande et profonde émotion, ce fut un pur régal et on ne peut retenir ses larmes, je vais le revoir une 2e fois, un grand bravo à Anthony, chapeau l artiste
Film témoignage utile mais très académique et modeste dans sa réalisation avec Anthony Hopkins bien choisi pour ce rôle mais il montre une grande fatigue, ce qui l’empêche, je trouve d’être très performant et de bien habiter son personnage. Nous sommes loin de la liste de Schindler.
Un film parfait, une interprétation " Hors Normes ". Anthony Hopkins est parfait dans son interprétation de Nicholas Winton. Je dois reconnaitre que je ne connaissais pas cette histoire vraie et comment le grand public a connu celle ci. Incontestablement le film a voir au cinéma. ❤️❤️❤️❤️❤️ Ma note: ***** / ***** #richardmagan #jadorelecinema #jadore #movies #filmavoirabsolument #voirlesfilmsaucine
Jeune courtier à la City de Londres, Nicholas Winton se rendit à Prague à l’hiver 1938. Il y découvrit avec horreur le dénuement dans lequel y vivaient les réfugiés fuyant les persécutions nazies. Il mobilisa toute son énergie à travers le Comité britannique pour les réfugiés de Tchécoslovaquie (BCRC) pour organiser le départ vers l’Angleterre de plusieurs centaines d’enfants. Son héroïsme désintéressé resta longtemps ignoré jusqu’à sa révélation lors d’une émission télévisée en 1988 qui rassembla les enfants qu’il avait sauvés d’une mort certaine.
L’émotion spontanée ressentie en regardant l’émission télévisée de 1988 qui réunit les enfants des convois organisés en 1939 au départ de Prague par Nicholas Winton et leur bienfaiteur est si grande qu’on comprend aisément qu’elle ait suscité l’envie d’en faire un film. Mais hélas, cette entreprise, aussi noble soit-elle, fait long feu.
Elle essaie de mêler deux temporalités. D’un côté, une reconstitution en carton-pâte de la Tchécoslovaquie sur le point d’être envahie par l’Allemagne où un jeune Nicholas Winton, traumatisé par ce qu’il découvre dans les camps de réfugiés, se démène comme un beau diable pour mettre à l’abri des enfants, notamment juifs, dont nous savons – mais dont les contemporains ne savaient pas – la mort certaine à laquelle ils sont promis s’ils ne s’échappent pas à temps. De l’autre, en 1988, un Nicholas Winton vieillissant auquel la star du quatrième âge Anthony Hopkins prête ses traits, qui semble déchiré par le remords d’avoir laissé derrière lui des victimes innocentes.
Le titre se voudrait polysémique ; mais il ne l’est qu’à moitié. "Une vie" renvoie peut-être à celle de Nicholas Winton, dont en fait on n’apprend pas grand chose entre 1938 et 1988. "Une vie" renvoie plus certainement à l’adage juif plein de sagesse selon lequel : »qui sauve une vie sauve l’humanité ».
Pas certain d’avoir comme lui montré le même entêtement à sauver ces enfants, on craint d’être bien mesquin en objectant que Nicholas Winton n’a pas risqué grand-chose en menant à bien son entreprise. Qu’il n’ait pas pris de risque physique n’enlève rien à l’admiration que son obstination mérite. Aussi mesquin sans doute serait-il de regretter que tout le mérite de cette action collective lui revienne à lui seul, ses compagnons au Comité britannique étant tous disparus cinquante ans après les faits.
On pleure abondamment devant "Une vie", à commencer par sa bande-annonce en moins de deux minutes. Faut-il saluer un film pour jouer si efficacement sur ce ressort-là ? ou faut-il au contraire l’en blâmer ?
L'histoire de Nicholas Winton est admirable. Nous pouvons nous attendre à ressentir beaucoup d'émotions et en ressortir totalement boulversé... Malheureusement la mise en scène et la réalisation n'a pas été à la hauteur de mes espérances. Ce film est un bel hommage à l'homme qu'était Nicholas Winton, mais ça s'arrête là ! Anthony Hopkins joue parfaitement son rôle mais seul son regard puisant et son grand talent à pu me procurer quelques émotions. Emotions spoilées par une bande annonce qui en dévoile trop ( la seule scène réellement émouvante est dévoilée dans la BA) . Plusieurs scène auraient méritées d'être mieux exploitées, nous n'allons pas dans le coeur de l'histoire, au coeur des émotions ... Sans Anthony Hopkins, le film serait au niveau d'un bon téléfilm. Une grosse déception
Film émouvant bien sûr mais au-delà de l'histoire et de ses leçons de vie (sur l'engagement humaniste), ce qui m'a surtout plu c'est Anthony Hopkins ! Quelle présence à l'écran ! Quel acteur ! 86 ans ! Et quel rôle ! Son art de jouer excelle dans ce film où son jeu d'acteur apparaît comme une pure merveille, comme un véritable trésor !
Malheureusement le rythme est lent, la 1ere heure est blindée de détails inutiles et on ne ressent aucune émotion ... J'entendais des ronflements dans la salle, c'était vraiment difficile d'accrocher. Je n'ai pas tenu, je suis partie avant la fin tellement je m'ennuyais trop.