Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
FaRem
9 050 abonnés
9 807 critiques
Suivre son activité
4,5
Publiée le 4 avril 2024
« Ne pleure pas parce que c'est fini, souris parce que c'est arrivé. » S'il s'agit d'une citation un peu bateau, je trouve que ça résume très bien le message du magnifique film d'Anaïs Volpé. Une amitié indéfectible, intense et bouleversante comme rarement montrée au cinéma. S'il y a toujours une accalmie entre deux vagues, ce n'est jamais le cas ici. On est directement emporté par le dynamisme et la folle énergie de ces deux copines que l'on pense suivre pendant qu'elles font les quatre cents coups. Et c'est le cas lors d'une première partie jubilatoire, drôle, insouciante et pleine de vie avant que la réalité de la vie ne les rattrape... Les émotions changent alors, mais elles continuent de nous submerger... "Entre les vagues", c'est donc l'amitié, mais aussi la passion et la poursuite des rêves, et quoi de mieux que de partager cela à deux. Mais c'est aussi les désillusions et les épreuves de la vie. Entre le montage dynamique, la beauté des images et la fantastique performance des deux actrices, notamment Souheila Yacoub qui est exceptionnelle, "Entre les vagues" est un vrai coup de force, un film beau, drôle et bouleversant.
Un film très émouvant de anais vole un peu tire larme ce qui est une petite réserve du film, mais on oublie vite car l l'interprétation de ces deux jeunes filles sont très brillantes,tellement brillante qu on s attache beaucoup à elles. Le scénario de ces 2 filles qui ont un rêve devenir comédienne,l une des deux d ailleurs touche au but mais la maladie apparaît qui va declencher raz de marée de sentiments Un film a découvrir
« Entre les vagues » vaut par l’énergie déployée de ses comédiennes. La réalisatrice a non seulement eu du flair de les choisir mais elle a su merveilleusement les diriger. Déborah Lukumuena et Souheila Yacoub y sont remarquables. Si j’avais pleinement apprécié Déborah Lukumuena dans « Divines », j’avoue ne pas avoir fait attention jusqu’à présent à Souheila Yacoub que j'ai trouvée ici particulièrement convaincante. Il est vrai que je n’ai pas encore vu « De bas étage ».
Ce mélodrame qui aborde des thèmes comme le théâtre, son processus de création et la maladie incurable aurait pu me toucher. Mais allez savoir pourquoi, j’ai regardé ces jeunes femmes à distance, ce qui ne signifie pas pour autant que j’ai été indifférent à cette chronique. J’ai eu l’impression que l’enthousiasme d’Alma et de Margot, leur sororité prononcée leur appartenait et que je n’avais pas ma place. Pour qu’un film fonctionne à plein sur moi, il faut titiller mes émotions. Ce qui n’a pas vraiment été le cas. Evidemment, je ne suis pas resté insensible sur le sort final d’Alma.
Je regrette simplement que la réalisatrice soit tombée dans le registre de la coïncidence, alors que son récit me semblait surfer sur la nuance. spoiler: J’appréhendais que la Première de Margot se conjugue pile poil avec la disparition d’Alma . Comme par hasard ! spoiler: Alma aurait pu disparaître deux ou trois jours avant ou après ; il n’était pas utile de faire disparaître Alma aussi. Laisser le spectateur s’en douter. Dommage, « Entre les vagues » s’avère pour le coup bien programmatique, donc conventionnel.
Le second long-métrage d’Anaïs Volpé, sorti en 2021, déborde indéniablement d’énergie. L’histoire d’amitié entre deux jeunes femmes (Souheila Yacoub et Déborah Lukumuena), partageant une passion commune pour le théâtre, se laisse regarder avec plaisir dans sa première partie. A une mise en scène très rythmée, comportant notamment quelques plans inventifs, s’ajoute l’exubérance des actrices. Cependant, le scénario tombe vite à plat réduisant le caractère naturel et spontané du début du film à un traitement complètement surjoué des émotions. Bref, de très belles intentions malheureusement noyées dans un mélodrame ultra prévisible.
Film très inégal et malgré une authenticité et de la bonne volonté tout à fait respectables, l'accumulation de maladresses empêchent d'entrer en empathie avec les personnages. Que cela soit dans le jeu, la narration ou la mise en scène tout est trop démonstratif, tout est montré, appuyé, surligné, les personnages hurlent, disent tout ce qui se joue en eux , le jeu des actrices en devient lourd faisant écran avec l'intériorité des personnages. Comme ces films qui voulant trop faire vrai finissent par nous sortir de la vérité la plus importante qui soit à savoir pouvoir connecter avec un personnage et projeter son vécu, ses ressentis, sa complexité. Pour se faire il faut laisser de la place au spectateur, au silence, faire confiance à la caméra, au eju des acteurs, ici on a le sentiment du drame trop orchestré qui prend en otage le spectateur. Difficile de se sentir à son aise. La structure est également très binaire, on oscille entre comédie, légèreté, énergie et drame, larmes, mort ; si cela semble être justement le propos du film on se sent pourtant arbitrairement balloté de l'un à l'autre et les situations et personnages deviennent malheureusement caricaturaux. C'est dommage car j'aurais vraiment aimé pouvoir aimer ...
Je vais commencer par les points positifs, un film moderne, une mise en scène invitante et un acting spontané (parfois). Cependant Entre les vagues est prévisible du début jusqu'à la fin. Et je trouve que Déborah est une bonne actrice mais elle joue tout le temps le même registre ce qui m'a sortie du film à plusieurs reprises.
Porté par l’interprétation pleine de spontanéité de ses deux actrices, le récit vibrant et fougueux mais n’évitant pas le pathos, d’une bromance entre deux jeunes filles rêvant de devenir actrices, chamboulée par la maladie de l’une d’elle. 2,75
C’est pas possible, il n’y a que moi que ca gene cette caméra qui bouge sans arrêt ? Mais qui peut aimer cette manière de filmer ? C’est moderne ? Comment peut on apprécier un film qui donne tellement mal a la tete qu’il faut prendre un Doliprane…
Déborah que j'ai adoré dans Divines, est juste encore une fois incroyable, tout comme Souheila que je ne connaissais pas et qui m'a ébloui par son role et sa présence. Je me suis empechée de pleurer tout le long pour finir par craquer. Une claque!
Magnifique film porté par de grandes actrices. L'alchimie entre les deux personnages est forte et émouvante. J'ai adoré cette histoire d'amitié entre femmes. Les hommes sont relégués au second plan (quoi qu'encore trop présents à mon goût). Le sujet de la "rivalité féminine" est vite évacué. Ne reste que l'amour profond qui lie Alma et Margot. Cette histoire a fait pleurer toute la salle de cinéma.
Un film plein d'énergie, d'entrain, de folie, de paillettes, de mouvements... Un aperçu de la vie parisienne comparée à la vie newyorkaise. Cela dure pendant une bonne heure quand on comprend ce qui se passe réellement. Le rythme reste le même, effréné, cependant l'histoire prend une autre tournure. spoiler: On apprend que l'actrice principale, celle qui a obtenu le rôle pour la scène de théâtre, est en phase terminale d'un caner. On y découvre donc le tiraillement de cette actrice a vouloir joué, mais sûrement à ne pas pouvoir. Et tout d'un coup la vie qui s'arrête. L'intrigue est donc réussie. Cependant, j'ai eu beaucoup de mal à m'attacher aux actrices dès le départ, je trouvais que ça manquait de réalisme, de spontanéité, je trouvais que c'était surjoué. La bande-son est également fatigante, au bout d'une heure, on en peut plus de la musique forte, bruyante, beaucoup trop présente. Je conseille tout de même, joli film avec ses défauts.