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    Entre les vagues
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    3,7
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    55 critiques spectateurs

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    Omar A
    Omar A

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 mars 2022
    Magnifique, absolument adoré ! Très rafraîchissant, surprenant et en même temps si réaliste et humain. À voir absolument, belle performance des deux actrices principales!
    Joce2012
    Joce2012

    186 abonnés 527 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 mars 2022
    Ce film est bouleversant, j'ai pleuré de rire et j'ai pleuré de tristesse, c'est admirablement joué
    A voir !
    L'enfant sauvage
    L'enfant sauvage

    3 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 mars 2022
    Film touchant, empli d'authenticité. Un duo pétillant qui apporte un bon dynamisme au film. Je recommande
    Coco B
    Coco B

    2 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 mars 2022
    J'ai adoré le film!! Un film rare au cinéma. Il est captivant, émouvant, drôle, les actrices sont incroyables, tu suis cette magnifique histoire de ces deux meilleures amies jusqu'au bout sans décrocher les yeux de l'écran, il fait du bien!!
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    328 abonnés 1 709 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 mars 2022
    C’est une réalisation de Anaïs Volpé qui en a aussi écrit le scénario. Entre les vagues a été sélectionné à la Quinzaine des Réalisateurs 2021.

    Il y a des films qui sont des énormes coups de cœur alors qu’on n'attendait rien d’eux avant d’y aller. C’est le cas avec Entre les vagues qui met un certain temps à démarrer mais cela en vaut la peine. On débute loin de la thématique centrale, mais s’en rapproche doucement avec l’avancement. Une mise en place qui paye sur la durée. Finalement, l’amitié entre ces deux femmes va passionner.

    Le sujet est donc touchant. On s’approche de la maladie. D’autant plus qu'a la vue du contexte, il est difficile de ne pas se sentir concerné. On ne choisit pas qui tombe malade et quand cela arrivé à un proche, nous n’avons pas le choix que d’être solide comme un roc pour l’accompagnement. C’est une amitié pure qu’on a la chance de voir. Cette beauté est aussi intense que la tristesse ressentie avec l’événement. L’apothéose sera une fin tirant les larmes tant elle va sublimer les émotions vécues jusque-là.

    En plus de l’émotionnel, l’habillage sera une pure réussite. Margot et Alma vont être dans une pièce de théâtre. On va donc assister à la préparation de celle-ci. Une activité qui va offrir des passages géniaux tant sur la forme de l’animation proposée, que sur le fond avec des propos très justes sur le déracinement. Pour information, la pièce vue durant entre les vagues s’appelle La Rive écrite par la réalisatrice elle-même, Anaïs Volpé. Ces instants, sur les planches et en dehors lorsque la bande se réunit, nous communiquent beaucoup de joie. Une donnée primordiale, car la vie ce n’est pas que des larmes.

    Si ce drame brille c’est aussi grâce aux actrices. Que ce soit Souheila Yacoub ou Déborah Lukumuena, elles sont impeccables. En solo ou ensemble, leurs performances vont éblouir. Déborah Lukumuena enchaîne quelques semaines après sa belle prestation dans Robuste avec Gérard Depardieu. À noter, le second rôle de Matthieu Longatte connu sur YouTube pour la chaîne @BonjourTristesse. Son énergie est agréable à voir.
    velocio
    velocio

    1 226 abonnés 3 063 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mars 2022
    Une vieille légende bien machiste raconte que les femmes sont moins encline à se soutenir les unes les autres que les hommes, qu’elles sont plus facilement jalouses, etc. Le cinéma a d’ailleurs sa part dans cette légende, nombre de films (tournés par des hommes !) donnant l’impression que les femmes se complaisent dans la rivalité entre elles. C’est exactement le contraire que nous montre Anaïs Volpé dans Entre les vagues avec Margot et Alma, deux jeunes femmes de 27 ans qui se serrent les coudes, qui se réjouissent des succès de l’autre quand bien même ce succès s’est bâti au détriment de son propre succès, qui prennent soin de l’autre dans les moments difficiles. Mais alors, comment se fait-il que, lorsqu’on fait leur connaissance, elles sont en train de se battre entre elles « comme des chiffonnières » sur la scène d’un théâtre ? Tout simplement parce que la scène d’un théâtre, c’est le lieu où il est normal de jouer la comédie, sauf que là, elles sont les seules à savoir qu’elles jouent à se battre : cette bagarre, c’est un coup monté par elles pour se faire particulièrement remarquer par Kristin, une metteuse de scène, lors d’une audition destinée à faire le choix du casting pour une pièce en train de se monter. « Ce genre de metteurs en scène, c’est des oufs, il leur faut des acteurs de ouf. Je sais qu’elle aime ça », affirme Alma. Et elle n’a pas tort Alma, car c’est elle que la metteuse en scène va choisir, prenant également Margot comme doublure « au cas où ». En fait, ce film sur la force de la sororité s’avère être également un film sur l’art de la comédie appliqué dans la vie courante, art qui consiste à tromper son monde en « fabriquant » une bagarre, à scénariser une situation destinée à être embarrassante pour la personne dont vous souhaitez vous venger ou à pratiquer ce qu’on appelle un « pieux mensonge » : un soupirant vous a larguée, vous arrivez devant chez lui avec un enfant en bas âge qui va l’appeler papa alors que vous savez que cet ancien amant est en train de roucouler avec sa nouvelle bien aimée ; vous savez que le cancer dont souffre votre meilleure amie va lui être fatal mais vous évoquez avec elle son avenir qui, forcément, sera radieux. Pour interpréter les rôles d’Alma et de Margot, des rôles qui demandaient énormément d’énergie, Anaïs Volpé a fait son choix parmi rien moins que 120 comédiennes et elle a retenu Souheila Yacoub et Déborah Lukumuena, un choix qui parait indiscutable à la vision du film, d’autant plus que l’amitié qu’on sent entre elles apparait comme totalement crédible. La comédienne suisse Souheila Yacoub, on l’a vue récemment dans De bas étage de Yassine Qnia et on la reverra le 30 mars prochain dans En corps, le nouveau film de Cédric Klapisch. Quant à Déborah Lukumuena, on vient de la voir dans Robuste de Constance Meyer, tenant la dragée haute à Gérard Depardieu, et on se souvient d’elle, bien sûr, dans Divines de Houda Benyamina. On notera aussi la belle prestation de la chanteuse béninoise Angélique Kidjo dans le rôle de la mère d’Alma.
    Jorik V
    Jorik V

    1 230 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 novembre 2021
    Quel film plein d’énergie et de vie! Et pourtant il y a la mort qui rôde tut du long mais Anaïs Vogel a fait le choix d’encenser la vie autour de cette histoire d’amitié à la puissance rare et incontestable. On pense beaucoup au duo de « Tout ce qui brille », Leïla Bekhti et Géraldine Nakache, par la complicité sincère et naturelle entre les deux actrices. Mais dans une version plus tragique et plus énervée. Même si c’est le second film de la cinéaste, il y a certes encore beaucoup de tics de premiers long-métrages comme un côté parfois un peu hystérique ou l’image saccadée avec cette caméra qui tremble. Des choix pas forcément indispensables mais qui colle d’une certaine manière à cette urgence qui parcourt tout le long-métrage. Mais ce côté parfois un peu amateur formellement n’enlève en rien à la magie qui se dégage de ce « Entre les vagues ». On est emporté par ce tourbillon de sensations et d’émotion tout comme la force qu’il dégage.



    On n’avait pas vu une œuvre aussi belle, sincère et réussie sur l’amitié féminine depuis longtemps et beaucoup d’entre nous se retrouveront dans celle qui unit ces deux filles. Et si Déborah Lukumuena ne démérite pas, c’est la découverte Souheila Yacoub qui ravage tout sur son passage. Cette jeune actrice est incroyable. Déjà vue dans la claque cinématographique « Climaxx » dans lequel elle faisait partie de la troupe de danseurs, elle irradie et crève littéralement l’écran ave « Entre les vagues » dans son premier rôle principal. Une composition classique de meilleure amie qu’elle rend intense et incandescente. Mais surtout plus vraie que nature. Il n’y a qu’à voir comment elle transforme de simples scènes amoureuses en douces caresses et comment sa rage et ses pleurs sont partagés à travers l’écran. Si cette actrice et son duo amical ne vous font pas verser au moins quelques larmes...



    « Entre les vagues » parvient à être tout de même pétillant et joyeux malgré la maladie en épée de Damoclès menaçant l’une d’elles et leurs rêves. La complicité qui unit les deux actrices nous donne le sourire et leurs petites combines sont drôles et presque attendrissantes. Le montage est dynamique et se singularise par tous ces plans de coupe où l’on voit de images de New York à l’ancienne, ville qui symbolise leur rêve théâtral à toutes les deux. Et on se reconnait aussi dans le dilemme moral qui touche Margot, à savoir si elle doit prendre le rôle dévolu à son amie au risque de le peiner. Bref, sans être le film du siècle, ce petit film sans prétention est une véritable bouffée d’air frais, de bonne humeur, de rires et de larmes qui nous fait passer un beau moment avec force et humilité mais une sacrée dose de sublime.



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    traversay1
    traversay1

    3 246 abonnés 4 676 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 novembre 2021
    Entre les vagues est avant tout l'histoire d'une amitié féminine puissante qui se bat contre les coups du sort, dût-elle se confronter à la tragédie. Car c'est bien de cela qu'il s'agit, en fin de compte, d'un vrai mélodrame mais arrosé de larmes de joie, aussi, pour un ascenseur émotionnel qui n'en finit pas de nous balloter. Le film est sincère mais va parfois plus vite que la musique, se refusant d'étirer les scènes, par peur du pathos, sans doute, mais en contrepartie, ce qu'il gagne en vélocité, il le perd en profondeur. De nombreuses scènes de répétition au théâtre se juxtaposent au récit intime, puisque les deux héroïnes d'Entre les vagues ont eu la chance d'être choisies parmi beaucoup d'autres, l'une en vedette, l'autre en doublure,et prennent un peu trop de place finissant par devenir répétitives, malgré ou à cause de la volonté d'illustrer le thème de la pièce par des images d'archives de New York. Plus le film avance, plus il acquiert une sorte de prévisibilité et, là encore, la réalisatrice nous fait prendre son ascenseur, jusqu'au final convenu dans son caractère forcément poignant. Ce qui touche le plus dans Entre les vagues, c'est cette amitié insubmersible et tout le reste n'est au fond qu'un habillage, le film n'étant jamais meilleur que dans la simplicité. Son principal atout reste la complicité évidente entre Déborah Lukumuena et Souheila Yacoub, épatantes dans leurs scènes communes et plus ordinaires autrement.
    Billentete
    Billentete

    132 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 novembre 2021
    Un très beau film, drôle et émouvant. Du beau cinéma comme on aimerait en voir plus souvent ! bravo !
    philippeko
    philippeko

    2 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 octobre 2021
    Belle histoire d'une amitié entre deux copines liées par la même passion de la scène. Leur histoire va amener de l'élasticité à cette relation dont le destin va faire basculer l'une d'elle.
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