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Arthur Brondy
213 abonnés
873 critiques
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3,0
Publiée le 29 mars 2022
L’histoire bouleversante de Margot et Alma, deux amies qui passent un casting de théâtre ensemble et qui vont choisies ! Mais rapidement les choses se corsent et la très belle amitié va se retrouver fragiliser… Deborah Lukumuena continue de crever l’écran.
Je sens que je vais moi aussi casser l'ambiance. Ce film est une nullité, principalement sur la forme. Comme l'a écrit quelqu'un d'autre, ça braille tout le temps -et c'est insupportable- la caméra colle au visage des acteurs -et c'est insupportable- et bouge tout le temps -et c'est insupportable. On dirait qu'elle est tenue par un gamin à qui on vient d'acheter un caméscope. Je suis sorti au bout de 20 mn, ce que je ne fais jamais. Bonne séance...devant un autre film. JL Bernet
Film moderne avec une image bousculée et une caméra fureteuse... tout semble très spontané dans la première partie puis tout est trop appuyé dans la seconde avec du pathos du pathos du pathos... dommage mais je revendique le titre de FAN NUMBER ONE de Déborah ! Quelle actrice ! Jamais vu quelqu'un sortir de l'écran comme ça !
"Entre les vagues" fait remonter les larmes. J'ai trouvé ce film extrêmement frais, révélateur de son époque, authentique au niveau émotionnel. Le duo d'actrice porte le film avec une force rare. De nombreux moments sont très drôles. C'est un film qui transporte et qui fait vibrer.
Petit banger !!! Ce film a su nous surprendre !! La bande annonce ne dévoile rien du film, ce qui est très rare de nos jours. Ce film est riche en émotion, ils vous emporte du début à la fin. Les deux actrices principales sont bluffantes !!! On sent une réelle harmonie et complicité entre elles, ce qui rend l'expérience encore meilleure !! BREF, ALLEZ VOIR CE FILM !!!!!
Je n' ai pas aimé beaucoup de répétitions, de bruit,une pièce que peu de gens iront voir. On était 3, dans la salle malgré ma grande sensibilité je n' ai pas pleuré et je me suis ennuyée
Venant de la part d’une jeune cinéaste autodidacte, Anaïs Volpé, « Entre les vagues » est un moment de cinéma plutôt unique. Après un premier film autoproduit, ce second film, dont le grand thème est l’amitié (avec un grand A), laisse rêveur devant ses qualités d’écriture, de mise en scène et de direction d’acteurs. Rires et larmes vont émailler cette projection pleine de rythme, pleine de vie. L’injustice de la destinée qu’Alma et Margot (jeunes actrices qui courent les castings) devront affronter, n’arrivera pas à détruire leur indéfectible amitié. Ce tourbillon émotionnel doit évidemment beaucoup aux performances de Souhela Yacoub (Margot) et de Deborah Lukumuena (Alma), toutes deux sidérantes. Leurs deux prestations, dans des rôles très écrits, nous laissent pourtant croire grâce leur jeu, à de l’improvisation alors qu’il n’en est rien. Du coup, les scènes de répétition théâtrales deviennent presque une mise en abyme du travail d’acteur, d’actrices dans le cas présent. L’addition de ces trois jeunes femmes talentueuses aboutit à un résultat remarquable et devrait leur ouvrir des perspectives rayonnantes. N’hésitez pas, plongez « Entre les vagues »…… et parlez en !
C'est un film qui ne raconte pas sa bande annonce, une histoire plutôt facile qui tire au tire larmes. Les actrices sont sublimes, j'y suis allée pour elles mais l'histoire est catastrophique, on dirait un film fait par des ados.
Au moment où j’écris cette critique, il n’y en a que 12 en ligne dont 3 labellisées « LeClub300 » pour des notes se répartissant à part égale sur 3, 4 et 5 étoiles. La moyenne est donc à ce moment-là encore très correcte mais je vais casser l’ambiance car je n’ai pas du tout apprécié, du tout, du tout ! D’abord, en guise de dialogues, ça braille. Trop ! Ensuite, la caméra (un modèle spécial nous révèlent les secrets de tournage) collée en quasi-permanence sur le visage des actrices. Je n’aime pas quand ça devient un genre. Celui du cinéma dit d’auteur. Je ne sais pas où ils ont appris ça... Et puis, le point suivant étant fort à propos relevé par d’autres critiques malgré leur bonne note, l’extrait de la pièce de théâtre qui sert de fil conducteur au scénario est répétitive. Normal, ce sont des répétitions. Mais qu’est ce que c’est lassant ! Surtout que c’est le genre de pièce de théâtre que personne ne va voir ! Là je suis sévère. Trop sans doute. Mais c’est que ce film m’a ennuyé au possible. Ça nous vient du Festival de Cannes, ai-je lu. Ah ? Tout s’explique alors (hélas !) car ce n’est pas l’endroit où le septième art populaire est glorifié et mis en avant. En sa première semaine de sortie nationale, ce film n’est à l’affiche que de 99 salles. Et seule une toute petite poignée de spectateurs (moins de dix) ont pris place là où je l’ai vu. A mon avis, si vous voulez quand même le voir, en vous fondant sur les bonnes notes et donc pas la mienne, dépêchez-vous.
Un excellent film réalisé avec prouesse. Les comédiennes sont excellentes, on sent une symbiose entre elles. L'oeil avisé et pointue de la réalisatrice montre une très belle lumière dans la photographie. La mise en scène apporte une liberté incroyable au scène de groupe et ce film donne envie tout simplement de vivre. Une pépite !
Balloté de haut en bas, j’ai aimé l’énergie, l’humour des deux amies et le renouvellement de la question du « mentir vrai » posée par les deux virevoltantes comédiennes débutantes. La hardiesse du duo échappant aux habituelles connotations homosexuelles, bouscule tout sans nuances, y compris les soignants quand la comédie passe au drame. Les expressions telles « on lâche rien » fleurissent, avant un pathos final qui n’échappe pas à « je suis dans la chambre d’à côté » incontournable des kits funéraires. Les excès dans le rire comme dans les larmes des deux épatantes artistes Souheila Yacoub et Déborah Lukumuena participent au plaisir de leur découverte.