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    Entre les vagues
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    SUZY AND MEE
    SUZY AND MEE

    130 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mars 2022
    Film moderne avec une image bousculée et une caméra fureteuse... tout semble très spontané dans la première partie puis tout est trop appuyé dans la seconde avec du pathos du pathos du pathos... dommage mais je revendique le titre de FAN NUMBER ONE de Déborah ! Quelle actrice ! Jamais vu quelqu'un sortir de l'écran comme ça !
    traversay1
    traversay1

    3 238 abonnés 4 668 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 novembre 2021
    Entre les vagues est avant tout l'histoire d'une amitié féminine puissante qui se bat contre les coups du sort, dût-elle se confronter à la tragédie. Car c'est bien de cela qu'il s'agit, en fin de compte, d'un vrai mélodrame mais arrosé de larmes de joie, aussi, pour un ascenseur émotionnel qui n'en finit pas de nous balloter. Le film est sincère mais va parfois plus vite que la musique, se refusant d'étirer les scènes, par peur du pathos, sans doute, mais en contrepartie, ce qu'il gagne en vélocité, il le perd en profondeur. De nombreuses scènes de répétition au théâtre se juxtaposent au récit intime, puisque les deux héroïnes d'Entre les vagues ont eu la chance d'être choisies parmi beaucoup d'autres, l'une en vedette, l'autre en doublure,et prennent un peu trop de place finissant par devenir répétitives, malgré ou à cause de la volonté d'illustrer le thème de la pièce par des images d'archives de New York. Plus le film avance, plus il acquiert une sorte de prévisibilité et, là encore, la réalisatrice nous fait prendre son ascenseur, jusqu'au final convenu dans son caractère forcément poignant. Ce qui touche le plus dans Entre les vagues, c'est cette amitié insubmersible et tout le reste n'est au fond qu'un habillage, le film n'étant jamais meilleur que dans la simplicité. Son principal atout reste la complicité évidente entre Déborah Lukumuena et Souheila Yacoub, épatantes dans leurs scènes communes et plus ordinaires autrement.
    Jorik V
    Jorik V

    1 228 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 novembre 2021
    Quel film plein d’énergie et de vie! Et pourtant il y a la mort qui rôde tut du long mais Anaïs Vogel a fait le choix d’encenser la vie autour de cette histoire d’amitié à la puissance rare et incontestable. On pense beaucoup au duo de « Tout ce qui brille », Leïla Bekhti et Géraldine Nakache, par la complicité sincère et naturelle entre les deux actrices. Mais dans une version plus tragique et plus énervée. Même si c’est le second film de la cinéaste, il y a certes encore beaucoup de tics de premiers long-métrages comme un côté parfois un peu hystérique ou l’image saccadée avec cette caméra qui tremble. Des choix pas forcément indispensables mais qui colle d’une certaine manière à cette urgence qui parcourt tout le long-métrage. Mais ce côté parfois un peu amateur formellement n’enlève en rien à la magie qui se dégage de ce « Entre les vagues ». On est emporté par ce tourbillon de sensations et d’émotion tout comme la force qu’il dégage.



    On n’avait pas vu une œuvre aussi belle, sincère et réussie sur l’amitié féminine depuis longtemps et beaucoup d’entre nous se retrouveront dans celle qui unit ces deux filles. Et si Déborah Lukumuena ne démérite pas, c’est la découverte Souheila Yacoub qui ravage tout sur son passage. Cette jeune actrice est incroyable. Déjà vue dans la claque cinématographique « Climaxx » dans lequel elle faisait partie de la troupe de danseurs, elle irradie et crève littéralement l’écran ave « Entre les vagues » dans son premier rôle principal. Une composition classique de meilleure amie qu’elle rend intense et incandescente. Mais surtout plus vraie que nature. Il n’y a qu’à voir comment elle transforme de simples scènes amoureuses en douces caresses et comment sa rage et ses pleurs sont partagés à travers l’écran. Si cette actrice et son duo amical ne vous font pas verser au moins quelques larmes...



    « Entre les vagues » parvient à être tout de même pétillant et joyeux malgré la maladie en épée de Damoclès menaçant l’une d’elles et leurs rêves. La complicité qui unit les deux actrices nous donne le sourire et leurs petites combines sont drôles et presque attendrissantes. Le montage est dynamique et se singularise par tous ces plans de coupe où l’on voit de images de New York à l’ancienne, ville qui symbolise leur rêve théâtral à toutes les deux. Et on se reconnait aussi dans le dilemme moral qui touche Margot, à savoir si elle doit prendre le rôle dévolu à son amie au risque de le peiner. Bref, sans être le film du siècle, ce petit film sans prétention est une véritable bouffée d’air frais, de bonne humeur, de rires et de larmes qui nous fait passer un beau moment avec force et humilité mais une sacrée dose de sublime.



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    Joce2012
    Joce2012

    185 abonnés 526 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 mars 2022
    Ce film est bouleversant, j'ai pleuré de rire et j'ai pleuré de tristesse, c'est admirablement joué
    A voir !
    Mélany T
    Mélany T

    30 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 mars 2022
    C'est dommage, la première partie est très belle, deux amies qui tentent de devenir actrices, la rencontre avec une metteuse en scène, le procédé théâtrale, Déborah Lukumuena est comme toujours géniale, mais la seconde partie tombe dans un récit mélodramatique mal traité et mal joué. On s'ennuie alors ferme.
    Abus Dangereux
    Abus Dangereux

    41 abonnés 108 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 mars 2022
    Venant de la part d’une jeune cinéaste autodidacte, Anaïs Volpé, « Entre les vagues » est un moment de cinéma plutôt unique. Après un premier film autoproduit, ce second film, dont le grand thème est l’amitié (avec un grand A), laisse rêveur devant ses qualités d’écriture, de mise en scène et de direction d’acteurs. Rires et larmes vont émailler cette projection pleine de rythme, pleine de vie. L’injustice de la destinée qu’Alma et Margot (jeunes actrices qui courent les castings) devront affronter, n’arrivera pas à détruire leur indéfectible amitié. Ce tourbillon émotionnel doit évidemment beaucoup aux performances de Souhela Yacoub (Margot) et de Deborah Lukumuena (Alma), toutes deux sidérantes. Leurs deux prestations, dans des rôles très écrits, nous laissent pourtant croire grâce leur jeu, à de l’improvisation alors qu’il n’en est rien. Du coup, les scènes de répétition théâtrales deviennent presque une mise en abyme du travail d’acteur, d’actrices dans le cas présent. L’addition de ces trois jeunes femmes talentueuses aboutit à un résultat remarquable et devrait leur ouvrir des perspectives rayonnantes. N’hésitez pas, plongez « Entre les vagues »…… et parlez en !
    PLR
    PLR

    426 abonnés 1 506 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 mars 2022
    Au moment où j’écris cette critique, il n’y en a que 12 en ligne dont 3 labellisées « LeClub300 » pour des notes se répartissant à part égale sur 3, 4 et 5 étoiles. La moyenne est donc à ce moment-là encore très correcte mais je vais casser l’ambiance car je n’ai pas du tout apprécié, du tout, du tout ! D’abord, en guise de dialogues, ça braille. Trop ! Ensuite, la caméra (un modèle spécial nous révèlent les secrets de tournage) collée en quasi-permanence sur le visage des actrices. Je n’aime pas quand ça devient un genre. Celui du cinéma dit d’auteur. Je ne sais pas où ils ont appris ça... Et puis, le point suivant étant fort à propos relevé par d’autres critiques malgré leur bonne note, l’extrait de la pièce de théâtre qui sert de fil conducteur au scénario est répétitive. Normal, ce sont des répétitions. Mais qu’est ce que c’est lassant ! Surtout que c’est le genre de pièce de théâtre que personne ne va voir ! Là je suis sévère. Trop sans doute. Mais c’est que ce film m’a ennuyé au possible. Ça nous vient du Festival de Cannes, ai-je lu. Ah ? Tout s’explique alors (hélas !) car ce n’est pas l’endroit où le septième art populaire est glorifié et mis en avant. En sa première semaine de sortie nationale, ce film n’est à l’affiche que de 99 salles. Et seule une toute petite poignée de spectateurs (moins de dix) ont pris place là où je l’ai vu. A mon avis, si vous voulez quand même le voir, en vous fondant sur les bonnes notes et donc pas la mienne, dépêchez-vous.
    solester
    solester

    53 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 mars 2022
    Un excellent film réalisé avec prouesse. Les comédiennes sont excellentes, on sent une symbiose entre elles. L'oeil avisé et pointue de la réalisatrice montre une très belle lumière dans la photographie. La mise en scène apporte une liberté incroyable au scène de groupe et ce film donne envie tout simplement de vivre. Une pépite !
    velocio
    velocio

    1 222 abonnés 3 062 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mars 2022
    Une vieille légende bien machiste raconte que les femmes sont moins encline à se soutenir les unes les autres que les hommes, qu’elles sont plus facilement jalouses, etc. Le cinéma a d’ailleurs sa part dans cette légende, nombre de films (tournés par des hommes !) donnant l’impression que les femmes se complaisent dans la rivalité entre elles. C’est exactement le contraire que nous montre Anaïs Volpé dans Entre les vagues avec Margot et Alma, deux jeunes femmes de 27 ans qui se serrent les coudes, qui se réjouissent des succès de l’autre quand bien même ce succès s’est bâti au détriment de son propre succès, qui prennent soin de l’autre dans les moments difficiles. Mais alors, comment se fait-il que, lorsqu’on fait leur connaissance, elles sont en train de se battre entre elles « comme des chiffonnières » sur la scène d’un théâtre ? Tout simplement parce que la scène d’un théâtre, c’est le lieu où il est normal de jouer la comédie, sauf que là, elles sont les seules à savoir qu’elles jouent à se battre : cette bagarre, c’est un coup monté par elles pour se faire particulièrement remarquer par Kristin, une metteuse de scène, lors d’une audition destinée à faire le choix du casting pour une pièce en train de se monter. « Ce genre de metteurs en scène, c’est des oufs, il leur faut des acteurs de ouf. Je sais qu’elle aime ça », affirme Alma. Et elle n’a pas tort Alma, car c’est elle que la metteuse en scène va choisir, prenant également Margot comme doublure « au cas où ». En fait, ce film sur la force de la sororité s’avère être également un film sur l’art de la comédie appliqué dans la vie courante, art qui consiste à tromper son monde en « fabriquant » une bagarre, à scénariser une situation destinée à être embarrassante pour la personne dont vous souhaitez vous venger ou à pratiquer ce qu’on appelle un « pieux mensonge » : un soupirant vous a larguée, vous arrivez devant chez lui avec un enfant en bas âge qui va l’appeler papa alors que vous savez que cet ancien amant est en train de roucouler avec sa nouvelle bien aimée ; vous savez que le cancer dont souffre votre meilleure amie va lui être fatal mais vous évoquez avec elle son avenir qui, forcément, sera radieux. Pour interpréter les rôles d’Alma et de Margot, des rôles qui demandaient énormément d’énergie, Anaïs Volpé a fait son choix parmi rien moins que 120 comédiennes et elle a retenu Souheila Yacoub et Déborah Lukumuena, un choix qui parait indiscutable à la vision du film, d’autant plus que l’amitié qu’on sent entre elles apparait comme totalement crédible. La comédienne suisse Souheila Yacoub, on l’a vue récemment dans De bas étage de Yassine Qnia et on la reverra le 30 mars prochain dans En corps, le nouveau film de Cédric Klapisch. Quant à Déborah Lukumuena, on vient de la voir dans Robuste de Constance Meyer, tenant la dragée haute à Gérard Depardieu, et on se souvient d’elle, bien sûr, dans Divines de Houda Benyamina. On notera aussi la belle prestation de la chanteuse béninoise Angélique Kidjo dans le rôle de la mère d’Alma.
    Yves G.
    Yves G.

    1 347 abonnés 3 351 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 avril 2022
    Margot (Souheila Yacoub, révélée dans "Climax" et qui occupait déjà le haut de l’affiche dans "De bas étage") et Alma (Déborah Lukumuena qui tenait la dragée haute à Gérard Depardieu dans le récent "Robuste") sont les meilleures amies du monde. Elles partagent un rêve : monter sur les planches. Et ce rêve est sur le point de se concrétiser : au terme d’un long casting, Alma a été retenue pour interpréter le premier rôle de la pièce montée par une dramaturge italienne (on reconnaît Sveva Alviti qui campait Dalida dans le biopic de Lisa Azuelos) et Margot est embauchée comme doublure.
    Mais le destin va rattraper les deux jeunes filles.

    "Entre les vagues" raconte une histoire déchirante dont il est impossible de trop en dire, sauf à se faire reprocher d’en divulgâcher le contenu. D’autres critiques n’ont pas mes pudeurs de vierge qui en parlent explicitement. J’en ai peut-être d’ailleurs déjà trop dit en écrivant que je devais ne rien en dire. Toujours est-il que, loin du programme annoncé de joyeuse sororité que l’affiche du film et sa bande-annonce nous laissaient escompter, Entre les vagues prend en son milieu une tonalité plus dramatique.

    Sa seconde moitié devrait faire pleurer les pierres. Étrangement, elle ne m’a pas touché. Pourtant, c’est précisément le genre de sujet qui me fait fondre en larmes. Mais ici, rien, nada, pas l’ombre d’un sanglot.
    Ce n’est pourtant pas la faute des deux actrices, aussi excellentes l’une que l’autre. Mais c’est peut-être celle d’un scénario trop mélodramatique qui, à force de vouloir à tout prix susciter l’émotion, la fait fuir.
    Billentete
    Billentete

    132 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 novembre 2021
    Un très beau film, drôle et émouvant. Du beau cinéma comme on aimerait en voir plus souvent ! bravo !
    Siudmak
    Siudmak

    8 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 mars 2022
    Bien sûr c'est mélo
    Mais de belles actrices
    Et de belles émotions
    Qui nous font nous sentir vivants
    chas
    chas

    35 abonnés 180 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 mars 2022
    Balloté de haut en bas, j’ai aimé l’énergie, l’humour des deux amies et le renouvellement de la question du « mentir vrai » posée par les deux virevoltantes comédiennes débutantes.
    La hardiesse du duo échappant aux habituelles connotations homosexuelles, bouscule tout sans nuances, y compris les soignants quand la comédie passe au drame.
    Les expressions telles « on lâche rien » fleurissent, avant un pathos final qui n’échappe pas à « je suis dans la chambre d’à côté » incontournable des kits funéraires.
    Les excès dans le rire comme dans les larmes des deux épatantes artistes Souheila Yacoub et Déborah Lukumuena participent au plaisir de leur découverte.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    327 abonnés 1 709 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 mars 2022
    C’est une réalisation de Anaïs Volpé qui en a aussi écrit le scénario. Entre les vagues a été sélectionné à la Quinzaine des Réalisateurs 2021.

    Il y a des films qui sont des énormes coups de cœur alors qu’on n'attendait rien d’eux avant d’y aller. C’est le cas avec Entre les vagues qui met un certain temps à démarrer mais cela en vaut la peine. On débute loin de la thématique centrale, mais s’en rapproche doucement avec l’avancement. Une mise en place qui paye sur la durée. Finalement, l’amitié entre ces deux femmes va passionner.

    Le sujet est donc touchant. On s’approche de la maladie. D’autant plus qu'a la vue du contexte, il est difficile de ne pas se sentir concerné. On ne choisit pas qui tombe malade et quand cela arrivé à un proche, nous n’avons pas le choix que d’être solide comme un roc pour l’accompagnement. C’est une amitié pure qu’on a la chance de voir. Cette beauté est aussi intense que la tristesse ressentie avec l’événement. L’apothéose sera une fin tirant les larmes tant elle va sublimer les émotions vécues jusque-là.

    En plus de l’émotionnel, l’habillage sera une pure réussite. Margot et Alma vont être dans une pièce de théâtre. On va donc assister à la préparation de celle-ci. Une activité qui va offrir des passages géniaux tant sur la forme de l’animation proposée, que sur le fond avec des propos très justes sur le déracinement. Pour information, la pièce vue durant entre les vagues s’appelle La Rive écrite par la réalisatrice elle-même, Anaïs Volpé. Ces instants, sur les planches et en dehors lorsque la bande se réunit, nous communiquent beaucoup de joie. Une donnée primordiale, car la vie ce n’est pas que des larmes.

    Si ce drame brille c’est aussi grâce aux actrices. Que ce soit Souheila Yacoub ou Déborah Lukumuena, elles sont impeccables. En solo ou ensemble, leurs performances vont éblouir. Déborah Lukumuena enchaîne quelques semaines après sa belle prestation dans Robuste avec Gérard Depardieu. À noter, le second rôle de Matthieu Longatte connu sur YouTube pour la chaîne @BonjourTristesse. Son énergie est agréable à voir.
    GéDéon
    GéDéon

    67 abonnés 460 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 avril 2023
    Le second long-métrage d’Anaïs Volpé, sorti en 2021, déborde indéniablement d’énergie. L’histoire d’amitié entre deux jeunes femmes (Souheila Yacoub et Déborah Lukumuena), partageant une passion commune pour le théâtre, se laisse regarder avec plaisir dans sa première partie. A une mise en scène très rythmée, comportant notamment quelques plans inventifs, s’ajoute l’exubérance des actrices. Cependant, le scénario tombe vite à plat réduisant le caractère naturel et spontané du début du film à un traitement complètement surjoué des émotions. Bref, de très belles intentions malheureusement noyées dans un mélodrame ultra prévisible.
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