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Isabel I.
40 abonnés
317 critiques
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3,5
Publiée le 4 avril 2022
Premier film du mois : du rire aux larmes. Parfois on dit d'un film qu'il ne va pas au bout des choses, qu'il flirte avec son sujet sans jamais trop toucher le spectateur, ici c'est le contraire. Pourtant le début m'a paru "too much", trop "direct live" et, oserais je le dire ces premiers moments ne m'ont pas convaincu, cette immersion un peu foutraque, trop décousue ne m'a pas permis d'y croire immédiatement, amusée un peu, voire agacée. Et miracle du cinéma, c'est justement ces instants excessifs, limite borderline qui m'ont fait m'ouvrir pleinement à la suite de l'histoire,l'apprécier, l'aimer à sa juste valeur. Comme quoi un film c'est un TOUT et pas juste quelques images. Ce n'est pas uniquement une affiche colorée, gaie, une bande annonce enjouée, pleine de vie, un pitch incomplet, indices trompeurs. Brutal virage à 180 degrés,cœur qui tressaute, qui sanglote, mal de cœur mais jamais quitter la trace de la route.Ça nous tombe dessus, on ne s'y attend pas et c'est ça, sa force, sa qualité. Miracle que ces deux femmes, que ces deux actrices. L'amour de la vie et du théâtre, l'amitié ... je n'en dirais pas plus sauf que j'étais heureuse d'avoir vu ce film et si profondément touchée.
L’histoire bouleversante de Margot et Alma, deux amies qui passent un casting de théâtre ensemble et qui vont choisies ! Mais rapidement les choses se corsent et la très belle amitié va se retrouver fragiliser… Deborah Lukumuena continue de crever l’écran.
C'est un film qui ne raconte pas sa bande annonce, une histoire plutôt facile qui tire au tire larmes. Les actrices sont sublimes, j'y suis allée pour elles mais l'histoire est catastrophique, on dirait un film fait par des ados.
Un magnifique drame sur l'amitié, superbement joué par Souheila Yacoub & Déborah Lukumuena en actrices principales ! Le parti pris du cadre ballant permet une continuité de mouvement, ce qui est très bien mis en scène également, et le thème de la spoiler: maladie et l'accompagnement dans la mort est montré de façon très juste, à nous en faire verser des larmes . L'éloge du théâtre est beau, la force de cet art lie les personnages comme jamais, et nous entraîne avec elles dans leur passion et leur amour amical ! Sveva Alviti et Angélique Kidjo sont aussi très juste dans leurs rôles. Seul hic : le choix des costumes...
« Ne pleure pas parce que c'est fini, souris parce que c'est arrivé. » S'il s'agit d'une citation un peu bateau, je trouve que ça résume très bien le message du magnifique film d'Anaïs Volpé. Une amitié indéfectible, intense et bouleversante comme rarement montrée au cinéma. S'il y a toujours une accalmie entre deux vagues, ce n'est jamais le cas ici. On est directement emporté par le dynamisme et la folle énergie de ces deux copines que l'on pense suivre pendant qu'elles font les quatre cents coups. Et c'est le cas lors d'une première partie jubilatoire, drôle, insouciante et pleine de vie avant que la réalité de la vie ne les rattrape... Les émotions changent alors, mais elles continuent de nous submerger... "Entre les vagues", c'est donc l'amitié, mais aussi la passion et la poursuite des rêves, et quoi de mieux que de partager cela à deux. Mais c'est aussi les désillusions et les épreuves de la vie. Entre le montage dynamique, la beauté des images et la fantastique performance des deux actrices, notamment Souheila Yacoub qui est exceptionnelle, "Entre les vagues" est un vrai coup de force, un film beau, drôle et bouleversant.
Porté par l’interprétation pleine de spontanéité de ses deux actrices, le récit vibrant et fougueux mais n’évitant pas le pathos, d’une bromance entre deux jeunes filles rêvant de devenir actrices, chamboulée par la maladie de l’une d’elle. 2,75
Une réussite, un petit film sans prétention et d'une grande fraîcheur qui vaut surtout pour la performance des deux actrices à l'affiche et pour le scénario bouleversant. Belle énergie et belles émotions.
Du pathos, en veux-tu en voilà. Un manque d'équilibre émotionnel criant qui finit par devenir (rapidement) lassant voir repoussant. Gardons tout de même une interprétation dynamique, enjouée, à défaut d'être donc toujours juste dans la dramaturgie.
« Entre les vagues » vaut par l’énergie déployée de ses comédiennes. La réalisatrice a non seulement eu du flair de les choisir mais elle a su merveilleusement les diriger. Déborah Lukumuena et Souheila Yacoub y sont remarquables. Si j’avais pleinement apprécié Déborah Lukumuena dans « Divines », j’avoue ne pas avoir fait attention jusqu’à présent à Souheila Yacoub que j'ai trouvée ici particulièrement convaincante. Il est vrai que je n’ai pas encore vu « De bas étage ».
Ce mélodrame qui aborde des thèmes comme le théâtre, son processus de création et la maladie incurable aurait pu me toucher. Mais allez savoir pourquoi, j’ai regardé ces jeunes femmes à distance, ce qui ne signifie pas pour autant que j’ai été indifférent à cette chronique. J’ai eu l’impression que l’enthousiasme d’Alma et de Margot, leur sororité prononcée leur appartenait et que je n’avais pas ma place. Pour qu’un film fonctionne à plein sur moi, il faut titiller mes émotions. Ce qui n’a pas vraiment été le cas. Evidemment, je ne suis pas resté insensible sur le sort final d’Alma.
Je regrette simplement que la réalisatrice soit tombée dans le registre de la coïncidence, alors que son récit me semblait surfer sur la nuance. spoiler: J’appréhendais que la Première de Margot se conjugue pile poil avec la disparition d’Alma . Comme par hasard ! spoiler: Alma aurait pu disparaître deux ou trois jours avant ou après ; il n’était pas utile de faire disparaître Alma aussi. Laisser le spectateur s’en douter. Dommage, « Entre les vagues » s’avère pour le coup bien programmatique, donc conventionnel.
Alma et Margot sont inséparables. Les deux amies veulent monter les planches et se faire remarquer. Lorsque la chance se produit enfin, leur amitié fusionnelle va être mise à défi. “Entre les vagues” est une comédie dramatique vivante qui résonne comme un vent de fraîcheur grâce au dynamisme des comédiennes et ce, malgré leur jeu aléatoirement bon. Si on passe un bon moment à leurs côtés, nous devons admettre que le scénario est trop prévisible et cherche absolument à tirer les larmes de son spectateur. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
La première partie du film est attachante et met en avant la complicité électrisante qui anime les deux personnages, sur fond de « behind the scenes » de la course aux castings. Malheureusement le récit perd de sa superbe dans sa deuxième partie, tout devient un peu trop forcé et tire-larmes pour espérer emporter l'adhésion. Reste un duo d'actrices, Déborah Lukumuena et surtout Souheila Yacoub, assez épatantes.
Un film plein d'énergie, d'entrain, de folie, de paillettes, de mouvements... Un aperçu de la vie parisienne comparée à la vie newyorkaise. Cela dure pendant une bonne heure quand on comprend ce qui se passe réellement. Le rythme reste le même, effréné, cependant l'histoire prend une autre tournure. spoiler: On apprend que l'actrice principale, celle qui a obtenu le rôle pour la scène de théâtre, est en phase terminale d'un caner. On y découvre donc le tiraillement de cette actrice a vouloir joué, mais sûrement à ne pas pouvoir. Et tout d'un coup la vie qui s'arrête. L'intrigue est donc réussie. Cependant, j'ai eu beaucoup de mal à m'attacher aux actrices dès le départ, je trouvais que ça manquait de réalisme, de spontanéité, je trouvais que c'était surjoué. La bande-son est également fatigante, au bout d'une heure, on en peut plus de la musique forte, bruyante, beaucoup trop présente. Je conseille tout de même, joli film avec ses défauts.
Plus de la moitié des serveuses de café à Paris sont des apprentis comédiennes montées dans la capitale pour décrocher le pompom. Margot est l'une d'elle. Une belle histoire d'amitié au-delà de la Vie puis de la Mort qui n'évite pas toujours le pathos mais qui se rattrape par sa vivacité et son envie de bien faire. Avec une photographie qui pourrait faire passer Paris pour New-York. Le duo de comédiennes Souheila Yacoub et Déborah Lukumuena est épatant.
Un film très émouvant de anais vole un peu tire larme ce qui est une petite réserve du film, mais on oublie vite car l l'interprétation de ces deux jeunes filles sont très brillantes,tellement brillante qu on s attache beaucoup à elles. Le scénario de ces 2 filles qui ont un rêve devenir comédienne,l une des deux d ailleurs touche au but mais la maladie apparaît qui va declencher raz de marée de sentiments Un film a découvrir
C’est pas possible, il n’y a que moi que ca gene cette caméra qui bouge sans arrêt ? Mais qui peut aimer cette manière de filmer ? C’est moderne ? Comment peut on apprécier un film qui donne tellement mal a la tete qu’il faut prendre un Doliprane…