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    Anatomie de l'enfer
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    No Quarter
    No Quarter

    6 abonnés 446 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 octobre 2024
    Une vraie purge. Un propos confus, une histoire incompréhensible, des dialogues sortis du bouquin de la réalisatrice sans réelle adaptation au rythme du cinéma, des scènes assez dégoûtante. Bref, en dehors de vouloir choquer le catholique moyen, ce film n'a aucun intérêt d'existence. Rocco Siffredi est aussi crédible qu'un Aldo Maccione qui déclamerait du Heideger. Une vraie purge.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 768 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 octobre 2021
    Une femme engage un homosexuel pour venir chez elle et la regarder pendant qu'elle est allongée nue sur son lit. Catherine Breillat réalise des films délibérément provocateurs et pas forcément d'une grande valeur. Pour quel public je me le demande avait-elle en tête lorsqu'elle a réalisé Anatomie de l'enfer. Des intellectuels français qui aiment se regarder le nombril peut-être je ne sais pas et je n'en suis même pas sur. Ces affreuses balivernes étaient-elles censées être prises au sérieux. Comme vous pouvez le deviner il ne se passe pas grand-chose mais Breillat ne serait pas Breillat s'il n'y avait pas un peu de sexe réel et le fait que notre héros soit gay ne semble pas l'empêcher de se mettre au travail avec notre héroïne. Le reste du temps ils sont assis et parlent d'un tas de vieilles bêtises. Voici la preuve que les femmes sont tout aussi capables de faire de mauvais films comme leurs homologues masculins...
    Steve Le Pogam
    Steve Le Pogam

    3 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mars 2021
    Film d'une grande poésie, avec une lenteur savoureuse, une tension captivante, et un fond qui donne matière à réflexion sur bien des aspects. Pour public averti cependant.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 403 abonnés 7 563 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 janvier 2021
    Pour son dixième long-métrage, Catherine Breillat adapte son propre roman (Pornocratie) et nous livre une œuvre fade et nombriliste, portée des échanges pantouflards et mollassons entre Amira Casar & Rocco Siffredi.

    Un homme, une femme, 4 nuits pour apprendre à se découvrir (surtout la féminité), au fil de discutions sans fin, sur fond de poésie, de philosophie et de… cours d’anatomie. Une jeune femme à tendance suicidaire croise un homme dans une boite gay. Elle lui propose (contre rétribution) de passer quatre nuits à la regarder et à l’écouter parler.

    Voilà pour le pitch de cet improbable et nauséeux drame érotique où l’on a qu’une envie, c’est de conseiller purement et simplement à l’héroïne de consulter un psy, plutôt que de faire ch!er un type qui n’a rien demandé.

    80min de branlette intellectuelle où les acteurs débitent leur texte sans jamais y croire (le comprennent-ils ? on est en droit de se le demander, sachant que nous-même, nous avons grand mal à les comprendre).

    Catherine Breillat a voulu se la jouer subversive et en profite pour s’inspirer de ce que Gaspar Noé avait déjà pu faire par le passer (lors de certaines séquences). Pour le reste, c’est relativement long, ch!ant et insipide, quand le film ne devient pas tout simplement déguǝulasse (la réalisatrice prend un malin plaisir à filmer sous toutes ses coutures les sécrétions vaginales de l’héroïne, spoiler: cette dernière n’hésitant pas à prendre son tampon imbibé de sang, le diluer dans un verre d’eau pour le faire boire à l’homme).
    Catherine Breillat ne s’arrête pas en si bon chemin puisque son héroïne va aller jusqu’à s’insérer toutes sortes de choses en elle spoiler: (un objet dans le vagin et le manche d’une fourche a bêcher dans le c.u.l).
    Mention spéciale à Siffredi qui tartine la rondelle de Casar avec du rouge à lèvre.

    Une oeuvre aussi mal-fichu et abjecte, tout comme l’était Baise-moi (2000) de Virginie Despentes. L’absence de direction d’acteur y est flagrante, on les écoute nous réciter leurs tirades idéologique & pompeuses, dont les dialogues sont d’une connerie abyssale. Casar & Siffredi n’ont rarement été aussi mauvais.

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    ronny1
    ronny1

    40 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 mai 2020
    Si le fond d'ANATOMIE DE L'ENFER est légitime d'un point de vue féministe (tendance maso), la forme est juste catastrophique. Bavarde, entrecoupée d'images qui se veulent chocs, mais qui sont juste laides, le film plonge rapidement dans l'ennui et le spectateur, lassé du verbiage se raccroche aux quelques images sanglantes. Le gag du tampon hygiénique transformé en infusion pour vampires peut faire rire. Pas sur que la réalisatrice se voulait drôle.
    karpathakis y
    karpathakis y

    25 abonnés 633 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 janvier 2020
    Je me souviens qu'a l'époque de la sortie de ce film, il y avait un entretien sur la Canette de Rocco Siffredi et de madame Breillat. La réalisatrice louait la qualité d'interprétation impressionnante de la star italienne du XXX. Curieux de voir notre "stalion" a l'action j'ai donc regardé ce film que je conseille à tout vrai amateur de Nanars. Une vraie partie de rigolade, à ne pas rater !!! Mais comme je dis toujours, il en faut pour tous les gouts...:)
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    709 abonnés 3 080 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 novembre 2018
    Anatomie de l’Enfer n’est pas une adaptation puisqu’il reprend mot pour mot, scène par scène le « récit » initial : c’est une déclinaison. En cela, le film sonne comme la grandeur convaincue de son auteure ; rien ne changera, tout était si parfait ! À tel point que Breillat assure elle-même la narration… Nombrilisme quand tu nous tiens ! Le choix du duo principal est plutôt intéressant et répand une alchimie intrigante malheureusement vite envolée par la lenteur de l’ensemble : Anatomie de l’Enfer n’a rien de plus à raconter, se contente d’accumuler les nuits selon une construction jamais cinématographique qui ennuie, lasse, fatigue. Tout est tellement exagéré et balourd que les scènes censées choquer ne font qu’agacer. Introduction et conclusion valent le coup d’œil parce qu’ils mettent en scène ; le reste est un réchauffé, une resucée de l’outrance incontrôlée et bête présente dans l’œuvre originale.
    ferdinand75
    ferdinand75

    567 abonnés 3 930 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 février 2016
    Un film très fort, très personnel, très abouti de Breillat, celui où elle développe le plus profondément sa vision d’un féminisme atypique. C’est l’histoire d’une jeune femme , un peu désespérée , au bord du suicide qui décide de dévoiler ce qu ’est la féminité à un homosexuel qu’elle a rencontré dans une boite nuit, et qui lui a accessoirement sauvé la vie . Elle va l’embaucher et le payer, pour lui montrer son intimité intégrale, et exprimer ce que la femme cache habituellement, depuis des millénaires, depuis la nuit des temps. Ce qui fait que la femme a été sous- catégorisée pendant de siècles. Elle essaye de démontrer , le pourquoi de la différence féminine, les rapports hommes /femmes, les ressorts de l’attirance /rejet mutuel, depuis tout enfant ( avec la scène choquante, mais très juste des enfants qui « jouent au docteur » ,de la petite fille qui veut montrer aux garçons, qui l’avait un peu brutalisée, le mystère de la vie, « l’origine du monde » , et l’apparition de cette vulve imberbe , sous un massif de fleurs, est comme une claque dans la figure, comme la première expression obscène du mystère féminin, dune poésie troublante. Et les petits garçons rigolent tous d’un rire jaune, car c’est le début pour eux d’un long cheminement. Ensuite les différentes rencontres de nuit ( 5 séances) avec Rocco Siffredi , tourneront essentiellement autour des menstrues féminines .Des règles, comme élément donneur de vie, par le sang , alors que l’homme ôte la vie par le sang. De gros plans de vulves ensanglantées, et la fameuse scène du tampax dilué dans un verre d’apéritif, sont très symboliques, très belles scènes aussi picturalement ; c’est la vérité, c’est bien filmé, ou plutôt une représentation de la vérité . Très surréaliste aussi, puisque finalement les gens choqués et outrés, ne sont outrés que par la représentation d’un Tampax usagé, comme l’était la « représentation » de la Pipe de Magritte, alors qu’il s’agit en fait probablement d’un verre de jus de fraise. Amira Casar est formidable, elle se livre, à nue , donne beaucoup son corps en offrande , y compris dans une scène d’amour où Siffredi « l’étalon sauvage » la brutalise, on craint pour son petit corps, fragile , blanchâtre et délicat, il fallait tenir le choc, et elle le fait . Même si deux ou trois gros plans de sexe sont assurés par une doublure, toute la performance dénudée de Casar est admirable de dévotion et de courage. Siffredi est bon, et assure bien la prestation que lui demande Breillat, devenant même vers la fin un homme fragile, choqué par cette féminité découverte. Le texte de Breillat est très beau, très bien écrit, on reconnait bien là son talent d’écrivain. Un film extrême et extrémiste, jamais les règles de la femme n’ont été abordés sous cet angle, reconnues, montrées, encensées , comme un élément fondateur de la féminité. Dans la lignée des deux films déjà très réussis : « Une vraie jeune fille » et "Romance X" ,Breillat va encore plus loin et nous donne sa vision si personnelle . Un film majeur, absolument unique .
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 1 mars 2014
    olalalala, le supplice !!!

    Dialogues faussements intellectuels, philo en carton, voyeurisme gratos, rythme insupportable, photo à chier, ton des acteurs style théâtral intello à 2 boules, branchouille ; rien de bien !!! L'idée de base est pas terrible dans le style intello frenchy chiant à mourir et la réalisation est minable, sans talent.
    Et puis pas besoin de gros plan sur un trou de balle pour faire passer les messages. Amira, qu'est-ce tu fou là !? Je crois que tu t’aies fait violer le cerveau sans t'en rendre compte(ou tu le pleures tt les jours) ou t'es con comme un jambon. Rocco est à sa place, mauvais acteur dans un mauvais film et comme seul atout sa bite bien en vue.

    Je le vois comme un film d'une névrosé à 0.2 balle qui fait sa trashi intello à la "moi j'ose". Ben elle ose faire de la daube et son coté prétentieux malsain ressort à chaque instant et est flagrant quand elle l'ouvre.
    Pourtant je ne suis pas du style pudique conservateur, au contraire.
    Si j'étais psy, je dirais que la catherine déguise son voeux de pornographie. Elle y serait à sa place comme rocco et les réalisateurs de film X qui au moins n'essayent pas de nous la faire à l'envers sans scénariser. Elle me fait aussi penser aux branchouilles cocaïnomanes décérébrés prétentieux qui se rendent pas compte à quel point ils sont cons(spéciale dédicace à certains critiques bobos pros). J'espere qu'elle en prend autrement c'est encore plus tragique !
    Si tu aimes, consulte un psy !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 juillet 2013
    Nul un vrai navet, le scénario est nul et les acteurs encore plus.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 juin 2013
    Après avoir vu Catherine Breillat après son avc se faire descendre par Zemmour lors de la sortie de son dernier livre Bad Love (que je n'ai pas lu). J'ai décidé de m'intéresser à l'ensemble de son oeuvre en commençant par "Anatomie de l'Enfer". Que dire si ce n'est qu'on prend une claque !? Entre mise en scène sobre, plans crus et références picturales incontestables. Catherine Breillat prouve avec ce film qu'il peut y avoir un cinéma de pouvoir où le spectateur se trouve prit dans un mécanisme fasciste face à des vérités essentielles où l'intelligence des dialogues littéraires démontrent que le regard des hommes constituent le vis des femmes. Catherine Breillat se place donc au même rang que Bertrant Bonnello et Gaspard Noé, c'est à dire un cinéma qu'on aime ou que l'on déteste, tant la fascination de ces extrêmes ne nous laissent pas indifférents.
    Benito G
    Benito G

    679 abonnés 3 162 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 août 2012
    Quant un réalisateur fait du ciné porno alors que cela n'est pas son domaire . Pas des pensées strictement perso, sans solides fondements, nombrilistes et plutôt prétentieuses. Trash sur la forme et pompeux sur le fond. Dommage car le sujet, l'âme du film est vraiment intéressante. C'est très long, ça n'excitera que les intellos (c'est déjà pas mal !), réveillant leur voyeurisme latent (sujet et seul intéret du film : voir l'autre sous tous ces angles, tels des amants qui se découvrent et apprennent à se connaitre) sans ne jamais faire aucun effort de mise en scène ; le minimum possible, comme dans un porno, où les angles ne sont que maitrise technique plate et froide. Un film qui traité autrement (en supprimant parfois quelques séquence inutile ou trop longue) aurait pu donner et ceux grâce à une histoire bien pensée ; qui nous amène à réfléchir sur certaines choses. Notamment la relation sexe masculin face au sexe féminin.MAis pour ma part, j'ai été un peu déçu (pourtant le gore et compagnie ne me dérange pas trop)
    fredecho2
    fredecho2

    3 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 septembre 2011
    Ce film est un véritable repoussoir à l'amour. Clichés misandres en pagaille (femme = vie, homme = mort, ben voyons, l'homme ne donne pas la vie, et la petite graine, c'est qui, l'homme est terrorisé par la femme, sans blague, et la femme par l'homme? etc...). Imaginez l'inverse : un cinéaste homme qui aurait tourné un film montrant un homme payant une femme lesbienne pour lui mater le sexe, quel scandale ça aurait été! Une étoile néanmoins pour Rocco, qui assure plutôt bien, sur le plan jeu d'acteur, je veux dire.
    Marco67
    Marco67

    8 abonnés 237 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 mars 2011
    ennuyeux, ennuyeux encore et toujours ennuyeux... passez votre chemin...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 25 février 2011
    Les images sont laides, c'est extrêmement long, j'ai eu du mal à finir le film, les acteurs ne sont pas terribles.. Le message féministe est délivré, certes, mais de façon beaucoup trop écœurante. On ne garde rien de ce film, à part la sensation d'avoir perdu son temps! (Encore de la branlette intellectuelle!)
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