AlloCiné
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Un très bon film sur l'IA très novateur. Marqué tout le long par les sentiments, le questionnement, un mystère planant et une belle réalisation. Une mise en scène judicieuse, un rythme suffisant et des prestations au rendez-vous. Un point d'orgue final sacrément efficace. 4/5 !!!
Une très bonne surprise. Un rythme lent et contemplatif qui sert parfaitement son sujet. Mélancolique, bercé d'humanité. On croirait une adaptation d'Assimov. La tonalité est juste, et la sensibilité sans excès est injectée avec finesse.
La fin est plutôt réussie. Une vraie réussite.
La fin est plutôt réussie. Une vraie réussite.
Un film qui ravira ceux pour qui l'absence de rythme est une qualité. Ça se traine lamentablement, l'enjeu n'a rien de vraiment passionnant et certaines séquences ne sont pas très claires. Seul le robot J2 apporte une légère note de fantaisie dans ce film qui en manque considérablement. Quant aux "paysages magnifiques" ils le sont effectivement, mais si je veux voir de beaux paysages autant regarder les vidéos du National Geographic. Ah, oui il y un twist final, il est très bête.
Bon, je suis mitigé. Cela n'a rien de très original en 2020, après certains chefs d’œuvre du cinéma sorti les 50 dernières années, mais ça a le mérite d'être bien joué, bien filmé, avec un suspense tendu du début à la fin. Les images sont magnifiques, et le travail sur la robotique est très intéressant. C'est tout de même un excellent film, à ne regarder qu'une seule fois... avec un bon final.
Yetcha
Ah ben voilà une superbe surprise. Un traitement original de l'intelligence artificielle, du transfert de conscience, de la survie après ma mort. Un twist inattendu qui apporte la quatrième étoile à ce joli film de SF.
Intéressant petit film de science-fiction, même si le côté intelligence artificielle baigne dans une certaine facilité tout comme l'histoire d'amour. Le film est un peu trop long et ce qui se passe à l'extérieur du complexe n'a absolument aucun intérêt. Cependant, la fin reste une jolie réussite. Boulevardducinema.com
Je n'avais pas vu venir le dénouement de ce film !
Encore un film de plus sur l'IA, pensais-je. Mais l'esthétique étant très réussie au vu de la bande annonce, je me suis décidé à y consacrer 1 h 49.
A première vue, tout ressemble à Ex-Machina : la montagne froide et blanche (Japonaise), une base militaire transformée en laboratoire de recherche, des prototypes d'IA, un chercheur. Mais la ressemblance s'arrête promptement. La mort, la mémoire, la paternité, la famille, l'amour, le lien subtile entre humanité et IA, tout cela est traité avec beaucoup de finesse et sensibilité. Le ton est juste. La mise en scène est très appliquée.
Une perle.
Encore un film de plus sur l'IA, pensais-je. Mais l'esthétique étant très réussie au vu de la bande annonce, je me suis décidé à y consacrer 1 h 49.
A première vue, tout ressemble à Ex-Machina : la montagne froide et blanche (Japonaise), une base militaire transformée en laboratoire de recherche, des prototypes d'IA, un chercheur. Mais la ressemblance s'arrête promptement. La mort, la mémoire, la paternité, la famille, l'amour, le lien subtile entre humanité et IA, tout cela est traité avec beaucoup de finesse et sensibilité. Le ton est juste. La mise en scène est très appliquée.
Une perle.
Excellente surprise qui deroule son intrigue sans fioritures. L'humain et les machines, thème souvent traité au cinéma. Ici, il est question de faire revivre sa dulcinée defunte à travers son modèle. Un bon moment jusqu'au twist final surprenant.
Film de science fiction très original et bien ficelé. Malgré quelques longueurs, le final nous réserve une belle surprise.
Une histoire d'abord engageante, et puis, ...
Entre le contemplatif et le barbant, le film est poseur, avant tout.
L'interprétation, pour commencer, manque de charisme.
Lui est fade et peu crédible, son rôle consistant tout au long du film à s'excuser, demander la confiance et assurer à tous que tout va bien se passer suite à ses bévues et maladresses ...
Elle s'en sort mieux et bien que son rôle soit infériorisé inutilement, sa performance est correcte.
Les décors dépouillés en extérieur, de blancs et gris d'hiver; et les intérieurs du laboratoire qui ressemblent parfois sans raison à ceux d'un vaisseau spatial (tournés à Budapest et en Illinois) créent une atmosphère appréciable.
Les costumes et tenues, du sobre au clinquant, font dans l'ensemble montre d'un certain manque de goût.
Concernant la bande-son, les très rares morceaux choisis ne dérangent pas, contrairement à cette morne et souvent irritante musique d'ambiance.
L'idée même de l'archive n'est pas sans intérêt, mais son développement est un ratage manifeste.
Si l'histoire est donc d'abord accrocheuse, bien que sans originalité et mollassonne, l'intérêt provoqué devient incohérence et improbabilités décevantes :
Une seule personne travaille sur un projet de cette importance et gère une structure de cette taille ?
Le matériel informatique de 2038 défaillant au point - entre autres - que même les moniteurs grésillent ...
La trop grande différence technologique flagrante entre le robot 02 et son successeur.
Cet humanoïde sans jambes qui parvient à se cacher dans un rangement en hauteur à priori hors de sa portée ...
La jalousie improbable, bien qu'utile au scenario, entre IA/robots.
Le maquillage ridicule du clone.
...
Le personnage le plus attachant sera finalement le jaloux 02, dont on regrettera la trop précoce disparition et son insuffisante importance dans le déroulement du récit.
Le film prend dès sa moitié une tournure invraisemblable, puis réellement douteuse jusqu'à une conclusion et une révélation sans intérêt; toute tentative de provoquer la moindre émotion (à ce moment ou n'importe quel autre du film, d'ailleurs ...) échouant misérablement.
Sans réelles surprises et peu original, Archive se serait clairement contenté d'être un court métrage, vu ses longueurs et le peu de choses qu'il a à raconter.
Entre le contemplatif et le barbant, le film est poseur, avant tout.
L'interprétation, pour commencer, manque de charisme.
Lui est fade et peu crédible, son rôle consistant tout au long du film à s'excuser, demander la confiance et assurer à tous que tout va bien se passer suite à ses bévues et maladresses ...
Elle s'en sort mieux et bien que son rôle soit infériorisé inutilement, sa performance est correcte.
Les décors dépouillés en extérieur, de blancs et gris d'hiver; et les intérieurs du laboratoire qui ressemblent parfois sans raison à ceux d'un vaisseau spatial (tournés à Budapest et en Illinois) créent une atmosphère appréciable.
Les costumes et tenues, du sobre au clinquant, font dans l'ensemble montre d'un certain manque de goût.
Concernant la bande-son, les très rares morceaux choisis ne dérangent pas, contrairement à cette morne et souvent irritante musique d'ambiance.
L'idée même de l'archive n'est pas sans intérêt, mais son développement est un ratage manifeste.
Si l'histoire est donc d'abord accrocheuse, bien que sans originalité et mollassonne, l'intérêt provoqué devient incohérence et improbabilités décevantes :
Une seule personne travaille sur un projet de cette importance et gère une structure de cette taille ?
Le matériel informatique de 2038 défaillant au point - entre autres - que même les moniteurs grésillent ...
La trop grande différence technologique flagrante entre le robot 02 et son successeur.
Cet humanoïde sans jambes qui parvient à se cacher dans un rangement en hauteur à priori hors de sa portée ...
La jalousie improbable, bien qu'utile au scenario, entre IA/robots.
Le maquillage ridicule du clone.
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Le personnage le plus attachant sera finalement le jaloux 02, dont on regrettera la trop précoce disparition et son insuffisante importance dans le déroulement du récit.
Le film prend dès sa moitié une tournure invraisemblable, puis réellement douteuse jusqu'à une conclusion et une révélation sans intérêt; toute tentative de provoquer la moindre émotion (à ce moment ou n'importe quel autre du film, d'ailleurs ...) échouant misérablement.
Sans réelles surprises et peu original, Archive se serait clairement contenté d'être un court métrage, vu ses longueurs et le peu de choses qu'il a à raconter.
La lutte contre la mort, que cela soit la sienne ou celle d'un proche, est une thème ancien et très souvent traité dans la science-fiction. De ce côté, avec son histoire de transfert de mémoire d'un défunt dans un robot, "Archive" ne fait pas dans l'originalité. Idem pour le déroulement du scénario qui reste dans les clous avec cependant un bon twist final que, personnellement, je n'avais pas vu venir. La force d' "Archive" vient des relations entre les différents protagonistes: le créateur face à ses machines, l'homme face à sa femme décédée,... On s'attache vite à eux et l'histoire qui les entoure est forte en émotions. Le long métrage est lent mais cette lenteur sert plutôt bien l'ambiance générale. Quelques petites longueurs il est vrai mais rien de bien grave. Au final un sympathique film de SF qui ne renouvelle pas le genre mais a le mérite d'aborder intelligemment cette thématique de la vie conservée après la mort.
Bon le film en lui même est une expérience un peu catastrophique. Mais la fin nous délivre et lisse toutes les incohérences accumulées depuis le début.
J’ai failli lâché au 3/4 du film et si je n’avais pas vu la fin je pense que j’aurais mis la pire note pour un film sf.
J’ai failli lâché au 3/4 du film et si je n’avais pas vu la fin je pense que j’aurais mis la pire note pour un film sf.
Un excellent thriller de science fiction autour d'une femme robotique bien maîtrisé et bien construit.
Des longueur et des fausse piste peu ou pas utile a la compréhension de la situation. cependant il y a de vrai qualités dans les caractères des robot qui sont émouvants. Thème lié au genre de la sciences fiction déjà beaucoup exploiter, mais le film arrive à sortir un peu du lot avec le sous thème de la personnalité robotique.
Archive a commencé comme un film avec tant de promesses. L'histoire était intrigante au départ mais elle s'est perdue en essayant d'incorporer des clichés du genre ou des hommages à d'autres films. Ce que beaucoup de gens ont pris pour des extensions visuelles de la narration qui sont à couper le souffle ne sont guère plus que des remplisseurs d'espace et ne font rien de plus pour l'histoire que de permettre de créer votre récit dans ces moments de silence. Cela peut être très utile dans certains films par exemple dans Shining mais pas dans celui-ci. Il y a un chemin clair qui nous est tracé et qui est brusquement détourné pour une fin ubuesque mais qui ne parvient pas à la relier au reste du film. Les grandes entités manquent de profondeur et sont laissées à l'interprétation du spectateur. Le personnage principal est le plus oubliable car les robots montrent plus d'humanité que lui ce qui me semblait être l'intrigue sous-jacente. J'ai apprécié J2 alors qu'elle se débattait avec la réalité de son existence et de sa relation avec le personnage principal mais une fois de plus elle m'a laissé avec plus de questions car la fin n'explique pas pourquoi elle a même existé ou pourquoi nous la voyons en dehors du personnage principal. J'avais jugé ce film comme pas terrible mais en fait c'est presque une dinde...
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