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Paulinebrk
2 critiques
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5,0
Publiée le 18 juillet 2024
Un film beau, drôle, et puissant. J’ai adoré cette adaptation du roman de Marguerite Duras, les questions soulevées par l’amour et le désir, dans une atmosphère estivale où le soleil gronde. Merci.
Une bande d'amis passent leurs vacances sur la côte... Mis à part le soleil, l'ambiance estivale et le bruit des cigales, ce film ne comporte strictement aucun intérêt. Les dialogues sont creux ou prétentieux, les personnages sont tous antipathiques ou fades, on ne s'attache à aucun. Quant au scénario, difficile de faire plus vide, d'ailleurs je ne pourrais même pas en parler... On dirait qu'ils s'ennuient pendant leurs vacances, d'ailleurs ils s'en cachent à peine puisqu'ils se plaignent tout le temps (comme des petits bourgeois qu'ils sont sûrement). Quel intérêt de porter à l'écran des vacances "chiantes" ? Rien n'est drôle et les petits phrases pseudo intellectuelles qu'ils sortent à tire larigot cherchent à donner une fausse épaisseur à un navet pourtant des plus indigestes.
Je n'ai pas du tout aimé le film, Je l'ai trouvé très ennuyeux et long. Je n'ai peux être pas la culture cinématographique pour apprécier un film de ce genre mais pour un spectateur novice comme c'est le cas pour moi, je n'ai pas apprécié du tout. A voir tout de même pour vous faire votre avis !
En adaptant l'oeuvre de Marguerite Duras, Matthieu Rozé propose une chronique estivale sur des amis qui passent leurs vacances sur la côte méditerranéenne. Un séjour "perturbé" par l'arrivée d'un bel inconnu qui va rajouter de la chaleur au contexte déjà brulant puisque le soleil tape très fort. Une histoire de couples et de tentations, mais vont-ils tenir ou céder ? Rien de nouveau sous le soleil avec une histoire faussement sensuelle qui est d'une grande banalité. Pour le coup, et malgré le contexte et l'histoire, c'est un film qui manque de chaleur et de sensualité, mais aussi d'enjeux même si l'on peut comprendre pourquoi avec cette ambiance légère et insouciante. Le cadre est beau, la lumière est belle, la bande-son entraînante, mais je me suis ennuyé et jamais attaché aux personnages. En gros, ce n'est pas terrible du tout.
Ça aurait pu le faire... mais avec un autre réalisateur. La direction d'acteurs est horrible, leur jeu est mauvais, ça sonne faux, rien ne semble ni naturel, ni crédible. Il n'y a que le gamin qui à l'air d'être dans son rôle, c'est dire. À éviter.
Je fais partie de ceux qui apprécient énormément l'écriture de Duras. Ici la chaleur à tendance à allonger les phrases et supprimer la concision. Pourtant j'ai envie de dire que cela aurait pu être le contraire. Économie de mots pour moins de fatiguer. Qqn avait critiqué le livre en disant qu'au début du livre il faisait chaud et qu'à la fin on attendait la pluie. Et entre temps on ne parle que de la météo et de cette attente. Et bien justement. Le film respecte vraiment bien le propos de l'auteur et l'ennui représenté aussi par les soupirs et les hésitations, c'est tout à fait le livre. Belle distribution également
Encore un film survendu, notamment par Télérama..Je vais finir par ne plus les lire. Déjà Duras personne le dit mais tout le monde le pense... bof..et j'ai tout lu.... Mais les adaptations cinéma ( sauf L'amant quand même) quelle catastrophe.. Bizarre car normalement les films adaptés de mauvais romans sont plutôt bons, et inversement.. Mais là non, une véritable catastrophe Le navet complet Ils ont chauds et nous on dort.. Bref heureux de l'avoir vu sur Canal sinon se faire rembourser par la sécurité sociale..
C est terrible … tout sonne faux. Mal filmé, mal dialogué, artificiel et vain. On décroche des les premières scènes. Même Florence Loiret Calle ne parvient pas à nous retenir à bord
Film excellent en pleine été je le regardai 1000 fois heureusement que j'ai été curieuse de le voir je le recommanderais belle histoire un film de valeur
L'ennui devient une activité vertueuse. La canicule émolliente devient le fil conducteur de ce film choral à 3 couples- 2 enfants et le bellâtre à l'accent velouté qui zozote. "Il n'y a pas de vacance à l'amour : l'ennui en fait partie intégrante" Merci Marguerite D.! La musique, que certaines critiques dithyrambiques voient comme un chef d'oeuvre, s'apparente à celles des films érotiques de série Z. Les seconds rôles jouent très très mal (certainement exprès). Le seul décor du viaduc de Ensuès-la-Redonne donne une unité de lieu si étroite! Oisiveté, farniente et léthargie symbolisent parfaitement cet ovni cinématographique.
Sous une chaleur étouffante, des amis passent des vacances ensemble en Italie quand un homme va venir s'immiscer dans le groupe. "Azuro", adapté de Marguerite Duras (Les petits chevaux de Tarquinia) est une étude de moeurs de couples qui, pour certains, tanguent. Même si le rythme est très lent (certainement à cause de la température), le charme de Valérie Donzelli fait à nouveau effet sur le bel inconnu (et le spectateur). Le résultat amène à une réflexion sur l'érosion du couple sans pour autant atteindre des sommets. Passable mais pas indispensable.
Avec beaucoup de charme, le film évoque particulièrement le terrible drame ordinaire de l’ennui dans le couple, de l’ennui dans l’amour. Le caractère insupportable de l’effet miroir que nous renvoie l’autre. Ce qu’il voit de nous, nous rend fou… Que faire, face à cette extrême lassitude ? A cette forme d’impasse assez inextricable, la réponse pourrait être « Quand on aime, il faut partir »
Le rythme est lancinant, la bande originale y contribue avec force. C’est une torpeur entretenue. Beaucoup de plans fixes, notamment sur une Valérie Donzelli iconique et magnifiée… Que la caméra de Rozé l’aime, et nous aussi, tant sa lumière naturelle est étincelante… La musique de Kid Francescoli, omniprésente, est un roman à elle toute seule. Elle est envoutante, colle à la pellicule et amène une mélancolie pour le moins renversante.
D’Azuro, on sort un peu vaporeux, on a bien sûr envie de soleil partout… Comme le dit Duras, dans le roman d’origine, et entendu dans le film : « Il n’y a pas de vacances à l’amour, ça n’existe pas. L’amour, il faut le vivre complètement avec son ennui et tout, il n’y a pas de vacances possibles à ça. ». C’est pop et sensuel à souhait, un vrai bon moment.
J'adore ce genre de film bien français. Ces légions de filmo bouses françaises qui se veulent héritières du cinéma de Jean Luc Godart . Le genre : La vie des intellobobogauchoparigo qui se la pètent avachis en vacances dans le Sud après 11 mois de vrai labeur , Eux !! On te sort une phrase psycho alambiquée pour faire intello entre 2 jurons ; puis je t'aime mais je veux te tromper et en fait j'en sais trop rien : En gros: Le mal être de la bientôt quadra sous Campari ... Des gros plans de 30 secondes sur un visage qui n'exprime rien si ce n'est un regard de vache morte : et ça c'est du cinéma d'auteur !! Et puis plein de décors : la villa , le bar , la mer, la plage de galets ( au fait c'est Ensuès La Redonne , j'ai regardé pour ça , j'habite Carros c'est à coté) et on recommence le cycle ... Le genre de film ou tu te dis que ça va bientôt commencer quand apparaît le générique de fin !! Vous en avez déjà vu mille identiques ?? Le mas Provence?? La villa en Corse? A l'Ile de Rè?? Au camping de la Plage ?? One more time ... Celui-ci est "Certifié bouse intergalactique" mais Les intel ******os ( cités au début de ma critique) vont adorer ,N 'S pas ??