Mon compte
    Pulsions
    Note moyenne
    3,7
    3483 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Pulsions ?

    194 critiques spectateurs

    5
    35 critiques
    4
    83 critiques
    3
    45 critiques
    2
    14 critiques
    1
    13 critiques
    0
    4 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Afrench_inshanghai
    Afrench_inshanghai

    6 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 août 2024
    érotique version d'Hitchcock, magnifique images et actrice. Ça c'est du cinéma ! C'est beau et graphique
    Heleneles
    Heleneles

    6 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 août 2024
    Avis très mitigé après avoir vu ce film. Certaines scènes traînent tellement en longueur qu’on a envie de rire ou de souffler. Le jeu d’acteur est lui aussi parfois risible. Les scènes de nu me semblent parfaitement inutiles, voire grotesques. A côté de ça, il y a de très beaux plans, travail sur le cadrage, les lumières, etc donc je reste assez perplexe sur les avis dithyrambiques concernant ce film. Effectivement, ça rappelle beaucoup Hitchcock, mais c’est beaucoup moins prenant qu’un Psychose, par exemple. Donc pas un film sans intérêt, mais pas un chef d’œuvre non plus.
    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    155 abonnés 970 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 octobre 2023
    Pas le meilleur De Palma selon moi, et même un des plus oubliable à mon goût. La mise en scène reste toujours réussie et l'ambiance assez étrange, l'ensemble ne m'a pas accroché comme d'autres films de ce grand réalisateur.
    Lionel33000
    Lionel33000

    36 abonnés 382 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mars 2023
    PULSIONS de Brian De Palma un thriller a la Hitchcock à travers certaines scènes, Les personnages sont intéressants à suivre, montrant leur ambiguïté. Sa mise en scène est superbe et efficace. Les interprétations sont excellentes, la belle Nancy Allen, Angie Dickinson ou Michael Caine. Un vrai bon film,
    kibruk
    kibruk

    144 abonnés 2 541 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 août 2022
    La fascination de De Palma pour Hitchcock est plus que flagrante dans "Pulsions" et je fais encore le constat que je suis loin d'apprécier ses films autant que ceux de son 'modèle'. Je ne peux pas dire que "Pulsions" a mal vieilli, puisque quand je l'avais vu pour la première fois, il y a bien longtemps, le film était récent et que je ne l'avais pas aimé, et que la forme reste techniquement bonne. En fait ce qui m'a toujours gêné dans bon nombre de films de De Palma, c'est tout simplement leurs scénarios et celui de "Pulsions" me déplaît sur de nombreux points. En plus c'est un film à twist, alors dès la deuxième vision il perd encore en intérêt, contrairement à "Vertigo" d'Hitchcock que j'ai déjà vu plusieurs fois.
    Sosa
    Sosa

    9 abonnés 370 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 juin 2022
    Notre personnage principal perd et sa famille et ses amies, elle est belle, la vie. La toute fin ma déçu, trop joyeuse, cette homme ne va pas au bout des chose, une happy end à vomir.
    Norbert Sautelles
    Norbert Sautelles

    6 abonnés 542 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mai 2022
    Il s'agit de la version "unrated", c'est à dire avec les plans sur le pubis d'Angie Dickinson, mais aussi sur ses seins (qui sont en fait ceux de sa doublure corps). Le film est très direct dans ce qu'il montre: sexe, lacérations aux rasoirs. Mais ses qualités ne sont pas exclusivement là.
    Passons outre les morceaux de bravoure dont Brian de Palma est un spécialiste: la séquence dans le musée (de la pure mise en scène), la séquence chez l'inconnu jusqu'à la redescente dans l’ascenseur et le meurtre (pareillement, séquence sans dialogue de pure mise en scène et montage); la séquence de Nancy Allen chez le psy Michale Caine à la fin, superbe de tension contrôlée et d'interprétation. Nous pourrions rajouter la séquence de la douche, surprenante parceque débutant le film et mettant l'emphase sur le personnage d'Angie Dickinson, qui disparaitra bientôt pour faire basculer la narration sur d'autres personnages.
    Le film fonctionne, car ses personnages sont intrigants, attachants ou paumés, ou pas. Angie Dickinson, Nancy Allen, Keith Gordon, Michael Caine génial dans une interprétation toute en retenue et moues subtiles, Dennis Franz très bien dans un rôle peut présent à l'écran, mais important. Brian de Palma est un grand directeur d'acteur, ce qui est fondamental pour que sa mise en scène baroque et peu subtile fonctionne.
    Et bien sur, constituant essentiel, la musique de Pino Donaggio, très organique tout en étant symphonique, nourrie les scènes pour démultiplier leur impact. De la belle ouvrage très pensée.
    Anonyme M
    Anonyme M

    60 abonnés 1 652 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 mars 2022
    un très mauvais film. tout tourne autour d'une fille qui a des fantasme et qui se fait violer ou agressé sexuelement autant dire qui c'est ultra malsains. c'est super super long le film n'avance a rien. nul.
    Thomas B
    Thomas B

    1 abonné 205 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 août 2021
    Oeuvre majeure dans la filmographie de Brian De Palma, Pulsions est un hommage particulièrement réussi a Alfred Hitchcock. En effet, difficile de ne pas penser à Sueurs Froides (pour la partie se déroulant au musée) ou encore à Psychose (pour les séquences de la douche notamment) quand on visionne ce long-métrage. La mise en scène pleine de sensualité et d'érotisme est un véritable plaisir à visionner, la BO Pino Donnagio est sublime et l'histoire tient en haleine du début jusqu'à une fin bien surprenante. Quant au casting, il est tout simplement éblouissant. Une oeuvre vraiment magnifique qui est visionner sans modération !
    Starwealther
    Starwealther

    74 abonnés 1 179 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 mai 2021
    De Palma rend un plein hommage à Hitchcock avec son "Dressed to Kill", un thriller à suspense fort haletant sublimé par une BO de Pinno Donaggio qui serait presque d’aussi bonne qualité que ce qu'a pu faire Bernard Hermann. Le réalisateur américain plagie le maître du suspense en y apportant sa touche personnelle. De nombreuses scènes sont de petits bijoux de cinéma notamment la scène de filature dans le musée MOMA ou encore la course poursuite dans le métro new-yorkais. L'ambiance est sensuelle et charnelle (scène de la douche, ébats dans le taxi), la caméra du réalisateur suit les formes dénudées des corps de Angie Dickinson et de Nancy Allen pour notre plus grand plaisir. De Palma réussit à mettre en scène un scénario oedipien où transparaît la présence de son double Peter, un jeune homme passionné de science et utilisant divers gadgets pour enquêter sur le meurtre de sa mère. Peter agit exactement comme le réalisateur qui, dans sa jeunesse, a suivi et filmé son père afin de prouver qu'il trompait sa mère. Tout comme « Body Double", « Pulsions » est une oeuvre de voyeurisme à haute teneur sexuelle accompagnée d'un suspense et d'une tension insoutenable. Le meilleur film de De Palma, selon moi, il y insuffle son propre style, ses propres obsessions et y glisse quelques éléments purement autobiographiques. Un chef d'oeuvre
    Ghighi19
    Ghighi19

    66 abonnés 1 867 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 avril 2021
    Sans doute l un des meilleurs films de De Palma en tous cas surtout au niveau de la réalisation. La scène de l ascenseur est stupéfiante. Michael Caine est une nouvelle fois incroyable. Du cinéma indispensable !
    Buddy_Noone
    Buddy_Noone

    1 abonné 89 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 décembre 2020
    Qui se sera intéressé à l'oeuvre de Brian De Palma, lui aura trouvé deux aspects majeurs.
    Il y a le De Palma obsédé par l'ambiguité sexuelle, le double et le voyeurisme, et il y a le De Palma réalisateur de films de commande.
    Le mérite du bonhomme tient au fait qu'il aura longtemps su concilier ses thématiques majeures avec les desideratas des studios. Ainsi, trouve-t-il toujours le moyen d'aborder la thématique du voyeurisme dans ses films jugés à tort comme ses moins personnels. Des séquences entières de Scarface, L'impasse, Les Incorruptibles ou encore Mission Impossible reposent sur une focalisation subjective et souvent sur plusieurs points de vue simultanés.

    Après s'être fait remarqué par un Soeurs de sang portant déjà les germes de son cinéma futur et avoir subjugué les fantasticophiles avec Phantom of the paradise et Carrie par sa mise en scène stylisé, De Palma rend un premier hommage à sa grande idole Hitchcock, et son Vertigo, à travers Obsession, oeuvre dérangeante sur fond de complot et d'inceste.
    En 1980, il livre sa version toute personnelle du chef d'oeuvre indétrônable qu'est Psychose, avec Dressed to kill (Pulsions).
    Il ne l'a d'ailleurs jamais caché aux critiques, Pulsions est son hommage aux méfaits de Norman Bates.
    Ainsi, la structure narrative adopte dans une première partie le point de vue d'une héroïne dont le sacrifice scénaristique en cours de métrage (à la manière de Marion Crane), servira de catalyseur et de point de départ à une nouvelle intrigue.

    Kate Miller est une femme qui, à l'aube de la cinquantaine, doute sérieusement de son potentiel de séduction. Méprisée par un époux mou du slip, inquiète pour son geek de fils qui passe ses nuits à peaufiner sa dernière invention, elle confie ses doutes et ses névroses à son psychothérapeute compatissant. Lors d'une visite au musée, elle tombe sous le charme d'un inconnu et finit par passer une nuit d'amour chez le don Juan avant de quitter en douce son appartement. C'est dans l'ascenseur de l'immeuble qu'elle sera assassinée par une femme aux lunettes noires et aux coups de rasoir faciles. Seul témoin du meurtre, Liz Blake, une prostituée, sortant de l'un de ses "rendez-vous" et qui semble la seule à avoir vu la meurtrière. Laquelle mettra un point d'honneur à vouloir la tuer elle-aussi avant qu'elle n'en dise trop à la police.

    Le parallèle avec Psychose est évident. Kate Miller est Marion Crane. Son meurtre dans l'ascenseur fait écho à celui mythique de la douche, quant à l'identité de l'assassin et son mobile...
    Rien de bien neuf, pourrait-on dire. Et se serait se tromper, tant De Palma transcende comme à son habitude une intrigue des plus simplistes par une mise en scène audacieuse, multipliant les entrées dans le champ et les points de vue via des panoramiques aériens et des effets de split-screens (déjà expérimentés dans le formidable climax de Carrie) qui ne seront curieusement popularisés que vingt ans plus tard par le biais de la série 24.

    Virtuose de la caméra, De Palma sème avec malice des éléments de réponse susceptibles d'aiguiller le spectateur ne serait-ce que sur l'identité de l'assassin (le personnage interrogeant son reflet dans le miroir dès qu'il est mis à l'épreuve et tenté par le sexe). Il s'appuie sur la technique de la multi-angularité pour souligner les différents enjeux d'une seule séquence (voir la scène où Nancy Allen découvre le corps d'Angie Dickinson dans l'ascenseur, puis la présence de l'assassin derrière la porte qui se referme).

    Il ponctue par ailleurs son métrage de deux scènes magistrales.
    La première est celle du jeu de séduction et de "drague-moi si tu peux" dans le musée, où il laisse transparaître sans une seule ligne de dialogue les doutes et les contradictions du personnage d'Angie Dickinson.
    La seconde est cette course-poursuite amorcée par une course en taxi et se poursuivant dans le métro.
    Il faut voir le personnage de Nancy Allen, fuyant à la fois l'assassin et une bande de petites frappes, attirer l'attention d'un agent de sécurité sur ses poursuivants. Par le bais d'un coup d'oeil à gauche et à droite de la rame arrêtée, alors que l'agent regarde à chaque fois dans la direction opposée, c'est d'abord l'assassin qui monte dans la rame en bout de quai puis le groupe de voyous de l'autre côté. Ni l'agent de sécurité, ni le personnage de Nancy Allen ne les a vu monter dans le train. Il n'y a que le spectateur qui en sait plus que les personnages.

    Malin, De Palma appuie sa mise en scène par l'utilisation judicieuse des talents techniques du personnage de Keith Gordon. Ainsi, le spectateur épouse-t-il son point de vue "voyeuriste" sur plusieurs séquences dont la première est la conversation "en privé" de l'inspecteur de police et du thérapeute. Tout ce qu'ils se disent semblent nous être rapporté par le personnage de Gordon, qui écoute la conversation via un dispositif de preneur de sons. De simple témoin sur l'essentiel de ses scènes, celui-ci passe de manière surprenante à celui de Deus ex machina en surgissant là où on ne l'attendait pas pour sauver le personnage de Nancy Allen. Avant de réinvestir le simple rôle de témoin passif de l'action et donc, côtoyant au plus près le spectateur.

    Et même si en bout de métrage la révélation de l'identité de l'assassin ne surprend personne, c'est encore sur une alternance de point de vue que De Palma apporte la réponse.
    (Petit spoiler : Pulsions ne traite que de frustration sexuelle et d'antagonisme avec le refoulé. Le personnage de Liz (Nancy Allen) de par son gagne-pain et sa sexualité débridée apparaît ainsi comme le parfait contre-point de l'assassin et même de sa première victime. A peine regrettera-t-on la simplification du terme "transsexuel" et son amalgame avec celui de "schizophrène" dans une séquence explicative qui renvoie au final de Psychose).

    Pulsions est en définitive un concentré du talent désormais révolu de De Palma pour mettre en forme et en images un récit ultra-référentiel et révérencieux au maître du genre. Transcendant de fort belle manière un scénario minimaliste par une mise en scène intelligente et perverse, autrement plus explicite et agréable que n'importe quelle ligne de dialogue trop explicative, De Palma n'avait en définitive pas de quoi rougir à la comparaison avec son idole. Pulsions est un autre de ces joyaux filmiques qui jalonnent la carrière de ce cinéaste, dont les derniers métrages hélas n'apportent plus rien, si ce n'est un poids mort au gigantesque et somptueux édifice que représente son oeuvre.
    cinéman
    cinéman

    40 abonnés 805 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 décembre 2020
    Vintage et décalée avec un psychiatre qui fait guise de psychopathe. Le film a plutôt vieilli, on comprend moins l'interdiction aux mineurs aujourd'hui, mais l'ambiance reste pesante, anxiogène et assez spéciale.
    Redzing
    Redzing

    1 106 abonnés 4 461 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 octobre 2020
    Si l'influence d'Alfred Hitchcock sur la filmographie de Brian De Palma a toujours plané, cela est particulièrement marquant pour plusieurs œuvres du réalisateur américain dans les années 70/80, telles que "Obsession", "Body Double", ou encore ce "Dressed to Kill". Là, on s'intéresse à une mère de famille frustrée sexuellement, qui après un adultère sulfureux, va faire une bien mauvaise rencontre... Outre un chassé-croisé langoureux au musée rappelant "Vertigo" (et apparemment, également inspiré de l'expérience de De Palma, qui appréciait de draguer au musée !), la trame reprend plusieurs éléments de "Psycho". Pour autant, comme d'habitude, De Palma ne se contente pas de singer son maître spirituel, mais aborde avec son propre style un scénario de thriller qui tient presque ici du giallo : une héroïne mêlée à un meurtre par hasard, un tueur mystérieux à l'arme blanche rutilante, un assassinat sanglant et graphique, des rebondissements parfois rocambolesques, la police au second plan, etc. Le tout filmé à sa façon, tel un voyeur, jouant régulièrement avec le spectateur (ce n'est par exemple par le corps d'Angie Dickinson que l'on voit nue en gros plan sous la douche dans les premières minutes, mais une doublure bien plus jeune !). Travelings maîtrisés, doubles focales troublantes, split screen, les ingrédients usuels de De Palma sont là aussi, permettant de distiller une ambiance prenante et une tension permanente. La musique réussie de Pino Donaggio aidant également. Ainsi, la fameuse séquence de meurtre est par exemple tout aussi éprouvante que la pression qui la précède. Au niveau acteurs, on retrouve Nancy Allen, habituée de De Palma, qui fait preuve de beaucoup de sensualité. Angie Dickinson étonne en femme délaissée qui se laisser aller le temps d'un flirt, Keith Gordon est attachant en jeune prodige de l'électronique et de l'optique (personnage inspiré de la jeunesse de De Palma), et Michael Caine livre une prestation aussi flegmatique qu'intrigante en psychiatre ennuyé par l'un de ses patients. Enfin, "Dressed to Kill" aborde un thème relativement nouveau à l'époque : la transsexualité. Mélange de psychologie, de trouble d'identité, et de travestissement, on comprend que ce sujet cinégénique ait séduit De Palma !
    DaftCold
    DaftCold

    19 abonnés 213 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 juillet 2020
    J'ai beaucoup aimé toutes les ambiguïtés que le films installe. En commençant par le titre qui joue sur les pulsions sexuelles et les pulsions meurtrières. Il y a vraiment des scènes marquantes par leurs réalisations et leur non-dits. C'est une super expérience cinématographique que je ne peux que conseiller !
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top