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    Pulsions
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    194 critiques spectateurs

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    Kinshaw.
    Kinshaw.

    14 abonnés 187 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 juin 2016
    Que ça a mal vieilli! Typique des films des années 80, la musique classique à tout va, stridente à volonté. Le scénario éthiquement limite, une autre époque clairement ! J'ai été très déçue par les clichés dépeints dans le film, certes érotique, le scénario est surtout très macho, la femme, objet du désir de l'homme, le transexuel, sous l'angle du pathologique.. tout ça est très bas de plafond.
    Serpiko77
    Serpiko77

    58 abonnés 1 631 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mai 2016
    Les références au maître du suspense Hitchcock ne manquent pas, De Palma y ajoute ses caractéristiques habituelles de voyeurisme, à la limite malsaine. Son thriller es totalement maîtrisé, on comprend assez vite l'identité du tueur mais cela ne nui que très peu au suspense.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    271 abonnés 2 878 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mai 2016
    L'ombre d'Hitchcock est plus présente que jamais dans ce film de De Palma, qui nous livre un hommage absolument pas déguisé au maître du suspense. Les nombreuses séquences sans dialogue, où seule la caméra intervient, sont formidablement maîtrisées et font passer le message du cinéaste avec virtuosité. Le cinéphile ne pourra que relever les innombrables clins d’œil (essentiellement à Sueurs Froides et Psychose, mais aussi à sa propre filmographie). De Palma a construit sur la base d'un scénario assez schématique et simple, une mise en images redoutablement efficace, servie par de jeunes acteurs brillants et un Michael Caine au flegme purement britannique.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 17 mai 2016
    Ici nous retrouvons Nancy Allen jouant avec Michael Caine et Angie Dickinson dans un thriller "érotique" d'une certaine intensité. On peut constater déjà l'hommage au Psychose d'Hitchcock notamment sur le traitement du personnage principal ( spoiler: notamment sur son assassinat et l'ammalgamme entre la douche et l'ascenseur
    ). On peut souigner une mise en scène qui parvient à nous garder en haleine même pendant les 30 premières minutes malgré des événements qui pourraient laisser de marbre en temps normal ( spoiler: je ne m'attendais pas à être aussi attentif en regardant une femme errée dans un musée pendant 10 bonnes minutes...
    ). De plus, ne sachant pas grand chose du film, l'intrigue fut une très bonne surprise avec cette mystérieure blonde tueuse qu'étrangement, j'ai peiné à reconnaître avant l'approchement du dénouement final. Les scènes érotiques sont très bien faites, difficile d'y voir une quelconque vulgarité à notre époque, la musique est toujours calibré habilement à l'intrigue, chacun des personnages sont vrais et ne donnent pas juste l'impression d'être là pour le film. Je ne peux trop en dire sans risquer de spoiler, mais pour ceux qui apprécient ce genre, je le recommande sans hésiter.
    AlexPiou1704
    AlexPiou1704

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mai 2016
    Même si la musique et la photo ont pris un petit coup de vieux, c'est un thriller a l'efficacité redoutable, avec une dimension erotique qui a fait scandale en 1980, mais qui ne choque plus vraiment aujourd'hui. Le suspense en devient à la limite du soutenable en s'approchant de la fin, avec des mouvements de caméra tres lents.. Cependant, le rapport à la transexualité reste quand même super vieillot...
    Mais Angie Dickinson et Michael Caine sont géniaux
    Le tout en fait un très bon De Palma, bien flippant malgré tout.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 24 avril 2016
    Bourré de références au cinéma de Hitchcock, Pulsions trouve l'essentiel de son inspiration dans spoiler: Psychose
    . C'est un plaisir de retrouver les grandes lignes de ce chef d'oeuvre dans un autre contexte et une autre ambiance en jouant au jeu des différences. Mais cela galvaude également la trame narrative et le suspense dès le premier visionnage. Par ailleurs, le voyeurisme prend ici une tournure dérangeante, à l'image de la scène d'ouverture.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 174 abonnés 4 168 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 janvier 2016
    Quand il met en chantier “Pulsions », Brian De Palma âgé de 40 ans a réalisé douze longs métrages depuis 1966 dont quelques succès assez retentissants comme « Phantom of the Paradise » (1974), « Carrie » (1976) ou « Furie » (1978) qui le placent parmi les réalisateurs qui comptent même si spécialisé dans le cinéma de genre, il se situe dans l’esprit de la critique américaine un cran en dessous de ses « copains barbus » du nouvel Hollywood (expression empruntée à Billy Wilder alors qu’il évoquait ses difficultés à monter « Fedora ») qui ont à leur actif des succès mondiaux qui leur ont valu l’adoubement de la critique et la reconnaissance des festivals (« Taxi Driver » pour Scorsese, « Le Parrain » pour Coppola et « Les dents de la mer » pour Spielberg). Pas étonnant dès lors qu’il soit engagé sur des projets ambitieux comme « Cruising » ou « Le Prince New York », tous deux finalement réalisés par William Friedkin et Sidney Lumet. Frustré comme il le dit lui-même par sa difficulté à monter le projet autour du livre qu’était en train d’écrire Robert Daley sur sa propre expérience de commissaire délégué face à la corruption qui gangrénait le NYCPD dans les années 1970 (cf, « Le Prince de New York »), il rédige très promptement le scénario de « Pulsions » à partir d’articles et de livres sur le phénomène de la transsexualité qui l’intrigue et le fascine. Comme toujours chez De Palma, l’histoire est agrémentée d’éléments autobiographiques (ici le jeune héros joué par Keith Gordon accro aux nouvelles technologies, clone du De Palma adolescent qui espionnait caméra à la main son père adultère). Son agent, vend illico le scénario aux enchères pour 200.000 dollars (somme rondelette à l’époque). « Pulsions » est désormais sur les rails. De Palma, même s’il s’en défend, puise une nouvelle fois son inspiration de mise en scène chez Hitchcock, ouvrant et concluant son film par un hommage appuyé à la fameuse scène de la douche de « Psychose » (1960). Idem pour les thèmes qui rythment l’action comme le voyeurisme, le sexe refoulé puis réprimé ou l’obsession pour les femmes blondes. C’est d’ailleurs en référence à « Psychose » qu’il construit le premier tiers de « Pulsions », réussissant à crée le même sentiment de malaise indéfini que l’on ressentait face à Janet Leigh, héroïne furtive de « Psychose », secrétaire en fuite après avoir dérobé le magot de son patron. Mais nous sommes en 1980, soit vingt ans après le film choc que fut « Psychose » et De Palma peut maintenant exposer clairement les fantasmes sexuels qu’Hitchcock se contentait de suggérer avec son habituel sens de la dérision. L’accomplissement sexuel est clairement la quête de Kate Miller (Angie Dickinson), sémillante quinquagénaire dont nous allons partager pendant une demi-heure grâce à la virtuosité de la caméra de De Palma (Ralf D. Bode à la photographie) le très troublant, sensuel et maladroit cheminement vers le plaisir. spoiler: D’abord par une scène d’onanisme sous la douche qui en ouverture nous dévoile quel sera le ton du film mais aussi le degré de frustration atteint par cette femme recourant à la psychanalyse pour tenter de calmer le flot d’émotions contenues qui la submerge
    . Ensuite par une scène d’anthologie au Metropolitan Museum of Art de New York (scène tournée en réalité à Philadelphie), variation virtuose autour de la scène du musée de « Vertigo » où une partie de cache-cache tout à la fois mutine et onirique met Kate Miller sur la piste de son accomplissement. La quête effrénée trouvera son acmé dans le cri de jouissance lâché en pleine circulation après un abandon aux foucades d’un inconnu sur le siège arrière d’un taxi. spoiler: Mais comme Hitchcock avait choisi de livrer sauvagement Janet Leigh à la lame tranchante de Norman Bates (Anthony Perkins) après nous avoir mis en sympathie avec elle, De Palma nous prive d’Angie Dickinson à peu près dans les mêmes délais et de manière aussi brutale, une cabine d’ascenseur remplaçant la célèbre cabine de douche. La pulsion sexuelle vécue de manière coupable par Kate Miller, sa réprimande en deux temps par la découverte tout d'abord de la maladie transmissible de son partenaire puis ensuite par la fin tragique de la candidate au plaisir
    seront fortement reprochées à De Palma comme l'affirmation de sa part d'une position antiféministe dans la droite ligne de la reprise en main puritaine qui sourd depuis la fin du flower power née quelque part aux abords de Cielo Drive, là-même où Sharon Tate, la femme de Roman Polanski, avait trouvé la mort sous les coups de poignard des séides de Charles Manson (le 9 août 1969). Une régression brutale bientôt confortée par l'apparition du Sida, vue par les milieux réactionnaires comme le réveil de la volonté divine du retour à un ordre établi. Extrapolation erronée selon De Palma d'une critique toujours prompte à faire dire aux films plus que leurs auteurs avaient en tête. La polémique qui liguera contre le réalisateur les milieux féministes et gay (transposition sur l'homosexualité de son approche répressive de la transsexualité) suivie de la mini bataille d'Hernani que se livrent les critiques Pauline Kael, fervente avocate de De Palma depuis ses débuts, et Andrew Sarris l'accusant d'être un Hitchcock aux petits pieds. Tous ces remous feront beaucoup pour le succès du film qui sera le plus rentable de la carrière du réalisateur sans aucun doute conscient au préalable du parti à tirer de la marque transgressive des thèmes choisis. La suite du film consacrée à la traque du tueur s'éloigne quelque peu de l'esprit hitchcockien, nous rappelant que De Palma est de la génération des Spielberg, Dante et autres Lucas, mêlant humour potache de l'adolescence et emprunt aux slashers qui font rage depuis l'avènement du "Halloween" de John Carpenter (1978). Cette deuxième partie du film est tout aussi virtuose grâce à l'acuité visuelle de De Palma dont les effets parfois jugés tocs comme le split-screen ou l'utilisation d'une lentille bifocale pour juxtaposer deux plans distants montrent aujourd'hui toute leur pertinence et leur originalité pour donner à "Pulsions" toute sa force suggestive. Le duo formé par Keith Gordon et la pulpeuse Nancy Allen (femme de De Palma) est complètement opérationnel grâce à l'incongruité et l'ambiguïté de leur association (un geek de prime abord asexué et une prostituée). Michael Caine et Angie Dickinson qui s'immiscent pour la première fois dans l'univers "de palmien" sont bien sûrs parfaits et n'ont pas eu à regretter ces deux rôles marquants de leur filmographie. Ajoutez à tout cela la musique envoûtante de Pino Donaggio, fidèle compositeur de De Palma depuis "Carrie" et vous obtenez la preuve qu'un cinéma hautement référentiel peut trouver le chemin de l'originalité si le mélange est réalisé par un savant alchimiste.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 388 abonnés 4 426 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 janvier 2016
    Un film de très belle facture que Pulsions, film qui pour moi a un petit bémol, sa conclusion. Pour être très franc elle n’est pas aussi surprenante que cela, on peut aisément s’en douter car le film propose peu de personnages. Cela gomme un peu le suspens.
    Mais enfin, pour le reste c’est du très bon, digne des meilleurs gialli. Le casting est sublime, évidemment, avec un trio principal composé de Dickinson, excellente dans son rôle et d’une beauté lumineuse, de Nancy Allen, actrice toujours très talentueuse que je regrette de ne pas avoir vu dans davantage de rôles marquants, et Michael Caine, qu’on ne présente plus. Celle qui tire quand même son épingle du jeu c’est Nancy Allen, et elle forme un duo de premier ordre avec le moins connu Keith Gordon, qui ne manque pas de se trouver une place au milieu du reste du casting prestigieux. Pour ma part j’ai trouvé que les acteurs étaient réellement bien utilisés, avec des personnages consistants, et je trouve personnellement qu’il y a deux très beaux portraits de femmes dans ce film.
    Le scénario comme je l’ai dit est un peu affadi par sa conclusion pas très surprenante. Mais pour le reste le film est doté d’une narration fluide, le film ne manque pas de rebondissement mais sait aussi prendre son temps quand il le faut. Pulsions est réellement bien maitrisé dans son récit, et c’est important dans ce genre de film car en plus il y a deux parties bien distinctes, qui auraient facilement pu se heurter et ne pas se fondre correctement. Sinon bon travail sur la psychologie des personnages, sujet original, tensions, perversité, bref, que du bon !
    Visuellement Brian de Palma signe un film de très belle qualité. Sa mise en scène pleine d’inventivité, aux cadrages audacieux, à la magnifique exploitation des jeux de miroir, est une très grande réussite qui donne tout de suite une personnalité au film, et le rend fascinant. Comme je dis souvent un film c’est avant tout un travail visuel, c’est l’arme déterminante et on sent ici toute l’importance de la mise en scène, mais aussi celle des décors et de la photographie, tout aussi fouillés et impeccables dans Pulsions. Une bande son magnifique complète le tout comme une cerise sur le gâteau.
    En clair Pulsions est un métrage qui m’a vraiment séduit, et c’est peut-être car tout du long il m’a réellement plu que la fin m’a paru en-dessous. La sortie est un peu trop facile, dommage, mais enfin, cela ne doit pas ternir la qualité du reste. 4.5.
    gregbutton
    gregbutton

    27 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 août 2015
    DU Hitchcock, un cran en-dessous. Certaines scènes sont trés trés proches, trop parfois. Le parallèle est trop présent si bien qu'on joue au jeu des 7 différences, qui sont bien là. Et pourtant je ne suis pas un grand fan de Psychose.
    chrisbal
    chrisbal

    15 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 septembre 2017
    C'est quand même très "léger" comme intrigue...et ça a surtout mal vieilli.
    Bref, comme film a twist, y a beaucoup mieux
    Ricco92
    Ricco92

    220 abonnés 2 147 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 avril 2015
    Lors de la première vision de Pulsions (Dressed to kill, 1980), ce qui saute aux yeux est la proximité du film de Brian De Palma avec le chef-d’œuvre d'Alfred Hitchcock Psychose (Psycho, 1960) et les autres références qui émaillent le film (Sueurs froides du même Hitchcock, La Nuit des masques de John Carpenter ou encore le cinéma de Dario Argento). Mais il serait dommage de réduire ce polar à ces simples hommages et de ne pas voir tout le travail du réalisateur.
    Effectivement, De Palma fait preuve une fois de plus d'une parfaite maîtrise du cadre et du montage, aspect qui ressort de plus en plus à chaque nouvelle vision. Il n'hésite pas à user de toutes les possibilités que lui offre le cinéma (les fameux split-screens qu'affectionne le réalisateur, l'utilisation de d'optique à double focale, les travellings, les vues subjectives...) comme a pu lui enseigner le maître du suspense.
    De plus, le travail sur le scénario est très rigoureux. Ainsi, toute personne ne connaissant pas le film ayant inspiré celui-ci sera surpris par le retournement de situation central. Evidemment, le spectateur connaissant Psychose sera moins étonné mais, en contrepartie, savourera le travail référentiel qu'effectue le réalisateur de Carrie.
    Les acteurs, quant à eux, sont parfaitement mis en valeur (notamment les deux actrices principales, Angie Dickinson et Nancy Allen, filmée toutes deux avec amour), ce qui leur permet de d'offrir de splendides prestations.
    Pour tous les spectateurs estimant qu'un film doit avant tout représenter la personnalité du cinéaste, il faut signaler que De Palma parsème son film de références personnelles comme le fait que la chambre de Keith Gordon remplie d'inventions reproduise celle de De Palma jeune spoiler: ou comme la séquence de drague au musée, qui en plus d'être une référence directe à Sueurs Froides (Vertigo, 1958) d'Hitchcock, renvoie au fait que De Palma lui-même draguait dans les musées quant il était plus jeune
    .
    Film n'hésitant d'ailleurs pas à traiter des sujets peu évoqués à l'époque spoiler: (les maladies vénériennes, le transsexualisme...)
    , Pulsions se révèle donc être un des sommets de l’œuvre de Brian De Palma.
    gabdias
    gabdias

    85 abonnés 1 800 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mars 2015
    Toute scène ressemblante de près ou de loin à Psychose d'Hitchcock serait une coïncidence purement fortuite ou un hommage appuyé de Brian de Palma à son maître à penser. Un thriller haletant, brillamment filmé redonnant une vision profonde sans fioriture, sans tomber dans la caricature ou la facilité à ce genre cinématographique.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 février 2015
    Tout comme Obsession été une sorte d'adaptation de Sueur froide a la sauce De Palma, Pulsion est une sorte d'adaptation de Psychose a sa sauce. Et sa sauce on la connais ! Dans le thème déjà, le sexe et la sexualité a toujours été présent dans l'oevre de De Palma, mais ici ça l'est encore plus, et il réussi a bien le filmé, c'est ni trop prude ni trop vulgaire. La mise en scène est la mise en scène habituel de De Palma, c'est a dire split screen, camera subjective et store vénitien, qui sont ici très bien utilisé. Et bien sure il y a le twist final comme souvent chez De Palma spoiler: (le rêve)
    . Sinon coté scénario, l'inspiration de psychose est omniprésente mais tout est modernisé, notamment le fait que la transsexualité soit abordé de façon plus frontal. Les acteurs sont très bon, Michael Caine, Nancy Allen et le encore jeune Keith Gordon sont excellent. Pulsion est donc un très bon thriller avec tout les poncifs de De Palma.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 24 janvier 2015
    Ce film n'est définitivement qu'une pâle copie de Psychose. Certes certains moments ont un suspens assez pesant ou une construction intéressante (Scène de la douche, scène du musée) mais le reste n'est qu'un concentré de clichés assez mal pensés. En effet, le scénario est assez (voir très) mauvais, les acteurs le sont également, les personnages sont ridicules et on voit la fin du film arriver gros comme un éléphant dans un corridor ! De Palma nous a pondu bien mieux.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 7 novembre 2014
    Scénario tortueux et torturé poussé à l'extrême, plans ingénieux comme seul De Palma sait les faire, ce film est aussi un de ceux ou le réalisateur tire trop sur les situations abracadabrantes. L'interprétation est suffisamment bonne pour nous tenir en haleine tout de même et on frissonne dans certaines scènes. Un film presque rococo mais tout même vénéneux.
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