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Votre avis sur Beckett ?
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Du suspens tout au long du film, un thriller comme on les aiment. On se met à la place du personnage principal et on imagine l'enfer qu'il doit vivre quand on ne peut plus faire confiance à personne. Vraiment top ce film, on ne s'ennuie pas une seconde.
Moi j'ai beaucoup aimé. J'étais très stressée du début à la fin, l'histoire m'a tenue en haleine. On s'attache au personnage et c'est comme si on était dans la même équipe.
Il y a deux façons de regarder ce film, la première consiste à se demander comment on peut encore inventer des scénarios pareils et à s'en moquer. La seconde consiste à faire fi de toutes les invraisemblances et de le regarder un peu comme on l'a fait du Fugitif en 1993 ou comme on feuillette un album de Tintin. Et en choisissant la seconde option, on est pas déçu, 100 minutes de dérochage de cerveau à 100 à l'heure dans les décors naturels de la Grèce et de sa capitale..
Jorik V
Voilà une proposition de film d’action peu commune et qui ne plaira pas à tout le monde par son caractère sec, presque austère et hors du temps alors que le fond de l’histoire est paradoxalement et éminemment actuel. On croirait presque à un film d’action d’auteur, chose plutôt rare et à priori antinomique mais que ce « Beckett » tend à contredire. Passé une entame inintéressante et quelque peu longuette, qui voit un couple d’américains prendre des vacances dans le nord de la Grèce en hiver, survient un événement tragique qui va faire dévier le film vers une chasse à l’homme de près d’une heure et demie comme on en voit peu (ou comme on n’en a pas vu depuis longtemps). Loin des canons hollywoodiens du genre favorisant les explosions, les séquences spectaculaires à la limite du vraisemblable et les bastons armées ou à mains nues, on préfère ici le réalisme, le plausible et la tension permanente.
Alors bien sûr il y a bien des scènes impressionnantes comme cette poursuite à flanc de falaise ou encore ce combat en voiture inopiné mais le but de « Beckett » n’est pas d’en mettre plein la vue à tout prix mais plutôt de nous brancher sur un qui-vive perpétuel en plus de nous questionner sur le pourquoi du comment. Malheureusement, on trouve dommage que le long-métrage fasse le choix d’être finalement plutôt nébuleux sur le fin mot de l’histoire et de nous laisser sur plusieurs pistes possibles quant aux ramifications de tout ce qu’il s’est déroulé. Pas que le film finisse en queue de poisson ou que l’on ne comprenne rien, mais il demeure pas mal de zones d’ombres que certains déploreront et dont nous faisons partie. Autre petit bémol, si la fin est rythmée au possible et captivante, il faut passer outre certaines facilités quant au caractère d’action man soudain réveillé de notre personnage principal avec, comme cerise sur le gâteau, un saut dans le vide sur une voiture de trop. Le sensationnel avait été laissé de côté jusque-là, ce qui rend les dix dernières minutes un peu too much.
John David Washington est plutôt crédible en quidam poursuivi quand Alicia Vikander et Vicky Krieps font de la figuration. Mais ce qui rend « Beckett » peu commun c’est bien son contexte et l’atmosphère qui s’y infuse. Le décor de cette Grèce hivernale et rurale, très loin des clichés balnéaires, est un décor de choix, rare et unique pour une chasse à l’homme, et cela donne beaucoup de cachet à cette œuvre originale. Ensuite, le fond politique fortement inspiré des remous économiques et politiques vécus par le pays dans la décennie passée lui donne un sous-texte engagé du meilleur goût. Contre le système capitaliste et la corruption, même si comme on l’a dit plus haut, la résolution de l’intrigue reste vague à ce sujet. Pourtant, fondre le script dans ce cadre spatio-temporel et social est une qualité non négligeable pour un divertissement de la sorte. Un film d’action qui sort des sentiers battus donc et qui captive si l’on veut bien se laisser emporter par ses poses particulières, son côté anti-spectaculaire sur les trois quarts de sa durée et ses errements de films indépendants. Presque une curiosité.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Alors bien sûr il y a bien des scènes impressionnantes comme cette poursuite à flanc de falaise ou encore ce combat en voiture inopiné mais le but de « Beckett » n’est pas d’en mettre plein la vue à tout prix mais plutôt de nous brancher sur un qui-vive perpétuel en plus de nous questionner sur le pourquoi du comment. Malheureusement, on trouve dommage que le long-métrage fasse le choix d’être finalement plutôt nébuleux sur le fin mot de l’histoire et de nous laisser sur plusieurs pistes possibles quant aux ramifications de tout ce qu’il s’est déroulé. Pas que le film finisse en queue de poisson ou que l’on ne comprenne rien, mais il demeure pas mal de zones d’ombres que certains déploreront et dont nous faisons partie. Autre petit bémol, si la fin est rythmée au possible et captivante, il faut passer outre certaines facilités quant au caractère d’action man soudain réveillé de notre personnage principal avec, comme cerise sur le gâteau, un saut dans le vide sur une voiture de trop. Le sensationnel avait été laissé de côté jusque-là, ce qui rend les dix dernières minutes un peu too much.
John David Washington est plutôt crédible en quidam poursuivi quand Alicia Vikander et Vicky Krieps font de la figuration. Mais ce qui rend « Beckett » peu commun c’est bien son contexte et l’atmosphère qui s’y infuse. Le décor de cette Grèce hivernale et rurale, très loin des clichés balnéaires, est un décor de choix, rare et unique pour une chasse à l’homme, et cela donne beaucoup de cachet à cette œuvre originale. Ensuite, le fond politique fortement inspiré des remous économiques et politiques vécus par le pays dans la décennie passée lui donne un sous-texte engagé du meilleur goût. Contre le système capitaliste et la corruption, même si comme on l’a dit plus haut, la résolution de l’intrigue reste vague à ce sujet. Pourtant, fondre le script dans ce cadre spatio-temporel et social est une qualité non négligeable pour un divertissement de la sorte. Un film d’action qui sort des sentiers battus donc et qui captive si l’on veut bien se laisser emporter par ses poses particulières, son côté anti-spectaculaire sur les trois quarts de sa durée et ses errements de films indépendants. Presque une curiosité.
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On s'ennuie dés le début , tout est prévisible dans ce genre de film où un pauvre gars tombe là où il ne faut pas . Tous les gens qu'il croise ou presque sont du complot (qu'on ne comprend pas d'ailleurs) . Il n'y a pas vraiment de logique dans les agissements des "méchants" et les dernières scènes sont assez WTF
spoiler:
. Le mec s'est pris une balle dans l'épaule, a un plâtre à l'avant bras , s'est fait casser 2 doigts , et là se refait transpercer le ventre par une balle ... et malgré tout il saute à l'aveugle du 3° sur le toit d'une voiture pour finir par tabasser un ripou (avec ses doigts cassés)
John Mc Lane : t'es remplacé... ah non ,il manque de l'humour...
John Mc Lane : t'es remplacé... ah non ,il manque de l'humour...
Et bin, j'ai vraiment accroché au début, on suit le pauvre héro paumé et dépassé par les évènements. Et puis patapouf, des décisions absurdes, impossibles à justifier (
spoiler:
personne ne sortirait de l'ambassade une fois a l'abri, personne...
) et tout s'écroule. De plus en plus improbable, le film déjà fragile ne vaut plus rien.
) et tout s'écroule. De plus en plus improbable, le film déjà fragile ne vaut plus rien.
FaRem
Les Américains arrivent toujours à être les victimes et les héros en même temps, et ce peu importe où ils se trouvent. Dans "Beckett", John David Washington incarne un homme en vacances en Grèce qui va être pris pour cible par des policiers à la suite d'un drame. Il ne sait pas pourquoi, nous non plus, et il va devoir fuir pour sauver sa peau. On assiste alors à une chasse à l'homme tirée par les cheveux avec Beckett qui va se transformer en un homme increvable alors qu'il ne lui arrive que des misères. Il faut saluer son instinct de survie... L'histoire de fond n'a honnêtement pas beaucoup d'intérêt et n'est là que pour servir cette traque. Le plus intéressant reste le cadre austère de la Grèce loin de l'image des paysages paradisiaques que l'on peut avoir, mais aussi le contexte avec une corruption omniprésente qui renforce le sentiment d'insécurité et oblige le personnage à se méfier de tout le monde. Dans l'ensemble, c'est un très moyen. Un film d'action invraisemblable avec des enjeux pas suffisamment forts pour nous impliquer dans l'histoire.
Beckett vient de sortir sur Netflix!
Franchement, je ne m'attendais pas à un film aussi réussi! C'est surprenant de la part de la plate-forme, ça arrive trop rarement!
Je ne sais pas si le film était prévu pour sortir en salles, initialement, comme c'était le cas pour un autre film récemment sorti sur Netflix, un film français très réussi, Comment Je Suis Devenu Super-Héros (de Douglas Attal, avec Pio Marmai, Vimala Pons, Leïla Bekhti, Benoît Poelvoorde, Swann Arlaud, Gilles Cohen...), mais ça expliquerait la qualité de Beckett qui aurait bien mérité d'être vu sur grand écran, quel dommage !
Le film est réussi selon moi parce qu'il est très bien interprété par des acteurs/actrices que l'on ne voit que trop rarement dans des films (John David Washington vu dans Tenet; Vicky Krieps ❤ vue dans Old et dans Bergman Island qui sont actuellement en salles, dans le dernier film Millenium en date, mais aussi et surtout dans le chef-d'œuvre de Paul Thomas Anderson, Phantom Thread ; Alicia Vikander, vue dans Tomb Raider, dans Jason Bourne, dans The Danish Girl, dans Agents Très Spéciaux avec Henry Cavill, dans Ex-Machina, dans L'Oiseau-tempête ; Boyd Holbrook, vu dans Logan, et dans Gone Girl de David Fincher), encore une fois quel dommage!
Il est très bien interprété, il est assez bien écrit, réalisé et rythmé! Je ne vais rien révéler bien sûr mais le pitch officiel du film m'a semblé intriguant, m'a donné envie de le voir, et effectivement je suis content de l'avoir vu et je vous conseille de le regarder, il vaut le coup!
Le film est généreux, entraînant, captivant, assez court pour ne pas contenir de longueurs, c'est une bulle d'adrénaline qui se laisse suivre avec plaisir pour toutes les raisons que je viens d'évoquer et également parce que cette bulle d'adrénaline a compris quelque chose qui semble évident mais qui manifestement ne l'est pas pour tous les longs-métrages qui sortent chaque année: Un film doit donner envie d'être visionné en entier, une histoire doit donner envie de ne pas la lâcher, de la suivre jusqu'au bout, de nous laisser le souffle court jusqu'à son dénouement!
Pari réussi pour Beckett!
Instagram: @passion.culture
Franchement, je ne m'attendais pas à un film aussi réussi! C'est surprenant de la part de la plate-forme, ça arrive trop rarement!
Je ne sais pas si le film était prévu pour sortir en salles, initialement, comme c'était le cas pour un autre film récemment sorti sur Netflix, un film français très réussi, Comment Je Suis Devenu Super-Héros (de Douglas Attal, avec Pio Marmai, Vimala Pons, Leïla Bekhti, Benoît Poelvoorde, Swann Arlaud, Gilles Cohen...), mais ça expliquerait la qualité de Beckett qui aurait bien mérité d'être vu sur grand écran, quel dommage !
Le film est réussi selon moi parce qu'il est très bien interprété par des acteurs/actrices que l'on ne voit que trop rarement dans des films (John David Washington vu dans Tenet; Vicky Krieps ❤ vue dans Old et dans Bergman Island qui sont actuellement en salles, dans le dernier film Millenium en date, mais aussi et surtout dans le chef-d'œuvre de Paul Thomas Anderson, Phantom Thread ; Alicia Vikander, vue dans Tomb Raider, dans Jason Bourne, dans The Danish Girl, dans Agents Très Spéciaux avec Henry Cavill, dans Ex-Machina, dans L'Oiseau-tempête ; Boyd Holbrook, vu dans Logan, et dans Gone Girl de David Fincher), encore une fois quel dommage!
Il est très bien interprété, il est assez bien écrit, réalisé et rythmé! Je ne vais rien révéler bien sûr mais le pitch officiel du film m'a semblé intriguant, m'a donné envie de le voir, et effectivement je suis content de l'avoir vu et je vous conseille de le regarder, il vaut le coup!
Le film est généreux, entraînant, captivant, assez court pour ne pas contenir de longueurs, c'est une bulle d'adrénaline qui se laisse suivre avec plaisir pour toutes les raisons que je viens d'évoquer et également parce que cette bulle d'adrénaline a compris quelque chose qui semble évident mais qui manifestement ne l'est pas pour tous les longs-métrages qui sortent chaque année: Un film doit donner envie d'être visionné en entier, une histoire doit donner envie de ne pas la lâcher, de la suivre jusqu'au bout, de nous laisser le souffle court jusqu'à son dénouement!
Pari réussi pour Beckett!
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Dans le contexte agité de la crise récente qui a secoué la Grèce à partir de 2010, et de l'émergence d'un véritable parti néo-nazi (Aube Dorée) ayant été impliqué dans des affaires criminelles menant à l'arrestation de tous ses membres, ce thriller lorgne plus du côté de Hitchcock ou de Corneau que de John Singleton ou Paul Greengrass. En s'appuyant sur la personnalité ordinaire de son protagoniste plongé dans un cauchemar personnel, puis une traque qui le dépasse, le film parvient à créer un sentiment d'angoisse et de suspense qui ne disparaît pas tout à fait lorsque la chasse à l'homme fait place au dénouement.
https://www.lefigaro.fr/international/grece-le-parquet-reclame-des-peines-plus-lourdes-pour-les-condamnes-d-aube-doree-20201030
https://www.lefigaro.fr/international/grece-le-parquet-reclame-des-peines-plus-lourdes-pour-les-condamnes-d-aube-doree-20201030
Ce film comporte trop d'incoherences. Déjà, on comprend pas trop pourquoi tout le monde poursuit le personnage central, uniquement parcqu'il est noir... Puis, le gars se prend je sais pas combien de balles dans le corps et il continue à courrir comme un lapin et se battre comme un beau diable. Aussi, quand le méchant entre et le bloque dans le train, on se demande d'où il sort et le black n'est même pas etonné de le voir apparaitre d'un coup. Puis, on a l'impression que Becket est suivi avec une puce gps intégré dans le corps
Bref ce film est à la limite du navet.
Bref ce film est à la limite du navet.
J’ai un peu de mal à comprendre les avis négatifs pour ce film. Je ne me suis pas ennuyé une seule seconde malgré le manque de combats spectaculaires comme on connaît tant dans les films avec des acteurs surentraînés. J’ai au contraire beaucoup apprécié le côté réaliste des scènes d’action. L’acteur joue justement très bien son rôle de « mec »paumé et
spoiler:
lourdement attristé par la mort de sa petite amie.
Les prises de vue sont justes et adaptées à chaque moment d’émotions. Le film part en crescendo jusqu’à une fin pour le moins inattendue. J’en veux encore de ce genre de cinéma , ça change de nos habitudes de film d’actions à grand spectacle.
Les prises de vue sont justes et adaptées à chaque moment d’émotions. Le film part en crescendo jusqu’à une fin pour le moins inattendue. J’en veux encore de ce genre de cinéma , ça change de nos habitudes de film d’actions à grand spectacle.
Super film! On est tenu en haleine jusqu’à la fin du film. Super jeu d acteur de John David Washington. A voir et revoir.
Film palpitant où l'on comprend au fur et à mesure avec le héros les rebondissements qui conduisent à ses situations recambolesques. C'est ainsi dans l'appropriation par le spectateur du stress de la cavale du principal personnage que ce film est bien réalisé
spoiler:
L'histoire tourne à la chasse à l'homme pour un pauvre touriste venant de perdre sa copine dans un pays où il ne maîtrise ni la langue, ni les habitudes et où la police est impliquée dans la machination contre lui pour faire taire ce qu'il a vu.
Le début aurait dû être plus rapide et surtout la fin nous révéler les explications sur les tenants et aboutissants de la conspiration politico-mafieuse. Dommage.
Le début aurait dû être plus rapide et surtout la fin nous révéler les explications sur les tenants et aboutissants de la conspiration politico-mafieuse. Dommage.
Je ne trouve pas ce film décévant, je trouve que le sujet est bien, le film tient en haleine et la fin vous prend au tripes. Le problème c 'est effectivement le jeu de l'acteur principal. Je me suis demandé si le mec n'était pas drogué tout au long du film. Il est clair que le charisme de l'acteur n'y est pas du tout. A croire que lui même s'y enmerdait....
La seule originalité de ce thriller trop fade est de faire un terrible écho aux bavures policières étasuniennes envers la population noire. Ici, des policiers grecs blancs tentent d’abattre un touriste noir sans sommation. Le charisme naturel de John David Washington n’est malheureusement pas exploité, et les deux magnifiques actrices, très en vogue, Vicky Krieps et Alicia Vikander, semblent se demander ce qu’elles font là…. Un comble ! Reste une intrigue de complot alambiqué chez les Grecs et une quelconque histoire du quidam qui se trouvait au mauvais endroit, au mauvais moment.
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