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Quel choc que ce film ! A la fois drôle et tellement émouvant. Il y a dans tous les personnages une formidable puissance émotionnelle.
Give Me Liberty commence avec un jeune homme Vic aidant un fumeur handicapé. Synopsys : ce film parle de Vic conduisant un groupe de personnes handicapées vers leur destination de routine quotidienne. Un film entier trop précipité le rendez inaccessible. La scène de flashback de Vic rend également le film ennuyeux à regarder. Et à peine risible quand les parents de Vic chantent sur la mauvaise tombe. Une scène est à peine intense montre Vic et Dima se battant avec les manifestants. À la fin Vic aide Tracy à sortir son frère de la prison. Vic regarde un tas de dessins. Et c'est tout !!! Le jeu d'acteurs était mauvais et l'humour aussi ringard et sec que possible et était aussi déprimant que l'histoire. La réalisation était correcte. Mais le montage, la mise en scène et l'écriture étaient très amateurs avec une histoire qui n'allait vraiment nulle part. Le son était également coupé par moment. La durée d'exécution de 110 minutes ressemblait à une éternité d'ennui...
C'est pas un film, mais un grand bordel. Il n'y a aucune ligne, aucune structure, le scénario va au gré du vent. Les personnages sont vraiment trop agités, aucun dialogue, en fait ça braille dans tous les sens, c'est très vite fatiguant. Le seul point positif c'est Vic pour qui suscite pas mal de compassion, il veut bien faire et que rien ne va.
Film virevoltant à la limite du documentaire tourné avec des comédiens non professionnels et filant à vive allure sur l'autoroute d'une Amérique cabossée mais ô combien attachante. Vieilles dames russes, femme noire en fauteuil, trisomiques caucasiens et handicapés de tout bord se télescopent dans un joyeux chaos, fusionnent leurs différences dans le magma bouillonnant de ce qui forme un peuple. Conte initiatique d'un jeune homme qui mériterait un prix nobel pour sa bonté, ce film remarquablement monté et photographié, surfe sur les registres, s'offrent quelques beaux moments de grâce et s'ancre profondément dans les mémoires. Un réalisateur russe à suivre.
FaRem
"Give Me Liberty" est une comédie sociale sur des laissés-pour-compte dont s'occupe Vic qui conduit un minibus pour personnes handicapées chargé de les accompagner là où ils ont besoin d'aller chaque jour. Au cours d'une journée qui va vite se transformer en une course contre la montre, Kirill Mikhanovsky propose un voyage qui s'apparente à un récit d’apprentissage. Vic est une personne altruiste au service des autres qui a du mal à dire non, ce qui va un peu se retourner contre lui même si tout arrive pour une raison et que ce détour va lui faire vivre une expérience enrichissante. "Give Me Liberty" est d'une énergie débordante qui donne autant de maux de tête que de scènes frénétiques. Il faut s'accrocher, car la réalisation est très dynamique et le montage vraiment serré. C'est peut-être le plus gros frein de ce film qui peut être épuisant même si derrière cette cacophonie se cache de la tendresse et de la générosité qui eux-mêmes cachent la tristesse et le désespoir de ces personnes. Les intentions sont là, mais le film est trop brouillon et anxiogène. Puis, on est loin de la comédie que j'attendais. Il y a de bons moments et des personnages attachants qui sont dans une situation touchante, mais le film en lui-même est très moyen avec notamment un rythme qui finit par s’essouffler dans la dernière demi-heure.
« Le film « Give me Liberty » est à la fois touchant et drôle par le grand dévouement et la naivété d’un jeune ambulancier américain d’origine russe qui veut aider son grand père sénile et leurs amis à se rendre aux funérailles de l’une de leurs compatriotes mais qui va accumuler des imprévus (bouchons, détours à cause des manifestations) , des retards pour aller chercher et déposer des personnes handicapées ! Il y a des situations loufoques qui m’ont fait rire … beaucoup d’humours noirs mais ce film est tout aussi dramatique tant il dénonce la violence institutionnelle liée à la surcharge du travail des aidants pour nettoyer, nourrir, habiller et amener les personnes handicapées dans une ambulance … Dans le film : « Give me Liberty », Vic est un jeune aidant, il a beaucoup de travail, il doit bien gérer son temps. On voit bien qu’il n’a pas de compétences pour les accompagner et encadrer les personnes handicapées … Ce film pose la problématique sur l’accompagnement adéquat auprès d’elles ! Justement, qu’est-ce que c’est l’accompagnement adéquat ? Il est intéressant de penser à ce qui se passe en France : l’inclusion des personnes handicapées. Les AVS, auxiliaires de vie scolaire se retrouvent face aux élèves handicapées seulement après 60 heures de formation ! D’ailleurs, le thème sur la relation entre aidant et adulte handicapé est intéressant, la présence d’un aidant permet clairement leur inclusion dans la société …
Les acteurs en particulier, Chris Galust pour son rôle de l’ambulancier sont épatants. Le choix du casting par le réalisateur Kirill Mikhanovsky, est étonnant ! En effet, il a choisi des non-professionnels, ce qui a fait le charme et l’authenticité du film ! On apprend que les personnes handicapées présentes sont de vrais handicapés et que Kirill Mikhanovsky a croisé Chris Galust. dans sa boulangerie de Brooklyn. Ce jeune acteur n’avait pas pris de cours de comédie dans sa vie et q’il n’avait que 10 jours pour préparer son rôle ! Wouah, mais qu’est ce qu’il est époustouflant dans ses jeux de comédie ! Simple, sincère, spontané … Wouah ! Très beau film, plein de bonnes intentions ! »
Les acteurs en particulier, Chris Galust pour son rôle de l’ambulancier sont épatants. Le choix du casting par le réalisateur Kirill Mikhanovsky, est étonnant ! En effet, il a choisi des non-professionnels, ce qui a fait le charme et l’authenticité du film ! On apprend que les personnes handicapées présentes sont de vrais handicapés et que Kirill Mikhanovsky a croisé Chris Galust. dans sa boulangerie de Brooklyn. Ce jeune acteur n’avait pas pris de cours de comédie dans sa vie et q’il n’avait que 10 jours pour préparer son rôle ! Wouah, mais qu’est ce qu’il est époustouflant dans ses jeux de comédie ! Simple, sincère, spontané … Wouah ! Très beau film, plein de bonnes intentions ! »
Bonne trouvaille pour ce scénario road movie, en transport minibus passagers rigolos à bord, bon chauffeur s’anime, y’a des manif dans ce film à contourner, sur le point de départ intrigue romantique et contrainte actuelle, une réalisation russo-américaine cool Raoul ça roule et tournez le moteur, action !...
Cinéphiles 44
Vic est un jeune américain d’origine russe qui conduit chaque jour un minibus pour personnes handicapées. Des manifestations en ville l’empêche d’être à l’heure et il est sur le point d’être licencié. Pourtant, il accepte quand même d’emmener des vieux amis russes à des funérailles, mais doit s’arrêter en chemin pour récupérer une jeune femme atteinte de la maladie de Lou Gehrig. “Give me Liberty” est un road trip sans répit qui teste notre patience avec des handicapés et les hystériques. Le film est tellement bordélique et énervé qu’il nous épuise et qui en même temps, transpire la vie et les galères le temps d’une journée.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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Joyeusement foutraque, l' univers de ce jeune cinéaste est à suivre. Il manque encore un peu de rigueur pour être totalement réussi mais le film ne manque ni d' idées ni d' énergie.
D'emblée le ton est donné avec ce chauffeur de bus (Vic) qui transporte des handicapés dans un brouhaha constant. Les dialogues fusent dans tous les sens pour arriver à un degré de saturation pour ma part. Malgré cela, une fois la digestion effectuée, il y a de beaux moments de solidarité dans ce "joyeux bordel" et un message humaniste qui l'emporte malgré tout.
Excellent, j’adore. Le film tire toute sa singularité selon moi dans ses personnages qui sont très bien travaillés!
Même si le personnage de Vic, le chauffeur, est attachant, "Give me liberty" a tendance à partir dans tous les sens et son manque de structuration, tant formelle que scénaristique, finit par lasser un tantinet.
Ce film est une gigantesque escroquerie! L'Amérique des petites villes, des "laissés pour compte"? Allons donc... J'avais beaucoup aimé, il y a quelques années, "Patterson", un film sur ce thème, avec déjà ... tiens? ....un chauffeur de bus en héros, ou plutôt en anti-héros...
L'affiche et les photos de promotion de "Give me Liberty" se gardent bien de présenter le vrai sujet du film, cette brochette de semi-débiles, que le film ne rendent même pas sympathiques, comme l'a fort justement souligné l'un des internautes qui a fait, ici, une critique du film...
On est assommé par ce film criard, photographié laidement ( je pense que c'est volontaire), monté à la "va comme je te pousse", avec un son saturé... Au bout d'une heure, on a déjà l'impression d'en avoir subi deux, et on n'est pas au bout de nos peines... je suis très étonné de voir la critique intellectuelle ( un célèbre hebdo culturel, et un célèbre quotidien du soir) se prosterner devant ce film qui, à Paris, selon les chiffres de fréquentation, avait perdu en deuxième semaine plus de la moitié de ses spectateurs. On comprend pourquoi...
Une seule idée sympa dans ce film: la manière d'écouter un disque vynil avec un cornet de papier... C'est fort peu!
Bref, un film à fuir à toutes jambes.
Jazzyfan
L'affiche et les photos de promotion de "Give me Liberty" se gardent bien de présenter le vrai sujet du film, cette brochette de semi-débiles, que le film ne rendent même pas sympathiques, comme l'a fort justement souligné l'un des internautes qui a fait, ici, une critique du film...
On est assommé par ce film criard, photographié laidement ( je pense que c'est volontaire), monté à la "va comme je te pousse", avec un son saturé... Au bout d'une heure, on a déjà l'impression d'en avoir subi deux, et on n'est pas au bout de nos peines... je suis très étonné de voir la critique intellectuelle ( un célèbre hebdo culturel, et un célèbre quotidien du soir) se prosterner devant ce film qui, à Paris, selon les chiffres de fréquentation, avait perdu en deuxième semaine plus de la moitié de ses spectateurs. On comprend pourquoi...
Une seule idée sympa dans ce film: la manière d'écouter un disque vynil avec un cornet de papier... C'est fort peu!
Bref, un film à fuir à toutes jambes.
Jazzyfan
Ce film dramatique américain m'a vraiment captivé.
C'est pertinent et touchant.
Aucun risque de s'ennuyer tellement le rythme est soutenu.
Je suis complètement rentré dans cette histoire et même à la fin, je serais bien resté encore un peu avec tous ces protagonistes.
C'est pertinent et touchant.
Aucun risque de s'ennuyer tellement le rythme est soutenu.
Je suis complètement rentré dans cette histoire et même à la fin, je serais bien resté encore un peu avec tous ces protagonistes.
velocio
Russe dorénavant établi aux Etats-Unis, Kirill Mikhanovsky avait réalisé au Brésil, en 2006, un premier long métrage, "Sonhos de Peixe", présenté à Cannes 2006 à la Semaine de la Critique où il avait obtenu le Prix regard jeune, mais qui, ensuite, n'était sorti dans aucun pays. Il avait ensuite collaboré à 2 films brésiliens, "Casa Grande" en tant que consultant, "Gabriel et la montagne" en tant que coscénariste. Malheureusement pour moi, "Give me Liberty", présenté cette année à la Quinzaine des Réalisateurs, est lui sorti dans les salles et il a même reçu de très bonnes critiques et semble avoir été apprécié par le public. Grand moment de solitude car, pour moi, c'est le pire film vu depuis longtemps. En fait, le réalisateur a voulu faire un film sur une journée particulièrement fatigante d'un jeune conducteur de minibus pour handicapés et il en résulte un film non pas fatigant mais épuisant (les mouvements de caméra, des scènes qui se veulent drôles mais qui ne m'ont jamais amené ne serait-ce qu'à sourire) et souvent déplaisant (contrairement aux autres spectateurs, j'ai trouvé très limite le regard du réalisateur sur les handicapés). En clair, je me suis énormément ennuyé du début à la fin et j'ai souvent failli quitter la salle. Je ne sauverais de ce qui est pour moi un désastre que le blues de John Lee Hooker qu'on entend de temps et temps et la chanson de Bon Iver sur le générique de fin.
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