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    Give Me Liberty
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    55 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 28 juillet 2019
    Hallucinant comment ce film m'a collé un stress intense pendant au moins 1 heure! Un vrai film d'auteur américain, avec de superbes acteurs.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 juillet 2019
    Film ennuyant. Le scénario n'est pas crédible, rien est drôle. De l'humanisme à certains moments mais pas de cinéma !
    nadège P.
    nadège P.

    131 abonnés 538 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 juillet 2019
    Ce film est particulièrement excellent.
    Alors oui il est un peu long et agité mais cette histoire qui nous est racontée est d'une grande humanité.
    Le réalisateur a souhaité parler de ce qu'il avait vécu quand il conduisait un van pour personnes handicapées.
    On suit le personnage principal sur une journée avec tous les protagonistes qu'il va prendre en chemin, qu'il va aider, qu'il va rencontrer.
    Alors ce n'est pas une histoire amusante, c'est assez triste mais c'est particulièrement émouvant et touchant.
    Bravo et merci.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 28 juillet 2019
    Film exaspérant. Beaucoup trop d’agitation, de bruits, de parlottes. Je suis sortie épuisée de ce film dont la finalité m’a complètement échappée. A oublier au plus vite.
    PLR
    PLR

    466 abonnés 1 559 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 juillet 2019
    Comédie ? Oui, peut-être comédie sociale à base de situations sordides et personnages souvent à l’avenant. Ce qui, lorsqu’il s’agit de handicap physique ou mental (ou les deux à la fois), passons sur l’exclusion sociale de gens fracassés par la vie chez l’Oncle Sam, n’est pas vraiment politiquement correct. C’est du film d’auteur. Il contient certainement un message avec un brin de provocation. Drôle de manière toutefois de se donner bonne conscience (à Cannes, ben tiens !) pour les producteurs, financiers et autres distributeurs (74 salles seulement la semaine de sortie, on ne peut pas dire que ça se bouscule au portillon chez nous malgré Cannes). 110 minutes c’est long. Surtout qu’il s’agit d’images filmées à quelques dizaines de centimètres des visages, avec des mouvements rapides de caméra pour augmenter la sensation de vitesse et d’urgence à en donner le tournis. Tel est le fil conducteur de l’action avec un personnage central en retard permanent (dit-il à chacun de ses interlocuteurs) de dix minutes… à chaque fois, à multiplier par le nombre de contretemps et d’imprévus. Un peu de noir et blanc, on se demande bien pourquoi ? Film d’auteur, on vous dit. Ennuyeux au final. Malaisant surtout.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 juillet 2019
    Un film dont je suis sortie abasourdie, après avoir passé un vrai grand moment. Je n'étais pas la seule, en sortie de salle, à hocher la tête et à échanger des regards avec les spectateurs qui sortaient. Un film singulier, original, incomparable, plein comme un oeuf. La comédie et le drame s'interpénètrent en permanence. Est-ça l'âme russe? L'âme russe qui persiste chez des émigrés de longue date aux Etats Unis. C'est la journée de Vic, chauffeur d'ambulance pour handicapés, qui n'arrête pas de la journée, court, ne dit jamais non à personne, et reste zen. On ne sait pas s'il s'en fout, s'il est zen par nature, désabusé, ou philosophe, jusqu'à une scène où il se bat pour obtenir de l'argent comme rançon pour le frère d'une des handicapés qu'il transporte, où on comprend qu'il est avant tout philanthrope et tolérant. Si Vic tient le coup, c'est qu'il est d'une humanité et d'une tolérance à toute épreuve, une sorte de saint de notre époque. Et puis il va se ressourcer auprès d'un vieux tétraplégique philosophe qu'il va aider à fumer une cigarette en discutant de la vie à bâtons rompus. Vic écoute, s'exprime peu. Toutes les scènes sont touchantes. L'esprit russe est décrit avec amour, humour et dérision. Les techniques de tournage sont adaptées aux émotions qui passent, et la manière de filmer les regards et les visages hors norme. Je suis certaine que ce film fera date. Pour moi c'est un chef d'oeuvre, ni plus, ni moins.
    dimah
    dimah

    15 abonnés 99 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 juillet 2019
    Très"parasite" mais dans un contexte sordide, les laissés pour compte,de tous bords mais il faut continuer de croire en Dieu.De nouveau une description qui montre des gens passifs
    gvnm73
    gvnm73

    7 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 juillet 2019
    Une journée dans la vie de Vic, chauffeur au grand cœur de camionnette de transport d’handicapés à Milwaukee.

    Loin des excès de Trump, des étoiles d’Hollywood ou des exploit d'Antetokounmpo, Mikhanovsky dépeint une Amérique solidaire et combattante. Quand on gratte la tristesse et l’ennui, on dépasse le désespoir, pour découvrir la générosité et l’ivresse d’une population aux multiples blessures.

    Le réalisateur ne détourne pas les yeux et filme avec compassion et tendresse, honnêteté et réalisme, ces laissés pour compte, handicapés, retraités, immigrés mais aussi noirs et travailleurs pauvres
    tous minoritaires, mais pourtant si nombreux. Ils vont, au cours d’une journée marquée de tous les imprévus, vivre des difficultés que seule leur solidarité naturelle dépassant toutes les barrières sociales, leur permettra de surmonter.

    Et si la vraie force de l’Amérique, c’était ça?
    axelle J.
    axelle J.

    117 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 juillet 2019
    Il s'agit là d'un film indépendant américain particulièrement excellent.
    Surtout, on ressent une grande intelligence dans le scénario et une profonde humanité.
    C'est cela qui fait tout le sel du film.
    Le héros du film est d'une grande gentillesse et d'une grande serviabilité.
    Il est emmerdé tout au long de la journée : ses clients impatients, son patron qui l'emmerde, et d'autres péripéties qui vont arriver au fur et à mesure.
    Cette histoire d'une grande justesse est à ne pas manquer.
    Je le reverrai avec grand plaisir.
    dominique P.
    dominique P.

    834 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juillet 2019
    J'ai bien apprécié ce film globalement, son propos et son style.
    Cependant, cela se passe sur une journée et tout est très agité.
    On ressort de là assez fatigué par tout ce qu'on vient de voir.
    C'est un film que je recommande, malgré l'agitation qui s'en dégage.
    Vaut mieux aller le voir si on est en pleine forme.
    Jacques F
    Jacques F

    9 abonnés 87 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 juillet 2019
    J'ai été un peu perturbé par l'ensemble un peu fouillis . Mais que les acteurs sont attachants tous sana exception. On ri beaucoup aussi mais beaucoup de passages tristes
    Yves G.
    Yves G.

    1 457 abonnés 3 487 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juillet 2019
    Vic est ambulancier. Il véhicule chaque jour à travers Milwaukee des adultes handicapés à travers la ville de Milwaukee. Mais il est des jours où les ennuis s’accumulent. Ce matin, Vic a voulu rendre service à son grand-père et à ses amis russes qui n’avaient pas de moyen de se rendre aux funérailles d’une de leurs compatriotes. Mais la présence de cette joyeuse communauté, à laquelle s’adjoint Douma, un parasite, ralentit sa tournée et suscite l’énervement de ses clients : Michelle, qui doit participer à un concours de chant, Tracy, qui quitte ce jour là le domicile de sa mère pour s’installer avec son fiancé, Steve, etc.

    Hasard du calendrier ? La Russie envahit les écrans. La même semaine que "Factory", une semaine après "Folle nuit russe", trois semaines après "Anna", sort ce film américain dont l’identité de son réalisateur, Kirill Mikhanovsky, révèle sans peine les origines. Nous ne sommes pas en Russie, mais au cœur de l’Amérique, dans les plaines glaciales du Wisconsin, où vit une nombreuse diaspora russe.

    "Give Me Liberty" a été présenté à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes en 2019. C’est un produit typique du ciné indé américain, comme Sundance en produit à la pelle. Il repose sur une idée de scénario simple, sinon simpliste, tirée de l’expérience du réalisateur, russe mais immigré de longue date aux Etats-Unis : dans les années quatre-vingt-dix, il conduisait à Milwaukee un véhicule sanitaire et y a vécu des anecdotes qui ont nourri le scénario de son film.

    "Give Me Liberty" est un film attachant qui donne une dignité à des caractères qui en sont couramment privés, des personnes lourdement handicapées dont la bonne humeur et la résilience sont soulignées jusqu’à la caricature. Il a pour héros un jeune homme patient sur lequel s’abattent toutes les avanies imaginables, coincé entre des clients impatients, un superviseur qui le menace de licenciement et des incidents à la pelle. Victime de sa gentillesse, il essaie de contenter tout le monde sans y parvenir.

    Il a néanmoins trois défauts.
    Le premier est l’hystérie des scènes filmées dans le minibus qui constituent la quasi-totalité du film ou, en tous cas, de ses deux premiers tiers : on se croirait dans une kommunalka moscovite surpeuplée où tous les habitants peinent à cohabiter sans s’apostropher bruyamment. On crie beaucoup ; et le spectateur, pris en otage sous ces feux croisés, implore le silence.
    Le deuxième est un scénario qui tourne un peu en rond, dont le fil directeur (une journée dans la vie de Vic) est trop lâche pour susciter l’intérêt dans la durée.
    Le troisième est sa longueur excessive. "Give Me Liberty" dure près de deux heures. Aurait-il duré trente minutes, de moins, il aurait été aussi efficace et moins répétitif.
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    175 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juillet 2019
    Film virevoltant à la limite du documentaire tourné avec des acteurs non professionnels et filant à vive allure sur l'autoroute d'une Amérique cabossée mais ô combien attachante. Vieilles dames russes, femme noire en fauteuil, trisomiques caucasiens et handicapés de tout bord se télescopent dans un joyeux chaos, fusionnent leurs différences dans le magma bouillonnant de ce qui forme un peuple. Conte initiatique d'un jeune homme qui mériterait un prix nobel pour sa bonté, ce film remarquablement monté et photographié, surfe sur les registres, s'offrent quelques beaux moments de grâce et s'ancre profondément dans les mémoires. Un réalisateur russe à suivre.
    traversay1
    traversay1

    3 570 abonnés 4 860 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juillet 2019
    Kirill Mikhanovsky, comme son nom l'indique, est russe et bien que Give me Liberty soit américain, le chaos ambiant qui y règne ressemble à un film slave qui aurait migré du côté de Milwakee, Wisconsin. C'est sa propre expérience de chauffeur de handibus qui a conduit le réalisateur sur la voie rapide d'un film qui ne s'arrête pas au feu rouge et grille les priorités. Le personnage principal en est bien Milwaukee et ses communautés, russe et afro-américaine, côtoyant ici le sort d'handicapés, que la caméra scrute avec une bienveillance et un amour rares. La base de Give me Liberty est largement documentaire mais le rythme échevelé n'a rien à voir avec le genre, s'époumonant et nous épuisant dans un capharnaüm qui ne laisse place au calme qu'en de maigres occasions. Vient fatalement l'impression que le scénario n'est construit que comme une somme de saynètes le plus souvent agitées dans ce transport en commun de matières inflammables. Certes, ce portrait de groupe de marginaux se révèle riche en générosité mais cette sorte de After Hours de jour finit par s'essouffler ou plutôt use de plus en plus notre résistance devant le désordre permanent. De manière surprenante, le chauffeur du van, censé être le protagoniste principal, reste relativement transparent, spectateur quasi impavide des comportements plus ou moins excessifs de ses passagers. A l'image du réalisateur, sans doute, lequel a signé un premier long-métrage, Sonhos de peixe, consacré à des pêcheurs brésiliens, avant de cosigner le scénario de Gabriel et la montagne. Kirill Mikhanovsky est visiblement un artiste difficile à cerner.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 25 juillet 2019
    Film US indépendant quelque peu bordélique et déjanté. Les personnages sont attachants et les russes un rien caricaturaux mais ça passe car c'est drôle. Le rythme du film est élevé ça fait tourner la tête, surtout les mouvements de caméras.
    Néanmoins j'ai passé un bon moment et vue la chaleur salle pleine, merci la Clim !
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