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Clémentine K.
197 abonnés
1 429 critiques
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3,5
Publiée le 27 septembre 2020
Vraiment pas mal du tout. Isabelle Huppert est une pro, ce qu'elle prouve à nouveau avec ce rôle. Entre comédie et dénonciation sociale, un film pas bête du tout, certes divertissant.
Une comédie réussie, enlevée. Le scénario original est servi par d'excellents comédiens. Isabelle Huppert quitte ses postures généralement distantes et froides pour laisser passer des émotions et Hippolyte Girardot est parfait en policier amoureux trompé mais pas tant..Un bon moment de cinéma
Un film original et léger ! Avec une Isabelle Huppert toujours aussi fantaisiste et délicieuse ! Une belle performance d'actrice. Des personnages tous attachants ! Un bon moment de détente.
Le film "La daronne" se demarque par sa médiocrité, emmené par une Isabelle Hupert en quête de crédibilité (sans parvenir à la trouver). Pourquoi Isa s'est-elle embarquée dans cette galère? La suite du casting s'est également distinguée par ses piètres performances, excepté le chien ADN qui mérite un oscar pour son jeu d'acteur.
J-P Salomé nous inflige des mouvements de caméras incessants, à contre-temps et mal cadrés. La prise de medicaments mercalme est fortement recommandée avant l'entrée en salle de cinéma. En outre, les dialogues sont d'une pauvreté extrême. S'enchaînent des phrases insipides ponctuées de banalités affligeantes. Le style se veut être policier mais il n'est qu'incohérence. Enfin, les clichés racistes étouffent le film et la question de leur intérêt se pose toujours.
En bref, un film grotesque qui manque de profondeur.
Signé : 2 éminents critiques cinéma qui souhaitent vous faire gagner du temps et de l'argent
Un des pires films que j'ai vu de ma vie, rempli de clichés où tous les arabes sans exception sont des dealeurs (même l'infirmière de l'ephad mère d'un des dealeurs est complice) et les chinois des gens aux business opaques et qui blanchissent de l'argent. Les blancs du film, même quand ils se mettent à dealer pour des raisons de spleen de la vie, de bien-être sont si mignons qu'on les comprend et les soutient... La vie est si courte, il faut bien s'amuser et ne pas respecter les règles de temps en temps... Film clairement raciste qui, s'il n'était pas nul, se regarderait quand même en raison de l'originalité de l'intrigue. Malheureusement tout est mauvais en commençant par le jeu des acteurs. Toute personne qui parle arabe sera dégoûtée par le piètre jeu d'Isabelle Huppert quand elle joue en arabe. Elle a appris par coeur des phrases que manifestement elle ne comprend pas, nous non plus d'ailleurs tellement son accent est mauvais... Bref, évitez de perdre votre temps. Sauf si vous aimez les films bourrés de préjugés racistes, vous allez clairement avoir envie de partir avant la fin comme ce fut le cas pour moi.
Bon scénario, du déjà-vu comme story outre Atlantique, mais j'ai kiffé. Isabelle Huppert est un excellent 1er rôle et ça suffit largement. Enfin une bon film policier à la sauce frenchie
Jean-Paul Salomé ? Mouais. Isabelle Huppert en policière s'improvisant trafiquante pour arrondir des fins de mois compliquées ? Déjà plus. Et puis vu le programme actuel dans nos salles obscures, un film dont le sujet sort de l'ordinaire, c'est déjà pas mal. J'ai eu un peu de mal à rentrer dedans, même si nous sommes assez vite dans le vif du sujet. Ni prenant ni ennuyeux, « La Daronne » mène honnêtement sa barque pour raconter cette histoire plutôt originale, sans parvenir à lui donner autant de saveur qu'espéré (je pense notamment aux dialogues et aux seconds rôles, où l'on sent pourtant un potentiel humoristique fort), si ce n'est à travers ces deux dealers au rabais tellement idiots qu'ils en deviennent presque sympathiques. On a un peu de mal à y croire, mais le ton pince-sans-rire choisi s'avère pas mal adapté au propos, renforcé par la sobriété envers et contre tout d'Isabelle Huppert (au jeu toujours identique et pourtant jamais tout à fait le même), que l'on suit jusqu'au bout dans son entreprise aussi improbable que dangereuse. D'ailleurs, si je trouvais le rythme un peu mou pendant la première moitié, cela s'emballe par la suite, même les personnages manquant de relief finissant par trouver leur place dans le récit pour amener quelques situations intéressantes, notamment lors de spoiler: la course-poursuite où l'héroïne est à deux doigts de se faire piéger (clairement la meilleure scène). Salomé touche alors à quelque chose de plus juste, plus profond dans le regard qu'il a pour chacun, jusque dans son dénouement plaisamment amoral, préférant le « happy end individuel à la « love story ». Au vu du potentiel, il y avait sans doute de quoi faire mieux : Salomé échoue à donner plus de personnalité, un ton vraiment incisif quant à un scénario qui aurait pu aller vraiment très loin dans le cynisme. Mais il fait aussi preuve de belles idées spoiler: (les jeux vidéo pour brouiller les conversations!) et sait mener sa barque avec une certaine tenue, voire un joli savoir-faire par moments. Pas un incontournable, donc, mais en cette année 2020 si compliquée pour le septième art, pourquoi pas.
Sympa ! Un bon moment avec de belles rigolades. Isabelle Huppert ne joue pas, pour une fois, le rôle de la désagréable. On adhère à ses choix bien entendu amorals mais l'histoire est bien ficelée.
La France en gros les arabes des voleurs vendeur de drogues les français sa boss dans la police et les femmes voilés vende de la drogue avec leurs enfants ! Cliché sur cliché merci la France merci Isabelle hyper !