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« Revenir » est un film à la fois pudique et terriblement sensuel, lumineux, simple et très juste
.Jessica Palud, jeune réalisatrice à suivre, montre les efforts de chacun pour recomposer une famille éclatée. Entre lumière dorées et terres ocres, peaux dorées et complicité muette, les 2 protagonistes font connaissance, frémissent et s’apprennent doucement l’un de l’autre.
Le duo Niels Schneider et Adèle Exarchopoulos y brille de subtilité avec leur talent et leur charisme. Niels Schneider, étincelant, fait des miracles, et Adèle Exarchopoulos, en jeune mère énergique, touche au cœur.
En filigrane, le monde agricole et ses douleurs donne au récit le poids de la réalité avec le responsabilité spoiler: (et culpabilité ?)
du fils survivant
.Jessica Palud, jeune réalisatrice à suivre, montre les efforts de chacun pour recomposer une famille éclatée. Entre lumière dorées et terres ocres, peaux dorées et complicité muette, les 2 protagonistes font connaissance, frémissent et s’apprennent doucement l’un de l’autre.
Le duo Niels Schneider et Adèle Exarchopoulos y brille de subtilité avec leur talent et leur charisme. Niels Schneider, étincelant, fait des miracles, et Adèle Exarchopoulos, en jeune mère énergique, touche au cœur.
En filigrane, le monde agricole et ses douleurs donne au récit le poids de la réalité avec le responsabilité spoiler: (et culpabilité ?)
du fils survivant
En 2019, Jessica Palud réalise son premier long-métrage. Il s’agit d’un drame d’une grande noirceur qui ne fait malheureusement qu’effleurer les nombreux thèmes proposés. Après un long silence, un jeune homme revient dans sa famille. Ces retrouvailles permettent notamment d’aborder les sujets du deuil, de la filiation et de la souffrance du monde paysan. En moins de 70 minutes, cela reste certainement trop ambitieux. Si ce sont les réactions du petit garçon qui dégagent les plus vives émotions, le duo composé par Niels Schneider et Adèle Exarchopoulos livre également une prestation sensible. Bref, un regard subtil sur les douleurs intérieures mais manquant d’une intrigue consistante.
Le monde agricole et sa dureté, les non dits au sein d’une famille, la fin de vie de la mère et le retour du fils ayant fui les problèmes, voilà le scenario du film. Le retour donnera lieu à des règlements de compte et des vérités dérangeantes. Les acteurs sont excellents, y compris le gamin. Mais pourquoi toujours faire des films aussi lents ? Cela n’apporte rien bien au contraire.
Le film est touchant, bien interprété, bien filmé, les sujets évoqués sont sensibles et bien touchés (les relations familiales, la ruralité, les agriculteurs...), mais c'est le format est un peu trop court, surtout avec une fin ouverte... Ça nous laisse un peu sur notre faim mais ça reste un beau film !
La scène dans la boue ressemble à un film de boule. J'ai pas compris à quoi servait l'olivier. Je crois que la réal elle-même le sait pas. Une parodie de film d'auteur.
La famille, l'hèritage, les non-dits, les difficultès familiales, l'isolement, la maladie, le suicide...Le film s'appelle "Revenir" mais aurait pu tout aussi bien s'appeler "Reconstruire". C'est très librement adaptè du roman de Joncour et le film, très intimiste, n'en pâtit pas plus que ça! Un sujet beaucoup plus rural et une histoire qui ne dèlivre pas ses secrets tout de suite! Une multitude de signes avant-coureurs nous indique que le retour de Thomas Moreno au sein de sa famille ne va pas se passer selon les règles! Niels Schneider a la tronche du grand Philippe Lèotard, se rèvèlant plus mystèrieux que jamais face à la sensuelle Adèle Exarchopoulos! Le gamin est convaincant et Patrick d'Assumçao, excellent comme souvent! La fin est ouverte à pas mal de choses et pour le coup on regrette que le film de Jessica Palud soit aussi court (77 min seulement). A dècouvrir...
Une fois de plus , il n'est pas nécessaire de disposer d'un gros budget pour réaliser un bon film : Revenir en est un bon exemple . Beaucoup d'émotion , des acteurs qui jouent juste , particulièrement le très jeune Roman Coustère Hachez . Un bon moment de cinéma .
Revenir est un récit de relations mais les motivations sont floues ou invisibles les personnages ne sont connus qu'à partir d'informations partielles et les sentiments se mélangent de manière incompréhensible pour le spectateur. Thomas renoue avec d'anciennes connaissances et amitiés et au fil des conversations nous apprenons des histoires peu fiables sur la famille pendant son absence. Les choses ne se mettent pas en place de façon nette dans cette histoire. Les raisons de l'éloignement de Thomas de sa famille ne sont jamais claires bien qu'il y ait des allusions concernant son père et son frère décédé. Adèle Exarchopoulos est pire que d'habitude et Niels Schneider fait un effort mais ne convainc pas vraiment dans ce film ennuyeux...
Adaptation honteusement faible du très bon livre de Serge Joncour. L'histoire est considérablement modifiée, voire dévoyée, et perd énormément de sa substance. Le casting est globalement à côté de la plaque. Techniquement c'est très faible, le film n'a pas dû coûter grand chose, ça se voit et ça s'entend.
Affligeant.
Affligeant.
Un film avec une certaine profondeur. Cela m'a rappeler Brother dans l'esprit. De bonnes interprétations surtout le petit.
Premier film réalisé par Jessica Palud , fille du cinéaste Hervé, prévisible mais bien interprété !! Quand on voit au générique final que ce long métrage est produit par Philippe Lioret qui co-signe le scénario avec Diastème, je me dis qu'il y a du avoir une erreur dans l'équipe technique dans ce drame qui se laisse malheureusement deviné par le spectateur dans le déroulement du récit, on a vu cela une bonne centaine de fois dans le cinéma Français du gars qui arrive après douze ans d'absence, des tensions familiaux après le décés du frère de celui-ci, la belle soeur et son petit neveu qui l'héberge, on sait qu'ils vont coucher ensemble et c'est le cas, j'arrète là, c'est du déjà vu. Cependant, les comédiens sont plutot bons dans leurs roles comme les tètes d'affiche Niels Schneider et Adèle Exarchopoulos excellents qui arrivent a dépoussiérer les vieux meubles. "Revenir" est a voir pour eux mais le reste est oubliable peu de temps après le visionnage.
Dialogue monocorde ou cris l'interprétation ne donne pas envie de s'attaché au personnages comme si tout est perdu d'avance. En fait c'est le film qui est perdu.
Film sincère qui sonne juste et touche. Jeu délicat des acteurs. Un beau moment de cinéma .
ffred
Premier long métrage pour Jessica Palud ancienne assistante de Philippe Lioret (d’ailleurs co-scénariste ici). Une beau film tout en nuances et en non-dits servi par une excellente distribution. Hélène Vincent et Patrick d’Annumçao entourent avantageusement Adèle Exarchopoulos et Niels Schneider (qui chuchote tout le temps, jusqu’à être parfois inaudible, j’ai pas trop compris le truc là) tous les deux très biens. Sobre et émouvant, Revenir est une jolie surprise.
Revenir est une pépite qui doit beaucoup à la caméra intimiste de la réalisatrice et au jeu organique des acteurs, à leurs regards brûlants et à leurs corps bouillonnants, et qui embarque le spectateur dans une aventure romanesque, aussi bouleversante que sensuelle.
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