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    Frankie
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    Marc de Georgi
    Marc de Georgi

    35 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 janvier 2022
    J'ai rarement vu un scénario aussi pauvre. L'impression de départ parait assez bonne pourtant, avec ce qui ressemble à un film chorale assisté par de bons acteurs mais au final ils n'ont vraiment pas grand chose à jouer.
    Jonathan M
    Jonathan M

    135 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 mai 2021
    Je vénère Isabelle Huppert, et je ne pense pas être le seul. Mais mise à part la présence de l'actrice, et d'une magnifique carte postale de Sintra au Portugal (qui donne drôlement envie d'y faire un tour), on ne voit pas vraiment quelle raison valable un tel film fait-il en sélection officielle à Cannes. Un résumé quand même : une comédienne, vivant dans un confort de comédienne, réunit des personnes centrales de sa vie sans véritablement de cohérence, dans un lieu féérique, pour annoncer, sans en parler frontalement, un évènement de vie qui est, pour le spectateur, difficilement dévinable. Car oui, l'hyper subjectivité du film, et le fait de broder autour du thème, ne fait que brouiller les pistes, sans vraiment comprendre l'happy ending. Enfin si on comprend, mais en fait c'est plutôt le cheminement, et le pourquoi d'une telle mise en scène pour au final çà ? Bref, difficilement lisible.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 189 abonnés 5 197 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 février 2021
    Je suis pas vraiment emballé. On dirait du Woody Allen de province.
    Les personnages se confient mais rien de transparaît de tout ça.
    C’est très gênant également d’entendre IH et JR avec d’autre voix que la leur en doublage....
    L’image n’est pas très belle pourtant la région a de quoi.
    GéDéon
    GéDéon

    89 abonnés 525 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 décembre 2020
    Le réalisateur indépendant américain Ira Sachs livre, en 2019, un film d’une pauvreté technique et scénaristique affligeante. Si la direction d’acteurs reste proche du néant, c’est surtout l’utilisation excessive de plans larges, dignes d’une série de télénovelas, qui rend ce film indigeste. Ajoutons à cela une histoire creuse, où la galerie de personnages réunis autour d’une femme malade n’est prétexte qu’à des bavardages fades et peu convaincants. Seule Isabelle Huppert offre une prestation convenable avec sa capacité à extérioriser subtilement ses sentiments. Bref, l’ensemble est faible, ennuyeux et finalement inutile.
    benoit_lb
    benoit_lb

    2 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 septembre 2020
    Un film qu’on découvre un peu comme on déroulerait une pelote de laine. D’emblée, le réalisateur plante le décor en nous présentant une dizaine de personnages de nationalités différentes réunis à Sintra. On ignore tout de ce qui les lie les uns aux autres, de la raison qui les a fait se réunir, de leur vie, de leurs motivations. Ira Sachs prend un malin plaisir à nous dévoiler ses cartes petit à petit. Si on comprend dès le départ que chacun des personnages a un lien (actuel mari, ex-mari, fils, collègue de travail…) avec Françoise Crémont, alias Frankie, il faut attendre le premier tiers du film pour apprendre que celle-ci est une actrice de renommée mondiale et la moitié du film pour savoir qu’elle est atteinte d’une maladie incurable et qu’elle a choisi de réunir ses proches pour son dernier été dans ce qu’elle considère être l’un des plus beaux endroits au monde.
    Si la mise en scène, les décors et le montage restent très sobres, ce sont les dialogues qui donnent toute sa force au film et lui confèrent un aspect théâtral. Tout au long du film, Ira Sachs fait se croiser, dans différents endroits de Sintra et en l’espace d’une seule journée, le plus souvent lors de scènes limitées à deux personnages, la dizaine de personnages principaux. Leurs dialogues permettent au spectateur d’établir un lien entre chacun d’entre eux et de connaitre leurs motivations en tant qu’individu. Le film décline avec beaucoup de tact la thématique de l’amour en mettant en parallèle l’amour intense et inébranlable (entre Frankie et Jimmy), l’amour introuvable (entre Ilene et Gary, entre Sylvia et Paul, entre Paul et ses ex-compagnes), l’amour déchu (entre Sylvia et Ian), le premier amour (entre Maya et un jeune surfeur rencontré dans le pittoresque tramway local)… Autre thématique auquel le film fait une large place, celle de la famille, abordée à travers les questions du rapprochement et de l’éloignement, de la maladie, de la mort, de la difficulté de transmettre tant son patrimoine que ses valeurs ou des rapports au sein du couple. Malgré la gravité du sujet, le film évite de tomber dans le pathos et la mélancolie. Il n’est pas non plus empreint de la fameuse saudade portugaise qui n’y aurait pas trouvé sa place, Ira Sachs ayant choisi de ne pas explorer ses personnages avec suffisamment de profondeur pour évoquer leur grandeur passée.
    Le film recrée, en revanche, parfaitement l’atmosphère de Sintra, ce Versailles portugais très prisé de l’aristocratie et des artistes, notamment britanniques, grâce à de jolis plans sur ses ruelles étroites, sur le Palacio da Pena sorti de la brume, sur le « glorieux Eden » de la Serra da Sintra ou sur le bord de mer avoisinant. Ce n’est d’ailleurs par un hasard si le film se termine au sanctuaire de Peninha par un dernier plan très lent réunissant tous les personnages principaux et qui constitue, à ce titre, une synthèse habile de l’ensemble. On ne peut s’empêcher de se remémorer ce vers des Lusiades de Camoes, ce grand poète portugais de l’époque des Découvertes, en voyant ce dernier plan : « aqui onde a terra se acaba e o mar comeca » (« ici ou la terre se termine et la mer commence »), vers qui est d’ailleurs reproduit sur une stèle au Cabo da Roca (extrémité occidentale du continent européen) à quelques encablures de là. Pour le personnage de Frankie, ce vers sonne presque comme un adieu à ses proches : l’immensité de la mer comme point de départ de son voyage vers l’au-delà.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 713 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 août 2020
    Le réalisateur Ira Sachs a écrit le scénario avec Mauricio Zacharias pour ce doux murmure qui est l'une des réflexions des plus subtiles, visuellement impressionnantes et tendres sur des relations. Frankie (Isabelle Huppert) est une actrice de cinéma célèbre et très admirée qui a rassemblé sa famille dissipée à Sintra au Portugal en signe d'adieu. L'entrelacement des personnalités intéressantes crée des histoires secondaires intimes alors qu'elles se rassemblent dans ce lieu pittoresque, la maison d'une fontaine magique de vie. Frankie a imaginé la façon dont elle espère que les anciennes relations entre ce groupe disparate de personnes seront corrigées et bien que ces idées ne se matérialisent pas, les mystères de la camaraderie et de l'amour continuent de trouver leur propre destin. La réalisation spectaculairement sensible et l'atmosphère particulière de la musique comme des Moments Musicaux de Schubert et Arabesques de Debussy permettent au film d'être pensif et discret. La fin tranquille et prolongée est digne de récompenses si bien sculptée par le réalisateur Sachs qu'elle permet aux messages du film de s'imprégner dans l'immobilité. À une époque où les effets spéciaux et les films de brute dominent les écrans. Frankie est un doux rappel de ces aspects de la vie qui méritent d'être appréciés...
    selenie
    selenie

    6 346 abonnés 6 209 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 juin 2020
    L'économie générale (jeu, décor, dialogue... etc...) empêche toute empathie et donc toute émotion. Les discussions sont ennuyeuses et sans enjeu, en tous cas pour le spectateur (achat d'un appart à 3 millions, la perte d'un bracelet hors de prix, l'idylle adoslescente... etc...), rien ne permet de s'accrocher à un fil directeur et rien ne permet réellement de nous attacher. tandis qu'on se demande pourquoi avoir choisi la ville de Sintra tant les paysages restent bien secondaires et ce n'est l'artificialité de la dernière séquence qui sauvera la donne. On aura connu Ira Sachs plus inspiré que cette chronique inepte malgré le talent et le charme de quelques passages.
    Site : Selenie
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    365 abonnés 1 814 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 mars 2020
    Dire que j’ai trouvé ce film horrible serait un euphémisme. Au bout de 1h je n’en pouvais déjà plus. J’avais pris plus de plaisir en travaillant durant 9h qu’en étant assis dans la salle de cinéma. C’était d’une lenteur insupportable. Tout se passe au ralenti. Heureusement que le cadre Portugais est plutôt agréable. J’ai trouvé l’histoire totalement vide. On aura la thématique de la maladie (et donc de la mort) mais c’est abordé d’une telle manière que ça en devient inintéressant. Je ne ressentais rien. J’attendais que le temps s’écoule. Pour accentuer mon calvaire, quand Isabelle Huppert joue en Anglais, je trouvais ça ignoble. Pourtant, j’adore cette actrice vraiment douée, mais là elle perd tout son naturel. Son intonation de voix détruit tout. Petit rayon de soleil dans cet ouragan de l’ennui, la présence de Marisa Tomei, la mère de Spider-Man dans le (ex)MCU.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 mars 2020
    Non seulement je ne réécrirai pas ma critique mais je n'en posterai plus. Mon analyse était mille fois plus intéressante que le plupart des "crtiques" publiées sur ce film! Je refuse de me plier aux diktats de contramaîtres de la pensée.
    Jorik V
    Jorik V

    1 279 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 novembre 2019
    On ne peut pas dire que l’on reconnaisse vraiment le cinéma d’Ira Sachs ici et le « Frankie » risque de décevoir pas mal des amateurs de ce cinéaste discret à la filmographie cohérente avec des thèmes récurrents et similaires. Une œuvre qui n’est pas sans rappeler celle de Woody Allen, elle en a des faux airs en tout cas, avec une tendance à des long-métrages tout de même plus sensibles et doux-amers et souvent axés sur des amours gays. Comme l’octogénaire, Sachs a fait de New-York sa ville de prédilection et comme lui, il aime à filmer les tourments de la vie, du couple et des rapports humains. Or, ici, après une demi-douzaine de films dans la Grosse Pomme, il choisit aussi de s’exiler pour aller tourner en Europe. Et c’est pour un film choral sans véritable ligne directrice qui restera peut-être l’un des films les moins marquants de la sélection officielle cannoise 2019. Le sujet? On y voit une actrice célèbre demander à des proches de la rejoindre à Sintra se sachant condamnée par un cancer. Et… c’est tout.



    Sans pour autant être déplaisant, le metteur en scène signe certainement là son film le plus faible et le plus anecdotique avec « Frankie ». D’aucuns diront que ce long- métrage ne raconte rien et ne va nulle part. Ce n’est pas faux, il faut juste se laisser prendre par ces errances dans les rues de la magnifique cité portugaise. Celle-ci est très bien mise en valeur sans pour autant passer par les lieux touristiques (voir le magnifique et très long plan final). C’est parfois envoûtant, parfois évanescent, parfois un peu monotone et vain aussi car il est vrai que cela ne va nulle part. Mais « Frankie » ne manque pas non plus d’intérêt, notamment par la grâce de ses acteurs et de cette distribution internationale. Et Sachs va à l’encontre de ce que proposent en général les films avec une mosaïque de personnages ou de retrouvailles en famille : il ne propose aucune scène de groupe hormis le plan final muet. Et c’est un peu dommage, voire frustrant sur ce point, même si cela sort des sentiers battus et évite un passage obligé.



    On doit donc se satisfaire durant une heure et demie, sans pour autant que le film ne paraisse trop long, d’échanges entre bourgeois et artistes nantis qui déambulent dans les rues et les parcs de cette illustre ville. Certaines séquences sont intéressantes (celles avec Jérémie Rénier), d’autres beaucoup moins (celles avec la jeune adolescente sur la plage). Il semblerait que Sachs a choisi avec son scénario d’isoler tous les personnages pour les faire se rencontrer indépendamment en doublon, autour de la présence tutélaire d’une Isabelle Huppert dans un rôle confortable. Le spectateur flâne donc comme les personnages mais l’argument est tout de même mince pour un auteur qui nous a offert de beaux drames bordés d’émotion par le passé. Et là est le problème, au vu du sujet on devrait être touché et ému. Ce qui n’est jamais le cas. « Frankie » est donc un film particulier, pas désagréable mais totalement inutile.


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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 novembre 2019
    Très fluide. Une tranche de vie. De l'émotion et de la sensibilité. Des personnages touchants. A voir
    Caine78
    Caine78

    6 801 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 septembre 2019
    D'Ira Sachs, j'avais vu « Married Life » et « Brooklyn Village », plutôt pas mal. Pourtant, j'avais presque un mauvais pressentiment concernant « Frankie », malgré un casting séduisant. Est-ce justement la présence d'Isabelle Huppert qui m'a fait craindre l'ennui ? Toujours est-il qu'en définitive, celui-ci a été bel et bien présent, par intermittences, certes, mais présent. Cela ne passait pourtant pas trop mal, au début : d'ailleurs, je reconnais que globalement, ce qu'on à se dire les différents personnages est plutôt intéressant, ne manquant pas de pertinence sur la vie, les relations humaines ou l'art en général, certaines scènes ne m'ayant d'ailleurs pas laissé insensible, notamment celle entre Huppert et Greg Kinnear, très juste, où de façon plus générale la présence toujours délicieuse de Marisa Tomei. Mais bon, presque une heure quarante comme ça... On reste quand même dans une logique très intello, assez poseuse, avec pas mal d'entre-soi et un scénario statique, préférant enchaîner les échanges, les contacts entre protagonistes plutôt que d'offrir une vraie structure narrative, un récit construit avec rigueur de bout en bout. Alors je ne dis pas : dans sa logique de cinéma « élitiste », filmant avec soin ces décors et ayant un évident savoir-faire dans l'écriture, « Frankie » se tient. Maintenant, où est le plaisir, où est l'intérêt pour l'immense majorité des spectateurs ? Que retiendront-ils de ce film ? À l'image de l'interminable plan final (qui, pour le coup, et aussi bien composé soit-il, est vraiment une caricature ambulante), je suis sorti de là assez groggy, assistant précisément à ce que je craignais : beau, sans doute, mais surtout barbant.
    colombe P.
    colombe P.

    134 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 septembre 2019
    Un film très beau, très délicat, très émouvant, parfaitement bien mis en scène.
    Il sera juste trop lent pour certaines personnes qui n'aiment pas cela.
    Moi j'ai totalement adhéré.
    Yves G.
    Yves G.

    1 500 abonnés 3 517 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 septembre 2019
    Françoise Crémont alias Frankie (Isabelle Huppert) est une star internationale du cinéma. Atteinte d’un cancer incurable, elle sent sa fin s’approcher. Pour ses dernières vacances, à Cintra au Portugal, elle réunit tous ses proches : Michel, son premier mari (Pascal Greggory) qui a fait son "coming out" depuis qu’elle l’a quitté, Paul, le fils qu’elle a eu avec lui (Jérémie Rénier) qui va s’installer à New York après une énième déception amoureuse, Jimmy, son mari actuel (Brendan Gleeson), inconsolable du deuil à venir, Sylvia, la fille (Vinette Robinson) que celui-ci avait eu d’un premier lit, elle-même accompagnée de Ian, son mari, qu’elle s’apprête à quitter, et de Maya, sa fille en pleine crise d’adolescence. Complètent ce cercle strictement familial Ilene, l’ancienne coiffeuse de Frankie (Marisa Tomei) et Gary, son compagnon (Greg Kinnear), un chef opérateur qui a décidé de passer à la réalisation.

    On attendait beaucoup, à Cannes, en compétition officielle, du nouveau film de Ira Sachs, le réalisateur new yorkais, remarqué pour ses précédents films : "Brooklyn Village", "Love is strange", "Keep the Lights on"… La déception a été grande.

    Cet assemblage cosmopolite – un réalisateur new yorkais, une star française, des acteurs anglais, belge et irlandais, un tournage au Portugal – ne fonctionne pas. On dirait du Woody Allen pas drôle, du Rohmer sans élégance.

    Le scénario se déroule en une seule journée du lever jusqu’au coucher du soleil (filmé dans un long plan fixe comme un tableau de maître qui sauverait presque à lui seul le film si on lui manifestait une indulgence coupable). Il se déroule dans les rues et les environs de Cintra où les personnages, rarement immobiles, sont filmés en pleine déambulation, au point d’en devenir un tic.

    Chacun des neuf personnages est successivement montré en compagnie d’un autre. Les esprits mathématiques auront calculé que le nombre de possibilités s’élève à trente-six et que le film aurait pu être très très long. Heureusement certains face-à-face nous sont épargnés tandis que d’autres sont élargis à un troisième participant.

    Chaque dialogue est censé raconter une histoire : le coming out de Michel, le déménagement de Paul, le chagrin de Jimmy, la rupture de Sylvia, les amourettes de Maya, etc. Le récit est si kaléidoscopique qu’on ne s’attache à personne. Sinon peut-être à Isabelle Huppert qui – malgré le ras-le-bol que je ne manque pas d’exprimer à chacun de ses films – est impériale dans un film où, pour une fois, elle n’interprète pas le rôle d’une femme toxique.
    diane.stehelin
    diane.stehelin

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 septembre 2019
    Le thème est sinistre même si Isabelle Huppert joue remarquablement bien , l ambiance est si lourde , on sort plombé de ce film.
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