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Votre avis sur Certains l'aiment chaud ?
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Un sommet du film comique américain. Le trio Monroe-Curtis-Lemmon est tout simplement extraordinaire et enchaîne avec brio et talent scènes percutantes et dialogues à l’unisson. Totalement complémentaires, ces trois stars jouent parfaitement leur partition. Même si elle rendit le tournage particulièrement difficile, Marilyn démontre une fois de plus l’immense talent qu’était le sien.
Probablement la plus connue des comédies de Billy Wilder, Certains l'aiment chaud réunit un célèbre trio d'acteurs : Marylin Monroe joue une femme fatale écervelée qui se laisse facilement séduire, Tony Curtis et Jack Lemmon sont les témoins d'un meurtre choisissant de se travestir pour échapper à la mafia. Démarrant comme un film de gangsters du temps de la prohibition, l'histoire est un peu longue à se mettre en place. Elle tourne alors vers la comédie légère, au ton badin voire égrillard, qui entraîne ces deux travestis et leur amie dans une suite de quiproquos souvent drôles, parfois vulgaires. Le film nous offre de temps à autre de beaux passages musicaux, Marylin Monroe y interprétant avec talent des chansons comme « I’m through with love » et « I wanna be loved by you » qui contribuèrent à en faire l'icône que l'on connaît. Les acteurs sont plutôt talentueux mais leurs personnages restent malheureusement très peu attachants. La mise en scène n'a rien de bien originale mais remplit son office correctement. Les aventures de notre trio se concluent par cette célèbre réplique – pour le moins équivoque : « Nobody's perfect ! ». Sans aucun doute, Certains l'aiment chaud ne l'est pas non plus mais est pourtant à connaître, ne serait-ce que pour constater que sa réputation est assez surfaite et pour passer, malgré tout, un moment divertissant.
Abarai
Mise en scène fulgurante mêlant plans séquences burlesques et doux travelling, Certains l'aiment chaud est une comédie savoureuse, dont l'humour est hilarant. Le duo d'acteurs principal est d'ailleurs génial. Quand à la réplique finale, elle est devenue culte.
On rit tout au long du film. Tony Curtis et Jack Lemmon en travestis sont trés drôles et interprétent leur rôle avec brio. Et une Maryline Monroe toujours aussi séduisante malgré une interprétation pas toujours trés convainquante.
Pour un film d'il y a cinquante ans c'est vachement drôle. On rigole mais surtout grâce à Tony Curtis et Jack Lemmon qui sont tous deux ex-cel-en-ti-ssi-mes en femmes. Bon, ce n'est peut-être pas un chef-d'oeuvre d'ailleurs j'ai failli ne mettre que trois étoiles sur quatre mais on rigole bien
gimliamideselfes
Ce film n'est certes pas parfait, mais on se sent bien en le regardant, la chute est pas mal…
le trio d'acteur est sympathique… mais avant l'apparition de Marilyn on s'ennuie un peu… mais heureusement elle vient très vite faire décoller les intrigues. Pour un bon film.
le trio d'acteur est sympathique… mais avant l'apparition de Marilyn on s'ennuie un peu… mais heureusement elle vient très vite faire décoller les intrigues. Pour un bon film.
Etrange comme il est impossible de définir la recette exacte d'un film "mythique". Qu'est ce qui fait de "Certains l'aiment chaud" une légende ? Quel est l'élément fédérateur ?
Dans ce film, si l'on met en lumière des thèmes relativement osés pour l'époque, il n'en reste pas moins une certaine dose de consensus. Le scénario se deroule a vitesse reguliere, les gags sont évidents, la mise en scène et l'esthétique sont plutôt classiques, les jeux des acteurs finalement vite lassants car les personnages n'évoluent pas et sont enfermés dans les carcans du cliché. C'est un film qui reprend les ingrédients infaillible de la comédie americaine des années 50'et n'y apporte finalement pas beaucoup de nouveauté.
Dans ce film, si l'on met en lumière des thèmes relativement osés pour l'époque, il n'en reste pas moins une certaine dose de consensus. Le scénario se deroule a vitesse reguliere, les gags sont évidents, la mise en scène et l'esthétique sont plutôt classiques, les jeux des acteurs finalement vite lassants car les personnages n'évoluent pas et sont enfermés dans les carcans du cliché. C'est un film qui reprend les ingrédients infaillible de la comédie americaine des années 50'et n'y apporte finalement pas beaucoup de nouveauté.
Attention, chaud ! Certains l'aiment chaud fait partie des plus brillantes réussites de la comédie américaine, régulièrement citée dans le panthéon des dix meilleures comédies de tous les temps. Sorte de réponse à "Les hommes préfèrent les blondes" de Hawks, et plus largement au cinéma de Hawks (cf George Raft, de Scarface, dans le rôle du gangster), some like it hot résonne à plusieurs niveaux, aussi bien dans ses quiproquos efficaces, sa romance magique, que sur des thèmes plus profonds, comme l'homosexualité, laquelle n'a jamais été soulevée avec plus de légèreté qu'ici. Il en résulte une comédie ludique et adorable sous tous aspects, où les situations les plus échevelées se succèdent, portées par les trois acteurs très en forme que sont Tony Curtis, Jack Lemmon et bien sûr Marylin Monroe. C'est probablement le film le plus drôle et optimiste de Wilder : bonne humeur garantie, réjouissance pour les yeux de tout instant, et doté une morale de fin à toute épreuve... "personne n'est parfait !".
c'est bien la première fois que je passe une soirée en compagnie de Marilyn, j'aurais pas dû attendre aussi longtemps. So Good!
TTNOUGAT
Sans doute pour la majorité de tous les publics confondus le film numéro 1 de l'histoire du cinéma.Ce n'est pas mon préféré mais je n'arrive pas à lui trouver le moindre défaut , je le regarde chaque année pour Noël en famille:c'est toujours la fête.Il est absolument parfait ,sans outrances tout en abordant un maximum de sujets.Mise en scène brillante et Marilyn qui créve l'écran,elle attrape la lumière comme personne...C'est un mystère.Ceux qui l'ont vu dans la vie n'ont ressenti aucun choc esthétique.Ce film doit aussi beaucoup a un homme que je considère ,bien qu'il ne soit pas non plus mon préféré, comme le plus grand acteur du cinéma parlant::Jack lemmon.Il a pu tout jouer.Ce qu'il apporte au film est difficile à estimer mais probablement essentiel.
Durant la prohibition, deux musiciens se déguisent en femmes et intègrent un groupe de musique exclusivement féminin pour échapper à des truands qui veulent leur peau car ils sont les uniques témoins d'un règlement de comptes. Vous l'aurez reconnu à son pitch, on parle bien de "Certains l'aiment chaud", l'une des plus grandes comédies de l'histoire du cinéma, menée de main de maître par un Billy Wilder au sommet de sa forme ! Avec son compère I.A.L Diamond, il livre un scénario impeccable au rythme qui ne laisse pas de place à l'erreur et qui nous entraîne durant deux heures sur les pistes du rire avec un génie comment on en a rarement vu. Réalisé en 1959, le film continue de faire rire aux éclats et ce grâce à des répliques bourrées de sous-entendus qui fonctionnent à plein tubes encore aujourd'hui et ce d'autant plus quand on sait à quel point Wilder était futé et à quel point il joue sur la sexualité de ses personnages, transformant Jack Lemmon en travesti ravi d'être fiancé à un millionnaire et Marilyn Monroe en créature sensuelle dont la robe du soir laisse entrevoir ses formes ! Grâce à une mise en scène élégante et impeccable, Wilder laisse éclater le talent de ses acteurs au grand jour, assoit le talent comique de Jack Lemmon, achève de faire de Marilyn un sex-symbol et laisse Tony Curtis dévoiler une nouvelle facette de son talent. Le trio semble s'amuser à jouer la mascarade et on ne peut que saluer la vague de rires accompagnant chaque projection de ce film, certainement l'un des plus drôles de tous les temps.
Un film mythique, très drôle ! L'histoire de deux musiciens obligés de se travestir pour échapper à la mafia locale. Les dialogues sont enlevés, Marilyn est superbe et le scénario fait mouche. On en redemande !
Une comédie délirante qui ose tout!Une musique entrainante,des situation cocasses à souhait,des quiproquos,des répliques savoureuses,du burlesque ,du romantisme, d'excellents acteurs, un très bon scénario, une mise en scène rythmée mais en plus de l'action et une petite dose de suspense! Etonant!Jamais une comédie ne m'avait fait rire autant.Bien supérieur au comédies d' aujourd'hui.A voir absolument pour passer un moment inoubliable car c'est excellent!
Le sommet de la comédie;un must
Et si la féminité se résumait à une apparence, se réduisait à la plus futile des existences ? «Some like it hot» (USA, 1959) de Billy Wilder interroge la place de la femme dans le monde, par le truchement du film noir et de la comédie. Genres, dans cette période hollywoodienne, quasi-exclusivement occupés par la gent masculine, ils se trouvent imbriqués dans la même narration, se jalonnant par alternance pour stimuler les aventures du trio comique. Fuyant un syndicat du crime, le duo de musiciens Joe et Jerry sont obligés de se costumer en femme et d’en adopter le comportement pour pouvoir partir en Floride dans un orchestre exclusivement féminin. La figure de la femme, outre de ridiculiser des hommes contraints au travestissement, devient un lieu de sûreté, un outil de leurre pour échapper à la brutalité des hommes. L’autre femme du film (et quelle femme !) dispose du corps, de la voix délicate et de l’innocence du jeu de Marilyn Monroe. Dupée, elle côtoie la forme féminine de Joe et sa forme masculine. Désireux de sortir avec elle, le personnage de Tony Curtis joue un double jeu pour séduire la belle femme, la considérant comme stupide et crédule. Wilder est sévère avec ses personnages, il les soumet à une agitation perpétuelle qui, au lieu de les servir, les transforme en pantins ridicules, assujettis à la pauvre facilité des hommes et des femmes. Quand, dans la séquence finale, Jerry révèle au milliardaire infantile tombé sous son charme qu’il est un homme, celui-ci lui répond : «Nobody’s perfect !». De ne pas être une femme, Jerry se révèle quelque peu imparfait. Wilder fait de la femme une figure parfaite, du fait qu’elle soit celle qui, après la tempête, réussisse seule à survivre. Dans le bateau final qui fuit, demeurent un ancien travesti, une femme plantureuse, un riche efféminé et un homme-femme. Le cynisme légendaire de Wilder s’attarde sur les hommes qui se réduisent au vulgat du crime sans épargner la stérile négligence des femmes.
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