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Votre avis sur 47 Meters Down: Uncaged ?
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RedArrow
Encore pire que tous les requins les plus hargneux des fonds marins, la suite de "47 Meters Down" débute en se fixant sur un autre type de très dangereux prédateurs : les lycéennes insupportables !
La pauvre Mia est en effet la tête de turc de la reine-pimbêche de son lycée et peine en plus à nouer des liens avec sa demi-sœur. Ses terribles soucis ont l'air de toucher ses parents autant que nous car, pour se débarrasser de leurs filles, ils les envoient observer des grands requins blancs dans un bateau spécialement aménagé à cet effet (ils ont sans doute espoir que ça finisse mal comme dans le premier film). Mais les deux demi-soeurs prennent la poudre d'escampette en pleine nature avec deux copines afin de partir explorer une cité maya sous-marine découverte par le père de Mia. En faisant un nombre incroyable d'âneries, le petit groupe se retrouve coincé dans les tunnels du monument submergé avec, bien évidemment, un énorme requin affamé à leurs trousses...
Eh bien... Avec ses premières vingt minutes, on peut dire que "47 Meters Down: Uncaged" fait tout pour nous mettre du côté des requins tant les gourdes de compétition ainsi présentées sont absolument agaçantes et juste bonnes à finir entre leurs dents. On en vient même à se demander si tout ça ne cache pas un second degré à peine voilé mais, à part les dix dernières minutes qui tomberont dans une surenchère allant plus en ce sens, cette suite toujours signée Johannes Roberts semble bien vouloir s'inscrire dans la lignée de son prédécesseur en poussant toujours plus loin le curseur de ses attaques de requins.
Bon, comme vous l'imaginez, dur ici d'éprouver l'attachement que l'on pouvait avoir pour les héroïnes du premier opus, ces nouvelles adolescentes sont définies en deux gros coups de pinceaux et envoyées à l'abattoir sous-marin sans se poser de questions (leurs agissements stupides n'arrangent rien). De même, si son modèle avait son lot d'incohérences pouvant faire décrocher sa mâchoire à un squale, cette suite, elle, est juste profondément idiote de bout en bout en ne cherchant à rien raconter de valable sinon de simples prétextes pour transformer de la greluche en pâté pour requins.
Il reste donc les attaques de nos grands blancs préférés pour se divertir et c'est bien là la seule chose que Johannes Roberts réussit avec une très grande générosité. On se souvient que, déjà dans le premier film, les apparitions des requins étaient visuellement traitées de manière similaire à un tueur d'un film d'épouvante, cette fois, Roberts transforme carrément son requin en croquemitaine par son apparence presque surnaturelle (il est aveugle et couvert de cicatrices) et chacune de ses manifestations devient celle d'un véritable meurtrier de slasher cherchant à dézinguer ses victimes façon jumpscare de la mort !
On ne peut pas reprocher au film la beauté de certains plans sur ces attaques ou quelques morceaux de bravoure comme la lutte dans les courants ou le final qui ne paraît plus s'arrêter mais, sans le moindre attachement aux victimes et la cruelle répétition qu'implique la façon de procéder du requin, tout cela apparaît terriblement vain et on en vient à s'étonner de trouver un tel film aussi interminable.
Bref, même s'il est situé à la même profondeur, "47 Meteors Down: Uncaged" plonge hélas bien plus loin jusqu'à atteindre un certain seuil de médiocrité. Seul le savoir-faire incontestable de Johannes Roberts pour mettre en valeur ses bestioles enragées préférées brille dans ces abysses aussi vides que le contenu de la boîte crânienne des héroïnes...
La pauvre Mia est en effet la tête de turc de la reine-pimbêche de son lycée et peine en plus à nouer des liens avec sa demi-sœur. Ses terribles soucis ont l'air de toucher ses parents autant que nous car, pour se débarrasser de leurs filles, ils les envoient observer des grands requins blancs dans un bateau spécialement aménagé à cet effet (ils ont sans doute espoir que ça finisse mal comme dans le premier film). Mais les deux demi-soeurs prennent la poudre d'escampette en pleine nature avec deux copines afin de partir explorer une cité maya sous-marine découverte par le père de Mia. En faisant un nombre incroyable d'âneries, le petit groupe se retrouve coincé dans les tunnels du monument submergé avec, bien évidemment, un énorme requin affamé à leurs trousses...
Eh bien... Avec ses premières vingt minutes, on peut dire que "47 Meters Down: Uncaged" fait tout pour nous mettre du côté des requins tant les gourdes de compétition ainsi présentées sont absolument agaçantes et juste bonnes à finir entre leurs dents. On en vient même à se demander si tout ça ne cache pas un second degré à peine voilé mais, à part les dix dernières minutes qui tomberont dans une surenchère allant plus en ce sens, cette suite toujours signée Johannes Roberts semble bien vouloir s'inscrire dans la lignée de son prédécesseur en poussant toujours plus loin le curseur de ses attaques de requins.
Bon, comme vous l'imaginez, dur ici d'éprouver l'attachement que l'on pouvait avoir pour les héroïnes du premier opus, ces nouvelles adolescentes sont définies en deux gros coups de pinceaux et envoyées à l'abattoir sous-marin sans se poser de questions (leurs agissements stupides n'arrangent rien). De même, si son modèle avait son lot d'incohérences pouvant faire décrocher sa mâchoire à un squale, cette suite, elle, est juste profondément idiote de bout en bout en ne cherchant à rien raconter de valable sinon de simples prétextes pour transformer de la greluche en pâté pour requins.
Il reste donc les attaques de nos grands blancs préférés pour se divertir et c'est bien là la seule chose que Johannes Roberts réussit avec une très grande générosité. On se souvient que, déjà dans le premier film, les apparitions des requins étaient visuellement traitées de manière similaire à un tueur d'un film d'épouvante, cette fois, Roberts transforme carrément son requin en croquemitaine par son apparence presque surnaturelle (il est aveugle et couvert de cicatrices) et chacune de ses manifestations devient celle d'un véritable meurtrier de slasher cherchant à dézinguer ses victimes façon jumpscare de la mort !
On ne peut pas reprocher au film la beauté de certains plans sur ces attaques ou quelques morceaux de bravoure comme la lutte dans les courants ou le final qui ne paraît plus s'arrêter mais, sans le moindre attachement aux victimes et la cruelle répétition qu'implique la façon de procéder du requin, tout cela apparaît terriblement vain et on en vient à s'étonner de trouver un tel film aussi interminable.
Bref, même s'il est situé à la même profondeur, "47 Meteors Down: Uncaged" plonge hélas bien plus loin jusqu'à atteindre un certain seuil de médiocrité. Seul le savoir-faire incontestable de Johannes Roberts pour mettre en valeur ses bestioles enragées préférées brille dans ces abysses aussi vides que le contenu de la boîte crânienne des héroïnes...
Sans être le pire film dans ce genre, 47 Meters Down : Uncaged reste quand même loin d'être bon. Les requins sont moches, les personnages clichés et insupportables, l'histoire évidemment sans surprise et en bonus, on voit rien pendant un bon moment parce que certes je veux bien croire qu'on voit pas grand chose dans une grotte sous marine mais ça empêche pas de filmer avec un minimum de lumière et de savoir-faire parce que là c'est juste ennuyant au bout d'un moment si bien qu'on décroche assez vite. Le premier film avait au moins le mérite d'avoir une fin plutôt "réaliste" mais là c'est clairement pas l'objectif (le moment de la dent de requin transformé en poignard m'a beaucoup fait rire cependant). Regardez le si vous savez vraiment pas quoi faire ce soir, c'est pas non plus horrible mais vous l'aurez oublié demain quoi.
Une série B ennuyeuse... Scénario et dialogue nul, acteurs très moyen, du déjà vu. Éviter de perdre votre temps en regardant ce film, je me suis endormi devant...
Ce film a plus de similitudes avec "The descent" ou "Sanctum" que du plutôt bon "47 meters Down"...plutôt distrayant dans l'ensemble! Les requins sont tantôt très bien fait, tantôt limite limite (notamment quand il attaquent dans les tunnels) et ont toujours la facheuse habitude de se retrouver là où sont nos héroïnes (pas de bol).Ddans l'ensemble, une honnête série B de requins!
le 1er était bien mais celui-là est de trop... mauvais scénario, mauvais effets spéciaux... bref ne perdez pas votre temps
C'est simple, si vous trouvez plus nul faite le connaitre.
Aucune histoire.
Aucun dialogue.
Aucun effet visuel.
Vide.
Aucune histoire.
Aucun dialogue.
Aucun effet visuel.
Vide.
Cette non-suite vient prouver une fois de plus que le genre "requin contre baigneur" est le parent pauvre du film d'horreur : toujours alléchant sur le papier, très rarement regardable. Sauf qu'ici, en plus d'une prévisibilité totale (j'avais le quinté des morts dans l'ordre au bout de 5 mn), d'une absence de psychologie des personnages, d'enjeux inexistants et d'un suspens... bah... manquant lui aussi, on a droit à des dialogues de mauvaise série pour ados (c'est dire!) et d'invraisemblances qui s’enchaînent avec une régularité qui laisse pantois. Les deux principales étant qu'un requin ne sait pas nager en arrière (donc le coup des galeries, hein...) et, plus grave, de tels organismes ne pourraient absolument pas survivre dans un tel environnement (et encore moins y naître...).
J'oublierai presque qu'en dépit d'un excellent travail de la part du directeur de la photographie, la réalisation est à la ramasse avec des plans qui ne mettent en valeur QUE les extérieurs... alors comme l'essentiel du film se passe dans une grotte...
Ennuyeux, ridicule et doté d'un message "social" poussif et maladroit, "47 meters..." se paye l'audace de ne même pas être assez risible pour finir dans la catégorie "nanar", préférant faire la planche dans la baie des "pitoyables".
J'oublierai presque qu'en dépit d'un excellent travail de la part du directeur de la photographie, la réalisation est à la ramasse avec des plans qui ne mettent en valeur QUE les extérieurs... alors comme l'essentiel du film se passe dans une grotte...
Ennuyeux, ridicule et doté d'un message "social" poussif et maladroit, "47 meters..." se paye l'audace de ne même pas être assez risible pour finir dans la catégorie "nanar", préférant faire la planche dans la baie des "pitoyables".
Le suspense fonctionne à fond.
On reste plus d’une heure sous la mer !
Une vraie bonne surprise.
Claustros s’abstenir !
On reste plus d’une heure sous la mer !
Une vraie bonne surprise.
Claustros s’abstenir !
Après le huis clos sous-marin du premier film cette suite ambitionne carrément le slasher, l’idée est pas mal mais on se rend vite compte de ses limites, car c’est vraiment filmé d’une manière à ce qu’on finit par oublier les profondeurs, l’angoisse du manque d’oxygène, la sensation claustro, etc, si l’action se déroulait dans une maison on ne verrait presque pas la différence, du coup on sombre dans le déjà vu et on s’ennuie inexorablement (jusqu’au dernier 1/4 d’heure va de surenchère en surenchère), c’est dommage.
FaRem
Deux ans après "47 Meters Down", Johannes Roberts revient avec un film qui reprend le même concept à savoir des gens qui se retrouvent coincés sous l'eau et sous la menace d'un requin. Comme le titre l'indique, fini la cage à touristes avec cette fois-ci un décor plus ou moins naturel à savoir des ruines d'une ancienne civilisation qui sert de prison sous-marine. Les quatre filles sont donc face à une course contre la montre pour remonter à surface tant qu'ils ont encore de l'oxygène et doivent en plus rester en vie en évitant les nombreuses attaques de ce requin préhistorique. Comme pour le précédent, on est davantage face à huis clos sous-marin qu'un film de requins. Le réalisateur tente alors de créer à nouveau une ambiance anxiogène seulement, il n'y parvient pas cette fois-ci. En terme d'ambiance, le film est moins efficace. Pourtant, les filles passent par toutes sortes d'épreuves entre le manque d'oxygène, le requin, les fausses pistes dans ce labyrinthe sous-marin ou encore le courant, mais tout cela ne produit pas un grand effet. Le début du film est bien seulement, il ne parvient pas à être convaincant sur la durée. Tout seulement, car l'histoire n'a pas grand sens avec des incohérences et des choses peu crédibles. Je ne suis pas là pour dire ce qui est possible ou pas, surtout concernant un film comme ça, mais il y a des trucs abusés comme le dénouement qui frôle le ridicule. Bref, un film moyen qui m'a laissé sur ma faim. Le précédent était mieux et plus efficace.
Moyen ! Scénario attendu et pérégrination aquatique avec les ficelles habituelles, une cascade de situations qu'une vie entière ne suffirait pas à remplir et un doublage français pitoyable. les bons points toutefois : des attitudes relativement sensées, de beaux décors. 2.5/5 !!!
stallonefan62
Un énième film avec des requin, on connait la suite ... même si quelques tensions par moment font toujours son effet !! Pour un film de genre on n'échappe pas au casting très moyen !! De belles bimbos qui vont tous y passer une par une !! Il ne révolutionne pas le genre mais cela reste divertissant malgré tout ...
Benito G
Le précédent était relativement regardable malgré quelques incohérences etc... Et sa suite n etait de base pas nécessaire. Un scénario qui tient sur un ticket de métro laissant apparaître quelques surprises et un peu plus gore que le 1er mais nombreuses sont les incohérences et un twist final pour cette fois ci, plutôt médiocre on va dire (pour être gentil).Bref l histoire on la connait et on s en doute un peu. Le réalisateur a modifié un peu les décors sous-marin au niveau du temps ou les filles sont coincés et évidemment menacés par ce requin préhistorique... Legerement plus gore, et un ensemble sous-marin sans doute mal mis en scène là ou le réalisateur a du vouloir créer une ambiance sous marine angoissante etc... Mais la mayonnaise ne prends pas et ne nous impressionne pas vraiment. DTV de plus, c etait tout de même a prévoir. On suit l histoire timidement ou l on se demande parfois quand cela va finir... On est donc loin des films de requins ayant un peu de qualité (évidemment le pionnier restant les dents de la mer). La on se retrouve dans une sorte de huit clos mais qui ne stressé ou n angoissera pas trop le public. Ajouter à des passages sentant le deja vu... Un peu de nouveauté aurait pu être pas mal. Car pour le coup c est assez fade même si le début pouvait se montrer légèrement intéressant. On redescends assez vite la dessus, pour suivre le file de l histoire mais sans regain d intérêt ou d un minimum de tension. Plutôt déçu donc et il sera pour ma assez vite oublié. A la limite, resté sur le 1er opus meme si il ne s agit pas d un chef d œuvre. Il reste néanmoins un peu mieux que sa suite ici globalement inutile en plus d etre plus ou moins ratée. Vite vu, vite oublié
Alors que le premier était une série B plutôt attrayante, 47 Meters Down Uncaged est une série Z nanardesque. Jump-scares téléphonés pour un scénario claustrophobe raté qui emprunte à The Descent. Et finalement on s'ennuie sec devant cette suite sous-qualifiée.
Sous son air d'eternel film d'angoisse pour ados, avec ses personnages et histoire naifs, un divertissement pas trop mal au final.
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