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Bella
1 abonné
37 critiques
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1,0
Publiée le 24 avril 2024
Film lent, très lent. Il ne se passe rien et ce n’est absolument pas un film d’horreur. Une fin de la flemme vraiment décevante. Et beaucoup de choses non développées, pourquoi la belle-mère est-elle si mystérieuse? Et pourquoi toutes ces miniatures, bref du n’importe quoi. Passez votre chemin.
Après une introduction intéressante, ce film d'horreur psychologique suit un spoiler: arc narratif jusqu'au départ du père du chalet isolé, qui laisse derrière lui ses enfants avec leur aspirante belle-mère qu'ils rencontrent pour la première fois .
Puis “The Lodge” se perd dans spoiler: le blizzard et les bondieuseries .
En fin de compte, il ne parvient pas à réellement spoiler: dénoncer le danger de l’endoctrinement religieux de manière claire et efficace .
Ce film avait du potentiel, son idée de base était intéressante et intrigante. Malheureusement il est très mal exploité ici. Les acteurs sont tout juste corrects, un manque de développement se fait largement ressentir tout le long du film. Dramatique, en effet, terrifiant, absolument pas. L'histoire racontée tire en longueur et est même ennuyante à certains moments. Pour en plus, finir sur une fin qui ne semble pas finie... Bref, assez frustrant.
Je ne mètrerais même pas une étoile à ce film, j’ai trouver qu’il n’y avais pas de scénario il est détestable au plus haut point. Film pourrit ne perdez pas votre temps !
J'aurais voulu ne mettre aucune étoile, mais impossible. Où est l'intérêt de ce film, je n'en vois aucun. Scénario inconsistant, long, mais comment peut on ... J'ai lu dans une précédente critique, "La femme se suicide sans aucune raison", ben si, elle se suicide car elle n'a plus aucun espoir de récupérer son époux qui lui annonce son désir de divorcer au plus vite et qu'il a l'intention de se remarier aussi vite d'ailleurs. Ce mari, personnage insipide, sans charisme, mauvais comédien. D'ailleurs seuls les enfants sont vraiment expressifs, mais, les pauvres, que sont ils venus faire dans ce navet ? Je ne m'étendrai pas sur le reste de cette histoire et vraiment, je me "repends" d'avoir perdu une heure trente de ma vie, j'aurais mieux fait d'aller à la pêche.
Adepte de film de secte et de cannibalisme comme "Heredité", "Midsommar", "1BR: The Apartment" et "Grave", "The Lodge" n'est pas passé inaperçu auprès de moi. Le côté "Heredité" se fait rapidement sentir sur la petite idée du drame familial et la maison de poupée et d'autres petits detaille bien croustillants pouvant même partir sur des thèmes de type "Ari Aster" au sens large le film commence vide et bien, il est rapide , au début du moins, car sans aller dans la lenteur le film prend son temps pour mettre l'atmosphère voulu. Les plans me font un effet bizarre mais je n'arrive pas à savoir pourquoi. Le jeu d'acteur de Lia McHugh ( Mia) n'est pas mauvais du tout. Le jeu assez malsain avec les insectes est amusant et réfléchi. L'empathie envers Grace est assez vite ressenti, mais n'est pas non plus intensément forte, car la souffrance de Grace est palpable . Les 30 premières minutes commencent plus ou moins banalement. L'atmosphère est glaçant. Et puis une question m'est venu juste après la quarantième minutes : "Qu'est-ce qui peut mal tourner ?" et c'est pour ça que Veronika Franz et Severin Fiala font du bon taff. Le doublage est plutôt bon, même si il défaille un tout petit peu. Les réactions des personnages sont bon mais n'ont pas non plus de mérite quelconque. Tient-il la route, je ne suis pas assez expérimenté cinématographiquement pour le dire mais si je devrais réellement donner mon avis, je dirai qu'il tangue. Et puis la 75ème minutes fait froid dans le dos avec une Grace maladive. Une fin glaçante et prenante et imprévisible au possible.
Donc tout l'intérêt du film repose sur le fait de savoir si tout se passe dans sa tête ou si les enfants se jouent d'elle ? Mouais bon...
"The Lodge" est le "petit" film d'horreur par excellence, et quand je dis "petit" c'est à la fois au niveau du budget que du script ou même de l'histoire en tant que telle. Que ce ne soit pas spécialement effrayant d'accord, encore un film qui travaille sur l'ambiance et l'atmosphère globale d'un lieu en particulier (ici un chalet), soit ! Mais à l'inverse d'un Midsommar d'Ari Aster, le film n'exploite que très mal tout ce qui aurait pu être sa force : la secte de la belle-mère.
spoiler: Tout est en fait à l'image du final, c'est-à-dire qu'on finit par ne rien vraiment savoir ou par devoir tout interpréter nous-mêmes. La seule chose claire est que les enfants se sont moqués d'elle pour se venger. C'est tout. Et on leur met un bout de scotch sur la bouche avec écrit "Sinner" car ils ont pêchés. Youhou quel film !
The Lodge n'est pas un énorme raté mais bien une grosse déception en tout point.
Que c’est beau une famille recomposée qui se met au vert (ou plutôt au blanc) en montagne pour les fêtes de fin d’année ! Sauf quand les gosses ne digèrent pas le suicide de leur mère, qu’ils mettent sur le compte de la nouvelle liaison de leur père..et que la jeune femme en question a elle-même un gros passif psychologique consécutif à son enfance dans une secte. Les entends-tu résonner à l’horizon, les gros ressorts à psychoter de ‘The lodge’ ? Pourtant, le travail effectué par les deux réalisateurs autrichiens pour une commande de la Hammer vaut quand même mieux que ce qu’on pourrait attendre d’un synopsis aussi banal : quand le père s’absente quelques jours, une perfide guerre des nerfs se met en place dans le chalet isolé, entre la belle-mère désireuse de se faire apprécier des deux ados, et ceux-ci bien décidés à lui faire payer son arrivée au sein de la famille. Alors que le jeu commence à aller trop loin, les souvenirs et les réflexes d’auto-persuasion venus du passé resurgissent. Tout en usant de mise en abîme, avec cette maison de poupée qui livre des indices sur le vécu ou les projets des enfants, en refusant le jump-scare facile et se livrant à une critique des dérives sectaires, ‘The lodge’ joue aussi sur l’isolement anxiogène en milieu hostile et sur la perte progressives des repères temporels, ce qui lui permet de s’inscrire dans la lignée des films de malaise latent dont Ari Aster est devenu le nouveau chef de file. Il n’en possède toutefois pas tout à fait l’audace et la folie, même si le résultat est infiniment supérieur au commun des productions horrifiques américaines, qui n’a jamais semblé aussi bas que depuis quelques années. A peu de choses près, ‘The lodge’ retourne plus ou moins l’idée de ‘Goodnight mommy’, dont il pourrait constituer une variante plus efficace et moins auteurisante...mais cette simple inversion des rapports de force rend également la conclusion moins radicale et glaçante qu’elle ne l’était dans le premier film de Franz & Fiala..
Long et plein de clichés, rien ne nous est épargné! Je lui ai donné sa chance que par un malheureux hasard...et je le regrette. Quand je lis ici que certains le qualifient de "métaphysique et profond", l'avez-vous seulement vu? Les autres passez votre chemin en vitesse vous ne raterez rien !
Une petite pépite ! J’ai adoré ! Je ne m’y attendais pas du tout ! Le film nous plonge dans une atmosphère bien flippante. Un bon jeu d’acteur, une histoire assez glauque... Bref, un très bon film pour ma part. À voir absolument, mais, plutôt le soir pour être vraiment dans l’ambiance.
Il se dégage de ce thriller une atmosphère particulière. Rien ne semble rassurant et en même temps rien ne se passe vraiment. Le spectateur est invité à « vivre » dans un chalet en compagnie de Grace et des enfants de son compagnon. La force du film réside dans l’interprétation des trois personnages centraux. Riley Keough parvient à rendre mystérieuse chacune de ses interventions, peu de mots mais un visage qui en dit long (le cadrage, jouant sur les émotions faciales, sert parfaitement l’histoire). Les enfants ensuite Jaeden Lieberher (vu dans It notamment) et Lia McHugh semblent tout aussi imprégnés par leur rôle. Meurtris par le suicide de leur mère, ils se voient contraints de passer quelques jours seuls avec leur future belle-mère. Dans un magnifique décor enneigé (la photographie est superbe) rappelant par moment « The Shining », The Lodge est un thriller efficace qui évite les clichés et les effets superflus.
Dès le début, j'ai ressenti comme un plagiat d'hérédité et c'est dommage de comparer un film à un autre. Il a beaucoup de points communs avec hérédité et encore une fois, c'est dommage car j'ai passé la plupart du film à relever ces détails. Sinon beaucoup plus lent et beaucoup trop lent.. La fin est trop grosse pour être saisissante, on sait d'avance ce qui va se produire. On arrive pas à suivre la logique du film et on fini vite par s'ennuyer. Je n'ai pas adhéré.