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    The Lodge
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    50 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 août 2020
    Excellent thriller à l'ambiance particulièrement stressante.
    Mise en scène de qualité et interprétation remarquable.
    Je suis resté scotché du début à la fin
    NoSerious Man
    NoSerious Man

    180 abonnés 178 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 juillet 2020
    Richard (Richard Armitage) venant de perdre sa femme, suicidée sans raison apparente, ambitionne d'épouser Grace (Riley Keough) pour compenser sa douleur. Ne parvenant à faire le deuil, les jeunes Aiden et Mia (Jaeden Martell et Lia McHugh) voient d'un mauvais oeil l'arrivée brusque de cette femme au sein de leur châlet. En pleine absence du père, les deux enfants se retrouvent un jour bloqués en compagnie de leur énigmatique belle-mère dans leur modeste demeure ; pourtant le lieu où parano et mauvais tours se confondent à ses yeux... Et chacun de déterrer la peine et la rage de l'autre dans une lente décadence qui n'épargnera aucun des quatre gens. Qu'il est bon parfois de tomber sur une rareté sans en attendre quelque chose d'aussi brillant ! Sur le papier une histoire classique mais aussi plaisante pouvait mettre l'eau à la bouche. "The Lodge" est un thriller aux images incommodes à en crever et qui prennent leur temps au point d'en devenir limite ennuyeux à en réveiller les morts tout ce qu'il y a de plus intriguant. Quiconque connaissant Carpenter ou Haneke fait le lien directement avec les classiques du huis clos, ses infinis décors couverts de neige contre lesquels se bat un cercle restreint de personnages a posteriori en terrain familier pour finalement peu de rebondissements. Complots, suspicions, ou tout simplement besoin de cracher un grand coup son mal être, le tout avec un soupçon d'offensive religieuse, tout ceci ne manque pas d'être déduis par quiconque faisant l'effort de chercher la source du mal. Par ses emprunts formels à "Shining" (pour les décors), "The Thing" (explicité par la séquence de la TV) en passant par "Funny Games" et "La Main sur le berceau" (pour le home invasion), spoiler: (explicité par une scène ô combien oppressante s'achevant dans les escaliers du grenier)
    "The Lodge" a pour toile de fond et de plus belle l'intrusion d'une individue au sein d'une famille jusque ici bien rangée, et la relative complexité de celle-ci m'a tenu éveillé du début à la fin. La sobriété des décors et de la mise en scène en général étant bien sûr un avant-goût non négligeable, Severin Fiala et Veronika Franz nous servent un véritable portrait croisé de trois pauvres états d'âme formidablement retranscrits... spoiler: ...de cette belle-mère incapable de s'intégrer dans sa nouvelle famille à Mia, en incapacité de deuil.
    Sous un regard innocent, nous observons trois mondes sur le point de basculer et les blessures qui en jaillissent, en nous posant bon nombre de colles sur les faits et gestes, ainsi que les troubles profonds des personnages. Dans ce film, le cocon parental est victime de la cécité provoquée par le deuil et le besoin d'un repère (représentée par la figure paternelle en quête d'un objet de consolation). spoiler: Sans oublier la femme étant rejetée par les enfants du mari, dont elle soupçonne les jeux contre sa faveur ne faisant d'agrandir la jalousie poussant au meurtre et à la folie.
    L'ensemble est riche en interprétations parfaitement lisibles, par rapport à d'autres thrillers macabres de la sélection Gérardmer 2020 tels que le pauvrissime et poussif "Répertoire des villes disparues". De nombreuses séquences en appel telles que le prologue, la douche, le lac et le chat (que je ne dévoilerai pas davantage sous peine de rompre l'interprétation assidue de quiconque l'ayant vu) trouvent réponses dans une seconde partie non pas moins riche en identité esthétique mais toujours plus en révélations mystiques sur les personnages et leurs motivations. La nature bien sûr joue aussi un rôle méditatif imposant, notamment la neige, personnage à part entière et métaphore classique des maux glaciaux qui étreignent la petite famille tout le long.
    spoiler: La femme n'étant pas à son coup d'essai comme le démontre les quelques flashbacks, elle tue brutalement ce qu'il reste de la famille par des images très explicites, triomphant ainsi des absences dont elle a souffert. Littéralement, une profanation de sépulture encore toute fraîche.
    Sur-ce, "The Lodge" est un thriller extrêmement cohérent à la fois narrativement et esthétiquement, à l'horreur montrée de manière minutieuse et sans pitié aucune. Car au-delà du schéma thriller commun, se dresse une parabole du deuil et de l'acceptation de l'autre, au suspense exubérant qui ne néglige pas les twists cohérents et les révélations. Film d'une mélancolie et d'une crasse incommode, "The Lodge" répond aux codes d'un grand classique de Gérardmer et vaut incontestablement le statut d'incontournable.
    Vinz1
    Vinz1

    175 abonnés 2 425 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juillet 2020
    Cinq ans après le très bon « Goodnight Mommy » des autrichiens Severin Fiala et Veronika Franz, on retrouve le même type d’atmosphère anxiogène dans leur second métrage « The Lodge », à l’image particulièrement soignée et esthétiquement très réussi, car prenant lieu et place dans un vieux chalet cerné par la neige. Ici, on ressent bien l’isolement, les protagonistes étant bloqués par la neige et surtout n’ont plus de batteries de téléphone donc aucun moyen de communiquer vers l’extérieur ! Même si « The Lodge » est vendu comme un film d’horreur et les deux tiers du film laissent planer le doute sur l’intervention possible du fantastique, on se retrouve plutôt dans un thriller, sous forme de huis clos. L’angoisse est palpable (la mention de la Hammer dans le générique de début n’y est pas pour rien !) durant tout le métrage car le scénario entretient assez habilement le doute jusque à la fin, mais on a aussi notre lot de séquences assez radicales comme l’ouverture avec son suicide choc et une conclusion qui fait froid dans le dos. Toutefois, on pourra trouver le rythme un peu trop lent car beaucoup de temps est pris pour planter le décor et ses personnages et on pourra aussi trouver la fin pessimiste trop calculée et dans la mouvance de certains films récents, qu’ils soient américains ou autres (cf. « Midsommar ») !
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 521 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 juillet 2020
    La première moitié de The Lodge donne une sensation inconfortable similaire à celle de regarder Hereditary et Midsommar mais devient ensuite obsolète et plate. La torsion est boiteuse et la fin semble trop lente et précipitée en même temps. Un grand film d'horreur vous laisse penser à son histoire pendant des jours. Il s'agit plus d'une femme aux prises avec l'anxiété ou la santé mentale ensuite c'est tellement lent et vous pouvez deviner tous les rebondissements. Quelques scènes et plans n'avaient aucun sens comme si cela n'avait rien à voir avec le scénario. Et tout le temps j'ai continué à regarder ma montre pensant que la fin compenserait tout. Ce film est si lent et terriblement ennuyeux. J'avais envie de l'éteindre mais j'espérais que ça irait mieux. Si vous avez envie de regarder un film prévisible déprimant et ridiculement trop long alors foncez...
    Dorian
    Dorian

    2 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 juin 2020
    Long et chiant il ne se passe pas grand chose pour ne pas dire rien, je ne vois pas ce que ce film fait dans la catégorie horreur.
    Floki
    Floki

    7 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 juin 2020
    Qu'est ce que c'est long.... MAIS C'EST LONG ! En plus, c'est pas un film d'horreur. L'histoire met trop de temps a se donner, c'est lent, faut vraiment avoir envie...
    gugaciao
    gugaciao

    4 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 juin 2020
    Les ingrédients, l'intrigue, l'histoire, les personnages, la bande sonore... sont bons. The lodge a le mérite de faire une histoire que nous n'avons pas déjà vu. Là où mon opinion met un frein, c'est à cause de son rythme lancinant, ses passages creux avec les prières et des chants religieux qui ne mènent à rien, ainsi spoiler: qu' une tournure trop soft, un peu trop facile à mon goût et laisse au finish un gout amer.
    Binks
    Binks

    2 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 juin 2020
    Un film intéressant sans être original dans la première partie mais qui dégringole rapidement en nous offrant un final sans queue ni tête, que seul un scénariste au bout du rouleau pouvait pondre.
    Charles P.
    Charles P.

    11 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 juin 2020
    film plat et sans interêt....
    sujet mal traité, personnages insipides, il ne se passe strictement rien. Nous nous sommes ennuyé du début à la fin. Il ne se passe rien.... Fuyez en courant (nous on court toujours)
    RedArrow
    RedArrow

    1 662 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juin 2020
    Remplacer leur mère suicidée par Grace, l'inconnue qui leur a volé leur père et détruit leur famille...
    Reconstruire un semblant de famille avec celle qu'ils jugent responsable de tous leurs maux...
    Devant l'insistance de leur père, Aidan et Mia acceptent à contrecoeur de partir avec ce dernier et sa nouvelle fiancée dans un chalet isolé pour passer Noël ensemble. Obligé de se rendre à son travail, le père laisse Grace seule avec ses deux enfants...

    Aaah, on l'attendait de pied ferme le nouveau film de Veronika Franz et Severin Fiala, auteurs du formidable "Goodnight Mommy" ! Et c'est donc avec joie que l'on découvre le duo plonger à nouveau dans la noirceur psychologique autour du rapport maternel.
    Ici, d'un côté, il est question du deuil impossible de deux enfants, d'un amour pour une mère qui tourne même à la dévotion unilatérale pour elle au-delà de la mort, et, de l'autre, d'un rejet total de celle qui prétend la remplacer, celle qui a "tué" leur mère à leur yeux. Ajoutez à cela, le passé trouble de la jeune femme avec une secte et vous obtenez le bouc-émissaire parfait aux yeux de ces deux bambins.
    Une fois isolés dans le chalet, le séjour de Grace, Aidan et Mia va d'ailleurs être le catalyseur de toutes les tensions psychologiques qui prédominent entre eux (et en eux) jusqu'au point de non-retour...

    "The Lodge" est un film malin, même très malin pour aller extirper quelque chose de très malsain dans les traumatismes de ses personnages et s'en servir pour construire une espèce de fable en mode "arroseur arrosé" particulièrement noire et glaçante.
    Globalement, par ce qu'il va explorer comme part sombre chez l'individu dans ce contexte, le long-métrage va jusqu'au bout de ses intentions et prend un plaisir quasi-sadique à torturer l'esprit de ses personnages/victimes. La folie ambiante du discours se dessine de manière croissante au fur et à mesure que ses intentions perverses sont dévoilées et la mise en scène est toujours là pour pousser assez loin les curseurs de son atmosphère austère tout en en accentuant la portée symbolique par des plans lourds de sens. La distribution d'acteurs est également à saluer à ce niveau, Riley Keough livre encore une fois une vraie performance à travers la perte de repères son personnage (les enfants sont aussi excellents !).

    "The Lodge" est donc un vrai plaisir à découvrir pour tous les amateurs de films n'hésitant pas à aller du côté très obscur de la psychologie humaine mais est-il aussi incontournable que "Goodbye Mommy" sur ce plan ? Même s'il ne démérite pas, la réponse sera hélas négative, et ce pour plusieurs raisons.
    D'abord, tout simplement si vous connaissez le coeur du sujet du premier long-métrage de Veronika Franz et Severin Fiala, il est fort à parier que, lorsque ce nouveau film arrivera à un embranchement crucial de son récit, vous devinerez aisément sur quelle route le duo va choisir de vous conduire, gommant tout effet de surprise sur certaines révélations.
    Le problème se pose aussi si vous n'avez pas vu "Goodnight Mommy" d'ailleurs, cette partie centrale du film est hésitante sur le suspense qu'elle veut entretenir, "The Lodge" semble en effet vouloir éviter la mécanique du "gros twist" pour se concentrer sur les répercussions de son mystère mais le dosage d'indices quant à sa résolution s'en retrouve ainsi mal dosé et en dévoile beaucoup trop sur la piste à privilégier (vraiment dommage).
    Enfin, toujours au même moment, "The Lodge" connaît aussi un important ventre mou en se répétant beaucoup sur la déchéance mentale d'un personnage. Certes, à travers ce dernier, on sent bien la volonté de fournir un portrait psychologique plus fourni qu'à l'accoutumée mais, à trop s'y attarder, le film perd en puissance pendant bien trop longtemps avant de se ressaisir.

    Avec ce manque de maîtrise dans une partie déterminante de son récit, "The Lodge" n'égale pas le coup d'éclat de la précédente réalisation de ses auteurs mais, sur tout le reste, ne boudons pas notre plaisir, les films osant s'aventurer avec un tel jusqu'au-boutisme dans les rouages de la noirceur humaine sont si rares...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 1 juin 2020
    Film sans intérêt, scénario téléphoné et "débile", des longueurs et des longueurs , il existe une pseudo intrique et le jeu d'acteur à la limite , quoi que ?
    𝓂𝒶𝓉 𓆈 𝒽𝒾𝓈
    𝓂𝒶𝓉 𓆈 𝒽𝒾𝓈

    141 abonnés 1 143 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 mai 2020
    Mais quel film glauque !? Début très rude est assez impressionnant, c'est tellement inattendue ! Dans le positif, les acteurs sont très correctes et le début était plutôt prometteur. Malgré ça, je n'ai pas du tout aimé l'ensemble du film. Déjà la réaction du père est incompréhensible ! D'où on laisse ses enfants à une femme qu'on connait à peine ? Puis ça doit être hyper gênant pour les enfants de rester seuls avec leur nouvelle belle-mère. Le père a-t-il pensé à eux ? Je crois pas !Quelques longueurs sont présentes... On manque d'explications sur le passé de la belle-mère. Et pour finir on va parler du dénouement... C'est une blague ? C'est quoi cette fin TELLEMENT décevante ! Que peut-on dire de ce dénouement ? J'en sais rien. L'histoire à quoi d'intéressant ? Qu'est-ce qu'elle nous apporte ? R-i-e-n. J'en crois toujours pas mes yeux.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 26 mai 2020
    on attend et enfaite il se passe absolument rien, c'est dommage, surtout d'attendre 2h pour ça. 🤦🏾‍♂️🤦🏾‍♂️
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 4 août 2020
    Film plat, une très belle nature morte malsaine et morbide qui mérite de ne resté qu'une photo. Ayant apprécié good night mommy, je suis déçu ...
    Céline D
    Céline D

    21 abonnés 73 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 mai 2020
    Un synopsis basique mais ouvert qui laisse une grande possibilité de mener un thriller angoissant pourtant il n'en est rien.
    La seule angoisse du film réside dans les plans interminables et redondants.
    L'histoire est complètement a côté et pas crédible pour un sou.
    Un père mou, naïf et mièvre qu'on a envie de malmener... spoiler: tes enfants viennent de perdre leur mère d'un suicide par balle et toi t'as la merveilleuse idée de les faire passer leur premier Noël avec ta nouvelle meuf que tu sais être psychologiquement farcie.

    spoiler: Des enfants de 8 et 13 ans experts en psychiatrie lourde, mise de pression et maîtres de l'illusion qui n'ont rien a envier a Messmer et Mata hari,

    Et une belle mère qui aurait pu être intéressante si son portrait n'était pas râté.
    La joyeuse troupe dans un scénario complètement a côté de la plaque...
    L'incohérence est a la mode dans les thrillers psychologique et c'est sur cette seule base que se fait tout le film.
    Bref s'aurait pu mais c'est pas...
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