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    Une année polaire
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    55 critiques spectateurs

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    Hotinhere
    Hotinhere

    571 abonnés 4 997 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 mai 2022
    Entre documentaire et fiction, une chronique aussi dépaysante qu’attachante, même si le scénario est pas super captivant.
    riverainpsy
    riverainpsy

    33 abonnés 416 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 août 2021
    Entre fiction et documentaire , avec des personnages dans leur propre rôle , le film met en scène des situations avec de fort belles images et nous embarque pour un voyage dans le Groënland dont on ressort souvent charmé et au moins instruit dans le sens fort du mot . Merci monsieur Collardey . La musique d'Erwann Chandon accompagnant l'ensemble avec à-propos .
    Alasky
    Alasky

    360 abonnés 3 463 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 janvier 2021
    Une réelle immersion au coeur de l'immensité polaire. Petit film sans prétention, dépaysant, rafraîchissant, très humain, tout en simplicité. A voir presque comme un genre de documentaire, un hommage aux peuples de ces terres blanches.
    AdriBrody
    AdriBrody

    9 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 septembre 2020
    On peut avoir de très nombreux clichés sur les Inuits. On les imagine incultes, dans une société sous-développée. Mais on est bien loin de la réalité. Ils ne sont pas occidentaux, mais ils ont une vie proche de la nôtre. Ecole, travail, quartier, chômages, aides sociales...
    "Une année polaire" est un bon film, avec des paysages splendides qui permet de casser ces clichés. Les acteurs ne sont pas parfaits, mais ils font le travail. Ce n'est pas un film à voir pour le scénario, mais pour découvrir une culture, des paysages et s'ouvrir un peu.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 713 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 juillet 2020
    Le monde de Une année polaire est magnifique. La scène de la mère ours polaire et de ses 2 enfants est émouvante. Et je sais juste que les Inuits sont asiatiques. Pas étonnant que j'ai l'impression qu'ils ressemblent tellement à des Japonais en regardant le film. Alors qu'en est-il de l'apprentissage de l'histoire de Luther et de la religion réformée ? Dans un film conventionnel le professeur amènerait ses élèves réticents à la vraie connaissance. Les jeunes Inuits finissent par dominer leur professeur : petit à petit son mode de vie revient et ressemble aux leurs et pas l'inverse. Ainsi revivifié par les gens qu'il voulait éduquer et leurs parents qui n'étaient pas vraiment sympathiques voire hostiles : la dame ne remercie guère le professeur qui a aidé son garçon à porter le lourd bidon. Il ressent l'appel du sauvage : alors le film devient presque entièrement un documentaire. Il y a de merveilleuses scènes de chasse au phoque avec une tempête de neige qui oblige les hommes à construire un igloo. Nous sommes traités avec le plus grand plaisir a assistera une aurore boréale et on nous raconte une vieille légende. Un Hansel et Gretel pour les enfants inuits et parce que la vie est faite de petits plaisirs et de grands chagrins nous assistons à deux funérailles. Une Année Polaire qui en français sonne comme scolaire c'est tout cela et plus encore. C'est un excellent moyen de sortir des sentiers battus du cinéma français...
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    215 abonnés 2 867 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 avril 2020
    Une nouvelle expérience dans le cercle polaire, inédite et lyrique, qu'on découvre parallèlement à cet enseignant qui s'oublie.
    cinono1
    cinono1

    309 abonnés 2 066 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 avril 2020
    L'histoire d'un instituteur Danois parti se confiner au Groenland dans un petit hameau de 80 âmes. Il va peu à peu rentrer dans la vie quotidienne de ses habitants et découvrir un mode de vie ancestral obéissant aux lois de la nature. C'est un petit garçon destiné à devenir chasseur qui va servir de moteur à l'histoire et montrer la vie simple et destiné qui l'attend. Rien ne change dans ces lieux, mais les habitants savent vivre avec la nature et faire perdurer leur mode de vie, en se préoccupant guère de l'école. C'est donc plus un témoignage qu'une histoire, certaines passages drôles mais le film a quelques scories, à commencer par un prof pas très bon comédien. Qu'importe, c'est un film qui nous parle d'un autre mode de vie, d'autres mentalités et les superbes paysages finissent de nous combler dans ce voyage marquant. on apprend d'ailleurs dans l'encart final que l'insituteur décida de rester dans ces lieux après son année scolaire
    Christian C
    Christian C

    6 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 avril 2020
    Très joli film, sur l'école, sur le grand nord, sur les bienfaits et les méfaits de la civilisation. Film d'apprentissage, pour les élèves comme pour le maître, avec un regard humaniste sur le monde et de fort belles images. Bien qu'il s'agisse d'une fiction, l'aspect documentaire est essentiel, dans la lignée de R. Flaherty, P.E. Victor, J. Malaurie. Il faut voir ou revoir "Nanouk l'Esquimau", de 1922, disponible en ligne dont certaine scènes sont sidérantes !
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    145 abonnés 2 433 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 février 2020
    Plus proche du documentaire que du film initiatique ou d'aventure, ce film manque d'une histoire romancée.
    jchatin
    jchatin

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 janvier 2019
    Il est incroyable que le réalisateur de ce docu-film ne fasse aucune allusion au livre IMAQA, une aventure au Groenland de Flemming Jansen (Acte Sud 2012) dont le scénario est un piètre copié collé. Même histoire, même personnage, même aventures, ...sans effort de transposition. Un plagia complet. HONTEUX !
    mat niro
    mat niro

    360 abonnés 1 840 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 septembre 2018
    Un jeune instituteur danois promis à la reprise de la ferme familiale part pendant un an dans une contrée des plus reculées du Groënland. Ce film dresse plutôt le portrait d'une communauté de chasseurs/pêcheurs sans vraiment aborder l'aspect pédagogique puisque l'enseignant n'arrive pas à se faire respecter. Les paysages sont époustouflants et la philosophie de vie de ces personnes est assez bien dépeinte. Hormis cela, le film a tendance à trop appuyer sur l'esthétisme et délaisser son fil conducteur pour faire la place belle à la nature. Un docu-fiction pour les adeptes de belles aventures humaines mais surtout de grands espaces.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 novembre 2018
    Cette aventure en terre du proche pôle Nord est un magnifique chef-d’œuvre enneigé, une histoire de mutation d’un enseignant d’école voulant apprendre la langue et l’histoire de son pays reformé. Le Danemark possède la région d’Amérique du Nord, enseigné aux autochtones du Groenland est une chose ardue dans ce vaste environnement de rigueur glacial. L’anthropologie m’intrigue, très intéressante culture locale, une mise en scène passionnante à suivre chez l’ethnie Inuit.
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    56 abonnés 1 167 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 août 2018
    L’histoire est simple : Anders, jeune danois de 29 ans qui ne souhaite pas reprendre l’exploitation agricole de ses parents, part enseigner, comme instituteur, en 2016, au Groenland (territoire autonome du Danemark depuis 2008 et hors Union Européenne), non pas à la capitale Nuuk (18 000 habitants, sur la côte ouest, à 240 km au sud du cercle polaire arctique) mais à Tiniteqilaaq [130 h, sur la côte ouest et où l’explorateur français Paul-Emile Victor (1907-1995) effectua son 1er hivernage en 1934]. Avant de partir, on lui conseille de ne pas parler, ni d'apprendre le groenlandais… Habitant une maison sans eau courante spoiler: et dont le chauffage tombera en panne
    , spoiler: il découvre, outre l’isolement du village, l’absentéisme des élèves (qui préfèrent apprendre la tradition des anciens telles que la chasse et la pêche) et qui n’habitent pas toujours chez leurs parents biologiques (car souvent souffrant d’alcoolisme). Il s’attache à l’un d’eux, Asser, notamment après la mort de son grand-père et partage avec d’autres Inuits des activités (jeu de cartes, pêche au saumon en kayak, chasse aux phoques en traineau à chiens (avec construction d’un igloo lors d’une tempête et rencontre d’une ourse et de ses 2 oursons). Finalement, Anders finira par rester à l’issue de sa 1ère année scolaire
    . Le film est plus proche du documentaire (tous les protagonistes « jouent » leur propre rôle) que de la fiction (car il y a peu d’enjeu dramatique). Cela rappelle « Le voyage au Groenland » (2016) de Sébastien Betbeder mais sans l’aspect comédie et finalement, le film de Samuel Collardey est plus proche de « Nanouk l’esquimau » (1922) de Robert Flaherty. spoiler: Pour l’anecdote, Anders s’est tellement intégré au village qu’il s’est lié avec une inuit qui a dû accoucher en juillet 2018.
    Jmartine
    Jmartine

    169 abonnés 678 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 août 2018
    En cette période de canicule on ne peut qu’apprécier un film qui nous emmène dans les étendues glacées du Groenland….Le film de Samuel Collardey, une année polaire, est sorti fin mai, et son exploitation sur Paris touche à sa fin… Il retrace le périple d’Anders, un jeune instituteur danois sans expérience, parti prendre son premier poste à Tiniteqilaaq, minuscule village inuit perdu au fin fond du Groenland, désireux d’échapper à un destin tout tracé (son père attendait de lui qu’il reprenne la ferme familiale). Sur place, il est confronté à une classe d’enfants agités et, plus généralement, à la méfiance des habitants, formant une communauté isolée. Pas à pas, Anders s’initie au mode de vie local et découvre un monde rattrapé par la modernité, le réchauffement climatique grignotant la banquise, l’exil des jeunes partant faire leurs études ailleurs. L’instituteur se lie plus particulièrement avec l’un de ses élèves en difficulté, Asser, 11 ans, qui rêve de devenir chasseur comme son grand-père. Le film est un mélange de documentaire et de fiction. Anders, le jeune instituteur, est interprété (plutôt bien) par le vrai instituteur de Tiniteqilaaq, qui revit, devant la caméra, son installation mouvementée et sa première année scolaire au bord de la banquise. Ses élèves et les autres villageois, eux aussi dans leur propre rôle, lui donnent la réplique avec un naturel étonnant. Le film est passionnant quand il s’adonne à sa veine anthropologique, plongeant dans le quotidien des Inuits, s’arrêtant sur leurs visages et leurs gestes, détaillant leurs pratiques, comme la pêche au phoque, les courses en traîneau, la fabrication d’un harnais, la procession d’un enterrement….filmant de magnifiques aurores boréales…Il se termine même en film d’aventure, Anders, Asser et leurs deux guides partent plusieurs jours en traîneau à chiens pour chasser l’ours blanc dans les montagnes. Le convoi traverse des paysages somptueux, franchit, péniblement, un col recouvert d’une neige immaculée, avant de se ¬retrouver bloqué par la tempête : il faut de toute urgence construire un igloo dans la fureur du blizzard. Mais le film peut aussi être plus grave et rappeler trop timidement, que le Groenland reste une colonie avec tous les rapports de domination et d’humiliation que cela implique pour les Inuits, privés de tous les postes à responsabilité sur leur terre natale au profit des Danois, la fonctionnaire qui l’a recruté lui a bien précisé que ce poste avait une mission civilisatrice consistant à inculquer le danois à ces populations, et à ne pas chercher à en apprendre la langue…son propre père, pour le dissuader de partir lui a présenté ces populations comme incultes et ivrognes…. Que pèse le discours d’un enseignant face à une population qui ne parle pas la même langue que lui et qui envoie plus volontiers ses enfants à la chasse à l’ours ou à la pêche au narval qu’à l’école ? Sûr de son bon droit de colonisateur, Anders s’arc-boute et tente de passer en force. L’indifférence, puis le rejet des habitants l’obligent à comprendre qu’ici comme ailleurs, le secret d’une intégration réussie passe par l’adoption des traditions et du mode de vie de ceux avec qui il entend cohabiter et c’est en apprenant la langue de ses hôtes qu’il parviendra à se faire accepter…mais certains points resteront dans l’ombre malgré le questionnement d’Anders… comme l’alcoolisme endémique des Inuits, qui explique pourquoi les enfants sont souvent élevés par leurs grands-parents, l’absence de perspectives économiques, la perfusion des aides sociales…la tentation du pittoresque et du grandiose, et ces larges plans panoramiques à la blancheur immaculée …prend le pas sur l’analyse sociale… mais cela reste un film vrai…
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 23 juillet 2018
    Très beaux paysages, mais film trop documentaire sans assez d'analyse psychologique entre les personnages à mon avis. Il faisait très chaud dehors, le film m'a rafraîchi et donné envie d'aller au Groenland mais j'ai été déçu par le film
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