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    Sorry To Bother You
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    3,3
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    95 critiques spectateurs

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    dominique P.
    dominique P.

    845 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 février 2019
    Quelle immense déception ce film.
    La bande annonce donne vraiment envie et au final on a un film complètement ridicule.
    Le film critique les dérives du capitalisme, sa course au profit au détriment des êtres humains et donc ce thème est très intéressant.
    Le souci c'est que le réalisateur a bricolé un film avec des scènes ridicules et pénibles qui m'ont soit laissée de marbre soit vraiment agacée.
    Vraiment il faut le voir pour le croire tellement c'est ridicule.
    axelle J.
    axelle J.

    121 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 février 2019
    Ce film est très intéressant sur le fond, le sujet est important et d'actualité.
    En outre, ce film a un rythme sympa, c'est plutôt fun.
    Le gros problème et cela m'a gâché le film, ce sont certaines scènes très absurdes et délirantes, spoiler: notamment les hommes/chevaux
    .
    J'ai eu du mal avec ces scènes qui foutent un peu en l'air tout le reste qui est bien.
    Max Rss
    Max Rss

    203 abonnés 1 834 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 juin 2019
    Je me suis lancé à l'aveugle. Je ne savais absolument rien de ce film avant de le regarder. Bon, la critique du capitalisme, le sujet est usé jusqu'à la corde, il est donc nécessaire de le traiter sous un angle un minimum original. Ce qui est le cas ici. C'est plutôt bien vu que de traiter de la course au profit faite au détriment de l'humain en imaginant une histoire d'hommes chevaux programmés pour être hyper productifs. Seulement voilà, ça ne m'a pas intéressé du tout. J'ai accroché pendant une vingtaine minutes, pour ensuite m'ennuyer grave. Avant d'arriver au point clé, c'est-à-dire l'apparition des hommes chevaux, il faut supporter what mille scènes qui n'apportent absolument rien au propos. Par exemple, le numéro de la donzelle au vernissage, et qui se prend des ballons remplis de sang de mouton, ça sert à quoi ? Qu'est-ce que ça apporte ? Rien. Pour moi, ce "Sorry to bother you" est un très "bel" exemple de film au potentiel laissé pour compte. Et c'est d'autant plus dommage car l'acteur principal est excellent. Je ne retiendrai que son postulat original et son courage. Faire pareil film dans un pays gouverné par l'administration Trump, il fallait en avoir comme on dit.
    zorro50
    zorro50

    117 abonnés 249 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 janvier 2019
    Ce film débarque sur nos écrans, précédé par des critiques toutes plus élogieuses les unes que les autres, mais c’est une imposture, car il est quelconque et plutôt barbant. Quand il part en vrille 40 minutes avant la fin, cela nous sort de notre torpeur et j’avoue avoir été agréablement surpris, mais ce mélange de genres est mal géré et on ne sait plus si on doit rire ou pleurer ou avoir peur. C’est bien dommage !
    Isabelle D
    Isabelle D

    2 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 février 2019
    Une vrai déception.
    Quelques scènes drôles certes.
    Mais histoire invraisemblable et mal emboîtée.
    De grands thèmes abordés mais de manière assez absurde.
    JudyCarlotta
    JudyCarlotta

    77 abonnés 166 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 janvier 2019
    avant d'aller voir un film, je ne lis pas ses critiques ou du bout des yeux. J'avais cru comprendre que c'était la perle à aller voir et le sujet me bottait plutôt.
    J'aurais aimé aimer ce film, je ne le déteste pas non plus.
    Mais j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dedans et j'ai vite décroché, j'ai failli partir avant la fin. Il enfonce des portes ouvertes et son traitement est si foutraque - et parfois ambigu qu'il ne peut toucher le plus grand nombre (et en convertir à son discours). Il manque peut-être de délire dans la forme , à la façon d'un Gondry justement.
    J'attends le prochain film du réalisateur en espérant qu'il blinde son scénario et sa mise en scène.
    desiles ben
    desiles ben

    31 abonnés 204 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 février 2019
    Situations invraisemblables, personnages caricaturaux - c'est peut-être moi qui manque d'humour mais ce film censé faire rire ne m'a jamais déridé.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    782 abonnés 1 540 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 février 2019
    Un jeune homme plein d'ambition, après être entré dans une entreprise de télémarketing, va tenter de gravir les échelons hiérarchiques de sa compagnie pour devenir ce qu'il pense être le rêve ultime : être le top des vendeurs.
    Il ne s'attend pas du tout à ce qu'il risque de trouver au bout de ce chemin...
    Cette satyre déjantée pousse le bouchon vraiment très loin pour nous montrer les travers de nos prétendus modèles de réussite sociale.
    Toute la première moitié du film tient presque la route sans toutefois passionner non plus, mais alors que dire de la seconde partie qui part dans des allégories profondes à la sauce fantastique ?
    Bizarre, décalée, mais néanmoins engagée, cette oeuvre a des choses à dire mais le fait d'une façon si spéciale que je n'ai personnellement pas trop accroché.
    Déroutant.
    --> Site CINEMADOURG
    traversay1
    traversay1

    3 662 abonnés 4 884 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 février 2019
    Il parait que Sorry to bother you n'est pas susceptible d'être apprécié par tout le monde. C'est un peu vrai pour n'importe quel film, non ? En vérité, le premier long-métrage de Boots Riley est tellement américain qu'il en devient presque insupportable pour ceux qui ont un préjugé pour sa culture cinématographique de moins en moins intéressante avec ses hypers productions aliénantes. Justement, Sorry to bother you semblerait aller à l'encontre avec son côté antisocial et une dystopie qui cogne tous azimuts fustigeant les bases de la société de consommation, capitalisme effréné et racisme latent, sans craindre la caricature. Sauf que le film se veut aussi objet de consommation, fun, gorgé de musique et lesté de dialogues sans filtre. Une bonne dose de réalisme, le monde décrit y est en grande partie familier, même si d'outre-Atlantique, que Riley a tenté de marier avec une touche de fantastique qui finit par prendre le dessus dans la dernière partie du film, au risque de devenir un délire ingérable. Cinéma engagé mais pop corn en même temps, pourquoi pas en effet, mais comment se fait-il que Sorry to bother you fait surtout l'effet d'un exercice de style finalement un peu vain car outré et souffrant de graves lacunes, de rythme, de sens (on y enfonce beaucoup de portes ouvertes) mais aussi de peu de profondeur des personnages. Ludique et caustique oui, mais cahoteux et chaotique, également.
    Fabrizio D
    Fabrizio D

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 février 2019
    Suis-je Objectif ? Non ! Car j'ai beaucoup aimé ce film!

    Il est super fun !
    Ça déconne grave. C'est rempli de blague, de vanne, de clin d'oeil, de gag!
    Ça parle d'art.
    Ça parle de capitalisme et d'exploitation de l'être humain.

    Pour peu que l'on aime les gags déjantés et que l'on soit un tantinet rebelle et critique envers la société, ce film est simplement jouissif.

    Par contre si vous êtes un moldu un peu haineux, fade et triste de vie, vous n'allez guère apprécier.

    Avec l'espoir de vous être utile au travers de ce commentaire.

    Fafa le journaleux.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 5 février 2019
    Cassius, un jeune téléopérateur, se rend compte qu'il doit parler comme un blanc pour que ses clients ne lui raccrochent pas. Ceci sera le début de sa montée vers le sommet de son entreprise, où il découvrira un réseau corporatif macabre. Comme Get out, le film parle, en principe, de l'identité raciale. Le protagoniste doit adapter son identité au moulage du yuppie blanc triomphant. Ses proches vont fortement critiquer cet action, surtout ses anciens collègues, qui commencent à organiser un syndicat au même temps que Cassius devient de plus en plus individualiste.

    Le film, par contre, va beaucoup plus loin de ce pitch. Riley a écrit son début comme si c'était son dernier film. Sorry to bother you s'étend au-delà de ses propres limites pour devenir un manifeste contre le nouvel ordre mondial. Armie Hammer joue un PDG multimilliardaire qui récite du baratin philanthrope. Et, au même-temps, créateur d'un contrat de travail irrévocable qui expulse les gens de leur maisons pour les amener aux camps de travail. Une pique contres les monstres-entreprises à la Amazon et leurs conditions de travail abusives.

    spoiler: Puis, le film traverse une dernière barrière dans le tiers final du film pour basculer vers la science-fiction. Worryfree, l'entreprise, fait des expériences avec ses employés pour créer une nouvelle race, moitié cheval, moitié homme, qui pourra résister les tâches imposés. Un délire qui nous fait éclater de rire au même temps qu'on pousse des cris d'horreur face à ses créatures déformes aux pénis géants.


    Sorry to bother you est une pagaille si folle comme elle est fraîche. En plus, sa valeur va plus loin de sa qualité et son efficacité. Sertes, c'est une bonne comédie qui signe une critique précise. Par contre, la satyre, les rires et la moquerie ne suffisent pas au réalisateur. C'est un film qui appelle à l'action, à la rébellion. C'est un film orienté vers un certain public avec une proposition directe, comme Get out a déjà fait. Même le titre - Désolé de vous déranger - semble un sarcasme dirigé vers le pouvoir contre lequel on doit agir. On assiste aux premiers pas d'une vague de cinéma politique basé sur le cinéma de genre. Un courant qui nous amuse et qui nous demande, en échange, de réagir.

    //// Encore plus de fautes et d'erreurs sur hommecinema.blogspot.fr
    Dan S.
    Dan S.

    17 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 février 2019
    Un film sorti des entrailles de la terre Hollywood avec les fameuses recettes à savoir: un scénario gênant et pauvre, des scènes sans aucune construction logique et aucun art à revendre.
    Estonius
    Estonius

    3 502 abonnés 5 453 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 avril 2024
    Moi qui déteste les film à messages, j'ai été servi ! Parce que devinez ce qu'est le message ? C'est de nous expliquer que le capitalisme c'est très vilain, c'est deshumanisant et plein d'autre chose encore. (on noter la prise de risque énorme des auteurs avec un pareil thème) Et tout cela est filmé avec la subtilité d'un éléphant au musée de la Porcelaine. On se croirait par moment dans "La lutte des classes pour les nuls". Et plus le film avance plus le démonstration devient grotesque spoiler: :(le coup de hommes chevau
    x comme métaphore idiote personne n'y avait encore pensé d'autant que les maquillages sont dignes d'un magasin de farce et attrapes. Emergent de ce Gloubi-boulga; deux ou trois plans et répliques surprenantes mais ce film est raté et le fait que Lakeith Stanfield se révèle un excellent acteur n'y change rien.
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    145 abonnés 2 438 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 juillet 2019
    Dommage que le film ne tienne pas la route jusqu'au bout, de pures idées, un début tonitruants et un passage à vide.
    coperhead
    coperhead

    26 abonnés 474 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 mai 2019
    Film qui dans sa première partie était intéressant a plus d'un titre pour son côté anticonformiste fustigeant les bases de la société de consommation américaine et ses excès en matière d'emplois exploités par des patrons golden boy et psychopathe. Mais quand le scénario vire au fantastique avec ces hommes chevaux censés remplacer les humains au travail ça part dans un délire de mauvais gout .
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