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gerard stevenson
20 abonnés
822 critiques
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2,5
Publiée le 1 novembre 2024
Rien à redire sur la prestations des acteurs (Tom Hanks, Helena Zengel qui joue la petite fille, ....) Rien à redire sur la réalisation Rien à redire sur les décors Quelques petits accrocs au scénario comme lorsque spoiler: lors de la tempête de sable, Hanks et la petite fille rencontre une tribu indienne qui leur donnera un cheval et leur permettant de continuer leur voyage alors qu'ils étaient à pied.
Non ce qui est regrettable, c'est que c'est lent, long. Il ne se passe pratiquement rien. A la fin du film, c'est un sentiment d'ennui qui domine.
Il faudrait que cette histoire soit résumée dans un journal et que le capitaine Jefferson Kyle Kidd nous la lise pour avoir moins d'ennui.
C’est un beau film, les personnages deviennent attachants au fur et mesure que le temps passe. Tom Hanks est, comme toujours, parfait! L’histoire nous entraine dans cette époque de colonisation du nouveau monde ou la vie n’est pas facile tous les jours. On ne s’ennuie pas, c’est une très belle histoire avec de beaux décors.
Le meilleur de ses films, la meilleure histoire. Être de nulle part et avancer. Tom Hanks fait cette parenthèse indispensable qui est que le pardon n'est pas l'oubli
Le Capitaine Jefferson Kyle Kidd, qui a spoiler: survécu aux horreurs de la guerre et parcourt le Texas des années 1870 en lisant les nouvelles de ville en ville, croise une jeune orpheline d'origine germanique, élevée par des parents adoptifs indiens Kiowa, avant que la jeune « Johanna », qui ne parle pas anglais et très peu allemand, ne devienne doublement orpheline suite aux assassinats de ses parents biologiques puis adoptifs .
Tom Hanks (63 ans lors du tournage) apporte sa présence et son expérience émotionnelle et la jeune Helena Zengel (11 ans lors du tournage) son talent inné dans leurs rôles de spoiler: père et de fille spirituels, unis par le destin alors qu'ils étaient perdus, à la dérive dans une vie qui ne leur avait pas épargné le pire .
Paul Greengrass a écrit et réalisé cette adaptation du roman éponyme de Paulette Jiles, qui a reçu des nominations aux Oscars pour la Meilleure Musique Originale (James Newton Howard), la Meilleure Photographie (Dariusz Wolski), la Meilleure Conception de Production et le Meilleur Son. Helena Zengel a reçu des nominations pour la Meilleure Actrice dans un second rôle aux Golden Globes et aux Screen Actors Guild Awards.
Etonnant film très lent de Paul Greengrass qui nous a habitué à des caméras nerveuses. Tom Hanks est comme toujours parfaitement juste. Son duo (central) avec la jeune fille est très touchant. Le réalisateur-scénariste parvient à parler de l'Amérique actuelle sans que cela ne fasse tache dans un cadre western classique. La peur de s'ennuyer qui point au tout début disparaît rapidement alors qu'on est pris dans cette odyssée semi-contemplative au sein des sublimes paysages de l'Ouest et alors qu'est évoquée très subtilement la question du deuil, de la naissance de la Nation américaine, de la haine de l'autre et du multiculturalisme. Très beau film simple, inattendu, très juste, très touchant.
C'est un western correct, simple, qui fait le travail : de bonnes prestations, de jolis plans et on se laisse aller sans trop de difficulté pendant deux heures. Il manque toutefois de sel, un petit quelque chose qui saurait le distinguer d'un film quelque peu banal. L'histoire n'a rien d'extraordinaire, et le scénario se trame de manière un peu trop basique, à la manière d'un compte médiéval : ce sont des personnages qui veulent aller d'un point A à un point B et qui, sur leur chemin, vont se retrouver confrontés à une paire de péripéties qui vont leur tomber dessus un peu trop comme un cheveu dans la soupe les uns après les autres et sans liens entre eux. On arrive au bout du film relativement satisfait, mais on ne saura trop quoi en retenir. il ne restera pas dans l'histoire du cinéma.
J’aime beaucoup ce film d’itinérance qui développe une histoire assez simple, la rencontre entre une fillette d’origine allemande capturée par des Indiens puis récupérée par un liseur de journaux itinérant (Tom Hanks). Film intéressant qui s’intéresse à la notion psychanalytique d’abandon où les deux protagonistes que tout oppose (le sexe, l’âge, la langue…) vont réussir à créer un fragile noyau familial recomposé à force d’être confrontés à la médiocrité humaine. La séquence chez les parents proches de la fillette étant le comble du cynisme. Peu d’action, bien sûr, ce n’est pas le propos du film, mais une histoire qui se resserre autour des liens entre Tom Hanks (prodigieux acteur) et Helena Zengel qui lui donne le change et du fil à retordre. Un western contemplatif plutôt atypique dans l’univers Netflix et qui donne la part belle aux affects et à l’émotion. Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1.
À la limite (intérieure) du genre western. Une enfant perdue (très belle) et un vieil homme qui se sent obligé de se charger d’elle. Belle fin émouvante.
Un western mené par un Tom Hanks en forme, certe l'histoire est prévisible, mais on se laisse porter par les beaux paysages de cette Amérique. C'est un film de bon sentiment, ou les protagonistes cherchent leurs chemins au propre et au figuré. C'est agréable mais cela révolutionne rien ma note 10.5/20
Si l'histoire du film, adapté d'un roman, est très touchante et intéressante (avec sa plongée dans le Texas post guerre civile), le succession de péripéties fait que le rythme des 2h se retrouve difficile à encaisser.
Tom Hanks se fait trop rare décidément. La jeune Helena Zengel jouant le rôle de Johanna est époustouflante et son duo avec Tom Hanks fonctionne à 150%. Le scénario est assez classique certes mais on est pris par cette histoire jusqu'au dernier moment. Bref, une production Netflix au top à ne manquer sous aucun prétexte. Bravissimo ! jpbleau77