AlloCiné
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Non pas qu'il soit mauvais bien au contraire, l'ensemble est plutôt bon, mais c'est tellement lent que l'ennui prend le pas sur l'émotion ou toutes autres choses .. Ca n'enlève rien au fait que c'est un "beau" film, une histoire forte, de beaux plans etc .. Mais ça ne m'as pas convaincu.
La Mission
Il peut arriver dans la vie qu’on se sente perdu, désemparé ou même dépasser par les événements. Qu’on est l’impression qu’on n’a plus de but dans la vie. Que le monde qui nous entoure semble abstrait et sans intérêt. Pourtant, on finit toujours par se rattacher à quelques choses pour ne pas partir à la dérive. On se font en cette chose en espérant que tout va s’arranger comme par magie. On s’oublie peu à peu et au final on peut finir par s’y perdre. Hors, il est possible de s’en sortir, de relever la barre haute et d’avancer vers la lumière confiant comme jamais. Il faut très souvent qu’un simple déclic, qu’un tout petit déclic de rien du tout qui embrase notre esprit et nous redonne un deuxième souffle. En ça, prenez l’exemple du film d’aujourd’hui La Mission.
La Mission ou News of The World s’est selon est un récit contemplatif sur deux âmes perdu en quête d’un but en plein cœur des années post guerre de sécession. Où l’impression de paix est peu palpable et qui se ressent un goût amer dans l’air. On y suit le vétéran de guerre capitaine Jefferson Kyle Kidd incarné avec beaucoup de profondeur par Tom hanks qui va de ville en ville lire les nouvelles des journaux aux gens pour les tenir informés. Son chemin va croiser celui d’une pauvre orpheline enlevé par des amérindiens et abandonné par tous. Elle est interprété par la toute nouvelle venue à Hollywood Helena Zengel qui brille sans équivoque au près de Tom Hanks. Le capitaine va alors prendre la décision de traverser des milliers de kilomètre à travers l’ouest américain pour aider cet enfant à retrouver une vie.
Ce long-métrage est assez simpliste sur sa forme, mais son duo d’acteur principal apporte une profonde complexité au récit qui relève la qualité de l’œuvre à un haut niveau. Ce n’est pas un chef-d’œuvre en soi, le film souffre d’une durée un poil trop long qui nuit à son appréciation globale. Outre ça, Tom Hanks et Helena Zengel nous offre un duo fort attachant et émouvant à souhait. Les décors sont tout simplement sublime et vibrant et nous mets de l’avant la grande beauté de l’ouest américain. L’ambiance de l’œuvre est réussi de bout en bout, on est captiver du début jusqu’à la fin.
Dans l’ensemble, cette œuvre ne rentra pas dans l’histoire comme un incontournable de Tom Hanks, mais plutôt pour prouver que celui-ci ne vieillit pas, il mûrit en fait. Il n’a définitivement pas perdu de son lustre. C’est aussi une œuvre qui mérite d’être vue pour les réflexions qu’elle apporte. On en sort pensif et quelques peu émerveillé par ce qu’on vient de vivre. Alors allez-y plonger dans le passé!
Il peut arriver dans la vie qu’on se sente perdu, désemparé ou même dépasser par les événements. Qu’on est l’impression qu’on n’a plus de but dans la vie. Que le monde qui nous entoure semble abstrait et sans intérêt. Pourtant, on finit toujours par se rattacher à quelques choses pour ne pas partir à la dérive. On se font en cette chose en espérant que tout va s’arranger comme par magie. On s’oublie peu à peu et au final on peut finir par s’y perdre. Hors, il est possible de s’en sortir, de relever la barre haute et d’avancer vers la lumière confiant comme jamais. Il faut très souvent qu’un simple déclic, qu’un tout petit déclic de rien du tout qui embrase notre esprit et nous redonne un deuxième souffle. En ça, prenez l’exemple du film d’aujourd’hui La Mission.
La Mission ou News of The World s’est selon est un récit contemplatif sur deux âmes perdu en quête d’un but en plein cœur des années post guerre de sécession. Où l’impression de paix est peu palpable et qui se ressent un goût amer dans l’air. On y suit le vétéran de guerre capitaine Jefferson Kyle Kidd incarné avec beaucoup de profondeur par Tom hanks qui va de ville en ville lire les nouvelles des journaux aux gens pour les tenir informés. Son chemin va croiser celui d’une pauvre orpheline enlevé par des amérindiens et abandonné par tous. Elle est interprété par la toute nouvelle venue à Hollywood Helena Zengel qui brille sans équivoque au près de Tom Hanks. Le capitaine va alors prendre la décision de traverser des milliers de kilomètre à travers l’ouest américain pour aider cet enfant à retrouver une vie.
Ce long-métrage est assez simpliste sur sa forme, mais son duo d’acteur principal apporte une profonde complexité au récit qui relève la qualité de l’œuvre à un haut niveau. Ce n’est pas un chef-d’œuvre en soi, le film souffre d’une durée un poil trop long qui nuit à son appréciation globale. Outre ça, Tom Hanks et Helena Zengel nous offre un duo fort attachant et émouvant à souhait. Les décors sont tout simplement sublime et vibrant et nous mets de l’avant la grande beauté de l’ouest américain. L’ambiance de l’œuvre est réussi de bout en bout, on est captiver du début jusqu’à la fin.
Dans l’ensemble, cette œuvre ne rentra pas dans l’histoire comme un incontournable de Tom Hanks, mais plutôt pour prouver que celui-ci ne vieillit pas, il mûrit en fait. Il n’a définitivement pas perdu de son lustre. C’est aussi une œuvre qui mérite d’être vue pour les réflexions qu’elle apporte. On en sort pensif et quelques peu émerveillé par ce qu’on vient de vivre. Alors allez-y plonger dans le passé!
Comme on a Tom Hanks, le bankable des plus de 50 ans, le bon père de famille, et comme on est sur Netflix, alors on fait des choix convenus, on ne montre pas l’horreur tout en peinant à vouloir retranscrire la rudesse de l’époque... pas évident.
Un western poignant bien que l'histoire ne soit pas des plus extraordinaires, il aura le mérite de jouer pleinement l'émotion grâce notamment aux talents des deux principaux protagonistes.
Un film au scénario téléphoné, des effets spéciaux à grand coups de fond vert, des scènes d'action qui ne tiennent pas en haleine. Un film à voir pour les fans de Tom Hanks mais pas revoir, c'est une œuvre moyenne ce qui explique peut-être le transit du scénario de main en main pour finir finalement sur petit écran, là ou se trouve sa place.
Plus un road movie initiatique qu’un véritable western. C’est lent, plutôt poétique, un brin mélancolique, juste assez violent et crasseux pour rappeler qu’on est au Far West. C’est très prévisible aussi, mais tant pis... La réalisation et le casting sont impeccables.
Les acteurs, Tom Hanks en tête, font du très bon boulot dans ce néo-western. Dommage que le scénario sombre parfois dans la facilité, ça gâche un peu le film.
La Mission est un bon western crépusculaire qui n'a pas de grandes ambitions, si ce n'est nous faire passer un bon moment. Le film va se révéler être un très bon road trip poussiéreux. Les décors naturels sont magnifiques, et Paul Grengrass arrive parfaitement à retranscrire la beauté des lieux mais aussi la solitude de ses personnages avec ses nombreux plans larges. Le duo, formé de l'incroyable Tom Hanks et de la jeune révélation Helena Zengels, fonctionne très bien et leurs relation à la limite du " père-filles" est aussi touchante et amusante que conflictuelle. Chacun va apprendre de l'autre, ce qui renforce leur relation. Le tout grâce à l'interprétation de toutes beauté des deux acteurs. La scène d'action principale est très bien filmé et possède beaucoup de suspens et de tension. Les personnages sont très attachants, cela va donc permettre au spectateur de s'inquiéter pour eux lors de leurs nombreuses péripéties. La photographie est soigné et met en valeur les décors magnifiques. Le scénario est, à défauts d'être du déjà vu, très efficace et correcte.
La Mission est donc un petit western crépusculaire moderne, sans grandes ambitions et qui possède un duo d'acteur et des décors remarquable.
La Mission est donc un petit western crépusculaire moderne, sans grandes ambitions et qui possède un duo d'acteur et des décors remarquable.
Découverte dans l'extraordinaire "Benni", Helena Zengel forme un duo attachant avec l'expérimenté Tom Hanks, Capitaine revenu meurtri de la Guerre, et qui va entamer un long périple pour ramener la jeune fille à ce qu'il lui reste de famille." La Mission" est un film qui se laisse regarder agréablement au gré des rencontres faites par notre duo. Il dégage des messages de tolérance un peu naïfs parfois mais le binôme fonctionne bien à l'écran. Un divertissement tout à fait correct mais qui nous frustre de ne pas pouvoir voir ces superbes paysages et scènes d'action dans un cinéma.
Très beau film de Western
Scénario original et crédible
Le personnage de la fille est magnifique
Son interprétation est juste
J'ai bien aimé ce film
A voir absolument
Scénario original et crédible
Le personnage de la fille est magnifique
Son interprétation est juste
J'ai bien aimé ce film
A voir absolument
Jorik V
Paul Greengrass signe sans conteste ici l’un de ses films les moins réussis et les moins aboutis. En choisissant de s’intéresser au genre du western, un genre qui fait son retour sporadiquement sur les écrans depuis deux décennies après être tombé dans les limbes de l’oubli, il aurait pu accoler son style si particulier à ce genre rebattu. Mais non, à l’instar d’un Tommy Lee Jones avec le très beau « The Homesman », il change complètement son fusil d’épaule et opte pour un virage à 180 degrés au niveau de la mise en scène pour verser dans le contemplatif et l’apaisé. On est loin, très loin, des fulgurances techniques opérées sur le cinéma d’action avec la saga « Jason Bourne » qui ont totalement remodelé le genre il y a quinze ans. C’est un choix assumé mais décevant car c’est un choix qui ne lui convient pas, la preuve en images.
Pourtant le western permet quelques pépites, on se souvient récemment de l’incandescent, ultra violent et implacable « Brimstone » ou du culte « True Grit » voire même de l’essai français récent (et pourtant tout aussi méditatif) « L’État sauvage ». Mais « La Mission » ne leur arrive pas à la cheville et suit son récit programmatique de manière nonchalante, attendue et triviale. Ce film n’apporte rien de nouveau au genre et, par sa durée, désintéresse vite le spectateur. C’est lent, c’est long et le peu de péripéties du récit semblent filmées par un réalisateur grabataire ou en panne de talent. En plus de n’avoir strictement rien de transcendant. Trois ans après le tétanisant « Un 22 juillet » et cinq après le dernier opus de la saga Bourne, le cinéaste a voulu changer de genre, changer de style et changer de tonalité. On ne peut lui en vouloir mais c’est plutôt raté. Pas que le film soit mauvais mais juste indigne d’un réalisateur doté d’un tel pedigree.
Mais d’autres raisons inspirent la frustration : il y a tout de même Tom Hanks en tête d’affiche, avec qui Greengrass avait déjà tourné « Captain Philips », et la jeune et talentueuse Helena Zengler révélée dans le drame « Benny ». Du côté de leur prestation rien à redire, tout comme pour la reconstitution du Texas post-Guerre de Sécession, conforme et appliquée. Les paysages de cet état sont également filmés avec soin mais pour le reste, rien de neuf sous le soleil brûlant de l’Ouest. On ne frémit pas un seul instant et l’émotion censée être véhiculée par ce duo est aux abonnées absentes. Quant aux thématiques de la presse de l’époque et des nouvelles du monde (titre du film en version originale) et celles de la nécessité du multiculturalisme, elles sont juste effleurées. On a l’impression que le monteur a retiré les morceaux les plus importants du récit, ceux présents pour lui donner du fond et du coffre. On se retrouve donc devant un road-movie peu palpitant qui s’étire plus que de raison et nous laisse sur le carreau. Et déçus…
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Pourtant le western permet quelques pépites, on se souvient récemment de l’incandescent, ultra violent et implacable « Brimstone » ou du culte « True Grit » voire même de l’essai français récent (et pourtant tout aussi méditatif) « L’État sauvage ». Mais « La Mission » ne leur arrive pas à la cheville et suit son récit programmatique de manière nonchalante, attendue et triviale. Ce film n’apporte rien de nouveau au genre et, par sa durée, désintéresse vite le spectateur. C’est lent, c’est long et le peu de péripéties du récit semblent filmées par un réalisateur grabataire ou en panne de talent. En plus de n’avoir strictement rien de transcendant. Trois ans après le tétanisant « Un 22 juillet » et cinq après le dernier opus de la saga Bourne, le cinéaste a voulu changer de genre, changer de style et changer de tonalité. On ne peut lui en vouloir mais c’est plutôt raté. Pas que le film soit mauvais mais juste indigne d’un réalisateur doté d’un tel pedigree.
Mais d’autres raisons inspirent la frustration : il y a tout de même Tom Hanks en tête d’affiche, avec qui Greengrass avait déjà tourné « Captain Philips », et la jeune et talentueuse Helena Zengler révélée dans le drame « Benny ». Du côté de leur prestation rien à redire, tout comme pour la reconstitution du Texas post-Guerre de Sécession, conforme et appliquée. Les paysages de cet état sont également filmés avec soin mais pour le reste, rien de neuf sous le soleil brûlant de l’Ouest. On ne frémit pas un seul instant et l’émotion censée être véhiculée par ce duo est aux abonnées absentes. Quant aux thématiques de la presse de l’époque et des nouvelles du monde (titre du film en version originale) et celles de la nécessité du multiculturalisme, elles sont juste effleurées. On a l’impression que le monteur a retiré les morceaux les plus importants du récit, ceux présents pour lui donner du fond et du coffre. On se retrouve donc devant un road-movie peu palpitant qui s’étire plus que de raison et nous laisse sur le carreau. Et déçus…
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Un beau western intimiste au scénario intelligent. Le jeu des acteurs est excellent à commencer par les principaux. L'âme humaine y est bien explorée dans cette période troublée de l'après-guerre de Sécession. Il y a bien une ou deux incohérences mais l'ensemble tient la route. Enfin, la réalisation, les costumes et la photographie sont à souligner, comme la bande son.
La Guerre de Sécession terminée, le capitaine sudiste Kyle Kidd, désormais vétéran, se recycle dans la profession de rapporteur publique, il se rend de ville en ville pour lire les nouvelles parues dans les journaux aux populations les plus reculées et illettrés contre quelques pièces.
Sur sa route il fait la rencontre d’une fillette âgée de dix ans, kidnappée et élevée par une tribu indienne six ans auparavant : les Kiowa.
Récupérée par l’Etat, orpheline et seule au monde, Johanna est confiée à sa tante et son oncle, un couple d’immigré d’origine germanique.
Malgré la barrière de la langue et une certaine austérité, le capitaine décide de ramener Johanna à sa famille installée dans le Texas.
Une belle aventure semée d’embuches commence dans les vastes plaines hostiles du Texas.
Un bien joli film, au rythme lent et contemplatif mais contenant beaucoup d’émotions entre deux personnages profondément blessés par la vie. Un jeu d’acteurs tout en sobriété et en retenue.
Sur sa route il fait la rencontre d’une fillette âgée de dix ans, kidnappée et élevée par une tribu indienne six ans auparavant : les Kiowa.
Récupérée par l’Etat, orpheline et seule au monde, Johanna est confiée à sa tante et son oncle, un couple d’immigré d’origine germanique.
Malgré la barrière de la langue et une certaine austérité, le capitaine décide de ramener Johanna à sa famille installée dans le Texas.
Une belle aventure semée d’embuches commence dans les vastes plaines hostiles du Texas.
Un bien joli film, au rythme lent et contemplatif mais contenant beaucoup d’émotions entre deux personnages profondément blessés par la vie. Un jeu d’acteurs tout en sobriété et en retenue.
Tom Hanks est l'un des rares acteurs que l'on peut suivre aveuglément comme une valeur sûre. Même quand il s'agit de ramener une fille égarée à sa famille, son charisme nous prend à chaque fois. Je dois néanmoins reconnaître que c'est pas l'histoire la plus passionnante que j'ai vue mais il y a un fonds historique intéressant malgré tout.
Frédéric M.
Le film repose sur l'alchimie des 2 acteurs principaux sur une période intéressante de l''histoire des US. Le titre anglais est plus pertinent que cette "traduction". Tom Hanks y joue, mais le film n'aurait pas captivé en salles
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