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Votre avis sur Djam ?
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Djam est un film franco-greco-turc réalisé par Tony Gatlif, sorti en 2017.
Magnifique film de Tony Gatlif, un comédie, un drame, un film musical, un road-movie entre Grèce et Turquie.
On y retrouve les thèmes habituels de Gatlif, l'exil, entre orient et occident, et surtout, la danse, la musique.
Un film fort, déluré, triste, joyeux. Superbe prestation de l'actrice belgo-grecque Daphné Patakia,
Magnifique B.O. Du grand Gatlif. A voir et à revoir avec Gadjo Dilo.
Magnifique film de Tony Gatlif, un comédie, un drame, un film musical, un road-movie entre Grèce et Turquie.
On y retrouve les thèmes habituels de Gatlif, l'exil, entre orient et occident, et surtout, la danse, la musique.
Un film fort, déluré, triste, joyeux. Superbe prestation de l'actrice belgo-grecque Daphné Patakia,
Magnifique B.O. Du grand Gatlif. A voir et à revoir avec Gadjo Dilo.
C'est avant tout une aventure de voyage. Par le biais de subtilités et de familiarité, le spectateur devient rapidement le compagnon de voyage de Djam. Encore plus qu'Avril dans sa mini-Odyssée qui la mène de l'île grecque de Lesbos, à Istanbul à travers la frontière terrestre en Grèce et Bulgarie. En cours de route l'ancienne beauté sauvage de tout cela est pleinement exposée. Deuxièmement c'est une comédie folle qui tire sa comédie des frondes ironiques et des flèches de la fortune scandaleuse. À chaque mauvais tournant nous sommes invités à emprunter le chemin de la négativité mais au lieu de cela nous sommes ramenés sur nos pieds et dans la prochaine aventure de la vie par la joie pure dégagée par Djam. Elle refuse d'être battue ou de vous laisser l'être. Troisièmement c'est une sorte de comédie musicale égéenne. Djam a un véritable talent musical sérieux dans sa voix, son jeu d'instruments et sa danse de femme sauvage. Quiconque a passé du temps avec des musiciens ou dans des festivals folkloriques comme moi se sent comme chez lui (ou je suis d'ailleurs). Quatrièmement c'est aussi une dialectique cinématographique se concentrant sur l'endroit en équilibrant les sensations fortes et le plaisir de la vie contre la responsabilité, le respect et la légalité. Et cinquièmement je peux vous assurer les connaissant que les acteurs grecs sont non seulement bon mais sont de vrais acteurs...
Le plus terne de Gatlif assis sur une tonne de conventions, en héros poussif de la pensée unique mondialisée. La musique est omniprésente mais le coeur n’y est plus. À force de tourner à chaque fois le même film, le réalisateur finit par s'épuiser et nous épuiser. Daphne Patakia en fait trop et alourdit chaque image avec ses mimiques outrées et ses pauses factices.
Djam, jeune femme d’une vingtaine d’années, vit sur l’île de Lesbos en Grèce. Sans vraiment lui laisser le choix, son oncle l’envoie en Turquie pour acheter la pièce manquante qui fera redémarrer son bateau. La voilà partie sur les routes, seule avec son sac et son baglama – sorte de mini-guitare grecque – pour un road-trip entre la Grèce et la Turquie. La solaire Daphné Patakia, révélation du film, embarque le spectateur dès la première scène, dansant et chantant dans une lumière crépusculaire. D’abord filmée derrière un grillage, elle surgit au centre de l’écran avec une liberté et une insolence qui ne la quitteront pas. (lire la suite : https://cultureauxtrousses.com/2018/01/24/djam/)
Film hyper ennuyeux ... un vrai navet !
Aucune poésie, aucune beauté dans les images, aucune profondeur dans le traitement du sujet, qui pourtant aurait pu inspirer un vrai scénario; du "touche-pipi" tous les 1/4 d'heure ... pourquoi ? Défoulement puéril d'un réalisateur frustré ?
Ambiance glauque et négative.
Sous-titres peu lisibles = souvent blanc sur fond blanc ...
Bref, on perd son temps, et on sort très contrarié car très déçu !
Aucune poésie, aucune beauté dans les images, aucune profondeur dans le traitement du sujet, qui pourtant aurait pu inspirer un vrai scénario; du "touche-pipi" tous les 1/4 d'heure ... pourquoi ? Défoulement puéril d'un réalisateur frustré ?
Ambiance glauque et négative.
Sous-titres peu lisibles = souvent blanc sur fond blanc ...
Bref, on perd son temps, et on sort très contrarié car très déçu !
Magnifique filme au croisement des cultures et des desilusions ponctué d'une profonde beaute d'un amour entre une femme, un autre femme et sa famille dechiree par les banquiers verreux
Daphne Patakia est une actrice vraiment brillante et envoutante. Ce film est une très agréable surprise. A voir absolument. La B.O est intéressante. je ne
spoiler:
comprends pas que l'on retire cette critique au vu d'autre critique , je vais donc arrêter d'utiliser Allociné ,
good-bye les censeurs.... ou peu voir dans cette critique un manquement à vos règles d'écriture ?
good-bye les censeurs.... ou peu voir dans cette critique un manquement à vos règles d'écriture ?
Un road movie entre coins paumés de Grèce et Turquie, qui n’a pas grand intérêt, pas vraiment de scénario, mais qui vaut le coup d’oeil pour la belle et généreuse interprétation de son actrice principale, Daphné Patakia, qui illumine ce film.
il est super ce film , j'ai passer un bon moment. dans ce film , surement un Top Film , on sent une compassion pour ces deux jeunes filles qui sont , en plus de leurs ages , baigner dans une naiveté que je trouve touchante . Je recommande ce film .
T.L. Site Web rythmike fr
T.L. Site Web rythmike fr
Tony Gatlif a ce don pour mêler légèreté et gravité, mélancolie de la musique et dureté du monde. Il nous emmène ici dans un voyage entre la Grèce et la Turquie, porté par la voix et l’énergie de la jeune Daphné Patakia. Suivant son habitude de fervent défenseur des peuples en exil, il aborde des thèmes qui lui sont chers comme la musique, le déracinement, la solidarité ou la liberté. La musique, créatrice d’émotions et point de départ de beaucoup de ses films, nous emporte et nous entraîne dans une danse au scénario d’apparence légère mais qui en dit beaucoup plus par les notes et les chants que par les dialogues.
Enveloppé de musique rebétiko*, "Djam" est pétillant, généreux, éblouissant, fou, éclatant… un régal à la Tony Gatlif sur lequel souffle un formidable vent de liberté.
de chroniques sur mon blog : plumeetpellicule.wordpress
Enveloppé de musique rebétiko*, "Djam" est pétillant, généreux, éblouissant, fou, éclatant… un régal à la Tony Gatlif sur lequel souffle un formidable vent de liberté.
de chroniques sur mon blog : plumeetpellicule.wordpress
Un film prenant porté par l'incroyable Daphné Patakia. Le second rôle est par contre très ennuyeux. Peut-être pas le meilleur de Tony Gatlif mais tout même un bon film ou la musique a encore la part belle !
Film magnifique ...musique superbe...acteurs geniaux. J ai adoré ça change vraiment des films habituels
Un dépaysement!!!
Un dépaysement!!!
Entre la Grèce et la Turquie, la balade de deux gamines fuyant le désespoir né de la crise. Les moyens de fuites sont multiples : l’ouzo, le hash, l’exil, ou l’insouciance insolente qu’affiche -magnifiquement- Djam, et la solidarité et la musique.
Si, pour vous, la musique grecque se limite au Sirtaki (succédané de 1964 !), vous découvrirez le Rébétiko, une musique authentique, populaire, effrontée et rebelle, avec de surprenants accents orientaux.
La jeune Daphné Patakia incarne Djam ; elle a tout pour elle, et pour nous en fait ; elle est jolie, joue très juste un rôle difficile d’allumée, et bouge de façon magique.
Simon Abkarian a ici un rôle sur mesure.
A ne pas manquer.
Si, pour vous, la musique grecque se limite au Sirtaki (succédané de 1964 !), vous découvrirez le Rébétiko, une musique authentique, populaire, effrontée et rebelle, avec de surprenants accents orientaux.
La jeune Daphné Patakia incarne Djam ; elle a tout pour elle, et pour nous en fait ; elle est jolie, joue très juste un rôle difficile d’allumée, et bouge de façon magique.
Simon Abkarian a ici un rôle sur mesure.
A ne pas manquer.
Je viens de voir le film Djam et je suis encore sous l’enchantement. Tony Gatlif nous emmène dans un de ces voyages dont il a l’habitude, et comme souvent son moyen de transport préféré est la musique. Et l’actrice, l’incroyable Dafni Patakia est le moteur parfait qui nous entraîne, par sa jeunesse, son enthousiasme, sa beauté et sa liberté. Liberté, c’est le mot de la fin : dans la dernière chanson, « Gel kaïxi » (Viens batelier), chanson très connue en Grèce, chantée sur le bateau qui part vers une destination inconnue, on parle d’un bateau venu chercher une jeune femme esclave d’un harem de Constantinople : « esclave dans sa cellule, elle cherche sa liberté » disent les derniers vers. Et la chanson résume parfaitement le film avec ses paroles en turc et en grec, comme dans d’autres passages musicaux où les mots turcs et les mots grecs se font écho, démontrant l’unité de culture, de sensations et de sentiments de ces deux peuples si longtemps opposés.
Et derrière tout cela les migrants, l’exil. Les Grecs ont pour dire exil un mot que l’on a du mal à traduire : xenitia, dérivé de xenos, étranger. Peuple d’exilés, qui accueillent du mieux qu’ils le peuvent les exilés de Syrie ou d’ailleurs. C’est une leçon à méditer pour nos égoïsmes occidentaux : et la jeune Française ressent ce choc devant les carcasses de bateaux et les gilets orange abandonnés. Elle en tirera une leçon qui donnera enfin un sens à sa vie. Il faudrait montrer à tous les Français cette image. J’espère qu’elle nous amènerait à réfléchir.
J’ai aussi beaucoup aimé ces paysages de la Grèce du nord en hiver, qui font penser à certains films d’Angelopoulos (Paysage dans le brouillard, l’apiculteur entre autres). Et les personnages rencontrés comme le père et le fils désespérés. C’est cela la Grèce, la crise, le désespoir, la tragédie, mais tempéré par ce sens de la vie que rien ne semble pouvoir ébranler : un verre d’ouzo, une chanson, un baglama, un sourire de femme... Merci Tony, Daphné, Simon et les autres.
Et derrière tout cela les migrants, l’exil. Les Grecs ont pour dire exil un mot que l’on a du mal à traduire : xenitia, dérivé de xenos, étranger. Peuple d’exilés, qui accueillent du mieux qu’ils le peuvent les exilés de Syrie ou d’ailleurs. C’est une leçon à méditer pour nos égoïsmes occidentaux : et la jeune Française ressent ce choc devant les carcasses de bateaux et les gilets orange abandonnés. Elle en tirera une leçon qui donnera enfin un sens à sa vie. Il faudrait montrer à tous les Français cette image. J’espère qu’elle nous amènerait à réfléchir.
J’ai aussi beaucoup aimé ces paysages de la Grèce du nord en hiver, qui font penser à certains films d’Angelopoulos (Paysage dans le brouillard, l’apiculteur entre autres). Et les personnages rencontrés comme le père et le fils désespérés. C’est cela la Grèce, la crise, le désespoir, la tragédie, mais tempéré par ce sens de la vie que rien ne semble pouvoir ébranler : un verre d’ouzo, une chanson, un baglama, un sourire de femme... Merci Tony, Daphné, Simon et les autres.
Tony Gatlif a cela de commun avec des auteurs comme Gerard Manset , c'est de nous sortir à chaque fois , au fil des années , la même chose ! ( ce qui explique que , même s'ils restent malheureusement méconnus - du moins à leur juste valeur - ils aient le même potentiel de fans ! Les oeuvres de Gatlif sont toujours bonnes ( souvent excellentes , parfois geniales , mais JAMAIS médiocres , et elles portent toutes cet incomparable mélange d' humanité , de gaité , de naturel et de vérité , de passion de la musique et de la danse . D' Amour tout court , quoi .
Djam est une tres bonne cuvée . Attachée qui plus est à un grave probleme actuel .
Habile localisation géographique de son sujet qui m'a , je l'avoue , fait voir de façon différente l' Immigration .
Enfin Gatlif est le chantre de la sensualité : il sait avec talent charme et humour fous filmer son héroïne sans culotte , alors que lamentablement Léa Mysius ( Ava ) frise ( excusez moi ; je rie de mon expression en pensant à la scéne du rasage ! - le genre de voyeurisme qui se cache derriére un certain surréalisme .
Djam est une tres bonne cuvée . Attachée qui plus est à un grave probleme actuel .
Habile localisation géographique de son sujet qui m'a , je l'avoue , fait voir de façon différente l' Immigration .
Enfin Gatlif est le chantre de la sensualité : il sait avec talent charme et humour fous filmer son héroïne sans culotte , alors que lamentablement Léa Mysius ( Ava ) frise ( excusez moi ; je rie de mon expression en pensant à la scéne du rasage ! - le genre de voyeurisme qui se cache derriére un certain surréalisme .
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