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    Soul
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    499 critiques spectateurs

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    Dan S.
    Dan S.

    17 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 avril 2021
    C'est un film qui parle de la vie tout simplement et à travers l'une des plus belle manière : la musique. C'est évidement bien scénarisé et on prends goût à suivre les aventures de Joe. On apprécie surtout la leçon du film que chacun sait mais applique si peu.
    Gabith_Whyborn
    Gabith_Whyborn

    39 abonnés 842 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 avril 2021
    Excellent film spirituel, c'est intelligent, créatif et touchant. Ca a de très bons messages pour ceux qui sont prêt à écouter ou qui pourront simplement comprendre. Très étonnant de la part de Disney!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 avril 2021
    Un excellent film. Comme quoi, ils peuvent encore faire du très bon boulot chez disney. Cela faisait pas mal de temps que je n'avais pas vu un film de cette qualité. Merci :)
    Leanael
    Leanael

    2 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 avril 2021
    Ce Disney/Pixar a de quoi désarçonner, car il navigue entre deux univers graphiques et sonores aux antipodes l'un de l'autre. À la lecture du pitch, je croyais qu'il s'agirait de l'histoire d'un pianiste féru de jazz, dont la vocation serait sublimée tout au long du film pour arriver à la conclusion qu'il n'y a pas de vie heureuse sans passion(s). Mais un Pixar, c'est aussi surprenant qu'une boîte de chocolats, et le créateur Pete Docter se charge bien de nous le rappeler.
    Les 8 premières minutes correspondaient pourtant totalement à l'idée que je m'en faisais : d'une grande beauté visuelle, avec des moments plus lyriques mettant le jazz à l'honneur. Et puis soudain, notre pianiste Joe Gardner sombre dans un tout autre univers. Il quitte le monde physique pour un monde spirituel à l'esthétique insolite.
    Pour ma part, j'ai eu du mal à encaisser les ectoplasmes fluorescents et la représentation très picassienne des "Jerry". Toutefois l'ambiance musicale (électronique épurée) instaurait une atmosphère singulière qui m'a aidé à accepter ce nouveau monde, tout comme l'apparition de Terry, sorte de sosie de la Linéa (qui aurait dit qu'un comptable pouvait apparaître aussi menaçant!).
    J'ai regretté les trop lapidaires descriptions du Grand Avant, du Grand Bazar, des Rencontres de soi ou de la Zone frontière, et pour ces raisons "Soul" ne me paraît pas accessible à un jeune public.
    La suite s'est révélée plus amusante et plus lisible : on comprend l'orientation choisie par le film, chantre des plaisirs simples de la vie terrestre... C'est beau comme une locution latine qui inviterait à profiter du jour présent.
    Alors certes, "Soul" prend le contre-pied de ce que son entame laissait présager, et c'est ce qui étonne. Cependant je ne souscris pas à la conception déterministe présentée dans le Grand Avant spoiler: (les traits de caractère imposés et inscrits génétiquement dans votre passeport pour la Terre). On ne nous donnerait pas de raison d'être (c'est tellement primaire), mais on nous imposerait une personnalité?
    Je ne trouve pas cette vision très enthousiasmante...
    Bilan : en demi-teinte. L'œuvre est ambitieuse, d'une grande richesse thématique et artistique,  comme toujours chez Pixar, mais son message en paraît d'autant plus simpl...iste (les addictions et obsessions, c'est dangereux car ça vous coupe de la vie). On peut également regretter la brièveté du film et une fin plutôt décevante, spoiler: comme s'il avait fallu sacrifier à la mode des happy ends.
    Dommage, ça vide un peu Soul de son âme.
    Xavier T
    Xavier T

    1 abonné 19 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 avril 2021
    Je viens de le revoir. Comme d'hab, ému aux larmes.

    Tellement de messages.

    Il s'agit de les mettre en application maintenant.

    Savourer ce que l'on a plutôt que de désirer ce qui nous manque, voilà ce qu'est le bonheur.

    On baigne dans le bonheur, on baigne dans l'océan, mais on ne voit que de l'eau. Et ça c'est parcequ'on est mono-maniaque, obsédés par une seule idée fixe, plutôt que d'être sensible à notre sensibilité, à notre capacité de tout ressentir intensément.

    On recherche toujours un ailleurs, on court derrière le phantasme d'une vie meilleure qu'on appelle un rêve, mais quand ce rêve se réalise, alors on tombe des nues,, on se dit:" ce n'est que ça".

    Mais tout le temps qu'on a passé à courrir derrière ce rêve, cette obnubilation, c'est du temps qu'on a pas passé à apprécier ce que l'on a maintenant, tout de suite: un corps capable de ressentir du bien-être à partir des plus petits détails de son existence.

    Voilà un film d'animation qui a de l'âme, de la vraie âme.
    Jack Beauregard
    Jack Beauregard

    11 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 mars 2021
    enfin 1 dessin animé pour petits et grands !même peut-être plus pour adulte...bref une belle histoire qui t amène à réfléchir sur toi même...si seulement macron pouvait le regarder lol et oui la fin est juste 1 rappel a la beauté de la vie,a l essentiel !faites que nos restaurateurs sans nourrisse !!
    DX333
    DX333

    12 abonnés 165 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mars 2021
    Très bon Disney, qui s'aventure un peu dans la philo mais reste dans les bons sentiments très sucrés. On sent que le film n'est qu'à 10% de la profondeur qu'il aurait pu atteindre. Mais je ne pense pas que les animateurs et les scénaristes manquent de talent et d'inspiration...
    tupper
    tupper

    135 abonnés 1 387 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mars 2021
    Soul est un film brillant. Il parvient, avec poésie, délicatesse, humour, intelligence à matérialiser des concepts complexes comme l’âme, la vocation, le sens de la vie, ... Techniquement c’est du grand Pixar. Beau et réaliste dans le vrai monde, graphique et original dans l’au delà. Enfin, et c’est la aussi une particularité de Pixar, mais qui avait tendance à se perdre ces derniers temps (avec Vice-versa notamment), il s’adresse aussi bien aux grands, qu’aux petits.
    gooneur
    gooneur

    51 abonnés 840 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 mars 2021
    Un Pixar moyen. Les séquences dans le New-York réel sont pas mal, par contre j'ai peu adhéré au design des parties "souterraines" assez quelconques. Les dialogues et situations sont pas ailleurs assez convenus, une fois n'est pas coutume. Bref, Coco jouait 2 divisions au dessus!
    Thibault D.
    Thibault D.

    4 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mars 2021
    Soul est une réussite visuelle fabuleuse qui méritait sa place au cinéma. C'est divertissant et même plutôt sombre, voire trop.
    Théophile Gay
    Théophile Gay

    4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mars 2021
    Dessin Animé qui se laisse regarder facilement. Plaisant, distrayant, c'est presque un sans faute pour ce joli dessin animé. Je le conseille !
    grassouch17
    grassouch17

    3 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 mars 2021
    Coup de coeur d'un chef d'oeuvre! Sans trop de conviction de je commence à regarder ce dernier pixar... et dès le générique démarre je suis embarqué!!! Qualité d'images, scénario, humour, créativité... fantastique michel !
    Guillaume N.
    Guillaume N.

    33 abonnés 234 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 août 2023
    Etant fan des films Pixar j'attendais SOUL avec beaucoup d'impatience. Mais pourtant quelle déception ! Mon fils de 5 ans n'a rien compris et je vous avoue que moi non plus. Il m'a même demandé d'arrêter le film avant la fin. Le but d'un dessin animé, c'est de divertir les enfants, ou faire un cours de philosophie de 1h40 ennuyeux à mourir ? Je pense que Pixar à voulut faire quelque chose de différent mais pour moi, ce n'est absolument pas à la portée d'un enfant. Ici les personnages ne sont pas intéressants, le scénario est sans surprise (on devine facilement la fin), les décors sont moches, et l'humour si cher à Pixar est quasiment inexistant. On s'ennuie ferme, on ne comprend rien, et on se demande bien qui peux crier au "chef-d'oeuvre" ? Finalement je vais revoir Là-Haut et Le Monde de Nemo qui sont EUX des chef-d’œuvres plutôt que ce film incompréhensible.
    Antonio Peress
    Antonio Peress

    8 abonnés 346 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mars 2021
    Un excellent film, traitant d'un sujet peu commun. Les remarques et réflexions possibles sont très intéressantes. Le tout tourner sur la musique, est un pari pris, mais qui fonctionne en grande partie.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 355 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mars 2021
    Je sais que ça pourra paraître étrange, mais pendant le film – à un moment fugace – j’ai pensé à Jean-Michel Frodon.
    Pour ceux qui ne le connaitraient pas, sachez que le fameux Jean-Michel Frodon est un critique cinéma au « Monde » et à « Slate » ; qu’il est aussi professeur à Sciences-Po Paris, ancien directeur des « Cahiers du cinéma », théoricien du septième art et auteurs de nombreux ouvrages sur le sujet… En somme un mec qui se pose là.

    ...Et donc pourquoi j’ai pensé à ce gars en voyant ce « Soul » me demanderiez-vous ?
    Eh bien tout simplement parce que je n’arrive toujours pas à oublier l’errance intellectuelle dans laquelle était tombé ce pauvre type au sortir de « Vice-Versa », le précédent film de Pete Docter.
    Le mec avait quand même osé dire que « les auteurs de chez Pixar [étaient] des créatifs, [mais] pas des cinéastes » au prétexte que tous les films du studio à la lampe n’étaient au final que des « objets visuels d’une grande laideur. »
    (…Et oui l’argumentaire s’arrête à ça. Merci, ça me fait plaisir de payer des impôts pour que l’État puisse financer des analyses aussi brillantes.)

    Face à ce « Soul », j’ai donc imaginé la tronche de Jean-Michel Frodon.
    Je l’ai imaginé le menton chevrotant en se demandant comment il allait bien pouvoir parler de ce film sans parvenir à produire un seul mot, une seule analyse, à par un triste et révélateur « c’est moche ».
    Car en effet, difficile face à « Soul » de ressortir sa grille de lecture du cinéma de grand-papy ; difficile aussi de masquer la vacuité de son propos derrière un paravent de références classiques forcées au chausse-pied.
    Et c’est dommage pour lui car c’est bien justement là que se trouve toute la beauté (et l’identité) du cinéma pixarien.
    …Parce que oui, Jean-Michel, il s’agit bien là – que ça te plaise ou non – de « cinéma ».

    Alors j’avoue, je suis un brin taquin avec notre Hobbit parisien adoré, mais c’est aussi parce que, l’air de rien, l’incompréhension de notre critique émérite face à ce genre de cinéma dit aussi quelque-chose de ce que sont les films de chez Pixar.
    Ce sont des films denses, aux architectures parfois complexes, et qui nécessitent parfois qu’on s’y abandonne un peu pour que notre émotion puisse cheminer dans ce dédale d’informations.
    Pour ma part d’ailleurs, j’avoue qu’il m’est arrivé parfois d’avoir du mal, surtout au début…

    Au début donc, moi aussi il m’est arrivé par moments de me transformer en Jean-Michel Frodon…
    Parce que moi, ce film, je m’y suis plongé sans rien en savoir. (…Ce que je vous conseille d’ailleurs. Donc si vous n’avez pas vu « Soul », arrêtez là votre lecture et allez le voir ! Zou !)
    Car il faut bien le reconnaitre tout de même : un certain temps est nécessaire pour assimiler tous les prémisses avancées par l’intrigue.
    D’abord on nous lance l’arc de Joe et de ses doutes en termes de carrière. Et puis soudain – patatra ! – on se retrouve avec Joe mort qui, sous forme de haricot fluo, se refuse de passer de vie à trépas. Mais ce n’est que le début de nos découvertes parce que juste derrière voilà qu’on nous invite à découvrir tout un monde métaphorique sur l’origine des âmes et leur manière d’être forgées ; on discute avec un dieu quantique qui explique comment tout se joue à la naissance et… Wow !
    …Mais… Du calme !

    Tu m’étonnes qu’il soit perturbé Jean-Michel Frodon !
    Franchement, suivre le début de « Soul » c’est certes suivre un film incroyablement créatif, pétri de référence mais – franchement – je peux comprendre qu’on puisse perdre le fil.
    C’est vrai qu’au fond, la créativité c’est une chose, mais la cohérence en est une autre.
    Quand j’ai vu Joe mourir au bout d’un quart d’heure de film je ne m’y attendais pas du tout et franchement, quand j’ai vu qu’il avait désormais la forme d’un petit haricot vert fluo eh bah j’avoue… j’ai trouvé ça… moche.
    …En mode « Jean-Michel Frodon » quoi.

    D’ailleurs, si je devais chercher une limite à mon extase dans ce « Soul », elle serait sûrement là.
    Certes visuellement c’est riche et dense, mais des fois je me demande ce que tout ça fout ensemble. Ce monde new-wave à base de poupées fluos, d’herbes bleues et de personnages Linea/Picasso, j’avoue que ça jure à côtés des visages expressifs et des décors somptueux de New-York.
    Même chose d’un point de vue narratif. OK c’est inventif et original cette histoire de monde de « formation des âmes », mais d’un autre côté j’ai vraiment galéré à me retrouver dans cette représentation métaphorique des choses – très imprégnée de culture religieuse abrahamique – et à laquelle je n’adhère pas du tout.

    spoiler: Les âmes, les acquis prénataux fixés par des entités « quantiques » (pfoulala…) ainsi que tout ce discours très libéro-libéral sur la nécessité de s’accomplir par soi-même et pour soi-même, moi ça m’a posé un certain nombre de « Stop » dans ma navigation à travers cette œuvre.



    …Et c’est d’ailleurs ce qu’il lui vaut un 4/5 plutôt qu’un bon gros 5/5, ce qu’il aurait pu avoir sans ça.

    Et donc oui : 4/5 quoi !
    La preuve du pouvoir dévastateur qu’a su avoir ce film sur moi.
    Car quand bien même certains détails peuvent-ils déranger que, derrière tout ça, un océan de bonnes idées vient emporter le tout.


    spoiler: Moi, ne serait-ce que la découverte du monde de la « transe » où on se retrouve soudainement face au bateau peace-and-love du capitaine Vendelune, ça suffit à m’emporter.



    Que ce soit dans tous ces détails visuels qui stimulent les esprits ou bien encore cette capacité à mettre en dynamique tout cet environnement sensoriel, je ne peux que me laisser prendre.
    Ça fourmille d’idées de partout. C'est virtuose dans la mise en scène. C’est généreux au possible…
    …Et surtout, c’est au final diablement intelligent et brillamment mené.

    Car l’air de rien, tous les reproches que j’ai pu faire au film au cours de la première partie, l’habile Pete Docter parvient à les désamorcer avec une insolence lucidité.


    spoiler: Cette histoire de déterminisme et de trip libéral par exemple, Docter parvient à te retourner ça d’un habile revers qui te démontre bien que le gars sait pertinemment de quoi il parle… J’ai notamment trouvé particulièrement intelligent que les entités quantiques désossent cette idée d’accomplissement par soi-même dont ils attribuent l’erreur à leurs mentors ; tout comme j’adore le fait que le film finisse par rentrer dans le lard des « projets de vie » et autres « buts à atteindre » présentés comme autant d’obsessions qui pourrissent l’existence.



    ...Et voilà qu’en plus de ça le gars parvient à montrer que chaque élément posé là précédemment ne l’a pas été par hasard, mais qu’au contraire, tout a été posé pour servir à la fin une démonstration aussi subtile que pertinente


    spoiler: (Je reviens encore sur ce sujet mais pour moi c’est vraiment la vraie bonne idée de ce film : la question de l’obsession est vraiment bien amenée et remarquablement traitée.)



    Et même si le film se conclut au final sur un sentiment de « positive attitude » un peu droitard – s’ancrant dans une posture au fond assez conservatrice et libérale dans sa façon de présenter le rapport de l’individu au monde – j’avoue que je l’accepte malgré tout parce que cette posture – toute droitarde soit-elle – n’en garde pas moins une portée profondément universelle.

    Car oui, au fond, la force de ce « Soul » reste là.
    Tout ce dispositif pour arriver à ça : cette capacité à rendre palpable et compréhensible une idée qu’on peut tous caresser, quelque-soit notre situation ; une idée qui nous appelle à profiter de la vie.
    Et l’air de rien, je suis toujours estomaqué par cette capacité qu’a Pixar – et Pete Docter en particulier – de mettre en place des dispositifs narratifs aussi complexes pour au final aboutir à quelque-chose d’aussi simple, limpide, tout en justifiant la nécessité et la pertinence de chacun des éléments sollicités jusqu’alors pour arriver à cette conclusion là.

    Car non, à bien tout prendre, toute cette création visuelle n’a rien de superflue dans « Soul ».
    Cette débauche créative, elle ne résulte pas d’une injonction que se fixeraient les auteurs de chez Pixar pour tirer au maximum parti des possibilités infinies que leur offre leur outil à faire du cinéma.
    Non, cette débauche créative, elle résulte juste du fait que les auteurs de chez Pixar sont des CINEASTES qui ont forgé leur créativité dans un cadre sans limite et que – eux – ils ont eu l’audace de partir à l’exploration.
    Pour moi c’est justement là que se trouve toute la différence entre un Pete Docter et un Jean-Michel Frodon.
    Frodon n’a jamais su penser au-delà de son cadre de référence. Il est le produit de ce cadre et est incapable d’en sortir.
    Parler en dehors des codes du carcan théâtraleux hexagonal lui est impossible.
    Or c’est bien ce qui se passe là. Le cinéma de Pixar dépasse Jean-Michel Frodon parce qu’en termes de cinéma il est parti en dehors du référentiel d’antan ; il a su utiliser les nouvelles technologies – sans oublier les sagesses anciennes – pour redéfinir un cadre nouveau.
    En d’autres mots, Pixar fait avancer le cinéma. Il l’enrichit.
    Et ne pas voir ça c’est être juste désespérément aveugle.
    Alors pitié, sachons au moins voir ce film pour ce qu’il est…
    …Comme une nouvelle belle démonstration de ce qu’est le « génie » pixarien.
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