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Un visiteur
5,0
Publiée le 7 février 2021
Wow la claque, Pixar à terminé 2020 de la plus belle des manières ! Dernière pépite de Disney Pixar j'étais emballé lors de la bande annonce, mais après avoir vu cette réalisation.. 🤩 Allez-y les yeux fermés.. enfin non gardez les yeux bien ouverts et profitez de ce moment ! 🎥👏🌍
Joe est professeur de musique, il rêve de jouer dans un club de jazz. En sortant d’une répétition où il sent qu’il aura enfin sa chance, il tombe dans un trou qui devrait le précipiter vers la mort. Il réussit à s’échapper et arrive dans le “Grand Avant” qui prépare les personnalités des âmes avant leur arrivée sur Terre. C’est là-bas qu’il rencontre 22, une âme qui cherche à tout prix à éviter de venir sur Terre. J’ai beaucoup aimé l’ambiance du début du film, les décors (New-York), les personnages (la mère couturière, le coiffeur…). J’ai donc un peu regretté le départ vers le Grand Avant qui est beaucoup plus abstrait. L’histoire est intéressante, originale, c’est très beau visuellement, mais ce côté abstrait m’a un peu rebutée. La morale de fin fait un peu un flop (il faut profiter de chaque instant de la vie). Bon moment malgré tout globalement.
Tres intropsectif, et beau. Un futur classique peut-etre.A ne pas manquer.On se prend d'affection pour tout les personages, meme pour le chat, les musiciens sont mis en vant, mais ce film s'adresse en fait a tout ceux qui ont une passion dans la vie.Et apporte une reflexion sur ce que ces dernieres apportent au sens de notre existence.
"Soul" est peut-être le plus beau film des studios Pixar depuis "Toy Story 3", car il est l'un des plus ambitieux, des plus complexes et des plus émouvants. Si le film bouleverse autant dans son final qui dévoile son "message", c'est parce que sa révélation, contrairement à ce que beaucoup disent, est assez inattendue. Il est en effet difficile d'imagine une issue aussi malickienne alors que la vision du monde déployée est très ordonnée et mathématique. Tout entre dans des boîtes, elles-mêmes rangées dans des casiers, disposés à leur tour dans de gigantesques allées : cette manière de classer les émotions, les sentiments et les âmes va à l'encontre d'un hédonisme qui éclot dans les dernières minutes du film. Alors, comment expliquer ce contraste ? Serait-il question d'une inexplicable incohérence ou d'un matérialisme non assumé ? Il faudrait plutôt voir ce retournement comme le reflet de la prise de conscience d'un personnage qui se met à définir son propre bonheur. Joe Gardner est professeur de musique et aime particulièrement le jazz, une passion qui serait, selon le cliché bien connu, sa "raison de vivre". C'est ce cliché que le film va prendre au sérieux en imaginant un pré-monde ou les âmes en formation ont besoin d'obtenir un badge magique pour descendre sur Terre, soit la preuve du moment où elles sont prêtes à occuper un corps et à le rendre heureux. Vision mécanique – voire simpliste – du bonheur, dont le film est parfaitement conscient, et qui va être remise en question dans une scène sublime où 22, une âme solitaire qui occupe à la suite d'une erreur hilarante le corps de Joe, se rend chez le coiffeur de ce dernier et expose avec naïveté la joie extatique de découvrir le monde. Plutôt que de passer pour un cinglé, Joe (c'est en tout cas à lui que pense s'adresser le coiffeur) se décentre enfin en évacuant son seul sujet de prédilection qu'est le jazz. C'est en écoutant le discours non pas d'un domaine qu'il ignore, mais la vie et le bonheur qu'elle procure d'un point de vue sensoriel que le coiffeur est ému : cette scène est aussi décisive pour Joe que pour le film, tous deux s'engageant alors dans une autre philosophie qui considère moins le bonheur comme déterminé par une passion, mais comme une stricte attention portée aux autres et aux éléments naturels les plus triviaux. En renouant avec la splendeur visuelle des meilleurs films Pixar et en complexifiant son concept plutôt que de l'arrêter à ses certitudes ("Vice Versa" symbolisait ce problème), "Soul" ressemble davantage à un autre film de Pete Docter, "Monstres et compagnie", qui dépassait lui aussi une construction du monde très cadrée pour atteindre l'émotion à travers la mise en scène des affects les plus élémentaires.
Magique ! Très belle histoire, avec une problématique très intéressante. Très jolis graphismes. Magnifique musique composée par l excellent John Baptiste. Une belle histoire d amitié, une représentation très touchante de l au-delà et très documentée. C est doux, et cela nous permet de rêver et de nous évader, ce dont nous avons ô combien besoin en ce moment... Merci pour ce film sublime!
Etrange comme le dernier-né de chez Pixar, privé d’une sortie triomphale en salles pour cause de pandémie et forcé de se rabattre sur la plateforme de streaming de Disney, n’a pas suscité l’unanimité attendue, alors qu’il aurait pu potentiellement incarner le renouveau créatif du studio, après plusieurs années où il avait surtout été question d’entretenir ou de clôturer les franchises historiques et de proposer quelques productions mineures. En fait de nouveau souffle, certains y voient plutôt la fin d’un cycle, comme si le choix de mettre pour la première fois un afro-américain en vedette devait être mis en balance avec la perception d’un studio déboussolé par la disgrâce de son fondateur et maître-à-penser John Lasseter. Du reste, le film est lui-même tiraillé entre plusieurs tendances contradictoires, entre le New-York presque photoréaliste de sa seconde partie et l’abstraction colorée de la première, comme si le choix de finalement sacrifier à un classique jeu de piste au sein de la grande ville était un aveu de faiblesse après une première heure où le scénario prend un malin plaisir à jongler avec des concepts plus vertigineux qu’à l’ordinaire. En réalité, c’est surtout que cette première partie, clairement la plus intéressante et généreuse en surprises pour le spectateur adulte, risque peut-être de laisser les plus jeunes sur le côté. C’est peut-être la première fois que Pixar fait passer ses derniers au second plan, que le degré de lecture le plus accessible se voit dissimulé entre les lignes d’une certaine cérébralité, à laquelle on reprochera d’avoir coupé le récit des émotions puissantes qui ont toujours été la marque de fabrique de n’importe quelle production Pixar. Voilà qui n’est pas tout à fait exact car si toute la partie qui se déroule dans le ‘Grand Avant’ oscille effectivement entre imagination, humour et philosophie, ‘Soul’ ne fait pas non plus honte à ses prédécesseurs lorsqu’il se décide à abattre ses cartes, avec quelques moments authentiquement émouvants. Alors, c’est vrai que le film opère comme une sorte de synthèse - ou de repompe, si on veut tout voir en noir - des précédentes réalisations de Pete Docter : une pincée de ‘Là-haut’ par ci, un soupçon de ‘Monstres et Cie’ par là, beaucoup de ‘Vice-versa’ forcément, trois chef d’oeuvre qui font taire instantanément tout soupçon de médiocrité adressé au dernier-né. Le problème de Pixar ne serait-il pas d’avoir mis la barre tellement haut à tant de reprises qu’on ne parvient plus à excuser la moindre petite baisse de régime ? Si ‘Soul’ n’est pas tout à fait le miracle attendu, il surclasse pourtant sans aucun mal l’écrasante majorité de ce qui est sorti cette année en matière d’animation.
Je n'avais pas beaucoup d'attentes avant de regarder le film, mais Soul est selon moi est bon Pixar. Il n'est clairement pas à la hauteur de Toy Story ou de Coco, mais l'histoire est assez sympathique à suivre. De plus, les paysages de New York en dessin sont extrêmement réalistes et les sons des rues sont très ressemblant à la réalité. La partie dans le monde dès âmes est un peu moins soignée en terme de réalisme, mais le studio arrive tout de même à placer quelques références à ses classiques, comme dans la plupart de ses films. Les personnages sont drôle et attachants, cependant j'ai trouvé que l'intrigue ne cherche pas à développer l'histoire personnelle de ces derniers. Le film reste très drôle et je le conseil fortement
Un bon Disney mais plutôt un Disney pour adulte. Difficile d'expliquer les concepts de mort, d'âme, de flamme en moins de 2 heures à des enfants trop jeunes. Pour un public averti en revanche, c'est très bon, du touchant, de l'amusant sans tomber dans le ridicule. C'est de l'humour sérieux dans une image dingue de beauté. De la poésie tout simplement
3/5 Pas mal. Visuellement c'est magnifique. L'histoire emprunte à droite à gauche sur du déjà vu. Globalement c'est agréable mais ce n'est pas non plus d'une originalité folle. Le message passé a été passé à maintes reprises. Pas mal.
C est bien la première fois que je sors à ce point mal d un Pixar ou Disney...on ne sait plus exactement et là n est pas le propos . Comme souvent c est techniquement éblouissant ça on ne peut rien dire par contre je suis beaucoup plus touché par ce qu'il se passe pour le personnage principal. Il renonce donc à son rêve pardon mais en ces temps difficiles je trouve ça grave qu on nous inculque comme message : finalement la vie c est simple vos rêvent ne servent à rien ce ne sont que des rêves. Pardon mais je suis fier de rêver encore et de me dire que m vie peut-être autre chose que de regarder le ciel .
Dans la morosité ambiante , j'ai trouvé ce film très triste, pas besoin de ça en ce moment ! Les enfants (6 et 11 ans ) ont décroches au bout de 10 minutes , le film est trop philosophique.... pas accessible et intéressant pour les enfants qui étaient il me semble le public visé .
Assurément la première partie convainc par son esthétisme et ses diverses trouvailles (la critique de l'égocentrisme étant particulièrement bien amenée!), créant un monde identifiable. Cependant, la seconde partie avec ce retour sur Terre manifestement très facile contrairement aux règles soi-disant fermes de l'au-delà se perd dans une intrigue convenue qui perd la poésie première sans parvenir à réellement amuser, d'autant que le message fort didactique manque de pertinence! Certes il rappelle que la vie vaut par ses satisfactions et plaisirs du quotidien mais notre héros vit assez confortablement aussi lui est-il en réalité relativement aisé d'adopter une attitude plus optimiste et épicurienne, surtout que celle-ci semble se réduire à l'art... Comme parfois chez Pixar, l'excellent concept originel/original se dilue ensuite dans une intrigue attendue et bien moins imaginative...
Bien évidemment très attendu ...et assez déçue ... les enfants aussi ... pas de fun on rigole pas c est assez sérieux ...qques blagues ultra rares .. Belle couleur images dessins mais bon ça on sait que pixar sait faire .. Concernant le message porté par le film j avais l impression d être avec un américain dans sa voiture a écouter une cassette sur je vais bien tout va bien ...bref c est simplet réducteur évident .. on a compris la fin longtemps avant la fin et ça rame ça rajoute ça guimauve ... hyper complexe pour les enfants (tout le film les enfants de10/9/8 ont posés des questions genre mais maman je suis perdu la ou bien mais il est mort la ou pas ?????) mais hyper Nunuche pour les parents ... Bref relou et moralisateur Après y’a tellement de gens qui disent que c est trop génial ça me laisse perplexe...