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    Soul
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    4,2
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    499 critiques spectateurs

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    Jason B
    Jason B

    23 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 janvier 2021
    yant toujours etait un grand fan de pixar, j'ai bien aimé Soul mais apres les retours dithyrambiques sur ce film j'ai plutot était décu, cela ressemble pour moi à une sorte de Vice et Versa de seconde zone, cest distrayant mais sans plus
    Jake S.
    Jake S.

    83 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 janvier 2021
    Beau, fantaisiste mais surtout très touchant... ce n'est pas la première fois que Pixar parvient à nous émerveiller tout en nous éduquant sur ces dernières années. "Soul" est un petit bijou qui nous rappelle ô combien il est important de profiter de notre vie et de ne pas s'apitoyer sur notre sort, reconnaître le bon et le beau qui nous entoure et être en harmonie avec.

    En commençant avec des allures de long-métrage de Damien Chazelle qui se serait transformé en film d'animation, "Soul" nous présente une passion pour le jazz et l'éternel combat des artistes/musiciens non-reconnus déjà évoqués dans "Whiplash" ou "La La Land". Mais le film va beaucoup plus loin. Au bout de 15 min nous sommes transportés par les mélodies de Trent Reznor et Atticus Ross vers un nouveau monde. C'est là que le voyage commence.

    Je ne souhaite pas tout détailler ici mais seulement revenir sur des points marquants.

    Tout d'abord je suis stupéfait par la créativité des scénaristes du film. Je trouve cette idée de "pré-monde" appelé "You Seminar" où nos personnalités se façonnent et se répartissent de façon aléatoire tout à fait exceptionnelle. Ils ont trouvé un moyen de mettre des mots et des images de façon simple et poétique sur ce qui pourrait être le commencement, la création d'un être-humain.

    Tout comme les personnes ne trouvant plus d'intérêt dans leurs vies, 22 subit le même processus mais inversé. Elle n'a jamais vécu et reste persuadée que rien ne pourrait la satisfaire sur Terre. J'y vois ici comme une seconde référence qui affecte 22 dès lors qu'elle découvre le vrai monde dans le corps de Joe Garner. Comme dans le film "American beauty" avec le personnage de Ricky Fitts, 22 est émerveillée par ce qui l'entoure car tout prend sens dès lors que ses propres sens et émotions prennent le contrôle. Elle découvre la vie et la beauté qui nous entoure, comme cette feuille qui vole au gré du vent, cette pizza qui sent bon, ces quelques notes de musique qui l'apaisent dans une bouche de métro...

    Tout le monde dans le "You Seminar" prétend qu'il faille trouver cette toute dernière vocation ("one final spark" en VO) pour pouvoir entrer dans le monde des vivants. Il ne s'agit en fait que de l'ultime part de notre personnalité à compléter dans le Grand Bazar Général. Les hommes sont également animés par cette idée selon laquelle chacun doit trouver "SA" voie, sa propre vocation bien particulière. Mais un Jerry du "You Seminar" ne manque pas l'opportunité de rappeler à Joe que les humains croient tous à une seule et même passion ou obsession qui les guiderait, comme pourrait l'être le piano pour Joe. C'est là notre plus grosse erreur. C'est cette vision primaire qui nous inhibe en fin de compte. Le coiffeur de Joe est d'ailleurs un excellent contre-exemple. Il souhaitait être vétérinaire mais n'a jamais réussi pour une question de coût des études, il est alors devenu coiffeur et ne l'a finalement jamais regretté car il a su être heureux comme cela. Pour les mentors du "You Seminar" tout le monde doit avoir un objectif, une passion ou un sens dans la vie, mais nous oublions que nous sommes des êtres pluriels qui ne se limitent pas à une seule personnalité ou état d'esprit. Joe étant pourtant persuadé que la musique est sa vocation dans la vie, il se rend finalement compte après coup que le concert avec Dorothea Williams ne lui apportera pas entière satisfaction. C'est toute la force du propos de Jerry.

    Un parallèle a été fait avec le film "Vice-Versa" où le personnage de 22 serait en fait la petite Riley avant sa naissance. "Soul" serait donc une sorte de préquelle. Ce n'est pas officiel mais plusieurs aspects pourraient en effet coller : les deux partagent la même addiction pour la pizza et font preuve d'enthousiasme au quotidien (surtout après que 22 découvre le monde dans le corps de Joe Gardner). Il y a également une certaine continuité entre la création unique de notre personnalité dans "Soul" et son évolution lorsque nous devenons êtres de chair dans "Vice-versa". L'association n'est pas dénuée de sens.

    Je suis au final assez déçu de ne pas avoir pu profiter de ce nouveau Pixar sur grand écran... l'expérience en aurait été d'autant plus marquante.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 janvier 2021
    Une belle réussite pour les productions PIXAR, l'approche de l'âme expliquée de façon intelligente aux plus petits comme aux plus grands, j'y aurais aimé un peu plus de swing.
    Christoblog
    Christoblog

    835 abonnés 1 684 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 janvier 2021
    Fut un temps où chaque nouveau Pixar parvenait à nous surprendre.

    Ce n'est plus réellement le cas aujourd'hui.

    Même si Soul est agréable, il suit un chemin désormais bien balisé et facilement attribuable à la "patte" Pixar : une animation irréprochable à la pointe de la technique numérique (certains objets ont une apparence de réalité totale), une intrigue qui mêle habilement humour et considérations métaphysiques, et enfin une tentative de faire surgir en nous de profondes émotions liées à l'enfance.

    Les aspects métaphysiques sont ici assez limités. Il est vaguement question de ce qu'est l'âme, mais le sujet n'est qu'effleuré pour être rapidement remplacé par un ressort plus classique de changement de corps. Quant aux émotions, qui faisaient tout le sel de Vice versa ou de Toy story par exemple, elles se résument à des poncifs assez éculés : l'amour d'une mère, le don de soi, la peur de mourir.

    La philosophie générale du film se résume à un banal (et un peu niais) "C'est beau la vie, profitons-en", énième revisitation du carpe diem, ce qui est un peu court.

    Ces réserves étant faites, le savoir-faire est toujours là. Certaines scènes sont très réussies (celle du coiffeur par exemple), l'animation de l'au-delà est assez originale et les personnages sont globalement sympathiques. Les scènes de musique sont jolies (mais moins réussies que dans Coco), la construction du film habile. L'atmosphère new-yorkaise est particulièrement bien rendue.

    Un divertissement honorable, pour moi toutefois en retrait de la moyenne des productions Pixar.
    Vanina Brown
    Vanina Brown

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 mars 2021
    Génial ! L'un des meilleurs Disney
    Vraiment à voir, pour tous les âges.
    Beau, plein de sens et de vérité
    Très touchant
    Yves G.
    Yves G.

    1 498 abonnés 3 516 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 janvier 2021
    Professeur de musique dans un collège new yorkais, Joe Gardner a une passion, le jazz, et une ambition, rejoindre le groupe de Dorothea Williams. Alors qu'il est sur le point de réaliser son rêve, il est victime d'un accident qui le laisse pour mort. Son âme, en route vers l'Au-delà, réussit à s'échapper vers l'En-deçà, où les âmes à naître reçoivent une dernière formation avant de se voir délivrer le badge qui leur permettra d'arriver sur Terre. James se voit assigner la tâche de former 22, une âme particulièrement rebelle qui refuse de naître. Les deux personnages, aux intérêts symétriques, concluent un pacte : James profitera du badge de 22 pour réintégrer son enveloppe corporelle. Mais rien ne se passe comme prévu.

    Le dernier Pixar nous parvient enfin après un parcours bien chaotique. Sa sortie en salles était prévue l'été dernier. Repoussée à l'automne, elle fut finalement annulée à cause de la pandémie. C'est donc uniquement sur la plateforme Disney + que Soul est visible depuis le 25 décembre. Maigre consolation : à la différence de "Mulan", qui exige des abonnés à Disney + le paiement d'une séance spéciale, "Soul" leur est accessible sans obole supplémentaire.

    "Soul" est signé par Pete Docter, le créateur de légende des studios Pixar qui avait déjà écrit et réalisé "Monstres et Cie", "Là-haut" et "Vice-versa". On y retrouve sa patte. Comme dans ses précédents films, des questions métaphysiques y sont brassées : la vie après la mort, le sens de la vie, la vocation.... Comme dans ses précédents films, il relève le plus audacieux des défis : matérialiser l'immatériel, donner à voir ce qui ne saurait être vu.

    Mais l'alchimie ne fonctionne pas aussi bien dans "Soul" que dans "Là-haut" ou dans "Coco" qui avaient arraché des larmes à tous les spectateurs de la planète. L'émotion n'est pas au rendez-vous cette fois-ci.

    "Soul" se présente comme un film sur le jazz où on entend pas beaucoup de musique. Il se présente aussi comme un film sur l'âme qui s'englue dans un salmigondis New Age ni convaincant ni émouvant. Et il pèche par un dernier défaut : un scénario confus, mal séquencé, qui s'achève en queue de poisson, comme un coureur de demi-fond qui n'aurait pas su trouver le bon rythme.

    Ne mégotons pas. Soul a l'immense vertu de traiter un sujet original et ambitieux, loin des suites paresseuses auxquelles même Pixar s'est désormais converti. Il le fait avec une richesse visuelle assez bluffante, qu'il s'agisse des scènes new yorkaises ou de l'En deçà psychédélique. Mais dans la longue liste des chefs d'œuvre Pixar, il est à craindre que Soul pâtisse de la comparaison avec "Là-haut" ou "Coco" plus réussis.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 janvier 2021
    incroyablement incroyable! simple, émouvant, enrichissant et inspirant!! tout ce que le monde à besoin
    Bongiorno A
    Bongiorno A

    19 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 janvier 2021
    Exellent à tous les niveaux possible (de lecture) !

    PS : Dommage qu'il n'y ait pas de diversité parmis les musiciens de jazz présents dans ce film. (à l'image des compositeurs de sa bande originale)
    Jorik V
    Jorik V

    1 279 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 janvier 2021
    On découvre enfin le nouveau film d’animation des studios Pixar après plusieurs reports de sortie. Et cela reste dans la lignée de l’œuvre foisonnante, riche et incroyable de la firme à la lampe depuis maintenant plus de vingt ans : une réussite. Bien sûr, plus on avance dans le temps, moins on est surpris par les petits bijoux estampillés Pixar. Ils ont tellement placé la barre haute depuis deux décennies avec des films comme « Ratatouille » ou « Le monde de Nemo », que ce soit sur le plan narratif ou visuel, qu’il devient vraiment et logiquement difficile pour eux d’innover et d’émerveiller encore plus à chaque fois. Et pourtant, sans être l’un des meilleurs opus ni l’un des plus mémorables, « Soul » nous ravit de nouveau durant plus d’une heure et demie. Le point faible de celui-ci vient sans conteste de sa parenté forte avec l’un de leurs films précédents, en l’occurrence « Vice-Versa », qui parvenait avec brio à mettre en images et à matérialiser nos émotions au sein d’un univers original et enchanteur. Ici le principe est un peu le même mais avec l’âme et nos personnalités. C’est peut-être cette légère redite, sans pour autant être une suite, qui le rend moins étonnant et transcendant. On commence en effet à être habitué par la maestria technique et la richesse thématique des films Pixar, tout comme par le don qu’ont les scénaristes et animateurs pour vulgariser pour tous des notions abstraites. Ici, on reconsidère la vie, la mort et ce que nous sommes au plus profond à travers une vision amusante de la création de l’âme (par le biais d’un univers très aseptisé mais jubilatoire et pédagogique) et de comment elle influera sur la vie d’un musicien (dans les parties terrestres plus consensuelles).



    Ce personnage principal du jazzman Joe Gardner est attachant et le duo qu’il forme avec l’âme « Numéro 22 » fonctionne très bien. L’humour est omniprésent et on sourit souvent, sans pour autant rire aux éclats à chaque minute, ce qui a d’ailleurs rarement été le dessein de l’écurie Pixar qui laisse la gaudriole pure à ses concurrents comme Dreamworks ou Illumination. Le film regorge de trouvailles pour concrétiser la naissance d’une âme et les personnalités de chaque être humain (on adore par exemple les Michel tout comme la manière dont sont réparties les traits de caractère pour chacune des âmes naissantes). Le meilleur restant l’inversion des corps entre le personnage principal et un chat, pas révolutionnaire mais forcément drôle. « Soul » parvient encore une fois aussi à nous émouvoir avec une simplicité et un naturel désarmant comme en témoignent la séquence où Joe réalise que la vie est faite de plein de petits riens qui font tout. Une séquence sublime et poignante, comme celle des adieux entre nos deux âmes nouvellement amies. Quant au visuel, il n’y a comme toujours rien à redire même si innover sur ce versant devient compliqué. On retient tout de même le souci du détail et quelques fulgurances par exemple la scène du concert de jazz, esthétiquement renversante. Et si le monde des âmes souffre d’un rendu qui nous apparaît trop sobre ou froid de prime abord, on s’y habitue vite en se rendant compte que ce choix assumé colle parfaitement au propos. « Soul » est donc une belle histoire avec de belles valeurs et un côté philosophique qui fait du bien et accessible à tous. En plus d’être un ravissement constant pour les yeux. Il manque juste de cette dose de surprises et de singularité.



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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 janvier 2021
    Ce nouveau chef d'œuvre des studios Pixar m'a mis la larme au yeux, cela faisait longtemps que je n'avais pas lâché de larme devant un dessin-animé. La voix française d'Omar Sy est celle qui réconforte tout publique , le scénario ainsi que l'idée original est splendide avec ce jeu de mot Soul qui veut dire âme et la soul terme utilisé par les Jaz man. La philosophie de ce film permet de mieux comprendre ce monde dans lequel on vit mais aussi d'apprendre a mieux vivre dans notre peau.
    spoiler: Petite déception j'aurai aimé savoir le type de personnage que devient 22 à la fin.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 6 janvier 2021
    C'qui y'a bien avec ce genre de film, c'est quand ça ouvre, d'une plus ou moins jolie manière mystique, l'esprit des éventuelles jeunes âmes perdues qui croisent des misérables dans la rue.
    Léo Peteytas
    Léo Peteytas

    17 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 janvier 2021
    Quelle est la force d'un dessin animé ? Grande question. Chacun peut y aller du sien. Moi, je crois que c'est de réussir ce que la Philosophie Traditionnelle ne parvient que difficilement à réaliser : Rendre un propos complexe clair. Oui, je suis rude avec la Philosophie. Surtout quand on en connait les grands auteurs, et qu'on a déjà lu quelques philo plus douce. Plus simple à saisir. Mais, j'ai cette idée qu'un individu d'une condition moindre qu'un privilégié, aura du mal à comprendre la philosophie traditionnelle. Quelle est la force de Soul ? Celle d'être un dessin animé.... Magnifique. Le mouvement, l'animation plutôt, le New-York. Tout est sublime. L'histoire ? Simple, mais tellement captivante. L'émotion se présente quand on ne s'y attend pas. Par une expression de l'un de nos personnages pleins d'humours, ou par une de leurs observations. Soul n'est pas juste un dessin animé pour les plus petits. Il est bien plus que cela. Ce n'est pas une ode à la vie ou que sais-je encore. C'est une histoire. Fantastique, drôle et parfois triste, qui ne cherche pas car elle propose à nous, vous, moi, toi, spectateur, cette réflexion sur la vie, le temps dans une certaine mesure, et une idée de ce qui nous anime. Soul est une œuvre simple. Mais qui a dit qu'il fallait être complexe pour être magnifique ? Soul est simple, à l'image de ses personnages, de son animation complexe si fluide, et de son histoire que certains qualifierons de finie. Est-ce si important ? Après l'avoir vu, j'ai une myriade de flashs qui parcourent ma boite crânienne. Cette émotion, propre au vivant. Merci, Soul. Pour finir, j'aimerais en revenir à l'idée première de cette humble critique. Celle selon laquelle, l'animation pouvait clarifier des propos philosophiques, métaphysiques. Je pense que Soul, loin de n'être qu'un dessin animé simple au rôle de divertissement, place à laquelle certaines autres critiques tendent à le réduire par des procédés fumeux, est bien plus une création faite pour penser en passant un bon moment. Ses messages sont-ils si habituels que cela ? A vous d'en juger et de profiter de chaque instant, comme s'il était le dernier.
    Steven O.
    Steven O.

    29 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 janvier 2021
    Que dire de ce Pixar si ce n’est qu’il s’inscrit dans la droite lignée de ses glorieux prédécesseurs 
    On retrouve le thème de la mort et de l’au-delà qui semble cher au studio pour l’avoir déjà exploré plusieurs fois et notamment dans le récent Coco 
    Les idées sont tout bonnement géniales avec ce grand avant qui permet aux futurs humains d’avoir un badge avec leur caractéristiques principales. 
    C’est loufoque baroque parfois complétement barré (peut-être même un peu trop ?) si bien que(c’est la critique que je fais souvent aux studios ), j’ai parfois l’impression que les créateurs font des films d’animation plus destinés aux adultes qu’aux enfants de part leur complexité , leur thème abordé et leur univers décalé 
    Ce n’est pas pour me déplaire mais je ne suis pas sûr que mon fils de 6 ans me demande de le revoir vite contrairement à d’autres films d’animation. 
    Mais on ne s’ennuie pas une seconde c’est poétique touchant bref un vrai Pixar. Un petit bémol cependant à la VF que j’ai trouvé un peu en dessous Omar Sy en tête 
    Fanatoile
    Fanatoile

    16 abonnés 203 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 janvier 2021
    Bon, c'est vrai que le scénario est très novateur mais en même temps, on est vite désarçonné par l'enchevêtrement des différents aspects classiques, philosophiques et autres du scénario. Quant à la somme toutes ses critiques dithyrambiques, j'avoue que je suis assez perplexe ! Au risque de passer pour une grincheuse, je clame haut et fort que je n'ai pas du tout aimé et l'ai d'ailleurs visionné seule dès la deuxième moitié, mon compagnon y ayant renoncé très vite !
    CDRIX C.
    CDRIX C.

    50 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 janvier 2021
    "La musique est un monde en soi, avec une langue que nous comprenons tous" (Stevie Wonder)
    L'ambitieux Pete Docter et tous les talents réunis chez Pixar abordent des thèmes existentiels avec génie et authenticité. Malgré une construction en 2 temps, dans "2 univers" aux musicalités presque opposées, avec l'utilisation de nombreux types d'animation (richesse des textures et réalisme impressionnant VS graphismes aérés et cotonneux avec des Michel-Picasso aux visages multi-faces), le film éblouit harmonieusement et résonne intérieurement encore longtemps après son visionnage. (Un seul regret : ne pas avoir pu découvrir ce magnifique film d'animation sur grand écran).
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