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    Jamais contente
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    benoitG80
    benoitG80

    3 429 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 août 2017
    "Jamais Contente" ou comment l'histoire d'une ado mal dans sa peau, peut se révéler être une petite révélation, pleine de bon sens, de vérité, en nous laissant petit à petit complètement sous son charme !
    Dans sa famille, Aurore se sent ni plus ni moins le petit canard boiteux, tout en révolution et en provocation.
    Et pourtant, elle est bien sûr plus qu'attachante, tout en étant peste et insupportable, rien que par la position qu'elle adopte avec son entourage, où tous sont mal et durement considérés par principe.
    D'ailleurs à ce titre, un des points intéressants est l'escalade dans l'incompréhension que crée chacun de son côté et à son insu, comme si une moindre parole irréfléchie et acerbe en entraînait une autre, et ainsi de suite.
    À ce jeu, Aurore est intarissable et s'enfonce doucement et presque par plaisir, dans une situation d'enlisement qui guette aussi ses parents, fatigués, dépassés, voire anéantis par le comportement incompris de leur fille à leur égard...
    Plus d'un se reconnaîtra dans ces situations inextricables et horripilantes, et en même temps absurdes et drôles avec le recul du temps qui passe !
    C'est ainsi un témoignage apparemment banal, d'une relation familiale et de son fonctionnement, qui sous la baguette d'Émilie Deleuze et avec le talent évident de la spontanée Léna Magnien, prend l'allure d'une révélation en devenant un film sensible, délicat, drôle le plus souvent tant les dialogues et les réparties de la petite Aurore font mouche et même bien plus !
    Quant aux parents, tous deux interprétés par Patricia Mazuy et Philippe Duquesne, rien a dire sur la justesse de leurs réactions et de leur attitude désemparée comme on le serait exactement à leur place !
    Et que dire de la grand-mère dont le rôle incombe à Catherine Hiegel ? C'est un sans faute sur toute la ligne, avec un jeu extrêmement naturel dans toute la complicité et la compréhension qui s'installe avec sa petite-fille !
    Alex Lutz fait aussi son petit effet en tant que prof remplaçant, petit déclic bienvenu dans la vie de son élève qu'il saura comprendre et aider...
    Toute la difficulté d'éduquer et d'aimer son enfant semble ici on ne peut mieux résumée et décrite, et à ce propos, on ne dira rien sur ce que s'imagine Aurore, véritable obsession dont elle se croit victime, mais qui amène des moments tendus et inattendus d'une d'une drôlerie inénarrable...
    Frais, juste, enlevé et touchant ce récit de famille (ou "espèce de famille" !!), à travers la vision qu'en a Aurore est une petite friandise acidulée et même un peu piquante à laquelle on aurait tord de ne pas goûter !
    velocio
    velocio

    1 320 abonnés 3 152 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 janvier 2017
    "Jamais contente" est l’adaptation au cinéma du "Journal d’Aurore", de Marie Desplechin. Un livre pour les adolescents à partir de 12 ans, qui donne un film pour ces mêmes adolescents mais auquel les adultes peuvent trouver un très grand plaisir, un film scénarisé par Marie Desplechin, Emilie Deleuze et Laurent Guyot et réalisé par Emilie Deleuze, On y retrouve Aurore, une gamine de 13 ans, une gamine bougonne, en lutte presque permanente avec ses parents, très attachée à ses copines même si, parfois, il y a de l’embrouille dans l’air, une gamine de 13 ans qui commence sérieusement à s’intéresser aux garçons, même si une première expérience de flirt lui fait craindre le pire : elle se croit frigide ! Bref, vous l’aurez compris, Aurore est une adolescente de 13 ans, tout est dit ! Sauf, qu’en plus, elle se découvre des talents de chanteuse, au point qu’un groupe constitué de 3 garçons plus âgés qu’elle lui demande de les rejoindre, un groupe dont le guitariste se dit gay mais dont le batteur, puis le bassiste ne laissent pas Aurore insensible. Des films sur ce sujet, on en a déjà vu beaucoup, mais il y en a peu qui peuvent revendiquer une telle fraîcheur et autant d’authenticité. De plus, le film permet la découverte de la jeune Léna Magnien, l’interprète d’Aurore, une jeune comédienne dont on reparlera sans doute très vite et qui fait preuve d’une énergie sans faille tout au long du film. A ses côtés, les prestations des interprètes des parents, Patricia Mazuy et Philippe Duquesne, de la grand-mère, Catherine Hiegel, et du professeur de français, Alex Lutz, ne méritent que des louanges.
    Sally Ecran et toile
    Sally Ecran et toile

    65 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2017
    "Jamais contente" est un film sur les ados pour les ados. Bien qu’il ne soit pas interdit au plus de 15 ans, le long métrage s’adresse surtout et avant tout à un public jeune dans lequel vous retrouverez sans aucun doute les traits de la génération post-2000. Adaptée du livre de Marie Desplechin (paru à l’Ecole des Loisirs), l’histoire aura un air de déjà vu chez beaucoup de spectateurs adultes et parents dépassés par l’attitude de leur chères têtes blondes pré pubères.Davantage un téléfilm qu'un film de salles, on retiendra la qualité du casting (notre coup de coeur va vers Alex Lutz) et 'adaptation réussie de l'univers littéraire jeunesse.
    Barbara C.
    Barbara C.

    20 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 janvier 2017
    Jamais Contente ? Ca c'est sûr ! Aurore a 13 ans et comme toutes les filles de son âge, elle aime pas trop les garçons, elle aime pas l'école et déteste sa famille. Basique non ? Pourtant Léna, sans le savoir, décrypte avec humour la vision d'une adolescente complexée et d'une famille qui essaye de comprendre la jeune fille. A voir parce que ça fait du bien, qu'on se reconnait tous dans les situations décrites et que les seconds rôles sont parfaits.
    fasskinder
    fasskinder

    30 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 janvier 2017
    Voilà à quoi ce réduit aujourd'hui le cinéma français... des histoires de gamines au collège, il y en a désormais 2 par mois et le niveau (du jeu, de la réalisation, du scénario etc) baisse à chaque fois... Oui, il y a de quoi ne pas être content, pas content du tout !!!
    Laurent C.
    Laurent C.

    260 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 janvier 2017
    C'est un peu "La Boum" trente ans plus tard, sauf que maintenant, les parisiens du bout du 12ème arrondissements roulent en tramway. Elle a 13 ans, comme Vic, elle s'appelle Aurore, et c'est une peste tout aussi attachante que détestable. Car décidément, elle n'aime rien, sauf peut-être son nouveau prof de français qui l'encourage à écrire, ou ses trois copains du groupe de musique qu'elle a rejoint. "Jamais contente" est un film gracieux et touchant. Il faut dépasser la bande-annonce qui fait craindre un petit film un peu mièvre. Au contraire, ce cinéma français-là nous plonge pour une fois dans la France véritable, celle des classes moyennes qui vivent dans les jolis HLM qui bordent le périphérique parisien. Il n'y a aucun misérabilisme là-dedans. Juste des gens qui mangent, vont à l'école, affrontent les échecs scolaires, rient, sanglotent en secret, soupirent, éduquent les enfants. Bref des gens qui vivent, comme chacun de nous. Et pourtant, Emilie Deleuze parvient à faire de ces petites choses délicates du quotidien, un joli film, certes pas une œuvre inoubliable, mais juste une tranche de bonheur dans le cœur compliqué de cette adolescente.
    poet75
    poet75

    276 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2017
    S'étonner, s'émerveiller, se laisser surprendre : le cinéma sinon le meilleur en tout cas le plus attachant ne se trouve pas forcément là où on le pressentait. Une fois encore, c'est un film dont je n'espérais pas grand chose sauf un peu de détente qui, en fin de compte, me séduit. Adapté d'un roman pour la jeunesse de Marie Desplechin (« Le Journal d'Aurore ») et excellemment réalisé par Emilie Deleuze (qui n'est autre que la fille du philosophe Gilles Deleuze), ce film sur une pré-adolescente de 13 ans m'a irrésistiblement conquis dès les premières scènes et m'a charmé tout au long.
    Bien sûr, Aurore (formidablement jouée par Léna Magnien), sur bien des points, ressemble à la plupart des adolescentes de son âge : elle se trouve moche, se demande si elle ne ferait pas mieux d'être enfermée en haut d'une armoire pour n'être sortie qu'une fois par an, déteste tout le monde ou presque, à commencer par ses parents et ses deux sœurs, et se demande avec angoisse si elle pourra un jour aimer un garçon. Néanmoins la réalisatrice a su habilement ne pas s'empêtrer dans les clichés sur l'adolescence. Si Aurore partage quelques caractéristiques avec un grand nombre de jeunes filles de son âge, elle n'en reste pas moins singulière, elle ne représente pas à elle seule l'Adolescence avec un grand A, mais elle est simplement une adolescente parmi d'autres.
    La mise en scène souligne cette singularité en insistant sur la dimension relationnelle. Ce qui fait qu'Aurore ne peut nullement être confondue avec qui que ce soit d'autre, c'est son jeu de relations, les personnes à qui elle a affaire et le regard que celles-ci portent sur elle. J'ai déjà mentionné les parents et les sœurs, mais il convient d'ajouter la grand-mère (la personne de sa famille à qui l'adolescente peut se confier, car si Aurore adopte volontiers le ton bougon, voire méchant, lorsqu'elle parle, elle est aussi une adolescente avide d'être conseillée et rassurée).
    Ayant redoublé sa 5ème, elle a également affaire, bien évidemment à des professeurs : une sorte de ronde les met brillamment en scène en pleine classe, récitant leurs enseignements comme on enfilerait des perles ! Parmi ceux-ci se détache le professeur de français (Alex Lutz), un rempaçant qui s'empresse de faire lire à ses élèves l'incontournable et inénarrable « Princesse de Clèves » et d'interroger Aurore. Ce professeur n'en est pas moins plutôt bien inspiré, allant jusqu'à conseiller à la jeune Aurore la lecture du poète Francis Ponge, ce dont elle saura tirer bénéfice.
    Et, bien sûr, on ne saurait oublier les autres adolescents : ceux de son âge, mais aussi un groupe de trois garçons un peu plus âgés dont l'un d'eux lui propose d'intégrer leur groupe de rock pour en être la chanteuse. Difficile de monter sur scène et de s'exposer au regard de tous quand on a 13 ans, mais qui sait si ce n'est pas précisément ce lieu et cette audace qui engendreront un peu d'épanouissement chez la jeune Aurore ? La superbe scène finale nous la montre, en tout cas, comme transformée, subitement mûrie, ayant passé le cap de ses dégoûts de pré-adolescente.
    Ce film qui, peut-être, sera qualifié par certains de petit ou d'anodin, n'en est pas moins, à mes yeux, la bonne surprise de ce début d'année 2017. Pas une seule des scènes qui le composent ne m'a semblé banale et il en est même plus d'une qui m'ont amusé, intrigué, interpellé. Ainsi quand Aurore, à l'approche de Noël, au grand étonnement de son père qui précise qu'il est sans religion, se met à fabriquer une crèche et à réclamer un « petit Jésus ». Ou encore lorsque la grande sœur d'Aurore annonce qu'elle veut se marier avec un Russe, à l'église et selon le rite orthodoxe ! Autant de scènes qui, si elles ne sondent pas les mystères à la façon des philosophes (ou des théologiens) n'en sont pas moins à la fois judicieuses et savoureuses. Comme l'est d'ailleurs tout le film ! 8/10
    Jean-Claude L
    Jean-Claude L

    47 abonnés 289 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 janvier 2017
    Quelle famille ou cette jeune adolescente ne trouve pas sa place. Alors évidament elle va tout faire pour être remarqué mais pas toujours dans les règles. Un jeune professeur a compris sa détresse et va l,aider ainsi que trois garçons qui vont l,intégrer dans leur groupe de musiciens pour devenir leur chanteuse. Et bien sûr elle va tester avec l,un deux qu,elle n'ai pas frigide comme elle le prétend auprès de sa grand mère et de ses parents. super moment au cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 janvier 2017
    très joli casting pour très jolie comédie, à déguster en famille. l'actrice principale est très juste, par moments très énervante, puis vraiment attachante. les seconds rôles tous parfaits, à commencer par alex lutz. les dialogues savoureux et piquants. j'ai vraiment aimé.
    psychiio
    psychiio

    43 abonnés 101 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 janvier 2017
    Adapté du roman jeunesse "Le Journal d’Aurore" de Marie Desplechin paru en 2006, "Jamais contente" est la chronique décalée de la vie d’une adolescente de 13 ans vive et intelligente, mais qui peut également se montrer terriblement rebelle et blessante envers ses proches. Aussi peu satisfaite d’elle-même que des autres, qui ne semblent être là que pour l’enquiquiner, dans sa vision des choses, elle commence cependant à s’intéresser à la lecture lorsque son nouveau prof de français (interprété avec brio par l’humoriste Alex Lutz) l’encourage après l’une de ses interventions en classe, et trouve également un exutoire dans la musique lorsque le frère d’une amie lui propose de devenir la chanteuse du groupe qu’il vient de créer avec deux autres garçons.

    Léger, rythmé par des scènes drôles aux répliques percutantes, "Jamais contente" est un film d’une vraie pertinence sur la jeunesse actuelle, pas celle des banlieues, ni des beaux quartiers, mais celle issue de la classe moyenne et de familles sans histoires.
    Le côté social ainsi évacué, la réalisatrice peut alors se concentrer sur la personnalité d’Aurore et le regard qu’elle porte sur la vie et ses proches, qu’elle malmène sans forcément s’en rendre toujours compte.

    Capable d’une certaine lucidité, mais toujours enfant malgré tout, elle écoute avec intérêt les discours de sa meilleure amie, Lola, sur la frigidité et décide qu’elle en souffre, même si elle n’a fait qu’embrasser un garçon avec la langue sans rien ressentir. Et n’hésite pas à en parler lors d’un repas familial (hilarant !) en affirmant que comme les personnes frigides ont été abusées dans leur enfance, elle se demande bien qui a pu la violer petite…
    Sur cet esprit grinçant, cette comédie enlevée multiplie les scènes réussies et bien écrites, sans jamais se contenter de simplement aligner les gags. D’un bout à l’autre, on perçoit l’évolution d’Aurore, qui, de jeune fille à la forte personnalité mais un peu renfermée, toujours d’humeur bougonne, fait de plus en plus preuve de curiosité et finit par s’affirmer de manière positive.

    Et si, bien entendu, Aurore s’intéresse aux garçons et se pose des questions, le scénario est suffisamment intelligent pour ne pas tourner autour de cette unique question. D’ailleurs, les adolescents les plus présents dans le film sont les membres du groupe de rock d’Aurore, des jeunes qui ont 4 ans de plus qu’elle et avec lesquels elle entretient une relation complice et purement amicale.
    L’affirmation de sa personnalité, trouver sa place au sein de sa famille, parmi ses amis, à l’école, sont autant de questions abordées avec humour mais une réelle finesse dans "Jamais contente", qui évite les clichés inhérents à de nombreuses comédies françaises et enthousiasmera autant les adolescents que les adultes, qui se rappelleront avec vivacité ce que c’est que d’avoir 13 ans et d’avoir l’impression que personne ne vous prend au sérieux.

    Alors bien sûr, par le côté positif qui s’en dégage ou l’absence de dimension sociale, le film d’Emilie Deleuze a un petit côté bobo. Il semble peu crédible, par exemple, que des ados de 16-17 ans demandent à une fille de 13 ans de devenir la chanteuse de leur groupe de rock, style qui n'est plus du tout populaire auprès des jeunes.
    Cependant, cela n’est pas aussi important que cela car le scénario sonne toujours juste par son écriture, et établit des relations crédibles entre les personnages, de sorte que les situations décrites fonctionnent contre toute attente.
    On notera aussi que tout le monde (ou presque) en prend pour son grade dans le film, à commencer par le père gentiment bobo, qui s’insurge que sa fille lui demande innocemment une figurine de bébé Jésus à mettre dans la crèche de Noël. Pour une fois, l’adolescente ne cherchait pas à envoyer de piques et souhaitait simplement faire un peu de décoration pour les fêtes ...

    "Jamais contente" est donc une excellente surprise, légère, détonnante et remplie de tendresse, portée par la prestation épatante de la jeune Léna Magnien, dont le charisme s’impose dès la scène d’ouverture pour s’épanouir pleinement tout du long. Habitée d’une véritable énergie, elle apporte à Aurore beaucoup de charme et de personnalité, et apparaît comme une jeune actrice très prometteuse que nous espérons revoir très bientôt sur grand écran.
    Le casting dans son ensemble fonctionne très bien, qu’il s’agisse des adolescents, dont c’était la première apparition au cinéma pour la plupart et qui sont tous crédibles, ou encore des excellents Alex Lutz, Patricia Mazuy ou Catherine Hiegel. Enfin, on notera que si le film est porté par l’humour sarcastique et grinçant de son attachante héroïne, la fin sait se faire émouvante sans en faire trop.

    Un joli moment à passer en famille, qui redonne le sourire.
    La surprise de ce début d'année !
    Daniel C.
    Daniel C.

    150 abonnés 721 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 septembre 2016
    Bravo chère Emilie, votre casting est parfait et votre film régénérant ! Parvenir à si bien rendre compte des états d'âme de l'adolescence, c'est un bel exploit. Ce film nous éclaire sur le fonctionnement du narcissisme et de ses failles. Le titre du film, qui souligne l'état d'insatisfaction quasi permanent, se déplie ensuite sur la fonction du mécontentement : ne pas aimer, ne pas être aimé sont indispensables pour parvenir à s'écarter, à s'éloigner, en un mot à se séparer de sa famille pour voler peu à peu de ses propres ailes. Alex Lutz nous montre combien un professeur peut avoir un impact considérable sur l'élan de vivre, d'entreprendre, de savoir et d'oser s'avancer sur la scène de la vie. Voilà un film joyeux, qui ouvre des horizons et montre que du possible existe, que l'amour, l'envie de partager, de se cultiver ne sont pas des notions relevant de la mièvrerie. J'ai eu la chance de voir ce film en avant-première et souhaite un grand succès à sa sortie en janvier prochain.
    Sylvie G.
    Sylvie G.

    14 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 janvier 2017
    Film mou et histoire sans intérêt, mon fils de 12 ans a ronflé à côté de moi! Alex Lutz joue très bien mais cela n'a pas suffit à donner un peu de rythme.
    Norbert F.
    Norbert F.

    9 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 janvier 2017
    Perso je n'ai pas aimé. Histoires d'ado vu et revu. Très très loin des grands films du style la boom , lol etc....les jeunes acteurs sont très loin de la performance de jeunes acteurs dans d'autres films. Bref chacun des goûts.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    L'affiche annonce la couleur (pas le jaune) mais la forte présence d'Aurore dans le film avec une galaxie de personnages tout autour. Et comme cette Aurore est chiante mais très attachante, c'est un grand plaisir de suivre ses aventures tout au long du film. Beaucoup d'humour, accessible dès 8 ans, avec des scènes très réussies (l'annonce du mariage, les questions autour de la "frigidité"...), et un casting sans faute.
    Les ados n'auront pas de difficulté à se projeter (et à aimer même s'ils n'ont pas lu les livres de Marie Desplechin), les parents passeront un bon moment (avec d'excellents moments de comédie), les pus jeunes (on l'a vu avec deux garçons de 9 ans) aimeront cette ado un peu rebelle, qui se pose beaucoup de (bonnes) questions.
    Film familial par excellence, teenmovie absolument pas niais, "Jamais Contente" est le coup de cœur "famille" de ce début d'année.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    Je suis allé voir ce film avec ma fille pré ado. Elle a adoré et s'est instantanément identifiée. Moi aussi. Elle n'a que 10 ans (ma fille) quand le personnage en a 13, mais j'ai vécu ça comme un film d'anticipation;) avec des moments tellement drôles, d'autres tellement touchants. C'est générationnel pour elle, c'est générationnel pour moi. Merci pour cette justesse. Mention spéciale à Léna Magnien (un nom à retenir) dans le rôle principal, odieuse et lumineuse à la fois. Et merci à Alex Lutz dont l'apparition et la bienveillance font du bien. Signé : un papa tout ému !
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