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Irritante de prime abord, cette ado mal dans sa peau devient attachante. Une comédie légère et juste qui évite les clichés, exceptés les profs du début du film. Puis l'arrivée de ce prof, parfaitement incarné par Alex Lutz, est synonyme de renaissance pour la gamine mais également pour le film qui semblait parti pour s'enliser.
PLR
Si on en juge par le type de public qui remplit la salle, les spectateurs y vont pour voir une comédie familiale. Le sujet est toutefois un petit-peu plus profond que ça quand même. Car au-delà des scènes censées faire sourire parents et enfants (rire jaune parfois pour peu qu'on ait - ou ait eu - la même à la maison), c'est aussi les difficultés de l'adolescence qui sont posées et explorées. L'âge bête qui commence on ne sait pas trop quand et que surtout, en tant que parents ou plus généralement adultes, on se demande quand et comment ça va s'arrêter... J'ai vu des familles quitter la salle avant la fin. Il faut croire qu'au-delà de l'aspect comédie qu'ils auront a priori jugé insuffisant pour leur attente, le reste sur le registre du comportement et de l'éducation ne leur a pas plu. Ce sont toutefois des sujets qui sont ici traités sur un ton badin sans prise de tête. En ce sens, il s'agit bien une comédie.
Petit film sur l'adolescence et la diversite qui aurait pu etre tres beau car certains acteurs et actrices tres bien , un ton original mais peut etre pas assez pousse et inegal.
Un film sympathique, dont l’héroïne principal casse un peu les clichés du genre la belle fille. C'est une fille redoublante et rock, comme en atteste ça reprise de "Beat the Devil’s Tattoo" du génial groupe: Black Rebel Motorcycle Club. Après ça reste un film pour ados, mais force est d'admettre que la jeune Léna Magnien s'en sort très bien, et surtout , Alex Lutz génial en professeur de français qui donne gout à la littérature à cette jeune Léna.
Ce film est tellement fait à la va-vite qu'il est impossible de sortir des points positifs d'un mélodrame de pré-ado. En vérité, il y en avait des excellents films sur la vie adolescente : du Premier Jour du reste de ma vie au très commercial LOL qui pouvait prendre parfois un côté un peu rebelle, Jamais Contente offre ce qui se fait de moins bien : un jeu d'acteurs, oui il faut être indulgent de très jeunes personnes, mais qui semble très mauvais, des scènes pataugeoires (salles de classe, maison, salles de concerts). Un bain de clichés abominables qui rend le film inaudible !
Jamais Contente est une petite comédie touchante principalement grâce à son personnage d'Aurore et à l'interprétation de qualité de la jeune Léna Magnien. Malheureusement, il y a quelques points noirs dans ce film, le plus gros étant l'interprétation du reste du casting qui n'arrive pas à apporter quoi que ce soit dans ce film. Heureusement que l'écriture est à la hauteur et que la BO du film met une bonne ambiance.
Une petite comédie vraiment sympa sur les difficultés d'être ado, sur l'anxiété qu'on ressent à cet âge et comment on la fait ressentir à son entourage. Léna Magnien est excellente dans ce film, elle incarne à la perfection cette ado imbuvable. Un film à voir à l'occasion.
Une bonne surprise. Je suis souvent admiratif des films qui parlent de la jeunesse car je les trouve souvent assez justes. Leurs réalisateurs ont un regard assez réaliste et qui rend hommage à la jeunesse.
Ici Aurore, une ado, une vraie, avec ses soucis, ses idées, ses coups de coeurs, ses colères, ses caprices, cette énergie, cette colère, cette folie, tout ça sur un fond de tendresse sous-jacent, un amour latent pour sa famille et amis/ies.
Pareil, je suis impressionné par la qualité de jeux de ces jeunes comédiens/iennes, leurs interprétations sont-elles justes techniques ou preuve d'une maturité précoces ?
Quoi qu'il en soit, on se plait à suivre son histoire, son mal-être, entre histoire d'amour finie, avec ou sans regret, dispute avec meilleure amie, intégration d'un groupe de rock avec ses contraintes, une famille qu'elle pense folle.En plus de tout ça, on reste dans la réalité, et donc la scolarité dont une part sera magnifiquement interprétée par Alex Lutz. Sa relation prof élève avec Aurore nous ferait presque regretter l'école, ou de ne pas l'avoir eu comme prof.
Tous les acteurs apportent leur part, il n'y a pas de petit rôle.
Au final, j'ai passé un bon moment, sans pouvoir m'empêcher de me rappeler mes années collèges et lycées, ces belles années qui nous construisent avec des peines et des joies et des parents toujours là pour nous aider malgré ce que nous leur faisons, ou leur avons fait subir. Ici les parents sont géniaux, la mère est intriguante, drôle, le père, un trop détendu mais protecteur, ça fonctionne pas mal dans ce cocon, malgré à petite guerre avec cette sorte d'intrus de petite soeur, ahah
Un bon résumé de jeunesse à se remémorer en salle ;-)
Ici Aurore, une ado, une vraie, avec ses soucis, ses idées, ses coups de coeurs, ses colères, ses caprices, cette énergie, cette colère, cette folie, tout ça sur un fond de tendresse sous-jacent, un amour latent pour sa famille et amis/ies.
Pareil, je suis impressionné par la qualité de jeux de ces jeunes comédiens/iennes, leurs interprétations sont-elles justes techniques ou preuve d'une maturité précoces ?
Quoi qu'il en soit, on se plait à suivre son histoire, son mal-être, entre histoire d'amour finie, avec ou sans regret, dispute avec meilleure amie, intégration d'un groupe de rock avec ses contraintes, une famille qu'elle pense folle.En plus de tout ça, on reste dans la réalité, et donc la scolarité dont une part sera magnifiquement interprétée par Alex Lutz. Sa relation prof élève avec Aurore nous ferait presque regretter l'école, ou de ne pas l'avoir eu comme prof.
Tous les acteurs apportent leur part, il n'y a pas de petit rôle.
Au final, j'ai passé un bon moment, sans pouvoir m'empêcher de me rappeler mes années collèges et lycées, ces belles années qui nous construisent avec des peines et des joies et des parents toujours là pour nous aider malgré ce que nous leur faisons, ou leur avons fait subir. Ici les parents sont géniaux, la mère est intriguante, drôle, le père, un trop détendu mais protecteur, ça fonctionne pas mal dans ce cocon, malgré à petite guerre avec cette sorte d'intrus de petite soeur, ahah
Un bon résumé de jeunesse à se remémorer en salle ;-)
Comédie plutôt réussi, elle joue très bien cette petite. On est embarqué dans cette histoire, assez légère
Vinz1
« Jamais contente » est un petit film sur l'adolescence tiré d’un roman de Marie Depleschin. Sans cliché, elle évoque cette période difficile de la vie où tout se construit : les premiers amours, la relation avec la famille, l’amitié et aussi le goût pour certaines matières au collège grâce à un bon prof (Alex Lutz, ici excellent). Le tout est porté par de très bons acteurs, aussi bien chez les premiers que les seconds rôles, dont notamment l’actrice Lena Magnien incarnant Aurore, qui semble avoir un truc en plus et sera donc à suivre !
Si les acteurs/actrices ne jouent pas toujours très juste (hormis Alex Lutz) l’histoire est mignonne et on se laisse embarquer derrière la vie de cette "jamais contente" de 13 ans. Un bon moment passé devant ce film
Loïck G.
Sur un fond rock’n roll vaguement répétitif, Emilie Deleuze raconte la vie pré-pubère d’une jeune fille qui se dit malheureuse parce qu’elle se rend malheureuse. Une tête à claques inspirée par la série romanesque « Le journal d’Aurore » de Marie Desplechin qui prête également sa plume au scénario. Ce qui ne se traduit pas par une mise en scène élaborée, inventive ou imagée, car trop conforme à un ronron cinématographique français. J’imagine qu’il ne faut pas filmer les ados pour ce qu’ils attendent d’eux même, mais pour ce qu’ils sont réellement, ce que ne renvoie pas forcément ce film très bien interprété par son rôle-titre, Léna Magnien.
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Jamais Contente est la énième histoire d'une adolescente qui n'a rien pour être heureuse mais que personne ne comprend. Mme Deleuze devrait se promener dans une organisation caritative où les bénévoles travaillent des heures supplémentaires pour se rendre compte à quel point les problèmes d'Aurore sont triviaux, égoïstes et pathétiques. Elle pourrait également se promener dans un lycée. Car les étudiants ne font aucune littérature analyse dans ses classes sans parler de "la Princesse De Clèves" de Madame De La Fayette qui est généralement réservée au lycée. Ce n'est que la deuxième année du secondaire tout de même. Cependant on doit remercier Aurore pour son bref résumé personnel du livre. Bien sûr toutes les chansons de la bande originale sont en anglais. La fille qui est chanteuse dans un groupe de rock and roll chante en anglais ce qui est tout à fait invraisemblable, le chant de Noël à la fête de Noël est en anglais. Le tout dernier air du vieux fougueux Mamy Blue est chanté en français, tout de même. Parfois le public ne veut pas être dupé à nouveau avec les malheurs d'une adolescente gâtée et il n'a pas toujours tort...
Alors voilà une pré ado qui fait très fort, elle déteste tout et tout le monde en bloc, agresse tout le monde, et se sent totalement incomprise. Quand ses parents essayent de parler avec elle, c’est un vrai dialogue de sourds. Pourtant ils essayent, même s’ils sont parfois maladroits, parce qu’elle les pousse à bout. Le genre de gamine qui vous donnerait des cauchemars. Et pourtant, malgré ses excès et ses réactions démesurées, elle est plutôt attachante, bien que très énervante. Elle a besoin d’être encouragée et soutenue, mais se comporte de telle façon qu’elle fait fuir presque tout le monde. On devine un appel au secours derrière ce comportement provocateur. C’est très bien joué, mention spéciale à la jeune héroïne Lena Magnien, et à Alex Lutz, très convaincant en prof de français qui a vu la pépite dans ce qui semble n’être qu’un vulgaire morceau de charbon. Un film intéressant et inattendu, une sorte d’OVNI dans le paysage du cinéma français.
Encore des paroles d'adultes fantasmés dans des bouches de gamins ...Peut être pire que "Du vent dans les mollets" dans le genre ...
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