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Une histoire unique, entre une mère et sa fille unique.
Entre passion, magie, émotions, fantastique, on vit un conte de fées, si l'on peut dire, et ce, malgré le contexte tragique.
La scène, dans la forêt, plus particulièrement, quand Gwendoline, l'arrière, arrière, arrière grand-mère cherche, les nuits de pleine lune, sa fille unique adorée,toute de blanc vêtue, qui est "endormie"dans l'eau...
C'est d'une transcendance inouïe.
La musique, la folie, la passion, l'histoire, TOUT.
Ce n'est pas un grand film, non.
Mais un film IMMENSE !
Entre passion, magie, émotions, fantastique, on vit un conte de fées, si l'on peut dire, et ce, malgré le contexte tragique.
La scène, dans la forêt, plus particulièrement, quand Gwendoline, l'arrière, arrière, arrière grand-mère cherche, les nuits de pleine lune, sa fille unique adorée,toute de blanc vêtue, qui est "endormie"dans l'eau...
C'est d'une transcendance inouïe.
La musique, la folie, la passion, l'histoire, TOUT.
Ce n'est pas un grand film, non.
Mais un film IMMENSE !
Alain D.
Une très jolie et émouvante comédie, parfaitement mise en scène et coécrite par Noémie Lvovsky. Ce film très féminin et débordant de sensibilité, me rend résolument conquis par le cinéma de cette réalisatrice, qui nous offre des scènes intenses et des images fortes.
Son scénario original nous conte une histoire à la fois sombre, touchante et dramatique, avec une approche fantastique extrêmement bien menée par de magnifiques moments, des séquences magiques avec Oscar et la chouette .
La distribution est également efficace avec la jeune Luce Rodriguez , étonnamment très mure et adorablement craquante dans le rôle principal de Mathilde, un bon Mathieu Amalric que l'on voit trop peu, et la réalisatrice Noémie Lvovsky qui nous offre une excellente prestation d'actrice.
Le pitch : la mère de la petite Mathilde n'est pas bien dans sa tète. Elle n'est pas une mauvaise mère mais souvent absente, fantasque, étourdie, dans les nuages ou hors de la réalité. Heureusement, Mathilde communique avec son père absent du foyer.
Son scénario original nous conte une histoire à la fois sombre, touchante et dramatique, avec une approche fantastique extrêmement bien menée par de magnifiques moments, des séquences magiques avec Oscar et la chouette .
La distribution est également efficace avec la jeune Luce Rodriguez , étonnamment très mure et adorablement craquante dans le rôle principal de Mathilde, un bon Mathieu Amalric que l'on voit trop peu, et la réalisatrice Noémie Lvovsky qui nous offre une excellente prestation d'actrice.
Le pitch : la mère de la petite Mathilde n'est pas bien dans sa tète. Elle n'est pas une mauvaise mère mais souvent absente, fantasque, étourdie, dans les nuages ou hors de la réalité. Heureusement, Mathilde communique avec son père absent du foyer.
Film lourdingue avec quelques moments de grâce mais aussi tant d'autres de délayage, de clins d'oeil forcés-infligés ...et que je te brode sur le tableau de Millais, "Ophelia" ! ...et le mythe de la chouette, c'est chouette ; la schizophrénie de la petite qui s'en fait une conscience ; etc, etc.
Ce qu'il y a de bien avec le CNC et le système d'avances sur recettes, tout ça, c'est que la boboterie parisienne qui rapte une bonne part (la plus mauvaise) de la création française a tout loisir de mettre en images ses névroses et sa poésie recrachée. Attention, j'ai quand même mis deux étoiles ! ...ce film n'est pas le pire, il y a une petite recherche dans le collage de toutes les citations mais dieu que la bourgeoisie a - au mieux - une culture d'imitation ! ...les acteurs sont très bons, la petite joue excellement, lutin de fraîcheur qui nous soutient dans ce parcours obligé et invraisemblable. Et puis toujours ce milieu XVIe, XVIIe, Ve chics, les vastes appartements parisiens, les beaux parcs, le luxueux pavillon des fous... enfin, la réalisatrice a fait un bel hommage à sa mère - avec l'argent des contribuables qui compatissent et peuvent même un peu s'émouvoir - c'est bien, ce film filial !
Ce qu'il y a de bien avec le CNC et le système d'avances sur recettes, tout ça, c'est que la boboterie parisienne qui rapte une bonne part (la plus mauvaise) de la création française a tout loisir de mettre en images ses névroses et sa poésie recrachée. Attention, j'ai quand même mis deux étoiles ! ...ce film n'est pas le pire, il y a une petite recherche dans le collage de toutes les citations mais dieu que la bourgeoisie a - au mieux - une culture d'imitation ! ...les acteurs sont très bons, la petite joue excellement, lutin de fraîcheur qui nous soutient dans ce parcours obligé et invraisemblable. Et puis toujours ce milieu XVIe, XVIIe, Ve chics, les vastes appartements parisiens, les beaux parcs, le luxueux pavillon des fous... enfin, la réalisatrice a fait un bel hommage à sa mère - avec l'argent des contribuables qui compatissent et peuvent même un peu s'émouvoir - c'est bien, ce film filial !
ATTENTION, FRAGILE. Des épines pour une fleur. Mère folle très géniale. Quand se marier avec la vie vous pousse dans la pente. Noémie Lvosky/ Luce Rodriguez un coeur qui bat, blesse. Et cette chouette qui m'a gâché une partie du film.
Dès la première scène on sent que quelque chose ne va pas. Une mère et sa fille rencontrent la directrice de l'école et le professeur se plaint que Mathilde n'a pas d'amis mais c'est l'attitude de la mère qui intrigue le spectateur elle s'inquiète de ses erreurs de syntaxe pire à la fin de la réunion elle ne se souviendra pas pourquoi elle est venue. Souffrant d'un trouble mental qui rappelle la maladie d'Alzeihmer la mère semble de plus en plus irrationnelle et achete un hibou comme animal de compagnie ce qui n'est pas courant d'ailleurs. Le «déménagement» et le train qu'elle prend pour aller nulle part nous font penser que petit à petit la mère et la fille inversent les rôles. La chouette peut parler mais c'est peut-être la petite fille, livrée à elle-même qui parle avec elle-même. Mathilde est une fille mûre intelligente (c'est ce que dit l'enseignant) et elle doit faire face aux troubles mentaux de sa mère et à l'absence de papa car il a déserté la maison pendant un certain temps. Comme il est complètement sain d'esprit et semble avoir un travail stable (il parle de ses patients) on peut se demander pourquoi il lui a fallu autant de temps pour comprendre pourquoi il a dû prendre soin de sa fille. La réalisatrice (qui joue aussi le rôle ingrat de la mère) filme la chouette avec virtuosité, elle nous fait vraiment sentir comment cette animal devient de plus en plus important pour la fille solitaire, l'oiseau vous regarde fixement et il semble être partout dans la pièce sans un seul effet spécial. Cela peut vous rappeler Kes de Kenneth Loach (un garçon maltraité par sa famille dont l'ami est un faucon) mais c'est plus onirique plus proche d'une fable que d'un drame social. Le hibou est un oiseau de nuit qui vit dans la forêt où se déroulent les contes de fées. Un oiseau que vous ne voyez pas à la lumière du jour. C'est l'animal idéal pour quelqu'un qui a quelque chose à cacher car quand son travail est terminé il s'envolera...
Ce film fait parti de ces films bijou, délicat, doux, poétique . Il est sublime, tous les acteurs jouent à la perfection, la chouette est une idée géniale, métaphore de la conscience de la petite fille, conscience que la mère ne possède plus... merci Noémie pour votre film, merci de ne pas avoir lâché ce projet, un des plus beau film qu il m ait été donné de voir
Ce film m'a profondément ennuyé, je n'ai pas trouvé l'histoire intéressante. La mayonnaise ne prend pas. J'ai failli m'endormir.
Noémie Lvovsky (aussi actrice) nous propose une vraie démarche de cinéma dans son propos. Et pourtant j'avoue que j'ai été absolument hermétique à ce film, j'ai trouver ce film long, ennuyant et le fait de traiter la folie comme ça, je ne savais plus où me mettre(dès la première scène du film chez la psychologique d'ailleurs). Et ce qui est dommage là dedans, c'est qu'on sent que ça été fait avec le cœur. La relation avec la mère et la chouette c'est mignon tout ça, mais j'y est été réfractaire, parce que je pense que c'est pas assez dense dans son propos, quel dommage pour moi. Et il y a aussi pour moi d'autres moments de malaise, avec le squelette par exemple, et tout ce qui tourne autour de l'imaginaire enfantin, c'est vraiment maladroit.
On retrouve, à petite échelle, dans le nouveau film de Noémie Lvovsky, la logique de réalisations comme ‘Le labyrinthe de Pan’ dans lesquels le merveilleux permettait de fuir une réalité trop difficile à affronter. Cette réalité, c’est celle de Mathilde, dix ans, dont la mère, atteinte d’une étrange forme de folie, dérive de plus en plus loin de la réalité quotidienne. Partagée entre l’amour inconditionnel qu’elle éprouve pour elle et la conscience aiguë d’une situation qu’elle ne peut gérer et que sa dégradation progressive voue à une issue inéluctable, l’enfant se réfugie dans un entre-deux, entre rêverie et mécanisme de défense pragmatique, qu’il s’agisse de prendre une petite chouette apprivoisée pour confidente ou d’offrir une sépulture digne de ce nom au squelette du cours de sciences. Même si la nature fantasmatique des événements n’est jamais explicitement présentée comme telle, ‘Demain et tous les autres jours’ pose ses pas dans ceux d’autres grands films initiatiques, où c’est par l’imaginaire et la métaphore qu’une enfant parvient à appréhender une situation complexe : malgré la modestie du projet, il y a d’ailleurs de très belles idées et de très beaux moments tout au long cette histoire, qui décortique avec délicatesse une relation mère-fille particulièrement complexe.
Ce n'est pas un grand film, mais comment ne pas être ému par cette enfant pleine de vie et de force bien qu'abandonnée ? L'univers de ce film très personnel sort des sentiers battus - c'est principalement ce que je demande à un film.
Sensible et merveilleux malgré la folie et sa douleur terrible pour soi et autrui.
Un film magnifique !
Un film magnifique !
Je suis étonné de ne pas voir plus de critiques positives, autant des spectateurs que de la presse, pour ce film qui sous ses airs modestes a pour moi une vraie puissance et beaucoup de justesse. Demain et tous les autres jours raconte l’histoire compliquée d’une relation mère-fille. Très vite, on comprend que le film est extrêmement personnel et a une très forte portée autobiographique (appuyée par la présence de la réalisatrice au scénario et en tant qu’actrice principale). Le film, bancal, avance sur un fil, nous égare souvent, avant de se resserrer dans une dernière partie très émouvante. Noémie Lvovsky gagne en justesse tout au long du film, Amalric est égal à lui-même, merveilleux, et la petite Luce Rodriguez est une véritable découverte, très mature et poignante. Quelques scènes sont particulièrement réussies
spoiler:
(le kidnapping et l’enterrement du squelette, la scène du bain, l’adieu à l’appartement familial, la danse sous la pluie)
et je crois que c’est justement l’aspect bancal dont je parlais qui m’a le plus atteint, entre un réalisme narrant une enfance volée et une poésie enfantine et bricolée. Vraiment un très joli film.
et je crois que c’est justement l’aspect bancal dont je parlais qui m’a le plus atteint, entre un réalisme narrant une enfance volée et une poésie enfantine et bricolée. Vraiment un très joli film.
Une torture absolue. "Demain et tous les autres jours" c'est le cas d'école de ce qu'il ne faut surtout pas reproduire. Le scénariste a confondu "exception culturelle" avec "création d'une bouse singulière"
C'est la quintessence du film franco-français dans toute sa splendeur. Une daube qui se veut lyrique et surréaliste, mais qui fait passer le sketch des Inconnus en noir et blanc pour une oeuvre à prendre au 1er degré.
Prétention et intellichiance maximale au programme. Passez votre chemin et matez-vous un bon vieux classique remarquable et abouti. C'est pas ce qui manque dans notre patrimoine cinématographique. Tout mais pas cet affront au 7e art qu'affectionne la FEMIS et le CNC.
C'est la quintessence du film franco-français dans toute sa splendeur. Une daube qui se veut lyrique et surréaliste, mais qui fait passer le sketch des Inconnus en noir et blanc pour une oeuvre à prendre au 1er degré.
Prétention et intellichiance maximale au programme. Passez votre chemin et matez-vous un bon vieux classique remarquable et abouti. C'est pas ce qui manque dans notre patrimoine cinématographique. Tout mais pas cet affront au 7e art qu'affectionne la FEMIS et le CNC.
Un beau petit film touchant, un peu bancal et titubant, mais émotionnellement intéressant...et puis la directrice/actrice fait tellement de films très personnels que l'on ne peut qu'avoir envie de voir celui là aussi.
Film vu en DVD. Il n'était pas passé dans les cinémas inclus dans mon abonnement. Je tenais à le visionner, j'apprécie beaucoup la sensibilité de Noémie Lvovsky.
C'est un film triste, dur et pourtant si délicat, extrêmement respectueux et sans jugement, sur la folie d'une maman et les souffrances engendrées chez sa fille qui l'adore.
Le film raconte plusieurs moments de la relation entre Mathilde et sa maman, avec des épisodes de folie successifs pour la maman, et les réponses que donne Mathilde. Mathilde vit sa vie malgré tout, déchirée par l'amour impuissant qu'elle voue à sa maman. Pour adoucir les moments de souffrance, Noémie Lvosky fait appel à des métaphores (allusions à "Ophélie" de Shakespeare) et une dose de fantastique poétique (la chouette qui parle).
Ces moments imaginaires sont peut-être ceux qui donne sa résilience à Mathilde, résilience palpable dans le final du film, très touchant.
Mon blog : larroseurarrose.com
C'est un film triste, dur et pourtant si délicat, extrêmement respectueux et sans jugement, sur la folie d'une maman et les souffrances engendrées chez sa fille qui l'adore.
Le film raconte plusieurs moments de la relation entre Mathilde et sa maman, avec des épisodes de folie successifs pour la maman, et les réponses que donne Mathilde. Mathilde vit sa vie malgré tout, déchirée par l'amour impuissant qu'elle voue à sa maman. Pour adoucir les moments de souffrance, Noémie Lvosky fait appel à des métaphores (allusions à "Ophélie" de Shakespeare) et une dose de fantastique poétique (la chouette qui parle).
Ces moments imaginaires sont peut-être ceux qui donne sa résilience à Mathilde, résilience palpable dans le final du film, très touchant.
Mon blog : larroseurarrose.com
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