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Raphaël O
144 abonnés
1 567 critiques
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4,0
Publiée le 19 septembre 2015
Devant et derrière la caméra, Clovis Cornillac signe une première comédie romantique fort sympathique, originale, drôle, touchante et pleine de charme, avec des personnages attachants et révélant la jeune et très talentueuse Mélanie Bernier. Une vraie bouffée d'air frais.
Enfin une comédie française originale. Très fin, sans gag trop appuyé, l'humour est toujours très bien dosé. C'est bien filmée et bien réalisé. Le jeux d'acteurs est très bon. Clovis Cornillac est aussi à l'aise devant la caméra que derrière. Je suis fan de cet acteur. Une petite perle dont on ne parle pas assez je trouve. Je ne me suis pas ennuyé un seul instant devant ce film. Vraiment très bon.
Un film original mais sans surprise. Une petit comédie sentimentale qui fait plaisir à regarder parce que les acteurs sont bon et que mélanie bernier est bien jolie. Clovis cornillac est fidèle à lui-même à tel point qu'on se demande s'il peut faire un autre rôle que celui qu'il tient systématiquement à l'écran. Sympa.
Un film léger dans la veine des Emotifs anonymes. Mélanie Bernier est réellement lumineuse et Clovis Cornillard m'a étonné, autant devant que derrière la caméra....... très original et avec des éclats de rires, bonne recette.
Pour une fois qu'une comédie romantique est originale, il faut le souligner même si je n'ai pas forcément accroché. Le film est un peu long à démarrer puisqu'il y a deux points qui traînent en longueur, le premier est le running gag sur celui qui fait le plus de bruit que l'autre et ensuite quand Machine se met à la recherche de Machin, tout ça est un peu surfait et pas intéressant. Une longue mise en place donc jusqu'à la meilleure scène du film qui est le dîner à 4 à l'aveugle puisque toute l'originalité de l'idée de départ est utilisée et ce moment-là est très agréable. Je pensais que ça lancerait le film, mais on retombe vite dans les travers du genre avec les mêmes péripéties que d’habitude : disputes, séparation ect. Au final, un film pas désagréable avec de bons acteurs, mais qui aurait pu être bien meilleur si Clovis Cornillac avait oublié tous les codes du genre pour faire quelque chose d'entièrement original de l'histoire au déroulement.
Clovis Cornillac, déjà certifié parmi les très bons acteurs réussit un premier film en tout point exemplaire vis-à-vis du sujet qu’il s’impose. Une comédie romantique qui va bien au-delà des références du genre pour jouer de la poésie et de la fantasmagorie des situations engendrées par l’aventure. Un homme et une femme, séparés par une cloison vont apprendre à s’aimer, malgré leurs différences et l’absence de tout contact. Un procédé qui fonctionne très bien sous le regard du néophyte Cornillac très au fait des subterfuges et des quiproquos du genre. Mélanie Bernier décroche ici son premier grand rôle, avec les félicitations du jury, bien entourée par deux comédiens trop discrets au cinéma Lilou Fogli et Philippe Duquesne. Avis bonus Un making of très sympa
Lorsque vous souhaitez aller voir un film, il est probable qu’il y a une chose que vous refusez obstinément : qu’on vous en raconte la fin. Il y a pourtant un sous-genre cinématographique qui échappe à cette règle, dans la mesure où, lorsqu’on se dirige vers un tel film, pas besoin que votre meilleur(e) ami(e) vous la raconte, cette fameuse fin, elle est fournie d’office. Ce sous-genre appartient à la comédie romantique : ce sont les films qui commencent par la rencontre d’un couple dont on s’aperçoit très vite que tout les sépare, qu’ils ne se supportent pas l’un l’autre et, qu’ensemble, leur vie est un véritable enfer ; et qui se terminent par le même couple partant main dans la main vers un avenir rempli d’amour et de félicité. Mais alors, puisqu’on connaît la fin, quels sont les éléments qui vont venir contenter le désir de surprise qui, lorsqu’il est satisfait, représente une part importante du plaisir qu’on attend de la vision d’un film ? Tout simplement le chemin trouvé par les scénaristes et les réalisateurs pour faire évoluer ce couple du point de départ au plan final. Pour "Un peu beaucoup aveuglément", sa première réalisation, Clovis Cornillac a choisi de pratiquer ce genre, à partir d’une idée de départ suggérée par son épouse Lilou Fogli, idée devenue un scénario écrit par Lilou Fogli, Clovis Cornillac, Tristan Schulman et Mathieu Oullion. Point de départ : deux appartements parisiens séparés par une cloison qui ne filtre pratiquement aucun élément sonore. Dans le premier habite depuis longtemps un inventeur de jeux type casse-tête, un ours mal léché, misanthrope, solitaire, un homme qui consacre sa vie à son travail, qui a besoin de silence, qui déteste le monde des smartphones, qui, depuis 7 ans, ne sort jamais de chez lui et qui n’a qu’un seul ami, Artus. Dans le second arrive une jeune femme qui, pour la première fois de sa vie, cherche à s’émanciper d’une quelconque tutelle masculine. Détail important : cette jeune femme est une pianiste qui va donner chez elle des cours à des gamins débutants et qui a pour objectif de préparer un prochain concours. Voisinage difficile à accepter pour quelqu’un qui recherche le silence ! Point d’arrivée : pas la peine de vous faire un dessin. La grande révélation de "Un peu beaucoup aveuglément" est sans conteste Mélanie Bernier qui interprète le rôle de Machine. Un compliment qu’elle mérite amplement et qui se suffit à lui-même : elle arrive très souvent à faire penser à Audrey Hepburn. Finalement, tous comptes faits, on peut considérer que Clovis Cornillac a plutôt bien réussi son examen de passage de réalisateur, malgré les quelques scories qu’on trouve surtout au tout début de son film.
J'aime le film "un peu, beaucoup, aveuglément". Était très amusant. C'est d'une femme qui vit à côté d'un homme et ils parlent à travers les murs. Ils sont très différentes. C'est un film romantique et de la comédie. Je la recommande beaucoup. J'aime les acteurs et le film. Roberta Pérez A01194136
Ce film est incroyable, c'est une aventure qui vous entraine tout au long du film! Ce film est un peu long mais c'est une belle comédie romantique qui traite de l’amour inconnu avec une thème très original.
Le film raconte l'histoire de deux voisins très différents qui s’aimer sans se voir mais ils parle à travers de un mur qui les sépare, une belle et innocente jeune fille qui aime jouer du piano et un homme travailleur qui ne peut pas supporter le bruit, ils son très différents mais ils ont un point en commun, la culture et l’anticonformisme.
J'aime les acteurs, ils forment un couple parfait de comédie. C'est un film qui peut être profiter en famille.
Une bonne comédie romantique qui m'a arraché plusieurs sourires. On retrouve malheureusement le schéma habituel de ce type de film, trop usité pour encore être surprenant ou même intéressant.
Je me méfiais de ce premier film de Cornillac dont je ne suis pas grand admirateur mais dur ce coup la, il a réussi son coup le Clovis! Comédie bien sympa qui fait sourire et vous donne la pêche à la sortie. Jamais vulgaire ni trop bête, le film nous fait vivre cette histoire qui ressemble a ce que beaucoup de gens vivent aujourd'hui a travers leur écran, sa.s jamais voir l autre. La facilité de cette relation reflète simplement la peur de décevoir, de l échec, de souffrir. Seulement on se rend compte comme ces deux ci qu il faut savoir prendre des risques pour vivre pleinement sa vie. C est franchement bien tourné, bien mis en scène et surtout bien interprété notamment par La miss Bernier vraiment charmante! Coup d essai gagnant pour Cornillac, bravo!
Il s'agit d'une comédie romantique à la française comme on les aime. On rit beaucoup et on se prend au jeu. L'une des scènes finales est hilarante ! A voir en couple ou entre amis.
Pour sa première réalisation, Clovis Cornillac ne démérite pas. Partant d'un postulat franchement original (les deux héros communiquent à travers un mur et ne se voient donc jamais), le film est ainsi propice à quelques situations étonnantes et savoureuses, l'apprenti cinéaste ayant également fait un réel effort sur l'écriture. Dommage alors qu'au-delà d'un bel éloge de Chopin et de quelques seconds rôles plutôt amusants (bien qu'assez conventionnels), « Un peu, beaucoup, aveuglément » ne parvienne jamais vraiment à s'éloigner des codes traditionnels de la comédie romantique, reprenant exactement les mêmes schémas sans jamais chercher à les renouveler ou s'en éloigner, si ce n'est donc par ce point de départ surprenant et à l'origine de ses meilleurs moments. Heureusement, le séduisant et très complémentaire duo Mélanie Bernier - Clovis Cornillac « himself » parvient à compenser ces faiblesses pour nous offrir un moment qui, à défaut d'être marquant, n'en reste pas moins assez agréable. Honnête.