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    Quand on a 17 ans
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    217 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 9 avril 2016
    Très bon drame français.
    Les : les acteurs sont justes, le scénario ne vous fait pas voir le temps passer, la réalisation, le cadre du tournage est sublime (montagnes avec ou sans neiges).
    Les - : Un fil secondaire de l’histoire non approfondi
    A voir si : Vous avez 17 ans, vous aimez les film ascenseurs à émotions
    A ne pas voir si : vous n'avez pas envie de voir une mère parfaite et 2 ados qui se tournent autour.
    jean-pierre s
    jean-pierre s

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 avril 2016
    J'aime bien Téchiné, j'aime bien Kiberlain, il y avait de bonnes critiques, dans un cinéma qu'on aime bien, l'ABS à Sanary, tout était là pour passer un bon moment. Mais nous nous sommes très rapidement ennuyés, sans remettre en cause la qualité des comédien(ne)s c'est mal joué ou mal dirigé, ce n'est pas très bien filmé, le scénario ne tient pas debout, bref pour ma compagne et moi c'est totalement raté. Le reste de la salle semblait penser la même chose. Heureusement il faisait beau, Sanary a un joli port, nous n'aurions pas du entrer au cinéma pour ce film......
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 avril 2016
    Une pur merveille, la sensibilité de ces deux garçons (Kacey Mottet-Klein et Corentin Fila) , l'amour d'une mère (Sandrine Kiberlain). Pas de jugement, juste la beauté. Merci à André Téchiné.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 avril 2016
    Du bon : le personnage de la mère d'une grande douceur et d'une grande justesse, une évocation sobre et sans clichés de l'homosexualité
    Du moins bon : les deux acteurs pas toujours très crédibles, un scénario parfois redondant
    momo M.
    momo M.

    41 abonnés 282 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 avril 2016
    Je vais me faire des ennemis chez les fans de Téchiné, mais je trouve que ce film est loin d'être un chef d'oeuvre. De belles scènes, beaux paysages, bons acteurs, malheureusement tout sonne faux. Le cinéaste fantasme sur ses personnages, surtout le personnage de Tom, beau comme un dieu et que l'on voit nu se baignant en hiver dans un lac glacé !! Ce beau Tom qui s'occupe des vaches, tue lui même les poules, fait des kilométrés à pieds dans la neige pour se rendre au lycée !! Non mais vraiment, on n'y croit pas !! c'est répétitif spoiler: , toutes les scènes de bagarres pour nous faire signe que cela se terminera en scène d'amour

    Téchiné est plus inspiré sans Céline Sciamma
    BeatJunky
    BeatJunky

    154 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mai 2016
    Mouais, pas mal mais je m'attendais à mieux pour ce nouveau Téchiné à vrai dire... Aucun reproche à faire ni à la mise en scène et encore moins la direction d'acteurs et rien à dire non plus sur l'interprétation qui est vraiment le point fort du film d'après moi (Un grand bravo à Corentin Fila pour sa première apparition, Kacey Mottet Klein confirme et Sandrine Kimberlain, comme d'hab'... parfaite !) Mais je n'ai jamais réussi à rentrer dans le film, à cerner et encore moins à m'attacher à l'un des personnages. Je suis ressorti de ma séance sans avoir ressenti grand chose alors que c'est justement ce que Téchiné a voulu (trop) faire avec des personnages peut être un peu trop gentils et parfaits dans une ambiance un peu tristounette qui m'a plombé le moral ! Loin d'être un mauvais film, il plaira sans aucun doute à ceux qui apprécient le metteur en scène et beaucoup d'autres mais personnellement, je vais très vite l'oublier ....
    soulman
    soulman

    92 abonnés 1 227 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 avril 2016
    Un très beau film, vraisemblablement le meilleur de Téchiné depuis une dizaine d'années, qui renoue avec l'inspiration intime de l'auteur (l'adolescence, l'homosexualité). Porté par un duo de jeunes comédiens formidable auquel Sandrine Kiberlain donne une réplique lumineuse, le long-métrage distille un vrai suspens avec une finesse d'observation et une acuité exceptionnelle. Les décors naturels sont admirablement saisis, loin de la carte postale, participant à la création de l'identité de Thomas, montagnard aguerri, amoureux de son environnement.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 avril 2016
    Quand l’auteur de ces lignes s’est trouvé invité à l’Avant-première au Gaumont Opéra-côté Premier à PARIS (75 002), jeudi dernier, 17 Mars, il avait vu la Bande-annonce qui ne l’avait pas emballé et il y allait principalement pour LUCHON !

    Bien sûr qu’il avait en tête les vers de RIMBAUD et ce qui précédait « quand on a dix-sept ans », le fameux « on n’est pas sérieux » ; bien sûr qu’il avait en tête son visage pris en photo. à … 17 ans, justement, le plus connu qu’on lui connaisse et cette modernité des traits jusque dans la coiffure, bien sûr qu’il avait toujours ressenti comment « Arthur » avait pu souffrir et du manque de lumière et des terres et du climat de … CHARLEVILLE-MEZIERES - qu’il conjurera la moitié de sa vie et jusqu’en Abyssinie -, lui qui avait été jusqu’à ASSOUAN, transporté par ses couleurs d’or et de bleu, lui qui connaissait un autre plat pays et la révolte intérieure qu’il pouvait engendrer.
    Bien sûr qu’il se doutait que la suite des vers le conduirait « sous les tilleuls verts de la promenade » qu’il imaginait comme nos allées d’Etigny et peut-être même qu’une des scènes aurait pour décor « des cafés tapageurs aux lustres éclatants » …

    Mais il était loin d’imaginer que la fiction trouverait en notre « Reine des Pyrénées » sont écrin naturel ! Que même Sandrine KIBERLAIN ferait aveu au détour d’un dialogue de son éducation rigoriste en Beauce !

    Tout aurait pu commencer sur un air de Calogero tel que « J’ai le droit aussi », extrait de son album des Feux d’artifice … un instant la peur le saisit aux premières images de la composition d’équipes sportives, entre élèves d’un lycée (« Edmond-Rostand », en l’occurrence) ou l’humiliation d’être « choisi » parmi les deux derniers le rejoint aux premiers sentiments de la différence et de l’exclusion
    Béranger ANCEAUX se cachait là, en fil conducteur, aussi bien dans le Clip que dans notre souvenir de son Baisers cachés, sélectionné au 18ème. Festival des Créations télévisuelles et qu’il nous avait été donné de découvrir, là aussi, en Avant-première.

    Le poncif achevé, les personnages et l’histoire pouvaient s’installer, un trio « qui fonctionne » comme on dit maintenant, entre une mère compréhensive, Sandrine KIBERLAIN, douce et sensible, son fils, Damien, incarné par Kacey MOTTET-KLEIN et son condisciple, Tom, Corentin FILA.

    Le triptyque entre « violence, désirs et prendre soin » qu’a intelligemment relevé un spectateur lors du débat qui succéda la projection peut donner une des clefs mais il y manque le quatrième élément, notre ville, nos belles montagnes et puis, un cinquième, le poème dont j’emprunte, ici, les mots pour visualiser les scènes, qui de la douleur d’une femme dans « la clarté d’un pâle réverbère » du Cimetière nouveau, qui de cette « nuit de juin » où Damien, « piqué de doux frissons […] se laisse griser » autour de notre Brandon de la Saint-Jean (classé l’année dernière au Patrimoine Culturel Immatériel de l’U.N.E.S.C.O.), qui de la rue Sylvie, « le vent chargé de bruits – la ville n’est pas loin », « un beau soir […] de bocks et de […] limonade » avec une mère qui invite son fils à s’ouvrir et faire confiance …
    Charge émotive !

    Comment vous écrire la véritable charge émotive qui s’empare de vous, dès lors, dans la seconde partie du Film ?

    Sinon qu’une critique doit trouver autant d’échos à être lue avant qu’après la diffusion, hier soir pour vous, il y a près d’une semaine pour nous, pauvres expat’ luchonnais de la Capitale !

    Dans une salle par avance acquise, en tout cas très désireuse (!), Corentin FILA a même pu faire l’analogie entre son rôle et la mélancolie, la solitude, qui peuvent l’étreindre sur le pavé parisien alors que Kacey disait avoir appris à connaître « au fur et à mesure » son personnage ; il reconnut même une certaine difficulté dans la relation homosexuelle quand, nous lui trouvions plutôt une grande justesse faite de retenue mêlée à l’incandescence adolescente des premiers émois, « qui palpite là, comme une petite bête … Le cœur fou robinsonne », écrirait encore RIMBAUD
    L’intrusion du Cinéste - après que l’auteur de ces lignes ait ouvert le Débat par une première question comme il se devait (!) sur le choix de notre pays de Luchon qui ramenait aux origines d’André TECHINE –, arrivé par surprise en « Uber », a permis d’aller plus loin.

    Nous l’évoquerons avec le Cimetière nouveau (n° 04) et son muret à la fois haut et peu haut, comme un écho des … Hauts de Hurlevent, ces scènes qu’il affectionne où « l’on prend le maximum de risques, sans filet » (sic) telle celle qu’on ne déflorera pas, littéralement et qui donna lieu à un nombreux questionnement.

    Le « Haut et le Bas », c’est aussi la raison du choix de notre vallée, dixit la Co-Scénariste, Céline SCIAMMA, alternance entre le milieu familial de Tom et celui de Damien, un Tom qui pourrait habiter Superbagnères ou … GARIN ou quand SAINT-GIRONS, en Ariège, en dispute la vedette, rires !

    Ces lieux nous parlent.

    Arthur RIMABAUD était de la même génération que Jean-Marie MENGUE, le Sculpteur luchonnais bien connu et monté à PARIS mener la carrière que l’on sait, né pour le premier en 1854 et pour le second -, peint au soir de sa vie par André REGAGNON, de … SAINT-GIRONS, en Ariège (!), quelle coïncidence – en 1855 ; comment dire, également, que le nouveau caveau visible dans le Film pouvait s’interpréter comme un clin d’œil à la mort, au groupe de Cain & Abel, aux Quinconces et laisser nous présager le pire.

    Mais voilà, « vous êtes amoureux. Loué jusqu’au mois d’août [l’année scolaire terminée]. Vous êtes amoureux » continuait d’écrire RIMBAUD et en sortant du Gaumont Opéra, comme happé par le métro, nous avions failli manquer celle ou celui qui s’était pris pour le Poète, justement, « Donne-moi de la haine, je t’en fais de l’amour », quelle charge émotive, vous disais-je
    Par Mathieu BRETILLARD-MENGUE
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 avril 2016
    scénario riche balayant de nombreux thèmes sociétaux sans jamais effleurer la saturation, acteurs magnifiques et brillants, plans tirés à 4 épingles, mise en scène ajustée, histoire très touchante, saine, naturelle: ma fille et moi avons adoré!
    Septième Sens
    Septième Sens

    87 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 avril 2016
    Damien et Tom se détestent. Tous deux élèves dans la même classe de Terminale, ils passent leur Bac cette année. L’un est excellent élève et a une vie de famille solide. L’autre, adopté, vient d’arriver dans la ville et a plus de difficulté à l’école. Une étrange tension se fait de plus en plus vive entre les deux adolescents, sans explication.

    Co-écrit par la réalisatrice de Tomboy et Bande de filles, le film est une douce réussite. Captant les enjeux de l’adolescence et les tourments d’une période transitoire, Téchiné s’est très bien entouré en filmant les antagonismes avec une vigueur assumée. La haine se confronte à l’amour tandis que le dégoût fait face à l’admiration dans un ballet orchestré de main de maîtres. Le panorama montagneux, reflétant des décors aussi menaçants que favorables à la confidence, fait partie intégrante cette démarche artistique.

    Cette œuvre pourrait se résumer au mot suivant : mouvement. Tant les personnages et les cadrages du réalisateur en sont inondés. Téchiné, habitué à filmer la fougue de la jeunesse, n’omet rien. Mais Quand on a 17 ans n’est pas un hymne à l’homosexualité. Ce n’est ni totalement une histoire d’amour, ni un récit sur l’amitié. Non, le scénario du français tend plus vers le sentiment, la vie sous toutes ces coutures. Avec son lot d’injustices et d’incertitudes, ses joies, ses peines. Un tout rondement maîtrisé, dénué de tous stéréotypes bienveillants, de messages archaïques et dépassés.

    Sans jugement, le cinéaste filme l’amour interdit et les pulsions inassouvies sans surligner son propos, sans dévaluer l’amour qu’il a pour ses personnages. En mettant en scène l’habitué des plateaux Kacey Mottet Klein (Damien) et le nouveau Corentin Fila (Tom), Téchiné fait pleine confiance à la jeunesse et au renouveau du cinéma français. C’est tant mieux car avec leurs prestations tendres, violentes et à fleur de peau, les deux garçons lui prouvent qu’il avait pleinement raison.
    PaulGe G
    PaulGe G

    112 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 avril 2016
    il y a énormément de thèmes abordés dans ce film et le fil rouge est la vie du médecin magistralement incarnée par Sandrine K, et les amours particulières de deux ados a la recherche de leur sexualité dans une petite ville à la montagne . l'interprétation parfaite , baroque de la mise en scène , bien qu'il y ait quelques temps longs , font de ce film une réelle réussite
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 6 avril 2016
    Un superbe film.
    Triste et tourné vers l'avenir.
    Sandrine Kimberlin est un mère comme on aimerait en avoir tous.
    Les 2 garçons sont excellents. Touchants et naturels.
    Vraiment bien.
    Merci
    jaja77
    jaja77

    61 abonnés 1 326 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 avril 2016
    un très bon film porté par de bon acteurs puis une très bonne prestation des deux adolescents ainsi que Sandrine kiberlain qui joue extrêmement bien son rôle de mère médecin avec justesse et amour envers son fils. pour ma part un très bon film avec une histoire intéressante réaliste et pleins de sensibilité et sentiments. j'ai été totalement ému durant la séance donc à voir son hésiter
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 avril 2016
    Ce film ne m'a pas ému ; bien plus, il m'a ébranlé.
    C'est tellement important, du reste, pour tout jeune homo, qu'il existe des films dévoilant de tels sentiments amoureux et ce, d'une manière aussi extraordinairement belle que banale.
    Selon moi, Sandrine Kiberlain connaît, dans ce film, son plus beau rôle (celui d'une mère très intelligente) et sa plus grande performance d'actrice. Le jeu de l'acteur qui fait son époux est époustouflant ; en effet, Alexis Loret est, tout à la fois, très beau et très naturel !
    Cine vu
    Cine vu

    145 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 avril 2016
    Quand on a 17 ans, rien n’est figé

    Un scénario qui se traine en longueur, quelques clichés vieillissants. La découverte de son identité sexuel à l’adolescence. André Téchiné veut bien faire mais il pris du retard sur son temps.
    Des situations sans raison d’être , un médecin de campagne à l’ancienne, un garçon qui se cherche et l’autre qui ne se trouve pas, des rendez-vous manquées pour eux comme pour nous.
    Un gros plan permanent sur Corentin Fila et c’est vrai qu’il est beau le bougre mais Téchiné en est trop entiché, c’est lassant.

    J’ai quitté Kacey Mottet Klein, il y a une semaine à peine dans « Keeper« , ce gamin joue juste jusqu’à son ambiguïté et sa passion naissante.

    De jolis acteurs, une réalisation soignée mais pas de fureur même dans ces quelques bagarres, d’ailleurs plus contre eux-même, qu’entre eux. Un message académique sur la difficulté de grandir et de faire un choix.

    Sandrine Kiberlain fait de son mieux, elle est brave et gentille, sa prise en charge de Tom, si soudaine, est peu crédible, de l’altruisme en solde pour nous conter du vent.

    Un film presque pour rien, sauf peut-être de mettre à jour la découverte de notre sexualité à 17 ans mais sans rien nous révéler vraiment.

    André Téchiné ne m’a pas bouleversé et il n’y rien de transcendant dans cette petite fable amoureuse en montagne. Le plan de fin avec Corentin Fila courant dans les champs frise le ridicule, c’est digne d’une scène de « Brokeback Mountain » version comédie musicale.

    La collaboration dans l’écriture de Céline Sciamma est évidente, détentrice du monopole sur l’adolescence et ses questionnements.
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