AlloCiné
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Votre avis sur Valentin Valentin ?
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bsalvert
Des personnages intéressants et animés de diverses passions. On est pris entre l'intrigue et l'enquète.
Attirée par le casting au départ, puis par l'intrigue, j'ai été agréablement surprise par ce film. Si on fait abstraction du mauvais jeu de certains acteurs, on va dire que dans l'ensemble c'est plutôt efficace et divertissant. Chroniques d'immeuble, tranches de vies croustillantes, chacun a ses démons, ses passions, ses failles, ses doutes. Pas incontournable mais sympa à regarder.
Malgré un casting canon, quoique constitué d’un nombre record de « fils » et « fille de », cette adaptation d’un roman de Ruth Rendell ne parvient pas réellement à mettre en musique son ambition de film-chorale. La faute à une mise en place très artificielle des situations, d’un non-choix dans le genre du film qui le rend fouillis, avec une fin catastrophique, et d’un empilement de personnages auxquels le cinéaste ne parvient jamais à trouver une cohésion d’ensemble. Reste la présence fantomatique et fascinante d’une Geraldine Chaplin dans le rôle d’une voisine rongée par l’alcool – dans certaines scènes, on y décèle le triste visage de Charlot – et quelques séquences de comédie réussies.
Alain D.
Coécrit et réalisé de main de maitre par Pascal Thomas, ce film collégial se révèle extrêmement dynamique. Son scénario nous conte une histoire tendre et intimiste qui part dans toutes les directions avec une multitude de personnages. L'intrigue démarre avec beaucoup de relations sociales pour se terminer en comédie policière. Outre une BO intelligente et superbement placée, ce film nous offre un casting ultra riche révélant une pléiade de personnages. En tète d'affiche Marilou Berry, et pour le rôle principal Vincent Rottiers, qui assure sans toutefois montrer un charisme particulier. Les personnages annexes sont superbement maitrisés avec la belle et fougueuse Marie Gillain, François Morel le concierge pervers, Christian Vadim le voisin d'en face, Geraldine Chaplin, Félix Moati ...
Bien aimé ce film difficile à classer... je me posais la question .. triste ou comédie..... En tous cas, il est clair que le casting est excellent, et que certains et certaines trahissent ici leur fort potentiel - Marilou Berry et Vincent Rottiers bien entendu d'abord, mais aussi Marie Gillain en nymphomane "chiante", Christine Citti et François Morel déconcertant, sans oublier une Geraldine Chaplin en piteux état. Un film très fluide, très agréable .... sympathique !! **
Caine78
C'est le dernier film en date de Pascal Thomas, en espérant que cet énorme échec n'ait pas mis fin définitivement à sa carrière... Alors on le connaît le Calou, il aime bien ne pas faire comme les autres, ce qui est à la fois une qualité et un défaut. D'un côté, on peut parfois trouver qu'il ne se passe pas grand-chose et que celui-ci a une légère tendance à passer à côté du sujet, ce à force de créer une importante galerie de personnages sans que l'on sache vraiment où l'on va. Ça parle beaucoup, avec beaucoup de sous-intrigues plus ou moins curieuses... Et pourtant, bien que l'on n'ait pas (du tout) à faire à un polar ordinaire, je trouve qu'au fond, tout se justifie. Les personnages ne sont ni bons ni mauvais, juste représentatifs de ce que nous sommes en général, avec nos manies, nos espoirs, nos comportements irrationnels...
En y repensant, les dialogues, les enjeux, les situations : même si l'on semble s'éloigner parfois considérablement, tout a toujours un rapport avec le point de départ et ce qui va amener au drame, sans qu'il soit réellement possible de deviner (du moins me concernant) les motivations et l'identité de l'assassin. À ce titre, le casting, à la fois conséquent et homogène (si ce n'est peut-être une Marie Gillain que j'ai rarement vu aussi belle et inspirée : elle est mon gros coup de cœur) paraît totalement cohérent, à l'image d'un Vincent Rottiers idéal dans le (double) rôle-titre ou encore Marilou Berry, très convaincante. Bref, j'ignore à quoi ressemblait le roman de Ruth Rendell (plus classique, j'imagine!), mais en ce qui concerne cette adaptation, même si elle pourra dérouter et ne plaira clairement pas à tous, Pascal Thomas a plutôt joliment réussi son coup : dommage que le public en ait décidé autrement. À (re)découvrir.
En y repensant, les dialogues, les enjeux, les situations : même si l'on semble s'éloigner parfois considérablement, tout a toujours un rapport avec le point de départ et ce qui va amener au drame, sans qu'il soit réellement possible de deviner (du moins me concernant) les motivations et l'identité de l'assassin. À ce titre, le casting, à la fois conséquent et homogène (si ce n'est peut-être une Marie Gillain que j'ai rarement vu aussi belle et inspirée : elle est mon gros coup de cœur) paraît totalement cohérent, à l'image d'un Vincent Rottiers idéal dans le (double) rôle-titre ou encore Marilou Berry, très convaincante. Bref, j'ignore à quoi ressemblait le roman de Ruth Rendell (plus classique, j'imagine!), mais en ce qui concerne cette adaptation, même si elle pourra dérouter et ne plaira clairement pas à tous, Pascal Thomas a plutôt joliment réussi son coup : dommage que le public en ait décidé autrement. À (re)découvrir.
Un film avec une atmosphère loufoque.
On y suit le quotidien d'un immeuble et des ses habitants tous différents les uns des autres : la mamie alcoolique, la gardienne sensuelle et son pervers de mari, les 3 jeunes étudiantes en coloc,et Valentin le dernier arrivé, un jeune homme romantique qui fait craquer toute la gente féminine du quartier sans le savoir et sans le vouloir.
il y a également le pavillon en face avec des chinois intrigants ce qui pimente un peu le film, car on se demande ce qu'ils fabriquent et surtout on est choquée de la condition de la jeune fille liu mei.
Sinon la trame de l'histoire est très mince mais c'est le jeu des acteurs et l'originalité des personnages qui nous tient en haleine.
Pour ma part j'ai trouvé vincent rottiers très bon dans ce rôle à contre emploi, cela le change de ses rôles habituels.
Un film poétique mais qui ne peut pas plaire à tout le monde
I
On y suit le quotidien d'un immeuble et des ses habitants tous différents les uns des autres : la mamie alcoolique, la gardienne sensuelle et son pervers de mari, les 3 jeunes étudiantes en coloc,et Valentin le dernier arrivé, un jeune homme romantique qui fait craquer toute la gente féminine du quartier sans le savoir et sans le vouloir.
il y a également le pavillon en face avec des chinois intrigants ce qui pimente un peu le film, car on se demande ce qu'ils fabriquent et surtout on est choquée de la condition de la jeune fille liu mei.
Sinon la trame de l'histoire est très mince mais c'est le jeu des acteurs et l'originalité des personnages qui nous tient en haleine.
Pour ma part j'ai trouvé vincent rottiers très bon dans ce rôle à contre emploi, cela le change de ses rôles habituels.
Un film poétique mais qui ne peut pas plaire à tout le monde
I
Un joli film qu il faut regarder avec légèreté recul et insouciance..... Car le cadre , l ambiance décrit dans ce film est celle d un immeuble qui me semble caricaturer , croquer par un dessinateur.... Tous ces personnages si différents les uns des autres qui cohabitent et font semblant... Chacun avec sa vision nombrilisme du monde.... Pour cela le film est intéressant car les personnages secondaires sont bien plus intéressant que la trame principale peu intense. L histoire de Valentin ce bobo parisien voyageur utopiste qui fait craquer les voisines est pas tres crédibles ..... Qui est avec une nympho au mari violent.... Bon mouais ..... L enquête passe aussi au second plan elle n apparaît vraiment que sur la fin.
Non je pense réellement que l intérêt réside dans sa fraîcheur sa gaieté , ses histoires de paliers et ce voyeurisme affirmé, ses caricatures de personnages.... Sa jolie musique aussi qui renforce le côté bohème fraîcheur .....
Il reste cependant simple et sans réel trait de génie ou surprise dans son scénario.
À voir ç est très original.
Non je pense réellement que l intérêt réside dans sa fraîcheur sa gaieté , ses histoires de paliers et ce voyeurisme affirmé, ses caricatures de personnages.... Sa jolie musique aussi qui renforce le côté bohème fraîcheur .....
Il reste cependant simple et sans réel trait de génie ou surprise dans son scénario.
À voir ç est très original.
Un film policier non sans maladresses, pourvu d'un casting inégal, mais qui dégage aussi un authentique charme. Mention spéciale à Vincent Rottiers et Victoire Lafaurie.
C'est mou, c'est long, c'est plat... c'est le zéro étoile de l'année. Il ne se passe rien dans ce film, ennuyeux et mal joué (pour certains). C'est une catastrophe. ----Février 2016----
La bande-annonce de ce long-métrage m’avait intrigué et je me réjouissais de pourvoir enfin le voir. D’autant plus que le casting était plutôt spectaculaire : Vincent Rottiers, Marilou Berry, Marie Gillain, Arielle Dombasle, Geraldine Chaplin, François Morel…, bref pas mal de beau monde. Et il faut avouer que le début tient bien les promesses de tout cela, on se retrouve dans une espèce de film choral où on suit le quotidien d’habitants d’un immeuble qui se croisent, se fréquentent ou s’ignorent, avec comme point d’équilibre un nouveau venu Valentin Fontaine, jeune solitaire et rêveur et accessoirement chouchou de la gent féminine. Cette présentation des personnages et de la situation globale se révèle donc intéressante et assez cocasse pour nous hameçonner. Mais voilà, les péripéties qui se succèdent n’aident pas le film à décoller et les divers petits problèmes qui assaillent ces voisins d’immeuble finissent par devenir moyennement intéressants et le spectateur voit donc son intérêt pour l’intrigue se déliter à mesure que le temps file. On ne voit pas trop où ces mésaventures, majoritairement sentimentales, veulent vraiment nous mener et on est de plus en plus frappé par la vacuité, charmante cela dit, mais vacuité quand même de ce qui se déroule devant nous. Un événement tragique vient tout d’un coup relancer l’action et on se prend à espérer qu’un nouveau souffle va insuffler de la vie à une intrigue en état de mort cérébrale, las… cet électrochoc ne dure qu’un instant et le film reprend son train-train pour se terminer sur une conclusion bien molle qui laisse vaguement irrité un spectateur pas loin d’être ennuyé. Un film charmant dans son ambiance et ses personnages, mais dont l’intrigue, délayée dans un nombre trop grand de personnages et de problématiques, peine à fournir une histoire intéressante. Pas désagréable en soi, mais pas vraiment indispensable à voir.
Un film qui ne m'a vraiment pas touché. bcp de personnages sont ternes certains très mal joués. Je me suis ennuyé. un peu de poésie tout de même mais trop peu
Une galerie de portraits très bien dessinés mais dans quel but ? Trop d'histoires qui se chevauchent et surtout : qu'est ce qu' elles lui trouvent, à Valentin ?
Mi vaudeville mi Agatha Christie, Valentin Valentin est un petit film relativement sympathique et bien interprété. Pas le chef d'oeuvre de l'année mais suffisamment bien foutu et cohérent pour mériter ses trois étoiles.
Je n’ai vraiment pas accroché à ce film d’une platitude sans nom, qu’à la fin, une pseudo enquête policière vient artificiellement relever. S’il suffisait de filmer un pâté de maisons et ses habitants pour faire un film, on aurait des millions de nouveaux cinéastes. Pourtant, « Fenêtre sur Cour » (Rear Window, 1955) d’Alfred Hitchcock m’avait beaucoup plu. Et, comme d’autres, j’aime voir Marie Gillain gambader nue.
A relire mes critiques de « Mercredi, folle Journée ! » (2001) et « Le Grand appartement » (2006), les précédents films du réalisateur que j’avais vus, je comprends mieux pourquoi je n’aime pas ses films et les défauts que je remarque à chaque fois : absence de rythme, juxtaposition de saynètes plutôt qu’une vraie histoire.
On ne m’y reprendra plus à voir un film de Pascal Thomas.
A relire mes critiques de « Mercredi, folle Journée ! » (2001) et « Le Grand appartement » (2006), les précédents films du réalisateur que j’avais vus, je comprends mieux pourquoi je n’aime pas ses films et les défauts que je remarque à chaque fois : absence de rythme, juxtaposition de saynètes plutôt qu’une vraie histoire.
On ne m’y reprendra plus à voir un film de Pascal Thomas.
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