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    A Girl Walks Home Alone At Night
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    L'homme le plus classe du monde
    L'homme le plus classe du monde

    307 abonnés 450 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 juillet 2015
    Je pensais commencer mon intro par un truc du genre "il n'y a pas besoin d'être un hipster californien pour faire du ciné indé / undergournd / sundancien." Mais après renseignement, j'ai découvert que la réalisatrice Ana Lily Amirpour était bien une hipster californienne, ce qui fout en l'air mon introduction. Je vais donc la tourner autrement : "Ce n'est pas parce qu'on fait un film en Iran que l'on doit forcément en faire un film d'auteur austère, chiant, féministe ou révolutionnaire." Voilà.

    Je l'avoue c'est une vision assez réducteur et volontairement provocatrice. Mais j'en ai juste marre de voir télérama se pamer devant n'importe quel réalisateur iranien sous prétexte qu'ils risquent leur vie pour la fabrication de ce film (quel cynisme, l'homme le plus classe du monde !). Du coup quand un film iranien débarque, sans se vanter de bousculer le pouvoir en place ou de militer pour la cause des femmes, je me dis "enfin un peu d'originalité !". Rarement le niqab aura été aussi peu politisé. Ici, il n'est pas le symbole de la soumission des femmes musulmanes. C'est juste un simple élément cinématographique qui permet de donner au protagoniste cette silhouette fantomatique, en peu comme le truc informe du "voyage de chihiro", pour un effet des plus réussi. Est-ce suffisant pour en faire en bon film. Apparemment non.

    Dans l'univers des films indés, il y a deux catégories. Les bons (genre little miss sunshine, gummo ou Beasts of the Southern Wild) et les mauvais. Pour moi "A girl walks home alone at night" (il est relou ce titre !) est l'incarnation du film indé que je déteste. On sent derrière chaque plan, cette volonté féroce de paraître "cool" à travers des choix de mise en scène poseurs et injustifiés. Forcément, le film doit être en noir et blanc, pour faire bien "indé". Puis on va mélanger les styles et foutre une musique de western par dessus pour faire comme Quentin Tarantino. Parce que Tarantino, il est cool. Finalement a trop vouloir faire dans l'originalité, AGWHAAN (ce n'est pas Conan le Barbare qui s'est cogné le l'orteil sur le coin du lit, c'est l'abréviation de ce titre pourri) s'est vautré. Certes le concept d'une vampire iranienne qui dévale les rues d'une ville appelé Bad City en skate a de quoi faire rêver tout cinéphile adepte de cinéma différent. Mais encore faut-il être capable de justifier ce concept autrement que par la simple volonté de vouloir faire quelques chose de différent. A ce moment là, pourquoi ne pas faire un film sur nazi épileptique qui voyage à dos de cochon ? Ou un aborigène fan de disco qui se transformerait en une tarte au quetsch les nuits de pleines lunes. Ça aussi, c'est différent. Ça aussi, c'est original. Ça aussi n'a jamais été fait nul part. Est-ce que ça en ferais des films cools pour autant ? Pas forcément.

    Tout n'est pas à jeter, dans AGWHAAN. La réalisatrice sait manifestement se servir d'une caméra, il y a une belle photo, la musique est cool et certaines séquences sont vraiment réussi (bien qu'un peu clipesque). Mais à part ça, on s'ennuie ferme devant ce film qui ne m'aura intéressé que par la lecture du synopsis.
    FaRem
    FaRem

    7 819 abonnés 9 041 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 mars 2015
    "A Girl Walks..." est vendu comme le premier western de vampires iranien dans lequel on retrouve une vampire qui erre dans cette ville morte sans réel but jusqu'à sa rencontre avec un jeune homme. Pour caractériser cette ville inanimée, la réalisatrice a décidé de faire son film en noir et blanc ce qui est plutôt une bonne chose, car esthétiquement parlant le film est beau et bien réalisé, on peut rajouter aussi une bonne BO ainsi que des bons acteurs ce qui donne une enveloppe assez solide au film. Là, où ça a coincé pour moi, c'est plutôt au niveau de l'histoire qui ne m'a pas emballé plus que ça et du manque de rythme à vrai dire ce faux rythme est assez gênant, le film ne décolle réellement jamais et à moins d'être hypnotisé par toute cette ambiance, c'est assez facile de décrocher et par conséquent de s'ennuyer ce qui a été mon cas.
    Julien D
    Julien D

    1 145 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 janvier 2015
    Désireuse de profiter de son premier long-métrage pour traiter, depuis les Etats-Unis, de la condition féminine dans son pays d’origine, l’Iran, sans risquer de faire un brulot sociétal frontal et conventionnel, Ana Lily Amirpour prend le risque de distiller son discours dans un film fantastique. L’idée de transformer, dans ce pays où les femmes n’ont pas le droit de sortir seules la nuit, en une tueuse nocturne cette figure déjà très fantomatique qu’est celle d’une vierge voilée est en cela une idée très forte. La qualité esthétique apportée par les images en noir et blanc et la bande originale, qui mêle des compositions dignes d’un Ennio Morricone à des musiques pop, sont les piliers de la réussite artistique de sa réalisation. Avec ses personnages caricaturaux, son absence de vélléité horrifiques (ce qui décevra beaucoup de spectateurs) et sa trame narrative réduite au possible illustrée par ses images éthérées, A Girl Walks Home Alone At Night s’apparente finalement davantage à un film expérimental, mais n’empêche pas la réalisatrice de donner une image très dure du machisme qui cimente la société patriarcale iranienne à laquelle seule une créature insaisissable, comme cette adolescente vampire, peut réussir à se soustraire. Si cette première œuvre souffre cruellement d’un manque à gagner scénaristique pour le rendre exaltant, il nous révèle une cinéaste à suivre de près.
    tixou0
    tixou0

    662 abonnés 1 979 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 janvier 2015
    Un titre intrigant, et des qualités de forme (le noir et blanc cependant aidant pas mal, côté "arty"). Mais une fois que l'on a apprécié le décor épuré et l'atmosphère savamment étrange de "Bad City", et encore les nombreux (et divers) hommages d'Ana Lily Amirpour à d'illustres devanciers, on doit poser la question : "A Girl walks home alone at night" a-t-il du fond ? Cette fable sur la condition féminine en Iran est nourrie aux seuls souvenirs de ses parents exilés - ALA est née en Angleterre, et est partie très jeune aux E-U. spoiler: Un vampire femelle hante les rues, en tchador et pull rayé, façon redresseur de torts, et rencontre un gentil garçon, qui aime les voitures de sport, est encombré d'un père accro aux anti-douleurs et a adopté un chat, dont les yeux rappellent à son géniteur l'épouse partie.
    La ligne scénaristique, étirée et nébuleuse, peine sérieusement à convaincre. Et l'on s'ennuie beaucoup....
    Trop ambitieux, voire carrément prétentieux, ce premier long ? Pour ma part, la réponse est "oui". Mutatis mutandis (avec une thématique commune), me suis barbée autant qu'en visionnant le dernier Jarmusch..
    beautifulfreak
    beautifulfreak

    98 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 février 2015
    J'aurais aimé aimer ce film réalisé par une jeune réalisatrice iranienne débutante, surtout qu'il a été vendu ainsi: "C'est comme si Sergio Leone et David Lynch avaient donné naissance à un bébé rock'n'roll, et que la garde avait été confié à Nosferatu". Alléchant, n'est-ce pas ? Malheureusement le film ne tient pas toutes ses promesses. En dépit d'un esthétisme certain (beau noir et blanc) et d'une BO envoûtante, la narration est inexistante et le film finit par devenir soporifique, se reposant trop sur des références. Ceux qui apprécient les oeuvres avant tout sensorielles (à l'instar de "Under the skin") y trouveront peut-être leur compte.
    Mondocine
    Mondocine

    73 abonnés 293 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 janvier 2015
    Romance tragiquement lumineuse, drame confectionné dans l’anti-conte, thriller fantastique au rythme qui lui est propre, A Girl Walks Home Alone at Night est une pépite brute, un coup d’éclat brillant soufflant quelque-chose de neuf dans un cinéma horrifique dont il prend ses distances tout en s’y rattachant avec passion. Une fraîcheur atypique qui déroutera certainement les amateurs d’un cinéma traditionnel formaté mais qui saura gagner les cœurs des cinéphiles purs et durs désireux de tenter une expérience « autre ». Et rappelons que la chance sourit aux audacieux. A Girl Walks Home Alone at Night est une déclaration d’amour transgenre au cinéma, une invitation à pénétrer dans une autre dimension où le temps et l’espace ne comptent plus. Première œuvre magistrale et vénéneuse, au moins autant que son « héroïne » vampirique, une fabuleuse Sheila Vand à mi-chemin entre Asia Argento et Falconetti, A Girl Walks Home Alone at Night subjugue, terrifie, glace et réchauffe en même temps. Graphique et pourtant épuré, un seul mot la résume : magnétique. Un choc formel et sensoriel.

    La critique complète sur Mondociné
    Chris Art
    Chris Art

    72 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2015
    (...) Film fantastique sublimé par une mise en scène hypnotisante et une bande-son des plus électriques, A Girl Walks Home Alone at Night est peut-être ce que vous verrez de plus audacieux en ce début d’année. La réalisatrice Ana Lily Amirpour s’approprie avec brio les codes du film de vampire et les plie aussitôt pour en faire un long-métrage estampillé « premier film de western vampire américano-iranien » (...) il s’agit avant tout d’une histoire d’amour fantastique qui trouve son essence et son insolence dans les racines de la cinéaste (...) Pour Ana Lily Amirpour, A Girl Walks Home Alone at Night « est comme si Sergio Leone et David Lynch avaient donné naissance à un bébé rock’n’roll iranien, et que Nosferatu avait rempli le rôle de baby-sitter pour cet enfant » (...) on peut également mettre le film en parallèle avec un autre réalisateur, tout aussi underground et dandy que la cinéaste iranienne, Jim Jarmusch et son récent Only Lovers Left Alive (...) Une musique indie-rock aux accents électro du plus bel effet, qui fait également la part belle aux compositions instrumentales dignes des grands westerns d’Ennio Morricone (...) Envoûtante, minutieuse, contemplative, la mise en scène offre un très beau rendu de noir et blanc saturé aux allures d’expressionnisme allemand (...) Des critiques se sont insurgés contre la portée critique de la société iranienne. Pourtant, les thèmes du film ne sont pas nécessairement cantonnés à l’Iran. Ils sont même encore trop ancrés dans les cultures occidentales, et il faudrait plutôt y voir une métaphore de la vie de débauche que l’on peut trouver dans les bas-fonds de la Californie (...) Dans un pays où autrefois la musique occidentale était encore interdite (pensez à Persepolis), Ana Lily Amirpour entend lui donner une place conséquente dans ce film (...) Sans tomber dans la lourdeur d’un brûlot anti-Iran, Ana Lily Amirpour fait preuve d’une volonté sincère de retranscrire avant tout l’amour de deux êtres isolés sur fond de toile fantastique (...)
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    242 abonnés 1 607 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 janvier 2015
    Après quelques courts, c'est le premier long-métrage d'Ana Lily Amirpour, réalisatrice états-unienne, née de parents iraniens exilés et ayant grandi en Angleterre. Un premier long-métrage que l'on peut voir comme un certain regard sur l'Iran, tout en noirceur sur des horreurs commises dans le pays (le charnier ouvert) et en revendication féministe dans un contexte de domination masculine (l'héroïne s'attaque aux hommes, pas aux femmes). Mais c'est probablement un film moins politique que poétique, un OFNI aux accents fantastiques, romantiques et cinéphiliques, au croisement d'une multitude de genres et de sources d'inspiration : film de vampire, love story, film d'horreur, film noir, film indé US, western (via quelques notes de musique morriconiennes) et autres références à James Dean et à La Fureur de vivre... Voilà qui donne un objet assez surréaliste, emballé dans un noir et blanc magnifiquement éclairé, très graphique, et baigné dans une musique plaisante, bien choisie. On entre donc dans ce film avec une belle curiosité, intrigué (et charmé) par le fond comme par la forme, en suivant les allées et venues, en skate-board, d'une jeune femme vampire peu bavarde, portant pull rayé et grand voile noir qui lui sert de cape (!). Mais l'ensemble s'essouffle malheureusement assez vite, faute d'un scénario consistant. L'inventivité formelle ne parvient pas à cacher longtemps le manque d'idées sur le fond. Le récit se déploie lentement, de façon contemplative, se répète, s'égare en diffusant un petit ennui agréablement soporifique. Ce bel exercice de style arty laisse donc au final une impression un peu vide et vaine. Dommage.
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    396 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 janvier 2015
    Ana Lily Amirpour aurait majoré sans problème en master de cinéma. Esthétique envoûtante, maîtrise impeccable de la caméra, casting parfait, ne manque plus qu’un scénario convenable et libéré des stéréotypes pour faire de A Girl Walks Home Alone At Night un chef d’œuvre du genre. Pour en savoir plus, lisez notre critique complète:
    ffred
    ffred

    1 566 abonnés 3 992 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 janvier 2015
    Enfin, voilà le premier film un peu original qui nous sort de la torpeur d'un début d'année un peu mollasson. Pour son premier long métrage, la réalisatrice Ana Lily Amirpour nous offre une mise en scène élégante mais pour une histoire cousue de fil blanc. Malgré tout, on passe un fascinant moment devant cette romance très spéciale mâtinée de thriller. Même s'il faut quelques minutes pour ce mettre dans l'ambiance de cette co-production americano-iranienne. La superbe bande-son et le noir et blanc contribuent grandement à rendre cette atmosphère particulière si envoutante. L'interprétation est aussi de qualité. Le tout nous donne quelque chose de très stylisé mais de très prenant. Au final A girl walks home alone at night est aussi sombre que lumineux, aussi désespéré que plein d'humour. Poétique et (légèrement) horrifique, voici donc un véritable petit ovni cinématographique et la première bonne petite surprise de l'année.
    kibruk
    kibruk

    122 abonnés 2 444 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mars 2016
    Film de vampire extrêmement curieux et à la limite de l'expérimental, il est évident que "A girl walk home alone at night" ne comblera pas les amateurs de films d'horreur au sens propre du terme. C'est surtout son noir et blanc sublime et sa réalisation qui ne sont pas sans rappeler le "Nosferatu" de Murnau qui impressionnent, mais pour ce qui est de l'histoire, elle laisse finalement un sentiment de trop peu tant c'est lent,
    César D.
    César D.

    35 abonnés 616 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 janvier 2015
    visuellement, c'est, je dois bien le dire, très réussi. ce N&B classe, cette ambiance western, ce look vidéoclip, tout ça, c'est très beau. mais, mais, mais... il manque un souffle qui aurait rendu l'aventure un peu intéressante. je me suis ennuyé, et je n'étais pas le seul dans la salle. la faute à une intrigue mince et à un traitement lent. un court ou un moyen métrage aurait sans doute eu plus d'impact. plus de bons comédiens aussi. pour un premier long, c'est tout de même honorable, la réalisatrice a indéniablement du talent.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 15 août 2015
    Je reste dubitatif devant ce film que je trouve un peu snob.... Scénario assez mince, peu de dialogue et le côté film de vampire reste très secondaire. Je me suis ennuyé assez vite mais heureusement il reste la superbe photo en noir et blanc.
    MaxLaMenace89
    MaxLaMenace89

    58 abonnés 282 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 février 2015
    Dans un sublime noir & blanc rappelant à l'image les plus sauvages de nos instincts, Ana Lily Amirpour étreint le mythe du vampire pour livrer avec A Girl Walks Home Alone At Night un objet filmique atypique et fascinant, à mi-chemin entre la Hammer, Sergio Leone et David Lynch. On oublie très vite un quelconque discours politique derrière la figure fantastique voilée errant mystiquement dans les ruelles froides de ce Bad City fictif, tant le ton donné nous pousse de manière vertigineuse dans une spirale de mystère, de romance et d'intuitions aveugles. La splendeur de la photographie et l'aura électrique de la bande originale sont les quelques symptômes d'une œuvre qui ne se permet aucun remparts, ôde chimérique aux illusions saisies, où ressortent les défauts d'un scénario un peu conciliant qui peine à crédibiliser ses enjeux. Qu'importe, A Girl Walks Home Alone At Night est un exercice réussi, western graphique plein de poésie macabre et d'idées grisantes, qui mord à pleines dents ses abysses pour mieux nous contaminer de ses addictions et tentations.
    cylon86
    cylon86

    2 336 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 janvier 2015
    Film aussi étrange que troublant, "A Girl Walks Home Alone at Night" est la première réalisation de Ana Lily Amirpour qui profite du thème du fantastique pour poser un regard réaliste sur les conditions de vie de la femme en Iran. Ici, nous avons affaire à une jeune femme vampire qui sort toutes les nuits pour épier les gens et en attaquer certains. Malgré l'atmosphère très soignée et très réussie du film qui nous plonge dans les noirceurs de la ville de Bad City, il faut avouer que le scénario de l'ensemble est un brin trop mince pour être pleinement réussi. La réalisatrice mise surtout sur la beauté de sa photographie et la lenteur du déroulement de l'intrigue, frôlant parfois le film expérimental, appelant plutôt à nos sensations plutôt que de nous raconter une histoire solidement construite. Malgré ses longueurs et ses personnages un peu caricaturaux, "A Girl Walks Home Alone at Night" parvient à charmer, créant une ambiance particulière baignée dans une bande-originale superbe.
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