Grand moment de cinéma à voir absolument sur grand écran avec une belle intensité dans les personnages De très bons effets spéciaux voir le meilleur de la saga !
Troisième et sans doute dernier chapitre de la saga "La Planète des Singes" version 2010s, "Suprématie" nous raconte donc le combat final entre l'espèce simiesque et les humains. En fait, pas vraiment, car au bout de 2h20 de film, on se sent tout de même un peu spolié sur le côté "affrontement décisif" qu'est censé revêtir le film de Matt Reeves. Finalement, le dernier chapitre de la saga est sans doute le plus intimiste. Car de guerre, il n'y aura pas, tant les singes savants sont acculés par des soldats impitoyables à la pointe de la technologie. L'affrontement se retrouve plutôt dans les actes posés par les différents protagonistes Les singes se mettent à parler et les humains deviennent muets, les singes prônent la non-violence alors que la furie humaine est sans égale, tout, dans ce film, prépare à une transition entre des primates plus humains que leurs ennemis et des hommes devenus sanguinaires, à l'image de leur colonel en chef, un être diabolique polarisant toutes les déviances de son espèce (Woody Harrelson fait d'ailleurs preuve d'un calme teinté de folie assez impressionnant). Le troisième chapitre de la saga rend acceptable ce qui est impensable pour nous, c'est à dire être remplacé par une autre espèce. Pour cela, Matt Reeves inverse les rôles (en témoigne la scène d'ouverture où le point de vue des hommes n'est adopté que pour l'abandonner complètement dans la suite du film) et creuse quelques personnages clés côté singes (César et ses lieutenants) pour en faire les véritables héros du film. Les effets spéciaux, bluffants de bout en bout et les performances en motion-capture rendent ainsi l'essai concret et permettent à un film à gros budget de se passer quasi-totalement de figures humaines vedettes tout en offrant un joli panel de moments d'émotions. Là où le bât blesse, c'est lors de ces très longues séquences où les singes sont prisonniers, du déjà-vu que la transformation des prisonniers rebelles habituels en chimpanzés, ne changera malheureusement pas. On attend vainement une bataille qui n'arrivera jamais et laisse un goût amer à ce troisième opus, plus primitif et mieux pensé que les deux premiers mais moins divertissant.
un réalisme époustoufflant !! certaines scènes grandiose. Le final un peu "excessif".. dans l'improbabilité à plusieurs égards... un angle se plaçant du côté des singes et des Hommes comme des animaux.. des barbares !!... une BO très belle - une fillette blonde aux yeux bleues.. symbole de puretté au coeur du récit..
Je l'ai vu deux fois. J'ai adoré le jeux d'acteurs, les émotions que j'ai eu, les superbes actions la musique et pour finir le lien entre Cornelius et Cesar. Juste une question, que va devenir la dernière humaine qui est maintenant avec les singes ?
il est très bien mais c'est pratiquement le même scénario que le second épisode de la trilogie. J'aurais aimé moins d'affrontement et plus de fous sur le développement de la civilisation des singes sur terre.
Surprenant, ce troisième volet de la saga devenue culte a su se renouveler en évitant de tomber dans un mécanisme sans fin. Aussi puissant qu'époustouflant, le public y verra certaines références notables.
Un peu déçu par cette conclusion, ce troisième opus étant un peu en deçà des deux précédents selon moi. Le personnage de César est trop humanisé, et les situations trop convenues. Ainsi il n'y a aucune surprise, et trop peu de tension contrairement à "L'Affrontement", qui prenait le temps de mettre les choses en place. On rentre ici très vite dans le vif du sujet, ce qui ne sera pas pour déplaire à certains. Les personnages dans leur ensemble sont un peu creux, en premier lieu le Colonel joué par un Woody Harrelson qui peine à convaincre. Néanmoins on ne s'ennuie pas, et la montée en intensité se fait sentir tout au long du film, avec quelques bonnes idées et un final spectaculaire.
Film sur la fin de notre monde, sur la fin de l'homme tout simplement. La Planète des singes : Suprématie est à la fois un chef d'oeuvre visuel avec l'excellente performance d'Andy Serkis dans le rôle de César; mais également une réflexion sur l'état de notre monde aujourd'hui, où l'homme est la cause de sa propre perte. La musique, qui se rapproche parfaitement du film original "la Planète des Singes" de 1968, permet ainsi, en plus de plusieurs clins d'oeil, de créer un lien et ainsi de boucler une boucle entre les deux trilogies même si les histoires diffèrent quelques peu, notamment vis à vis du temps.
Un bon film avec plusieurs scènes très touchantes mais qui font aussi partie de ces points faibles. On retrouve des plans très beaux et symboliques avec une musique qui correspond bien à l'ambiance des actions. Néanmoins, à trop donner d'émotions cela rend les moments moins marquants et mémorables. De plus, on retrouve plusieurs incohérences ou questionnements qui reste libre et certains personnages meurent bien trop rapidement à mon goût... La présence de nouveaux personnages rend le film plus intéressant spoiler: Bad Ape et Nova mais leur venu est bien trop mystérieux et parfois incohérent. En résumé, je vous conseille de revoir les films précédents avant de voir "War for the Planet of the Apes", histoire d'avoir bien en tête les personnages et ce qui s'est passé précédemment, au risque d'être un peu déboussolé si ce n'est pas le cas. La planète des singes : Suprématie reste un film assez bon et intéressant à voir pour conclure cette trilogie.
Dernier volet d'une trilogie qui aura révolutionner l'utilisation de la motion capture !! Un dernier opus plus émouvant que les précédents avec une belle histoire, touchante et poignante !! Les effets spéciaux sont une nouvelle fois exceptionnels !! Le seul reproche que j'aurais c'est le manque de scènes d'actions entre les singes et les humains contrairement aux 2 autres opus !! Une magnifique trilogie/reboot qui s'achève avec un opus légèrement inférieur aux autres mais de très bonne facture !!!!
Long. Scénario pauvre (western série B, La grande évasion puissance moins dix, apocalypse now expliqué au moins de six ans). Mal joué. Incohérence hallucinante. Musique qu'on oublie dans les 3 minutes. Montage ridicule. Bref un nanard.